Hili
Ciné - Revue
en
der wereld.
Het spaarzaamste Autorijtuig
VERBRUIK OP DE 100 KILOMETERS
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Besparing in verbruik en van
Wis;
Janvier 1925.
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en proeven gratis op
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Alleenver*koopers:jGaca^e
Vraag aan de eigenaars van een CITROÈN-AUTO tzfTy
wat zij er van denken.
tristement
catéchisme de
tons les demagogues et de tous les piomct
teurs de beaux jours. M. Van de Vyveie
y a-t-il réfléchi - vient d’aller plus lom.
D’après lui, il ne faut s’arrêter ni aux engage
ments les plus solennels, ni auxassuianc.es
légales les plus récentes les dispositions de
son projet de loi sont la pour en témoignei
C’est du bolchevisme en action.
Les membres du parlement sont avisés de
la'portée du projet de loi. Le jour oü le vote
aura lieu a la Chambre, les honnétes gens,
ceux qui veulent que l’État exécute ses enga
gements comme le premier venu, auront
l’occasion de se compter.
Voi<;i un extrait de la pyramidale circuit
signée Charles N° 67 O. D. G.
Voortaan zullen de Hoofdcommissaris;
zonder de rechten van den Staat tebulln
gaan,'de bepaalde toekenningen aan de geteis
de der sommen toegekend om reden vandewu
belegging kunnen onderschikkeu op heiver
deze wederbe'egging af te staan in al degen
waarin de benadeeligde geene ernstige ofwel
reden zou kunnen aanhalen, en dat gedtin
een en termijn dat de vijf jaar niet mag te In
gaan.
Quandon prend du galon, on nesauraitt
en prendre. Pourquoi le dictateur Charles
veine delégiférer, ne prononce-t-ilpas,cou
sanction a son ukase, la peine des travaux
cés a perpéluitc contre ceux qui estimerai
ne pas devoir 1c prendre auscrieux
Br’ossons maintenant quelqucs portraits
ces horribles criminels qu’on nommespéci
teurs sur indemnités de guerre. AucimBai
landt n’avait Fame plus noire qu’eux. V
verrez
Rien de tel, pour fixer les idéés, que de pré
senter les images des choses.
Pour sortir, au sujet de la question des
cessions des indemnités, de la discussion
abstraite, nous nous proposons de présenter
le texte de certains documents dont il a été
souvent question et quelquescas d’espèce, de
facon a faire sentir du doigt, par les moins
initiés, l’iniquité dont on nous menace. Nous
pouvons garantir quetous les textes et toutes
les particularités renseignées sont rigoureu-
sement exacts.
lui-même, dans la mesure indiquée par la loi.
Dès lors, la question apparait dans toute
sa clarté. Oui ou non, l’État a-t-il donné au
cessionnaire la garantie qu’il avait les memes
droits que le cédant Oui ou non l’État peut-il
reprocher au cessionnaire des manoeuvres
quelconques exercées dans le but d’alourdir
la dette que l’État s’était volontairement
imposée a lui-méme Il est certain que la
dette de 1'Etat ne se trouve en rien alourdie
par le fait du cessionnaire et il est évident
que l’État s’est engage, a traiter avec le ces
sionnaire, comme s’il était le véritable créan-
cier.
Au fond, il n’y a pas discussion a ce sujet.
Le gouvernemènt est pleinement d’accord
avec nous. Mais, il tient a pen prés le raison-
nement suivant oui, le législateur a autorisé
la cession des droits a la réparation oui, le
cessionnaire a pu légiti moment obtenir des
jugements et l’exécution de jugements oui,
le cessionnaire a pu se croire et même devait
se croire le légitime propriétaire de la maison
qu’il a construite a l’aide des indemnités ver-
sées par l’État, mais, ines opinions ayant
changé a eet égard, je me reserve de lui
reprendre, par l’effet d’une loi nouvelle, tout
ce que j’ai pu lui accorder et même d’organi
ser sa ruine, tel étant mon bon plaisir. Toutes
les assurances légales que j’ai pu accorder
précédemment aux cessionnaires n’étaient en
réalité que des joujoux de tromperie.
Et, en effet, voyez les conséquences de la
loi nouvelle projetée. Prenons 1’exemple d’un
cessionnaire qui a repris une propriété a l’état
de ruine et le droit a Ia réparation né au profit
du sinistré, le tout pour une somme d’environ
20.000 fr. II a obtenu un jugement et l’exécu-
tion du jugement. A l’aide des indemnités
reques il a rebati un iinmeuble ayant coüté
100.000 fr. Eh bien, en janvier 1920, le minis-
tre des affaires économiques, pourrait lui
écrire a peu prés dans le sens que voici
G. P., dossier... 1197/B achète en 1921,
vente publique, oü il y avait 37 licitants, d
maisons, légèrementendommagées, l’unep
17.000 fr.. oü le dommage s’elevait a847
l’autre a i3.5oo fr., oü le dommage s’éle
a 255,90 fr.. U
Le Commissaire admet le remploi su
première que l’acquéreur habite et le re
sur la seconde, pour raison de spéculatiói
La speculation était bien évidente, nes
pas Vous comprenez bien que si I homn
acheté cette maison pour i3.5oo fr., cel»
pu étre que pour spéculer sur les 255,9°
d’indemnité (lisez bien deux cent cinqu-
cinq francs nonante centimes).
Vous croyez peut-étre a une plaisantö
Oyez plutot: Le Tribunal évidemment ne-
rèta pas un moment a ces folatres conc»!
et allpua le remploi sur le tout, estirwant
était d’intérèt gér.éral qu’une maison®
non occupée par son acquéreur, soit reg
de ses virres brisées. Mais le gardien
veilla.it. Appel conservatoire fut 'nt^
Après les sommations d’usage (voirC1
l’appareil de chantage), eet app<d>deC
vatoire, lütmuéen définitif.
La Patrie l’avait échappé belle!
s*
L. P., a acheté a son beau-péie
tant avec lui, l’indemnité
bicoque mits desom van dweew I
kwijting ervan verplichten cich
verhooper zijn leven lang te
Est-ce assezinique? Et peut-on taxer d e
gération ceux qui disent que l’Etat, s i ai
qu’il se propose de faire, aura attire les ces
sionnaires dans un véritable guet-apens Aucun
terme ne me parait assez dur poui qua 1 1
une pareille attitude. II existe, jusqu icb un
seul pays oü l’on a méconnu la loi, les roi
légitimes des citoyens, les sentences ju iciai
res il s’appelle le pays des Soviets.
Un jour, feu M. Woeste a pu dire en pleine
Chambre-les promesses électoiales ne s
pas des engagements paroles
célèbres qui sont devenues le
tous les démagogues et c_ -
Monsieur,
En vertu de la loi sur les dommages de
rguerre du l’État a le droit de Se con-
sidérer comme quitte envers vous par le seul
fait du remboursement du prix de la cession
y compris les intéréts et loyaux-coüts du con-
trat le tout s’élevant a la somme de 20.000 fr.
Je vous notific par la présente que j’entends
user de ce droit. Je ii’ai pas besoin de vous
rappeler que le total des indemnités que vous
avez touchées s’élève a 100.000 Ir. Cela étant,
je me vois obligé de vous co-nsidérer comme
débiteur de la somme de 80.000 fr. Veuillez
me faire savoir dans les huit jours, comment
vous comptez vous acquitter de cette dette,
de telle faqon qu’éventuellement des disposi
tions puissent étre prises.
Agréez etc...
Üne dette de 80.000 fr. Et quelle est la
valeur réalisable de l’immeuble Mettons de
3o a 40.000 francs.
Notez que celui qui vient d’acheter et qui
vient a peine d’obtenir un premier jugement,
ne se trouve pas logé a une meilleure enseigne.
Car le jour oü il touchera les indemnités, il
ne les recevra qu’a charge de remploi. II sera
done obligé de bdtir et, quand tout sera recon-
struit et bien reconstruit car les inspecteurs
du remploi vont s’en assurer le gouverne
ment pourra toujours lui adresser un billet
dans le genre de celui que nous venons de
signaler.
1/2 liters NAPHTE
z 250 grammen OLIE
^,es MeenenpooF*’
Cataloog en Droeven tfvatts 00 aan'”^.
Texte de la fprm^le questionnaire que l’on
envoye aux cessionnaires avec prière de
réponse
Nu 27S1 etc...
Ten einde mij toe te later, een gevolg te geven
aan eene miuisterieele vraag, neem, ik de vrijheid
u te verzoeken mij per keerendepost de volgende
inlichtingen te laten geworden betrekkelijk het
huis dat gij aangekocht hebt aan...
i° Zijn de rechten op herstel gekocht geweest
met het doel voor u zelf of voor uwe familie eene
woning le verschaffen
20 Hebt gij geene andere rechten op herstel
aangekocht Desgevallende hoeveel en aan wie
3" Bezit gij geene andere onroerende goederen
dan dit waarvan^spraak hierboven
40 Gelief mij de prijs der overname kenbaar te
maken. (get.) de Hoofdcommissaris.
Ce qui est sapide, c’est que l’exemplaire
dont copie, a été adressé a une Société agréée
d’Habitations a bon Marché. Voyez vous le
directeur-gérant répondre a ces questions
Voici deux types de poulets que reqoivent
les cessionnaires qui, ayant par hasard réussi a
tiaverser le champ de mines qui abrite le
Tribunal, ont obtenu leur jugement définitif
N°255ietc...
Het schijnt de Heer Minister dat het verleen en
der normale vergoeding te veel zou zijn
Tc di«, M „dj te ,,ulcn ,ala mta
<m <en gij berad cijl mil „dj cm actoord tc slid-
fefe-rit g,j va„ ce,lc mn „0„dl
afzien gelijk aan éénmaal de weerde C
herstel van het onroerend goed. vU
Indieit gij met mij niet ééns zijt om dit
te sluiten, zou ik mij verplicht zien tegn
zaak beroep aan te teekenen.
(get.) de Hoofdcommissaris,
N°3386 etc...
Bij deze heb ik de eer u te laten weten
Heer Minister van het in geslagen beroep
afzien indien gij erin zoudt toestemmen^
verzaken aan éénmaal de weerde Van
der huizen.
(get.) De Hoofdcommissaris
On le voit c’est le chantage pur et simp
On ne se donne pas la peine, et pour eau
d’invoquer le naoindre argument ou lemoim
bout de texte.
lil
WBI