s I hii BRIQUETERIES de fill Vente de briques anr Entrepreneurs par fours eómplels on par~mille. stir wage" Direction Commerciale, 4, rue du Gouvernement, demandez prix et CONDITIONS de vente OllJÜ BeSangrigk Bruxelles, Rue A SLYPE c S’adresser soit au Siège Social a Bruxelles soit aux Chantiers directement, soit a la 6 it! Société Anonyme CHANTIERS Capital Fr. 2.5CO.OOO WARN ETON K I K IT ges de guerre prévoit déja qu>atl C;i.^ d th; "“"pS, C,SSM St M HP het Siège Social TOUQUET juridictions, nous avons constate ffue moment n’était pas éloigné oü 1 on P°ur les transformer. Nous avons piévu a qu’a mesure que les affaires dev ten r moins nombreuses, nous pourrions reinplacet les juges actuels, non pas pai qui nous voudrions, non pas par voie de revocation e de remplacement arbitraire,mais par un magis tral de 1’ordre judiciaire, limitant amsi e choix dtiRoi pour ceremplacemen. et ext t am toute idéé d’arbitraire. Ne sera ce pas plutot une garantie plus grande pour les smistres .d’etre jugés par des magistrats de carrière que par des magistrats occasionnels Et. après tout, les orateurs qui ont été d’accord pour rendre hommage a la magistra- ture n’eussent-ils pas été heureux de pouvoii, dès le début, déférer ces affaires au jugement de vrais magistrats Pourquoi ne 1 a-t-on pas fait Paree qu’ii n’y en avait pas as^ez et que les atf.iire; était nt trop nombreuses. Actuellement, le nombre d’affaires diminue elles sont, pour la plupart, instruites, et il y a des tribunaux qui, d’ici peu de mois, n’auront p’us a juger qu’un nombre de litigesinsuffisant pour occuper leurs audiences. Nous deman dons que, dans ces circ">nstances, au moment ou la raison d’étre de ces tribunaux speciaux disparait, nous ne soyons plus obligés de maintenir en fonctions jusqu’au bout des trois années les magistrats occasionnels, et que nous puissions les remplacer dans ces fonc tions par de vrais magistrats. C’est le premier stade que nous envisageons. Le sccind stade prévoit - e’e-t la stipu lation in tine de l’article 1’autorisation de déférer in globo les attributions de ces tribu- mux evceotionnels aux tribunaux ordinaires, e’est-a-dire de rentier dans la régie commune. Nous avons pour but, tout tu preparaat la demobilisation de ces magistrats, si je puis m’exprimer ainsi, de donner plus de garantie aux sinistrés et d’exclure tout arbitraire pos sible en limitant lechoix de leurs remplaq.ants a des magistrats de carrière déja en fonctions. Je crois que, devant cette constataiion,. tout les scrupules doivent s’évanouir. Quant a 1’autre preoccupation, qui, sans doute, s’af- firme moins, mais que vient d’exprimercepen- dant avec franchise le deuxième oratcur,. celle du sort des juges et assesseurs des tribu naux de guerre, elie est sans doute légitime- dans une certaine mesure, et ne nous a pas échappé. II faiit cepvndant en convenir ceux qui ont été chargés de cette mission spéciale ont su qu’elle ne pouvait être que iransitoire et que le.tr devoir était de tacher de l’abréger autant qu’ils le pouvaient par leur diligence et non de la prolonger. De plus, s’il est vrai que pendant qu’ils étaient en fonction ils-ont pu établir leur budget en comptant sur cette ressource spéciale, il n’a pas été exigé d’eux qu’ils résignent préalablement leurs fonetiioas ou leur profession. Ils sont restes avocats., s’ils étaient avocats. Ils n’ont dü renoncer a aucune source de revenu antérieuir. Aucwi autre sacrifice ne leur a été demand© que le sacrifice du temps pendant lequel ills siègent.. Ils n’ont done pas a se plaindre si, leur mis-' sion accomplie, la remuneration cesse- ils se trouvent dans la meme situation que les avo cats'chargés d’une affaire oud’une série d’af faires. Lorsque celles ci sont liquidées, ils iae songent nullement a demander qu’on les garde en fonctions. L’article 4 des lois cóordonnées du 25 avril 1920 sur les cours et tribunaux des domma- pression d’un tribunal ou fonctions des magistrats qui bunal ou la chambre supprimés plein droit a partir de la dateffe vigueur de l’arrét royal. Par/app|jc mème principe,’il en sera de mêine Commission propose de le dire le Roi fera usa^edcs droits nouvèa„ conlere Particle icr du projet voté^ Sénat, et qui devient Particle 3 du la Commission. En ce qui concerne le désistementd pel, votre Commission s’est rallies vote par le Sénat, mais en exigeantJ commissaire de 1’Etat pres la Cour d’’"' lorsqu’il procédé a cedésistement, ysoj^ ciaietnent aUtorisc par le Ministredés^ Économiques. L’extension du droit de transaction i également approuvée 1 ar votre Conu^ qui a cru toutt fois devoir modifier, redaction, Particle qui y est relatif. nullement certain, en effet, que jusqC jour ce droit existat pour les répara! en nature, de quelque espece qu’ellesfe aussi bien puur celles qui peuventêtre ai dees en vertu dePaccord Bemelmansqn1- les qui ne s’y rattachent pas. En ce qui concerne la rédaction nouve donner a Particle 73 des lois coordonnée les cours et tribunaux des domma»e guerre, cet article concerne notam les c’roits de la femme mariée, votrel mission est d’avis que la femme mariée pouvoir dcsormais recevoir le montantd indemnités personnelles sans 1’a.ssistanc son mari. La liquidation de ces indemi souvent trés modestes, et qui penvent dues pour des dommages aux personnel parfois compliqu e par 1’absentedunii suffit, pensons nous, pour respecter lesp pes du Code civil, de réserve? au mi droit d’opposition. Quant aux articles 6 et 7 du pr®jetvoi Ie Sénat, et qui apportent d’impartantes vations dans la matière des cessions, dispositions ont soulevé de tongues di sions et il a paru a votre Commission vaudrait mieux, afm d’assurer le votednp au cours de la présente session, disjoi parement et simplement ces deux article; C’est a Punanimité de ses membres votre Commission a Phonneur de vousp’ ser, dans ces conditions, letexte qu’il est annexé au present rapport. Le Rapporteur, Le PrésiM IL Carton de Wiart. A. Mechel»| Beried Ten einde de nieuwe gemeenteta rijwielen ernstig toe te passen 'vor, dienst van Lasso-werpers ingerient, dezen te stroppen niet voorzien BlikVelotaks De voorkeur wordt?; aan de jongelingen met juist oog arm. Zij worden dringend verzot stonds te laten inschrijven om deee te vo’gen in den Amerikaansd1®11^ Claudo-y-Mira, die met de 1 u'1K^sSö.i komt met eenen groep betaamde pers uit het verre Wesf-End. Met tweeden Tuindag, om openbaren proef van boven den Elk zegge Royale - mois du prononcé du jugement. Ils autorisent aussi l’appel incident que Partiele 63 ne per- met que s’il y a appel par le commissaire dans le cas d’homologation. L’article 4 étend largement le droit de régler par voie de trans action, conformément a Partiele 42 de la loi du 25 avril 1920, modifié par Partiele 2 de la loi du 23 octobre T921, les demandes de repa rations. L’article 5 élargit, en matière de reparations, les droit.-, de la femme mariée. D’autre part, il étend l’excmption des frais de timbre et d’enregistrement aux actes a pro- duire devant Padministration des finances, en vue de la liquidation des indemnités allouées. Quant a Partiele 6, il a pour but de mettie fin aux abus auxquels donne souvent lieu le droit de cession qui est reconnuaux sinistrés. Enfin, Particle 7 du projet app mte quelques modifi cations au régime fiscal en matière de cession des droits a reparation des dommages de guerre. Le Sénat a adopté ce projet, dans sa séance du 12 juin 1920, par 65. voix contré 26 et 2 abstentions. Au cours du debat, différen- tes critiques out été lormulées, notamment par M. le baron de Sade'eer qui a rappelé qu’aux termes de Parrété-loi du 23 uctobre 1918 qui a prévu leur iustitut o les jurinic- tions appelées a statuer sur les defnandes de dommages de guerre, doivent jouir des prero gatives ordinaires. L’honorable sénateur ajou- tait qu’en permettant au Gouvernement de révoquer it son gré el au cours de leur mandat les me.nbres de ces juridictions, le projet allait a Pencontre de la loi organique. Le Sénat a eu égard, d’ailleurs, en une certaine mesure, a des considérations de ce genie en amendant le projet gouvernement d dont Pap- plication est écarlée lorsqu’il s’agit d’affaires en délibéré. Faut-i! aller plus loin et admettre, Icrsqu’il s’agit de juridictions temporaires, comine le sont les tribunaux de dommages de guerre, le principe de Pinamovibilité du juge spécial, pendant la Purée de son mandat Votre Com mission ne Pa pas pensé.- fout eu rendant a ces juridictions spéciales. les hommages aux- quelles elles ont droit, tout en reconnaissant qu’elles out acquis une experience récieuse pour le reglement des litiges qui leur sont déférés, elle a cru q t’aucjn principe constitu tionnel ne s'opposait a la réforme proposée par le Gouvernement et que les garanties d’indépendance et d’impartialité qn'il importe d’assurer aux sinistrés ne sèront nullement réduites par la substitution des magistrats de Pordre judiciaire aux. membres des juridic tions des dommages de guerre, non plus que par le transfer! des attributions de ces tribu naux spéciaux aux cours et aux tri unaux de droit commun. Est-ce a dire que cette substitution et ce transfert pourro.it se faire arbitrairement rsans aucuneconsidération pour les intéréts ■dés personnes q ii out accepté, a titre d’ail leurs provisoire, la tache lourde et grosse de responsabilités qui consiste a statuer sur les nombreuses demandes de dommages de guerre introduces dans toutes les regions du pays La portée exacte de la réforme a été déterminée, au Sénat, par M. le Ministre des Affaires Économiques, dans la séance du 12 juin.. 1923 Voici a quel point de vue le Gouverne ment s’est placé le Ministre de Injustice et moi-même, qui avons chacuu. a des titres divers, la charge et la surveillance de ces i'. I I I I<) Uf**1'! n Jlv1, 1<kedEr1K I

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Het Ypersche (1925-1929) | 1923 | | pagina 4