ll fel l’eb^1 consommation a CONSUMMATION AUX 100 KM. n la voiture la plus écosiomigiie du monde. - Économie dans hi I ultipliées et l’infatigable t 0 Est-il vrai et peut-on dire... Oorlogsschade ii Protest van den gemeenteraad van Dranoutre Zitting van 10 Juli 1923 Dagorde Onderzoek van het nieuw wetsvoorstel in zake oorlogsschade overgroot ;en aan D u n n -LlE^n )dd 1 doen'l van L1 I lTOll«l'» l lcre" 'M ;1‘Wke( Wij lezen in Het Nieuw Roiissd^1 Het Stadsbestuur van Roussela’® alle personen die in Ronsselare oorloj geleden hebben, en die tot heden jAj vereffening bekwamen, onmiddellib(1^ op het stadssecretariaat te bestellen lings te komen aangeven) den naa,™ geteisterde, het nummer van het het bedrag der weerde 1914 te 3’eI1 De zaak is dringend. Ronsselare, i3 Juli 1923. I De Burgen^J J. mahieu- Dat zou men te Yper en in alle a° teisterde gemeenten ook moeten men ten minste over de cijfers terie kunnen oordeelen. Tous nous avons pü constater depths trois ans la rapide reconAiuction de la ville, et chaque semaine IWdmimstration Cuniafuiialc avait a approuver de vingt cinq a trente de- mandes d’autorisation a reconstruire. Depuis qu’il a été question dn projet de loi de M. Van de Vyvere et en uutre vu les difip- cultés au sujet de l’obtention des certifloats de remploi, ou bien les personnes n’osent s’aventurer a reconstruire avant qu’elles aient o tenu leur jugement définitif, ou les posses- setirs de titres mè^e hésitent a en tam er les t.avaux de crainte des difficultés qu’ils peu- vent avoir si jamais laloi sernit modifiëe. II en résulle que rares deviennent les de mandes d’approbations «le plan, et que ce nombre est pour ces dernicres semaincs retombé a trois ou cinq. Voila un fait qui démentie le tort cause a la reconstruction de la Region dévastée par la politique actuclle du Ministère ties Affaires Economiques. I 250 Agents Concessionnaires G a r* a g e Dunn C5*e, De Gemeenteraad Gezien het wetsontwi rp g, stemd door den Senaatin dato i3 Juni laatstleden de belangen bedreigt van aldezen die oorlogsschade aange worven hebben op het betrouwen der in voege zijnde wetten d en rechte verschrikt over het c- verlies,welke de ontworpen verandering, de et op oorlogsschade in de gemeente alsook in geheel het arrondissement, aan een overgroot getal personen zouden veroorzaken; In-het zekere vooruitzicht van alle herbouwing nos justes critiques. Tous les sinistrés ne peuvent que lui en savoir gré. II convient de noter que M. Colaert, lui aussi, a tenu a mar- quer, a l’issue du débat, son opinion au sujet des dispositions visantles cessionnaires. Quant a M. Van de Vyvere s’il a eu la mal- heureuse idéé de présenter le projet de loi dont s’agit, du moins a-t-il eu le mérite de tenir com'pte des critiques formulées. C’est un art de savoir écoutor ses ndversaires et de tirer pruilt de leurs observations le ianalique qui ne voit que le but a atteindre, et l'ambi- tieux qui n’écoute que ses propres conseils, sont incapables de le pratiquer. M. an de Vyvere vient de nous donnet la preuve qu’il n’est pas de ces ministers qui s’obstinent dans leurs erreurs. Mais, si, d’une maivère générale, nous avons obtenu satisfaction prövisoirement tout au moins en ce qui concerne les' ces sionnaires, il s’en faut de beaucóup que nous puissions en dire autant en ce qui concerne l’indépendance de la magistrature. Les textes adoptés auront pour efïet'de restreindre l’in- dispensa'ble indépendance de la magistrature de nos tribunaux des dommages de guerre. Ceilco, i. cette occasion, le ministre a tenu a faire, des declarations rassurantes mais, scion la formule connue, les ministres passent et les lois restent. 11 est a peine besoin de dire que ces textes cadrent d’ailleurs avec la p ditique depuis longtemps suivie par le Gouvernement du commissaire d’État qui d> it avoir en vue l’intérêt du sinistré autant que l’mlcrét de l’État, qu’a-t-on fait? Quel est le smistic qui persiste a voir en lui uu défeuseur de ses intéréts Qui done ignore que toujours le pommmsan e de l’État prend lc parti du débi teur dunt il rt£oit les instructions Je ne critique pas je constate. Pour com prendre cette situation, il faut savoir qtn’on a donné aux commissaires de l’État un mandat de plus en plus liuntc renpuvelable au gré de 1’Etat- débiteur. En appliquant les mémes lègles vis a vis des magistrate dos tribunaux des dommagés de guerre n’arriv era-t-on pas aux mêmes résultats Pour i’honneur de la magis- trature, j’aime a croire que nos magistrats, le jour oit ils seront placés devant le ddemme se sounieitrc ou se démettre, n’hésiteront pas a prendre leur parti. A devenir de trop parfaits fonctionnaires, on cesse d'etre des magistrats. Nos craintes ne sont pas dissipées mais nous souhaitons de tout coeur qu’il soit pröüvé un jour qu’elles sont sans fondement. La jurisprudence des tribunaux des dommages de guerre nous renseignera a eet égard. A propos de ce projet de loi, ce qu’il fallait redouter c’est que, dans la bousculade d’une fin de session, la Chambre, it 1’exemple du Sénat, adoptat notamment les mesures relati ves aux cessionnaires sans sérieux examen, sur la foi d’une légende habilement répandue au sujet des cessionnaires. Par une longue et perfide campagne, des fonctionnaires sont parvenus a empoisonner l’opinion publique et a jeter sur les cessionnaires un discrédit imméritc. Le tort des sinistrés, c’est de ne pas avoir voulu prèter l’attention désirable aux avertissements qu’ici même j’ai donnés il y a de longs mois. Pour vaincre eet état- d’esprit, pour placer le problème sous son veritable jour et eq montrer les consequences, il n’a pas fallu moins que le répit providen- te zien ophouden, wat den 1 keer der bevolking zou hind uitwijking van deze die reeds tei zou veroorzaken Overwegende dat het de overnei die, op wettelijke wijze, zich betrug de loyale uitvoering der wet, en aan in den beginne dézes bestaan, <Je rec^ degenen die ze afstaan, overgenomenhe| de voor een groot deel de heropricht de verwoeste gewesten hebben mogdi maakt Gezien de plechtige beloften van het s bestuur het recht van ooilogsschaden krenken, noch in den persoon van den» terde, noch in den persoon van den 01 nier Overwegende dat de medewerkt overnemers noodzakelijk is, ja zelfs o geteisterden te vervangen, diedoorve grooten ouderdom, ziekelijkheid of afst onbekwaam zijn de vernielde huizen te bouwen Overwegende dat de bestaande wett oorlogsschadevergoeding het bestuur zaam en overvloedig wapenen tegen alle bruik of.bedrog; Overwegende, dat de maatregelen ambtshalve genomen, neds voor gevolg ben gehad het vertrouwen van het publii de thans in voege zijnde wetten te vcrzwal Overwegende, wat meer is, dat het; wetsontwerp ernstig het ontzag raakt v; rechterlijke macht en het vertrouwend; Belgische volk steeds heeft mogen steil de onafhankelijkheid van zijne rechters de verplichtende k a. ht der rogcliniti; stemde wetten Overwegende dat h t K. A. F. vcoti het recht zou beho iden enkel en allee overnemingen aan te werven om deze te verplaatsen in het binnenland en desgei onze gemeente doemen zou totdeontvoll strijd waartegen wij im ner te strijden ben en gehad hebben Besluit Om voorgaande redenen Pn aan te tcekenen tegen de ongelooflijked« middelen voorzien door 't bovengeno wetsvoorstel en den Heeren Volksvertt woordigers krachtda lig te bidden gansd wetsvoorstel af te keuren en te verwerpt de bestaande Wetgeving in zake oorlogst te bekrachtigen. Gelasten het College van Burge®8 en schepenen een exemplaar van den 6 woordigen wensch te doen geworden a® Heer Voorzitter der Kamer van VoH's(l genwoordigers te Brussel. tiel laissé par la crise ministérielle, des pro testations multipliées et l’infatigable dé\ou ment de quelques uns qui permit de dormer a notre campagne toute l’ampleui et toutc a publicité nécessaires. Avant dctie gagnce devant le parlement, la cause des ce.-'Sionnai res a dü ètre gagnée devant 1 opinion pubh que. Sans cette crise rninistei i< 11e, Ie vote du Conscil Provincial et de multiples protesta tions n’auraient pu se produire et, en tout cas. seraient restées sans écho, cuinmc notie campagne de p-csse eüt été impossible. C’était, a notre point de vue, l’i chec inévi- table et certain. Par cont’e, si, dès le debut les sinistrés avaient prété attention au mou vement dirigé contre les cessionnaires, rien n’eüt été plus facile que de l’arréter en lai- sant immédiatement la lumière. Puisse la leqon ne pas ètre perdue 1 II est plus facile de prévenir que de guérir. Les circonstanc.es heureüses pourraient bien, a une nouvelle occasion, ne pas se retrouver el les dévoüménts indispensable? pour agir sur l’opinion publique pourraient bien ne plus s’offrir. Il faut done coüte que coüte prévenir le? nouveaux coups qu’on pourrait diriger contre les sinistrés. Cela n’est pas difficile. II ne Faut pour cela que de la vigilance, de l’union et de la solidarité M. Du erger. 1/2 litres d’ESSENCE grammes d’HUILE s posMe de wiesen» ide 9 ’liif i$!' i I q 1 J Demandez aux propriétaires d’une automobile Citroen, ce qu’ils en pensent. D Catalogue et démonstrations gratuits

HISTORISCHE KRANTEN

Het Ypersche (1925-1929) | 1923 | | pagina 2