I I fill I zijn overlijden behoorlijk te plus catégoriquement que jamais spécula- Lsa grande presse Espoir, toujours I B. 0. asa sceur qui est établie depuis des temps immémoriaux sur une ferme a E., (une trentaine de mesures). En 1921, la propriétaire met le bien en vente. La sceur se voit done a la veille d’ètre expulsée. B. O., cultivateur ili-même, qui a quelques economies, achète la ferme pour sa sceur qui reste l’occuper. Il obtient son jugement définitif, je ne sais trop comment. Appel. II a acheté ces trentc mesures pour péculer sur les indemnités. magistrat et la dignité d’un gouvernement de civilisés. Mais notre voix petit.... Nos remerciments a l’indépendance Bei ge qui a jugé intéressant de communiquer a ses lecteurs, dans son numéro du 3o juin un article de M. Du Verger paru dans notre édition du 23 juin. L’indépendance de la magistrature -- Mea culpa c en 1914 par une se fait entendre petit a !j|.t lil! h Un Congrès de sinistrés s’est tenu dernièrement a Paris Pour finir cette galerie un petit tableau vaudeville, a la Chariot. On se rappellera que sur toutes les portes de prétoire des Tribunaux D.G., est placardé un petit avis encourageant les sinistrés pen désireux de construire eux mêmes, a céder leurs indemnités aux Sociétés agréées d’Habi- tations a bon marché. Une de ces sociétés avait pris, par malheur, eet avis au sérieux et avait acquis des indemnités. Dernièrement un jugement définitif est rendu en sa faveur. Avec stupeur, la Société recoit également la formule inquisitoriale ci- dessus, et immédiatement un appel conserva toire suit. Rendons toutefois a Cesar ce qui revient a César l’appel fut rqjiré dans la suite. Mais comme la Cour d’appel ne reconnait pas au Commissaire le pouvoir de se désister d’un appel, 1’affaire ira se plaider a Gand. Nous peuvors ccntir.uerla série tantque 1’on voudra. A. V. lui-méme Le congrès des sinistrés francais, organisé par le Comité d’Action des Régions Dévas- tées, s’est tenu le 27 juin a Paris, sous la présidence de M. Charpentier, sénateur des Ardennes. Après avoir entendu MM. Léon Escoffier, Herriot, députés Jouhaux, secrétaire géné- ral de la C. G. T., etun certain nombre de délégués, l’assemblée a adopté un ordre du jour dont voici les conclusions Le Congrès décide 1° de s’opposer de la facon la plus énergique a toute modifica tion de la loi d’avril 191g Charte des sinis trés Il donne mandat au Comité d’Action des société anonyme comprenant deux parties qui possédaient la presque totalité des parts et cinq hommes de paille destinés a parfaire le nombre légal de 7 associés. Après la guerre, les deux premiers reprennent les parts des autres, demandent le remploi sur deux maisons d’habitation et sur la brasserie. Refus du remploi parceque acquisition spéculative. Espérant amadouer le Commissaire, les inté ressés proposent le remploi en maisons ouvrières, solution préconisée par tout le monde. Un certificat de la Commune est joint signalant le manque d’habitations. On répond La Justice dans un pays moderne est le Pouvoir qui par excellence doit ètre cultivé, perfectionné, favorisé et respecté. Ceux qui v s’atta,quent a la grande Déesse Thémis pour- raient bien subir un jour Ie sort des Titans qu’elle aida a précipiter de l’Olympe. Cette appreciation est d retenir de la part d’un journal qui se réjouissait taut de I’apparition du projet de loi, qui allait inéme jusqu’d le considé- rer comme le résultat de ses campagnes mais qui, aujourd’huis’apercoit mieïix vaut tard que jamais que ce projet de loi, s’il était déjiniti- vement adopté, anrait pour effet de porter une atteinte grave d la Justice. Encore un petit effort de bonne volonté ei le Journal-des Tribunaux s’aperccvra de toutes lts autres injustices, non moins criant es, auxquel- les pareille loi devrait jatalement abouiir et, ce jour ld, Le Journal des Tribunaux» qui reilt cru sera définitivement notre allié dans la hitte que nous menons, non pour sauvegarder des intéréts illégitimes, mais dans l’intérét de la, Justice et du Droit. Notre campagne commence a porter ses fruits. Tour a tour, Le Soir L’Indépendance Beige La Nation Beige malgré la crise ministérielle, ont bien voulu se faire l’écho de i’émotion produite, dans les milieux des sinis trés, par le fameux projet de loi relatif aux dommages de guerre. Les Buyl, les Poncelet, les de Liedekerke, les Baels, les Colaert, tous les députés des régions dévastées, tous les juristes qui veulent le respect du Droit et l’indépendance de la Magistrature, tous se doivent a,eux-mêmes, d’intervenir dans le débat. Nous ne demandons qu’une chose, c’est que la discussion ait lieu, c’est que le projet de loi apparaisse en pleine lumière avec tous les pièges qui s’y cachent et toutes les consequen ces qu’i! doit fatalement entrainer. Le jour oü il v aura loyale et tranche dis cussion c’en sera fait du fameux projet de loi. Jamais il ne se trouvera une majorité pour consacrer pareille iniquité, pared attentat contre des droits acquis et contre l’indépendance de la magistrature, pareille violation de principes essentiels, sans lesquels il n’y a pas de civilisation. 6raSSerie a tion et relus de remploi. Et vous verrez demain le Gouvernement batira, a grands frais, une cité ouvrière au mème endroit Nous constatons avecplaisir que nos grands commencent eux aussi a s’émouvoir a la suite de la campagne que nou-s menons contre le projet de loi sinistre, auquel M. Ie Minïstre des affaires Economi- ques ne craint pas d’attacher son nom. Evidemment, si la Region devastée avait dévoré la moitié du Brabant et du Hainaut au lieu de n’atteindre que l’extrémité la plus éloignée de la Flandre Occidentale, la grande presse Bruxëlloise eüt depuis longtemps jeté feu et ilamme, et dénoncé la stupéfiante at teinte projetée contre l’indépendance du [T. cultivatrice a St. J. a trois grands fils, lune trentaine d’années. Elie achète, en 1921, inefeime voisine qui est immédiatement et estera occupée par 1’un de ses fils. fjugement. Appel pour cause de speculation. I I Indivision entre 37 cohéritiers de tout genre [de toute nationalité. Seule solution possi- ■e-la licitation. Si la vente est licite, 1’achat »>ble devoir l’être également. Dans certai- ll^spheies on parad m; pas savoir que pour une vente soit possible, il faut qu’il y ail J acheteur. La vente a lieu le I Juin 1921. T achète un immeuble a D. avec 1’intcn- Le[-e.Ven’r s’y ^xer- P'>x 16.000fr.. Sur ces eaites. sa femme change d’avis et ne veut fitter C. on ils habitent. (Souvent fem- »e vane...) revend öoo briq Par lui Le Journal des Tribunaux commence d voir cl air. Sous le titre Une offensive contre le pouvoir judiciaire il vient de publier un article dont nous détachoiis les passages suivants On vient de s’attaquer, non sans raison, (sic) aux abus des dommages de guerre. Une loi récente a apporté quelque soulage- ment aux craintes' des bons citoyens et des honnêtes gens. Elie a armé le gouvernement contre des abus trop reels, hélas Pourquoi faut-il qu’il paraisse s’en servir contre l’indépendance de la magistrature Une rumeur court dans les milieux judi- ciaires qui semble malheureusement fondée. Le pouveir exécutif uscrait du pouvoir de mettre fin a des mandats en cours pour opérer des revocations déguisées et suppri- merait, non pas des tribunaux inutiles, mais des magistrats trop indépendants dont la jurisprudence ne serait pas la sienne. MM. de Sadeleer et Magnette avaient, au Sénat, prévu le clanger. D’un abus nous tombons dans un autre. Mais ce qui est facheux, c’est que, en ces matières, il n’y a que le premier p.as qui coüte. On a essayé d’excuser les faits en disant que les tribunaux de domma- ges de guerre n’étaient que des juridictions administratives. Peu importe, ce sónt des juridictions. surhumains, son dossier Mai» le Commissaire remploi parceque le pre- spéculé. II a en effet gagné ion. L ~iai> qui CSt I^e'ne rl’enseignements. ^r0its’ Passent^ admettre ^ue conitèVes quotidiens P r^s habile U cedan* au cessionnaire, Ues cédan|l 61 dosser au cessionnaire les -'rede rj>e a^a’re» sera la victime de at Ce ne sera pas le spécu- Pu'sque celui-ci a realise son a soit la dernière cession- Pas spéculatrice, soit 1,’en- '^ihoeften, kleed eren, iirwoon en alle andere 'e,Tdie’den des levens, zoo ziek als gezond ^°de en 1,a overliddcn bcho°rlijk te obtient, le 12 Avril 1923 son t définitif lui allouant au total, rem- Ïconipris, la somme de 5. 478,5o fr. P c’était evidemment excessif. Aussi, dès que Ministre s’estapergu de cejugementinique, 1 fait savoir ace spéculateur sur la mort de beau-père dat het hem schijnt enz.. voir ^us haut)», et qu’il a l’occasion d’échapper a rappel s’il renonce a la valeur 1914. A B avant la guerre il y avait un cabaret de campagne avec des annexes servant d’éta- bjesetc.. Vers 1910, le propriétaire fit de ces annexes deux petites habitations, plus que modestesiweeweuntje En 1921 C. R. achète l’indemnité relative a cette propriété mise en vente publique en un suil lot. II reconstruit au moyen d’avances, et ilhabite hii-même l’immeuble reconstruit. II est actuellement en instance pour son jugement définitif. Le Commissaire lui alloue leremploi pour le cabaret, mais le refuse pour les annexes. Speculation. C. R lis 4 'Cvend au prix de 20.000 F., y com- Ln'°'GOl> p>1'clues de remploi déja approvi- altUrT5Par 1U' pour sa reconstrution, dont LCs Son prix net est done de l8.5oo La 'dlled’êq',1^0 actlu®leur’ R-qui est a la lend j^IeexPuIsce de son baraqueinent, sur- bat'C°n^anCe d’Un cn^rePreneur d se :°nstructi i’ aWnt duffeinent. II y a déja des Ffiniede'15 P°Ur ^°’°00 dont pas un fcj^XtS!._ Mu n’nstruction- 5iei 1 au >'ejet du acQuéreur a c«te’s °pera,i' I (]roits 'es habi]e rres pRc ^:r” "Of Wnfiant. e*ploité -h dtat’ a ^iren, '^e s

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Het Ypersche (1925-1929) | 1923 | | pagina 3