III! spaarzaamste Autorijlnig der wereld. -- Besparing in het verbruik en van onderhond. VERBRUIK OP DE 100 KILOMETERS 250 grammen OLIE s’agit pas d’une institution ad- cours s’acquit- 'Pers Garage Kataloog en proeven gratis op aanvraag. (tes dop. J!ais je fais Vraag -1 lilH plus que les cupés. Trés souvent la justice ne s’en portera pas P“s mai, car les jugements des tribunaux de onimages de guerre ne sont pas toujours ré- 'ges très juridiquement. ans ces conditions, étantdonnées l’écono- V* en< r^su^erait, la rapidité a obtenir Me S ^edition des affaires, la substitution tab™ab'Stl a^S de carrière me parait souhai- évideS C°nS't^ra^i°ns de de Sadeleer ont rraindlmen^ UH carac^re sérieux et il faut WistrLUne SOrte de lévocation a legard de ‘eiixd S,5U1 Se sera‘ent monVés trop géné- N’e nS adoca,-‘on d’indemnitcs. 1'ouved°U1!ad'°n Pas créei’ dès a présent de trats ordin am':)res Présidées par des magis- ïencours i ailes’ et laisser achever le mandat es maS‘strats actucls des tribunaux m,Ws de guerre? confiance aux ministres des af- exécutif he peut intervenir dans la mission du pouvoir judiciaire. Les tribunaux de commerce aussi rendent des jugements qui ont force de loi or, lesjugesconsulates ne sont nommés que pour un délai déterminé. Prétendra-t-on que les tribunaux de dom- mages de guerre ne sont pas des tribunaux, paree qu’ils ne sont que temporaires M. Ie Président. L’article lcr ayant été voté, nous passons a l’article 2. A l’article 2 M. E. Nolf. Nous .introduisons 1’appel incident dans la loi. Cet appel est aujourd’hui régie par l’article 63 de la loi sur les cours et tribunaux de dommages de guerre. Je suppose qu’il serait plus logique de rattacher le der nier alinéa de l’amendement de M. Ligy a cet article 63, dont il s’agit précisément de rem- placer le dernier alinéa. M. Ligy. Je n’ai fait que suivre 1’ordre qui a été indiqué par la commission elle- même. Elie a inséré a l’article 2 la modifica tion que j’ai reproduce dans mon amende ment. M. Van de Vyvere, ministre des affaires économiques. Au fond, les honorables membres sont d’accord. M. Nolfne propose pas de modification. Le renvoi a l’article qj3 du Code de procé dure civile ne vise que le droit pour l’intimé d’interjeter appel en tout état de cause. Pour le surplus, j’accepte l’amendement. L’amendement de M. Ligy est adopté. Art. 2bis. (nouveau). Le délai de quarante jours prévu au deuxième alinéa de l’article 6g de la loi sur les cours et tribunaux des dom mages de guerre commencera a courir a partir de la notification de la décision, objet du recours. Le délai de huit jours prévu au troisième alinéa du même article est porté a 3o jours. Le délai de deux ans prévu a l’article 74 des lois coordonnées du 10 mai 1919, du 20 avril 1920 et du 6 septembre 1921 commencera a courir a partir de la date fixée pour l’exécu- tion du remploi dans la décision definitive sur la demande en réparation. M. E. Nolf. -- Le dernier paragraphe dit que le délai de deux ans commencera a courir a partir de la date fixée pour l’exécution du remploi. Mais quand il s’agit d’indemnités qui ne sont pas sujettes a remploi, il faut que le délai commence a courir a partir du prononcé du jugement. II serait plus simple de maintenir ici l’ancien texte, sauf a prolonger le délai si l’adminis- tration le juge insufflsant. L’article est adopté. Les autres articles sont adoptés sans obser vation. L’ensemble du projet est adopté par 66 voix contre 26 et 2 abstentions. M. le comtc de Brouchoven de Bergeyck. Je me suis abstenu pour les motifs que j’ai indiqués dans la discussion générale. M. le baron de Sadeleer. Je me suis ab stenu pour les motifs que j’ai fait valoir au cours de la discussion. J’approuve la plupart des dispositions du projet, mais je suis hostile a l’article ier, qui a été formulé en violation de la Constitution. S’il y a des mesures a prendre pour arri- ver a assurer une liquidation rapide des dom mages de guerre, c’est dans le sens des ob servations faites par M. Carton, relatives a la création de nouvelles chambres, qu’elles doi- ven se produire. (Extrait du Compte-rendu analytique) faires économiques et de la justice. Ils ne sig- neront jamais une invocation déguisée. M. Van de Vyverc, ministre des affaires économiques. Quand j’ai dit que les magis- ti ats occasionnels avaient dü savoir qu’ils n’étaient nommés que pour un temps, je n’ai pas \oulu critiquer la manière dont ils s’ac- quittent de leur mission. Ilya des présidents qui sont des présidents remarquables. La cour de Bruxelles, notamment, a été dirigee pai M. Lucien Jamar et je me plais a rendre un hommage public aux travaux de cet homme de bien. D’une manière générale ces tent fort bien de leur mission. Mais quand la besogne fait défaut, il faut que nous puissions leur substituer des magis- trats ordinaires. Quant aux observations présentées par M. de Sadeleer en ce qui concerne le caractère administratif attribué aux juridictions de dommages de guerre, je me bornerai a rappe- ler un arrèt de la cour de cassation du 8 mai 1922, qui constate qu’elles remplissent des fonctions administratives. M. Pirard. Au nom de mes amis, je déclare que nous voterons contre le projet. Nous justifions notre attitude par les consi- dérations que voici Il reste un nombre considerable d’affaires de guerre a solutionner. Et les affaires en retard sont celles qui intéressent les ouvriers. (Protestations). N. Pirard. Je ne prétends pas que les présidents des tribunaux de dommages de guerre aient donné la préférence a telle ou telle catégorie de sinistrés. Mais je constate ce fait que les gens aisés, ayant le moyen de prendre des avocats qui insistent pour eux, passent d’abord, et les ouvriers ne viennent qu’après. (Très bien! a l’extréme gauche). Voix a T extreme gauche Cockerill passe d’abord, par exemple. M. Pirard. Je n’envisage même pas ce cas particulier, qui est peut-étre motivé par telle ou telle circonstance je me place a un point de vue général. Vous auriez tort de confier ces différends a des magistrats de carrière. Ils y sont restés étrangers jusqu’a présent. Les magistrats des dommages de guerre ont acquis une réelle expérience. De plus, les tribunaux de première instance sont déja surchargés. Si vous leur confiez 1’examen des dommages de guerre, dans vingt ans les dernières affaires ne seront pas solu- tionnées Nous voterons pour le statu quo. Il suffirait de demander aux magistrats des tribunaux de dommages de guerre d’augmenter le nombre de leurs audiences. Mle baron de Sadeleer. Deux mots de rectification au discours du ministre. L’arrêt de cassation qu’il invoque a été rendu en matièrepurement disciplinaire. Selon moi l’appréciation qu’il formule est erronée, car l’exposé des motifs est formel il a été contresigné par tous les ministres et il y est dit qu’il s’agit de véritables tribunaux. On a été jusqu’a dire, dans un avis du minis tère public, que les droits des sinistrés ne constituaient nullement un droit, mais une faveur I D’après cet avis aussi, ces magistrats neseraient qu’un collége de vérificateurs Je constate que cet avis est en contradiction absolue avec l’oeuvre legislative. En matière contentieuse jamais le pouvoir 7 1/2 liters NAPHTE erltoopers Garage DUNN Cle (HH. Quinet et Wolley), Meenenpoort, v F» E R aan de eigenaai.s van een CITROËN-AUTO Wat zij er van denken. .guerre. H ne ^Lathèse du ministre va a l’encontre de l’ar- .Afé-loi qu’il a signé. r QSé des motifs constate formellement ele législateur de 1918 a donné un carac- 'du de juridiction contentieuse a la nouvelle qstitution et n'a pas voulu créer des organis- Xs administratifs. II a écarté ceux-ci. L’ex- Lé le dit nettement. je ne puis, dès lors, concevoir qu un mem- j,re de ces institutions judiciaires puisse ètre frappé au cours de l’exercice d’un mandat qui jiétéfixé a trois ans et puisse ètre remplacé. II m’est impossible, dans ces conditions, de ■voter cet article sans aucune garantie. Quant au chiffre d’affaires qui restent en suspens, il est de 110,000 dans le seul ressort Kle Bruxelles. Si vous devez confier aux tribunaux ordi- uaires le travail qui est confié aux juridictions spéciales, le droit des sinistrés ne sera pas reconnu efficacement dans vingt ans. Il y a laune série de questions épineuses a résoudre les tribunaux ordinaires, qui sont déja en- .combrcs a Bruxelles, ne seraient certainement pas cn niesure de les examiner avec la même competence et la même rapidité que les juri- dictions de dommages de guerre. M. le comtedeBrouchoven de Bergeyck. Le ministre m’a convaincu. Lorsque les affaires ne seront plus assez nombreuses devant une chambre, celle-ci les liquidera rapidement et iln’yaura pas nécessité de lui substituer une autre juridiction. Dans le cas de plusieurs chambres on pour- rait en supprimer une ou deux. Je voudrais poser une question. 'L’Etat, lorsque le transfer! aura été opéré, sera-bil représenté auprès des juridictions permanentes par le commissaire principal ou par le procureur du Roi Jecrois que c’est par le commissaire princi pal. •If. Carlon. Il me semble que l’article répond aux observations présentées par M. le comte de Brouchoven de Bergeyck. Il -sagit de remplacer un avocat président du tiibunalde dommages par unjuge appartenant ausiège. Etl’articlene parle pas des commis saires de l’État. Y a-t-il lieu de voter cette disposition Jestime que dans beaucoup de cas il serait ‘‘tile de substituer un magistral de 1’ordre judicaire a un magistral occasionnel, d’autant premiers sont souvent peu oc- ■1 II/- -

HISTORISCHE KRANTEN

Het Ypersche (1925-1929) | 1923 | | pagina 7