TE VELDE na 1 f! s I I La suppression du tribunal d’Ypres in de X., Warnêton. Chambre des Représentan Warnêton ’t Ypersche 43 21-7-23 Ge autos. A propos de Ia visite de nos Députés dans notre régiorf, nous avons requ la lettre typique que voici Dagboek-Roman uit het laatste offensief door Lodewijk Arend. Budget des Travaux Pub Arrondissement d’Ypres Warnêton, le 26 juin IQ23. Monsieur le Rédacteur, Comme suite a la visite de Messieurs les Députés je me permets, en ma qualité de si- nistré, de vous signaler que les autos de 1’0. R. D. venant de Comines n’ont pas pu, a cause de la poussière, apercevoir Warnêton, et qu’ils n’ont pas même visité la ville.Ils sent partis, sans s’arrêter, pour Ypres. En pared cas, ne pourrait-on dem ander au Chef de gare de fermer la barrière afin de j a requ en effet la Naar’t Hospitaal. (vervolg) Onze bewegingen werden vast door den vijand gehoord, want nauwelijks zijn we weg of we krijgen een zestal obussen achter den rug. Waarheen nu Een groot gedeelte van den nacht wordt er gegaan, nu eens links weg, dan eens rechts zonder dat wij kunnen raden waar men ons leidt. Toen wij eindelijk ter bestem ming gekomen zijn, zegt men dat wij ons be vinden te Cleit, op de baan van Adeghemnaar Knesselaere. Er werd veel gevloekt en gemord gedurende die verplichte wandeling, maar zoodra de rustplaats gevonden wordt, is alles weer ver geten. Ik voel pijn in ’t hoofd, in de lenden, in armen en beenen. Meerschalk, die ziet dat ik niet meer kan, spreidt een bondel strooi open in den dorsch vloer der schuur, zoo ver moge lijk van de deur, trekt mijne deken van den ransel en dekt mij goed toe, zoodra ik mij heb neergelegd. Gedurende den nacht word ik meermaals -wakker, mijn hoofd brandt en ik heb gedurig dorst. Korporaal Meerschalk, die de veld- een poos te rust son immeuble a une société social' réponduimmédiatementque l’honor 'hl bre faisait erreur, et si je voulais le D 6 n’aurais qu’a rappeler un article du] qui dit que, malgré tout, le vieux rena été pris dans le piège. En effet trompé mais j’aime mieux ètre tre/ trompeur. {Trés bien!) Et, messieurs, je n’ai pas besot excuser! Je suis peut-être vieux renan suis trés peu. En tous cas, j’ai cru p user de mon droit et .j’ai vendu inonim a une société commerciale, notez-lebif a été remplacée, je ne sais comment p société qui n’a pas tout a fait le d’une société commerciale. M. Debunne. - II n’y a pas de quois’e> Vendre unepropriété a dessocialistes,,c pas un crime M. Vergels. Ce qui est moins bier d’user d’un vilain truc. Vous deviez vot connaitre, il faudrait ètre plus franc qu M. Fieullien. Ce serait honnêteel M. Colaert. Vous le savez, d’a monsieur Debunne, devant le notaire commis, les amateurs ont soutenu qu’il sait d’une société commerciale et n’c déclaré du tout qu’il était question d’ur re société du peuple. MDebunne. Cela revient au mém M. Colaert. J’ai done été trompé. n’ai pas été renard, je suis encore C (Rires et approbation d droite.) flesch nog vol koffie heeft, legt ze bij mij om te drinken naar geliefte. In den morgen trek ik naarden Dokter, zon der veel hoop, want meer dan ooit zijn de teerpillen aan de dagorde. Bij ’t huis waar de Dokter moet komen, staan er wel dertig man te wachten. Na onge veer twintig minuten komt hij af een kort, dik ventje dat dadelijk de armen in de lucht slaat Comment, tant de malad.es nous al iens vite expédier tout qa !(t) ’t Duurt niet lang of een half dozijn worden afgescheept met een weinig zalf of een paar pillen. Et vous sergént (2) Koorts, Dokter. -- Ah kom eens hier. De thermometer wordt afgewreven, eens geschud en dan onder mijne tong gelegd. In- tusschen worden er nog een paar weggestuurd met de melding soigné. (3) Het buisje wordt me weer uit den mond genomen 3g°8, c’est trés sérieux, mon garcon (4) Gij moet naar ’t hospitaal. Ge zult vervoerd worden per auto. Waar moet ik daarvoor gaan, Dokter Ah, ’t is nog een eindje van hier voila, cette route devant vous, puis la première leur donner le temps de voir qu ici, a M atnt ton, il y a aussi des maisons a refaite Le mieux c’est que les trois dernièies voi tures, étant éloignées des précédentes et arri vées au tournant de la route vers pies, un sinistré leur fit signe de traverser la ville. Le chauffeur, croyant qu’on lui indiquait le che- min a suivre, a done tourné a gauche, et les deux autres voitures également. Ils ont pu ainsi visiter la ville, en passant par la toute de Lille. Après quelques minutes de vitesse folie vers Lille, ils s’aperqurent de l’erreur. Mal- heureusement ces autosétaient vides... c était la réserve Agréez, M., etc. Budget des dépenses récupérables la Chatnbre des Représentants Cette question est loin d’être enterrée comme nous le pensions et le danger est toujours la. Comme pour l’affaire des «ces sions notre région est menacée d’une ruine définitive. La Région d’Ypres lettre que voici Monsieur le Rédacteur en Chef, On m’a signalé d Ypres qu’il serait de nouveau question de la suppression de certains Tribunaux de ire Instance, notamment de celui d’Ypres. Je suis autorisé a nouveau, par Mle Minis tre de la Justice, a donner a ce bruit un démenti formel. La question est dans le mérne état qu’il y a un an, et M. le Ministre reste oppose d toute suppression Agréez, Monsieur le Rédacteur, I’expression de mes sentiments dévoués. R. COLAERT. Ypres, le 11 juillet igz3. Done, nous ne sommes pas plus avancés que l’an dernier. Les partisans de la suppres sion de notre tribunal sontpuissants puisqu’ils composent toute la haute magistrature avide de voir augmenter ses traitements et que les bureaux du Ministre leur sont favorables. Ces magistrats restent, le Ministre passe. Tant que la proposition ne sera pas officiel- lement jetée au panier, elle menace notre existence. Or elle ne l’est pas, elle est dans le même état qu’il y a un an et c’est pour cela que nous sommes inquiets, et nous avons motif de l’être. MColaert. Messieurs, je ne suivrai pas l’honorable M. Buyl lorstju’il examine le projet de loi qu’il critique et qui a été voté par le Sénat. Ce projet, devra être soumis a la Chambre, et je m’expliquerai en temps oppor- tun. En ce qui concerne l’interpellation de 1 ho norable M. Debunne, dont la discussion n’est pas épuisée, deux ordres du jour sont présêntés l’ordre du jour de M. Debunne et consorts et puis notre ordre du jour, c’est- a-dire l’ordre du jour pur et simple. D’après le règlement, l’ordre du jour pur et simple doit avoir la priorité. Je dois dire que je ne suis pas d’accord avec l’honorable ministre en ce qui concerne la location des baraquements. Depuis le vote de la dernière loi sur lesloyers, le loyer des baraques a été doublé. C’est une véritable exagération, lorsqu’on pense qu’il s’agit de baraques qui sont en trés mauvais état, qui ne résistent pi au vent, ni a la pluie. Ce n’était vraiment pas le moment d’augmen- ter les loyersde logements qui sont d^ns un si misérable état. J’attire 1’attention de l’honorable ministre sur ce point et j’espère bien qu’il voudra, sinon revenir complètement sur la circulaire relative a eet objet, tout au moins, pour les motifs que je viens d’indiquer, ne.pas exiger que les loyers soient doublés. L’honorable M. Buyl, avec beaucoup d’amabilité d’ailleurs, a bien voulu dire qu’un magistral communal distingue avait vendu M. Colaert. Je crois devoir sign M. le ministre des travaux publics la sit dans laquelle se trouvent la ville et l’an sement d’Ypres au point de vue de lan tion. Je ne demanderai pas d’ouvrage veaux, a ce point de vue, ou a tout at des dépenses qui ne sont pas recouvral parlerai d’abord du canal d’Ypres a 1'1 A ce propos, je dois des remercieu l’honorable rapporteur du budget, M. I qui a bien voulu, en que’ques mots, al les reclamations que nous avons faitesJ longtemps, au sujet de ce canal. Lel droite, puis la première a gauche, etvl manderez la. (l) I Ik ga om pak en zak, zeg vaarwel aal mannen en vrienden, die me roedelijl benijdend nakijken, en vertrek naar de| devant moi, puis la premiere a droite.H première a gauche I Schier bezwijkend onder den bw spoedig aan de «première a droite’kj duurt 2 km. eer ik kom aan de Pre| gauche en deze laatste duurt nog ik een rood kruis te zien krijg- I Reeds zooveel maal heb ik me leggen langs den weg, en meer dan ik gedacht niet meer verder te I ben ik eindelijk tot hier gesukkel niet zoodra heb ik mijn briefje IateC| het antwoord luidt Hier zijn geen Knesselaere g In Gods naam dan. Mijn zakdoe reeds uitwringen zoo nat is hij va' I de riemen van mijn ransel schouders en ik voel mijne knieén iederen stap. Eerst leg ik mij wat warme melk. jjl Op de baan naar Knesselaei1 kende troepen voorbij en terwij 1 J grootste moeite recht houd en J duit meer om mijn leven zou ge^ J mijn hooien klinken chank-al I - (1) Wat, zooveel zieken... we zullen dat rap klaarspelen (2) En gij sergeant (3) Verzorgd (dat wil zeggen, niets belet uw dienst te doen 1 (4) ’t Is zeer ernstig, jongen. (1.) Ziedaar de baan recht voor >b öail| dan de eerste links, en daar moet g'J1 I (2) Geluksvogel.

HISTORISCHE KRANTEN

Het Ypersche (1925-1929) | 1923 | | pagina 6