SALVATOR la meilleure fabrication et la plus perfectionnée pour Ke manière de voir du feurs ont atl Bladel pies commentai l nécXa?aV etdit Versch en vervrozen Vleesch Timmerlieden - Schrijnwerkers gevraagd bij Cyr. Roussel-Dewailly, mekanieke schrijnwerkerij, West-Nieuivkerke. CYCLES -A.. JDeleu -Vanuxem BEENHOUWER Vendtis par les AGENTS.avec carte de garantie donnant droit a plus de 2000 fr. de primes. sommes déboursées. Le Commission dit l»en au sujet de 1’art 5 Loon volgens bekwaamheid. Course - Tourisme - Travail Tempelstraat, Yper heeft, gezien den voortdurenden opslag van het inlandsch vee, besloten nu ook, in een afzonderlijk lokaal van zijnen winkel, TEMPELSTRAAT, VERVRDZEN VLEESCH te verkoopen. Versch vleesch zal, gelijk vroeger, aan zoo ge nadig mogelijken prijs verkocht worden. Telephoon 109. Men draagt ten huize. ,5aire pad- mais ces pe cette Pal (j'aucune c°n Veuillez agree r ‘Ie meS N. d. I. R. II est bon qite nos lecteurs sachent que le projet de loi est l’ceuvrede M. Ver- haeghe, Directeur au M inistère des A ff air es Éco nomiques et Administrateur du Fonds du Roi Albert et que, en cette dernière qualité, il est in téressé d gmpécher que les droits au remploi soient cédés d d’autres. II est bon aussi qu’ils sachent que le F. R. A ne doit pas faire seS remplois dans la localité si- nistrée méme, et qu’il recevra done de l'État des indemnités complémentaires pour remploi au moyen desquelles il recónstruira non pas dans la Région dévastée mais ailleurs en Belgique, d Bruxelles, d Mons, d Liège, etc. ou ailleurs C’est du propre Nous osons compter sur votre perspicacité et votre dévouement, Monsieur le Député, ainsi que sur vos honorés Collègues afin que votre ferme intervention empêche qu’on mé- connaisse votre volonté, qu’on interprète ad libitum les lois que vous votez et qu’on les applique suivant les directives de l’un ou de l’autre fonctionnaire. Nous vous supplions de ne pas voter et de rejeter cette malheureuse loi qui vous est envoyée par le Sénat. La réponse du Ministère qui nous parvient par votre .intermédiaire prouve une fois de plus qu’a Bruxelles on n’a pas la moindre notion de la valeur des maisons reconstruites dans nos régions. Ce qui crie vengeance, c’est qu’on a laissé passer quatre ans pour en venir a ce système. Pendant quatre ans on a laissé, a tous, la con viction qu’on pouvait acheter et qu’on avait droit aux indemnités de remploi, ce qui a été confirmé par les innombrables jugements pro- noncés dans ce sens sur la proposition des Commissaires d’État. C’est une vraie honte qu’on veuille ruiner de pauvres gens qui n’ont jamais agi ni contre la loi ni contre aucun reglement, qui ont agi de bonne foi, et ce paree qu’ils ont eu con- fiance dans la Justice de leur Pays 1 Il serait inadmissible de dire que c’est la de Injustice et qu’on doit s’incliner.Il n’est aucun hornnue impartial qui admettra que l’intérêt économique du pays exige des injustices aussi criantes. Avec nos sincèresremerciements, nous vous présentons, Monsieur le Député, l’assurance de notre considération distinguée. Pour la Fédération des Sinistrés de l’Arrondissement de Furnes-Dixmude Le Secrétaire, Le Président, (s.) Rommelaere. (s.) A. Rabau. "Partie jes Q v t ère est en°'ntS ^5 Vue ^aconduite du Minis- arrèt com °]PPOS't'On avec la loi et amènera !§ions. P et dans reconstruction de nos Préseat le I ,Cette loi erePrendreSemble d°nner a l’État le droit tenant d'd°Ur S°n COmPte le bien cédé 11 Payant ,°mrnaSeraent du cessionnaire ,e,lt k cessie? be dédommager complète- ?e ^stitnornaiIe et de permettre a l’État ^Préjudic? Ce U1‘ci sans lui occasionner 06 Que celui d’un bénéfice éven- Ministère vient de proposer i qui est déja votée par le 'Dal de renoncer en tout ou en re Pr]’indemnité donnant lieu au conflit, tie a démarches n’ont d’autre but que de au sinistré de toucher sans retard rniettl^tie des indemnités qui n’est l’objet itestation et d’éviter l’appel. Monsieur le Député, l’ex- sentiments distingués. p. le Ministre le chef de cabinet. 4 v Baels, député de l’Arr. A1 Ostende-Furnes-Dximude tuel ainsi la loi assure au cessionnaire, outre la restitution du prix d achat, tous les frais et debours eflectués directement pour l’acquisi- tion ainsi que les intéréts a partir du jour du paiement. Ce qui veut dire que si l’État voit une spé- culation dans la vente d’une propriété, il peut la reprendre pour son compte moyennant dé- dommagement du cessionnaire, vu que l’État ne peut envisager que le bénéfice réalisé par le cessionnaire. Le texte même de la loi rend l’idée du compte-rendu d’une tout autre faqon, il signi- fie que l’État peut se libérer de toute obliga tion envers les cessionnaires d’un bien, acquis pour son usage personnel ou autre, en lui payant le prix d’achat, tous frais et intéréts compris L’État n’interviendrait done pas dans le coüt de la reconstruction (exécuté ou non), c. a. d. qu’il refuserait d’accorder une indemnité complémentaire de 4 fois la valeur 1914 qui serait ou aurait été nécessaire pour la reconstitution du bien. Ceux-la seuls qui auront recontruit leurs propres immeubles et quelques autres exceptionnellement auront droit a une indemnité complémentaire de remploi. Et dire que ce sera le sort de tous les biens qui ont déja été vendus, car d’après cette même nouvelle loi, l’État aurait le droit de se décharger de l’obligation de verser 1’indem- nité complémentaire pendant les deux années qui suivent l’fchéance de la dernière tranche, ou si la liquidation a déja eu lieu pendant les deux années qui suivent la date du dernier paiement C’est incroyable quelles suites désastreuses aura le vote de cette loi. C’est une des plus terribles catastrophes qui pouvaient nous arriver. Et dire que l’honorable M. de Liedekerke écrit dans un compte-rendu de la Chambre II ne faut pas qu’il y ait deux sortes de sinistrés Des centaines, des milliers de personnes se verront ruinées. Et l’on prétend qu’on ne prend ces mesures que pour sauve- garder les droits des sinistrés et pour empê- cher la spéculation. Il y a quatre ans que nous nous trouvons au milieu des régions dévastées et sommes mieux a même de juger de l’état des choses dans nos régions que dans les bureaux du Ministère. Notez bien qu’a Dixmude entre autr®s la grande moitié des habitants d’avant la guerre out disparu, soit par décès, soit par refus de retour. Qui devra reconstruire a leur place II est absolument nécessaire que d’autres viennent les rempla- cer, il faut qu’il soit permis aux anciens habi tants, qui n’étaient que locataires et tiennent a revenir ici, d’acheter une maison s’ils en ont les moyens et de la reconstruire. II est bien permis au honds du Roi Alberf d’acquérir des droits aux dom mages de guerre et de reconstruire, même en dehors des régions dévastées, avec des indemnités de réparation augmentées de quatre fois la valeur 1914 et de laisser ainsi des vides dans nos rues qui seront difficilement bouchés. C’est inadmissible Quel était le but visé quand le Parlement a voté la loi sur les dommages de guerre? Était- ce d’indemniser les sinistrés Certainement non Car alors il aurait suffi de payer au sinistré ou a ses héritiers la valeur de 1914. La loi visait done autre chose il fallait envi sager l’intérêt économique du pays. Minis tère des Affaires Économiques le nom dit bien assez ce qu’on voulait. C etait done la reconstruction de nos villes et villages qu’on voulait. Alors, que ce soit le sinistré, ses héri tiers ou le cessionnaire qui accomplit cette oeuvre, le but n’est-il pas atteint Et cela coütera-t-il plus cher a l’État pour l’un que pour l’autre Certainement non Pourquoi persécuter ceux qui souvent y mettent -tout ce qu’ils possèdent pour venir nous aider, et que nous sommes heureux de voir remplacer ceux de nos concitoyens qui ne reviendront jamais Cette lettre fut transmise par M. le député paels a M- Rabau, Président de la Fédéra len des Sinistrés de Dixmude, qui y donna 3a réponse sui van te Monsieur le Député, Nous venons de prendre connaissance de ja lettre qui vous a été envoyée par le Minis tère des affaires économiques en réponse a notre requête. Nous vous remercions cordialement de -rotre bienveillante intervention et nous nous perniettons de faire les observations suivantes ala réponse de M. le Ministre. Il nous est impossible d’admettre que les bureaux du Ministère changent continuelle- hient l’application de la loi suivant leur avis Lydonnent un sens opposé a l’idée du légis- Jateur. Art 1. de la loi de 1919 sur les dommages leguerre, dit «i°Le peuple beige, s’appuyant sur les iprincipes du droit et sur les stipulations des 'traités, notamment des tra’tés de Londres duigavril l83get des quatrième et cinquième conventions de La Have du 18 avril 1907, laffirmede nouveau son droit, reconnu dans les déclarations solennelles et réitérées des puissances alliées, d’obtenir la reconstitution integrale de la Belgique et la réparation de la totalité des dommages que la nation et lescitoyens beiges ont subis par la guerre. “Art 55. Peuvent être cédés et mis en gage ”i°Le droit a réparation organisé paria présente loi 11 Les allocations provisionnelles et les indemnités définitives allouées en exécution fe dispositions ci-dessus. Et néanmoins le Ministère continue a ’liger ses commissaires de s’opposer a l’appli- dion d un coefficient de remploi au cession- a,re, si celui-ci est déja propriétaire d’une aiS0n’ et de n’appliquer que le coefficient de au lieu 5 si le cessionnaire acquis un bien tUr s°n usage personnel. Et ceci même lors- “e e cessionnaire est bénéficiaire d’une allo- .'°n P’ovisionnelle au coefficient de 5 ccor- ^Par le jugeet déja liquidée. °ur justjfjer eettemanière de voirle Minis- isan? aSe sur Part x7 de la loi du io-5-ig fnani^Ue^eS COUrs et tr>bunaux peuvent, a mité des membres, refuser en tout ou ^vantages du remploi. - -1 Ministère ne uullement avec le sens que les légis- voulu donner a eet art. 17 voir n 497-541-542-543-544-54.5 et —ires sur la loi.) Points de opposition avec la loi - dans la

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Het Ypersche (1925-1929) | 1923 | | pagina 7