Leest en verspreidt HET YPERSCHE,
Consei!
a Zille-
Van Nieuwenhpve, éche-
main a la main deux terrains
res ont bati déja
^s(
Communal d’Ypres
du 9 Juin 1923
moesten bier beukenbladeren en allerlei on
kruid droogen om te rooken.
Na wat opgeknapt te zijn door een kom
metje wanne koffie beginnen de mannen stil
aan weer naar boven te trekken weinigen
bekruipt den lust nader kennis te maken met
het dorp, want dè vermoeidheid is te groot en
er staan nog moeilijke dagen voor de deur.
XVII.
Den vijand op de hielen
Ghistel, niettegenstaande de kale slaap
stede, geeft ons eene goede nachtrust. Lang
nochtans mogen wij er niet verblijven want
de vijand ontwijkt slag te leveren en hoe ver
der hij achteruit trekt, hoe verder wij hem.
moeten volgen.
Overal waar wij voorbij trekken hetzelfde
geestdriftig onthaal, overal die groote, bijna
onbepaalbare vreugde, die nog niet goed
weet hoe zich uitdrukken bij de gewaarwor
ding van de schier opgegeven verlossing.
Welke verandering voor ons ook. In plaats
van naakte en omgewoelde vlakten, overdekt
enkel met puinen, zien wij weer roode lachende
pannendaken, net versierde huizen, lachende
wezens die ons begroeten en toejuichen. Er
valt niet meer te draven door vuilnis, water,
over hinderpalen en kwaadvoorspellende ver
sterkingen neen, langs goed onderhouden,
breede banen,gekende steenwegen, met hunne
schaduwwerpende boomen gaat het nu.
(’t Vervolgt.)
I pa séance
[présents
'Van
Lins
Pelw11’
M. Colaert estime que l’école de musique
aura son local sous peu et pourrait le mettre
a la disposition de 1’ Ypriana Mais il
cite l’exemple de Wytschaete, oü le gouver
nement n’a pas consenti a ce qu’une école
communale servit a des repetitions de la fan
fare.
M. Van Nieuwenhove répond qu’on pour
rait installer Ypriana au musée de l’école
communale desgarqons. Ce ne serait qu’a titre
provisoire; bien entendu, et settlement pour
le soir.
M. Colaert. Nous examinerons done
cette question afin de pouvoir donner satis
faction a 1’ Ypriana et nous remettrons
aussi a l’étude la question de la réouverture
de l’école de musique.
d) Le Comité de controle de Bruxelles a
rejeté la reconstitution de la sculpture au-
dessus de l’entrée du Marché au Poisson.
Mais M. le Ministre, en cas de nouvelle
démarche du Conseil communal, voudrabien,
espère le bourgmestre, ne pas tenir compte
de cette opposition.
M. Bouquet demande la parole, et
demande si nous aurons, oui ou non, le kios-
que sur la Grand’Place.
M. Van Nieuwenhove. II est a la pein-
ture, mais quand il arrivera nous ne savons
oü le remiser. Notre batiment de la rue de
Thourout n’est pas terminé. Le chariot avec
sa remorque a dix mètres de longueur et trois
mètres de haut Il nous arrivera encore ce
mois-ci.
M. Bouquet. Des enfants passent,
Porte de Lille, sur le pont ruiné de l’ancienne
promenade. On devrait l’empêcher. C’est en
effet terriblement dangereux.
M. Colaert va en défendre l’accès par
l’établissement au besoin d’une palissade.
M. Delahaye. Waar is men nu met
het plan van de Zwemplaats
M. Colaert. Ces plans sont déposés et
ont été approuvés par le Collége.
MM. les Conseillers examinent ces plans
qui paraissent trés pratiques, peu coüteux, et
répondront a toutes les exigences de la décence
et de l’hygiène. Ils emportent l’adhésion de
tous.
Le Conseil vote séance tenante, l’approba-
tion du plan.
La séance publique est levée a 4.40 heures.
A. B.
Hce est ouverte a 3 heures. Sont
MM. Colaert, président; Sobry,
der Mersch et Van Nieuwenhove, éche-
Van Alleynnes, Bouquet, Lemahieu,
- - 11
■tatioeienden tocht - Sergeant, zeggen ze,
I leren Oostende, en eens dat wij langs
Bien kant uitgaan, spelen we schampavie
paar dagen, daar moogt ge op reke
Delahaye et'Declercq, conseillers
secrétaire. Absents MM. D’Hu-
M ftU. Glorie, Donck.
pc procès-.verbal de la precedente
eest approuvé sans observation.
’eanC_ Taxe sur les vélos. M. l’échevin
.-()B8Y defend son projet de percevoir sept
Lcspar an sur les vélos. Une longue dis-
Lssions’engage entre les conseillers sur la
*osSibilité de faire le controle de cette per
ception-
\f Delahaye appuie specialement sur cette
Liculté. Ces plaques coüteront cher a fabri-
Luer, et, pour les 1000 vélos qui appartiennent
BdesYprois, les complications seront hors
de proportion avec la 1 ecette.
F JI. COLAERT, en présence de ces observa
tions contradictoires, estime que la question
n’est pas assez étudiée.
M. Lemahieu. - La police va-t-elle arrê-
tertous ceux qui passent a vélo pour deman-
derleurs quittances Il est oppose a toute
taxe sur les vélos. Nous n’avons aucune piste
cyclable appartenant a la commune.
M. Van der Mersch propose une taxe de
cinq francs par vélo, et la remise d’une plaque
al’instar de la province, ou d’un autre signe
distinctif.
M. Colaert propose le renvoi du projet
au Collége pour étudier cette question du con-
trke, et.aussi du l:mx. Il n’y a pas d’urgence
excessive.
3. - a) Les Hospices civils demandent a
wuvoir mettre-en location publique 1’occupa-
hnde deux maisons ouvrières a Dickebusch
dont les occupants ne reviennent plus.
adopté.
■b) Les Hospice.' civils demandent a pouvoir
wndrepubliquement un terrain a batir sis a
St Jean Adopté.
p)Même demande concernant un terrain a
tórsur Ypres. - Adopté.
Oe même pour deux autres terrains a
^ir avec jardin a Ypres. Adopté.
e) Ils demandent a louer publiquement uu
hrain a Ypres, loué jadis a M. Lemigre.
^^^£emandent enfin de pouvoir vendre
•oor een
Inen.
Kierpoos, die nochtans veel lijdt as
Bonden voeten, heeft zijn slecht
Bop zij geschoven. Hij ziet mee’
bader bij zijn huis te komen en t kan
fterapgaan. - Maar, ’k moet toch zorgen z( g
pij, dat mijne beenen niet aigesleten g®ra
Baande knieën, anders ben ik toch maa
Bnhalven meer als ik daar kom.
I llogiers, de bonkige, streuschc kerel, zw ac
■dtde zieke voeten ook in, maar schijnt ve__
Brs niet veel van vermoeidheid te weten.
V00 gauw, ik gedaan heb, zegt hij, moet
Bens rap gaan kennismaken met de beheer ce
Bons hotel, want ik zou wel willen een m
re't teug warme koffie krijgen en zoo moge 1] -
|ten schnaps.
I Weldra schijnen er velen van die meenmg
Ue zijn, want langs alle kanten hoort men e
l eddebakken kraken en er begint een a ge
b een geschuif naar de trap oei ik ben stij
arme, mijne voeten 1 mijne schouders,
e> °eie klinkt het van alle zijden en traag,
'inspanning en vieze gezichten rechten en
mannen zich op en vooruit.
de keuken reeds proppend x o
svrouw, snijdt boterhammen
.ken wit brood dat inderhaast
werd gebakken tegen a
de la
beke, sur lesquels les locatai
leurs demeures. Adopté.
5. - Fabrique d’église de St Martin. Les
comptes de l’exercice 1922 sont approuvés.
6. Service des pompiers. - Achat d’une
sirene. Credit.
M. Van Nieuwenhove. Avant la guerre
on prévenait les officiers et les clairons par
téléphone. Aujourd’hui ce n’est plus possible.
Les domiciles des intéressés changent trop
souvent. En conséquence, une sirene établie
sur le beffroi serait utile. Cette installation
coüterait 7000 francs avec une portée de 3 1/2
kilometres. Nous pourrions en prendre une
de un kilometre de portée, et qui coüterait
environ 2100 fr., plus le transport, la perte
de change et le placement. En conséquence,
l’échevin demande un crédit de 3ooo fr. La
firme franqaise venderesse, en cas d’insuffi-
sance de portée, consentirait a la remplacer
par une autre plus forte, mais cette insuffisance
est peu probable. Le bon fonctionnement de
la sirene est garanti pendant un bon nombre
d’années. L’industrie beige ne fabrique pas
ces sirenes. Il faut s’adresser a la France.
M. Bouquet. La ville fait toujours ces
frais. Ne serait-il pas juste que les compagnies
d’assurances en paient une partie Elles en
profitent fmancièrement.
MVan Nieuwenhove appuie cette manière
de voir.
Mais comment forcer les compagnies a
payer Les conseillers sont d’avis que c’est
impossible.
Le crédit demandé est accordé a l’unanimité.
7. Communications.
a) La sociétédes«Tireurs Réunis» (paroisse
de St Pierre) demande un subside de 200 fr.
pour le dimanche 8 juillet (kermesse du quar
tier).
b) Une société cyclistez du même quartier
fait aussi une demande semblable pour le
même dimanche.
M, Sobry estime que, accéder a ces deux
demandes, émanant du même quartier de
St Pierre, serait poser un mauvais précédent.
M. Bouquet est partisan d’établir des
comités de fètes par quartier, et ces comités
prendraient l’initiative de ces demandes de
crédit.
II est decide que si un comité de ce genre
s’établit, un subside de 3oo fr. serait accordé
pour l’ensemble de ces fêtes.
c) Ypriana demande un local.
de Belgen inkwamen. Twee flinke, bloozende
dochters maken en schenken koffie op, dat de
dampwolken van ’t ziedend water met lekkere
geuren omhoogkrullen. Een zoontje van een
tiental jaren ziet bewonderend de uniformen
aan en de mannen die zoo flink gevochten heb
ben en vader, die tot zijn eigen stoel gegeven
heeft, staat met een elleboog op den schouw
mantel en in de hand eene rookende pijp waar
eerlijke, juist gekregen tabak in brandt. En
’t gaat er al dooreen
Vader Wel, wat zijn we toch blij van
dat grijs gespuis verlost te zijn Ge kunt niet
denken wat we daarmêe al afgezien hebben.
Moeder En zoo lang duurde het eer er
verandering kwam dat we schier den moed
opgaven. Eet maar, jongens Toe, Gode-
lieve, schenk nog eens koffie rond.
Dochter Ja, moeder, ja. Gij nog, mijn
heer
Kar reels Zeg maar «chasseur» wij zijn
geen meneeren
Vader Zijt gij jagers te voet
Ja, mijnheer I
Zoo, waaraan is dat zichtbaar
Aan onze groene kwispels en groen
schild
Dochter En'die zilveren kwispels dan?
Dat zijn de sous-ofls
Soezofs wat is dat
Onderofficieren, sergeanten
Ah, dat is schoon, eh Pa
Vader Ja Lekkere tabak, hoor. We
«Het;
'gen de
len is di
de hui
gebakk.
•^n bloem
2.
w.in»nn
ui-
ïaii