h.|i KT Hi LI II J Het spaarzaamste Autorijliiig der wereld. Besparing in het verbruik en van VERBRUIK OP DE 100 KILOMETERS ■I Stad Yper Kataloog en proeven gratis op Prijsdeeling der Stadsmei. te YPER, op 28 Augustu phaf"11 de VER^' raa en vaande electrist -t VO, r 1 7 1/2 liters NAPHTE 250 grammen OLIE DUNN C»e, M e e n e n p o parelken vanee waar talent doi een algemeen. Dimanche 2 Septembre la 1M.WECKESSER, rue RESTE SEULE 0Ü1- cisiesschOc us 1923 ’il i A I i e n v e r k o o p e r s Garage Vraag aan de eigenaars van een CITROËN-AUTO wat zij er van denken. se dresser cette charmante et studieuse jeu- nesse, qui animera de ses mains et de son esprit cette magnifique cité nouvelle. Et, dans toute sa beauté, se déroulait la cérémonie et, quand les tons entrainants de Vers I’Avenir allaient expirer dans la salie des fêtes, c’était le vénérable Bourgmestre d’Ypres, M. Colaert, qui au milieu de ses Échevins et Conseillers communaux, se leva et prit la parole. J’ai entendu eet habile orateur il y a plus de quarante ans, et malgré sa voix affaiblie, je l’entends toujours volontiers. je vois en lui, en ce digne magistrat, l’exemple pour la jeu- nesse qui veut monter par le savoir dans les hauts rangs de la Société. M. Colaert a suivi cette route, peut-être parfois pénible, mais menant a la victorie. II est done bien a sa place pour parler a l’enfance studieuse. Après ses félicitations aux parents des élèves et anx enfants couronnés, sans oublier ses remerciments dus au personnel enseignant vraiment distingué, le magistrat prit pour thèse, sans embages, tranchée, la nécessité de l’obéissance, qui est le grand devoir des enfants, et le sine qua non de la discipline dans la vie. Qui ne le sait, le monde de haut en bas et de bas en haut, est dans une inquiétante ébu- lition, et tous les efforts des hommes de bien doivent tendre a rétablir eet équilibre salu- taire qui amène la paix et la justice dans les rangs de la société. L’oeuvre scolaire doit recommencer et con tinuer par la, et les bonnes volontés, les vraies forces vitales des Maitres doivent se produire ici, tandis que les hauts tenants du pouvoir doivent bien apprécier ces puissants facteurs de l’avenir et les encourager sous les formes les plus concrètes. Ce sont les réflexions précises que m’a sug- gérées la convainquante parole du vénérable Magistrat dans son appel urgent a l’obéissance, et qui doit faire règner l’ordre et la tranquil- lité partout. Et pour résumer mes impressionssur la belle distribution des prix aux élèves de l’école communale d’Ypres, je dirai que j’ai assisté a une belle séance d’art, d’éducation et de sociologie (IBIS). Une belle distribution de prix -- Celui qui aime l’enfance assiste toujours avec plaisir a la touchante cérémonie qu’on appelle la Distribution des Prix. On y voit récompenser et encourager l’enfance dans ses efforts pour se préparer a la lutte pour l’existence. Ceux qui ont le sentiment de ce qui se passe dans le cceur des parents et de leurs enfants en ces moments psychologiques de l’incarnation du bien et de l’éclosion sponta- née des rayons de lumière, voient et sentent dans le délicieux bonheur familial que la société de l’avenir va devenir meilleure et plus heureuse. Oh le rêve de la mère, qui voit ainsi devant les Magistrats et le public honorer son enfant Et la fierté du père dont fame est émue en voyant le beau, le grand chemin qui s’ouvre devant les pas de son hls cou- ronné Personne n’a des mots pour exprimer les sentations de ces instants sublimes Et les enfants done, comme ils sont heureux et fiers de voir que leurs efforts, leur zèle, leur conduite exemplaire sont rqconnus, ap- préciés et récompensés, et comme ils se sen tent grandis en se voyant les petits héros du jour Dans ma carrière, j’ai rencontré des adver saries de ces touchantes démonstrations sco- laires. Toujours j’ai combattu leurs vues étroites en fait d’éducation et d’instruction. Ceux, qui voudraient ou veulent supprimer les fêtes joyeuses de l’enfance, ne comprennent pas la haute valeur morale d’une distribution de prix. Ils veulent couper les fleurs le long des sentiers qui mènent a la grande route de la vie. Ce sont des égoïstes, qui manquent de sentiment et qui restent terre a terre. Oui, une distribution est belle et d’une por- tée morale sans pareille. Mais la distribution qu’on pouvait voir lundi dernier, en la salie Lapiere avait encore bien d’autres attraits. Le distingué Directeur de l’Ecole commu nale d’Ypres est un artiste, qui jette les rayons et la beauté de son art dans l’ame et le cceur de ses élèves. La partie musicale de la belle cérémonie a laquelle j’ai eu la faveur d’assister, était vraiment surprenante. II est naturel d’y en tendre la Brabanfqnne et Vers I’Avenir, même trés artistiquement interprêtés mais que de simples élèves d’une école primaire exécutent une Cantate, écrite pour la grande fête patrio- tique d’un monument pour les héros de la guerre, qu’ils chantent du Wagner dansles motifs du Tannhauser, bien que arrangé par leur Maitre, c’est ce que seuls peuvent com- prendre ceux qui approfondïssent l’influence créatrice du pouvoir du Maitre inspiré et tout-puissant sur ses élèves. C’est ce pouvoir magique que possède le trés, le trop modeste Directeur de l’école communale d’Ypres. Lorsque je l’ai vu devant les phalanges de ses élèves, un frémissement d’admiration a secoué mon ame et jamais je no saurais dire combien eet ami paraissait grand a mes yeux. Et comme suite a cette influence troublante sur ses élèves, quelle belle discipline, quel bel ordre dans tous les mouvements de ces enfants des ruines Mais au milieu des ruines qui se remplacent par des palais, on voit avec bonheur et espoir Na de prijsdeelingeti het Publiek De menschen zeggen somtijds het publie is droef. Eh wel neen het publiek is niet droe; maar het ziet alles, het bemerkt alles. Mi hoorde geheel den dag fluisteren Waarom die prijsdeeling de Maandag® gen, Vader is naar zijn werk en Moeder noodig ’t huis voor het huishouden enh noenmaal te bezorgen en onze jongens zit daar alleen. En ’t was waar er was heel» nig volk. Waarom zegt een ander is M. Colaert de Schepen niet in tenue dat verheit? feest nogtans die prachtige kostumen. En er zijn er dan nog die durven zeggeH het jammer is dat nog niet de helft der! meenteraad die plechtigheden der prijsd^ gen bijwoont, zij vragen ook waarom tegenwoordigheid der Heeren vanStaii^-B aanmoediging, eene belooning voor H^B ressen en Meesters, voorOuders enk10 j En er is nog een waarom maar J ik niet luid op doen w eergalmen HdP’yB was verwonderd dat M. de Burg^^B niet een woordje toezegde voor ne wijzend personneel B En nu eene andere vraag Wanneer- I B. beste heeren de school van B Apotheken Pharmav B Zondagrust - Repos do®1’ I Zondag 2 September is de M.WECKESSER.I’A®11 I ALLEEN OPEN- I De feestzaal Lapiere in de Ho i prachtig uitgedost, met bloemen versierd en met een overvloed van licht doorstraald, was oprecht geschikt de plechtigheid. Onder ’t voorzitterschap van den he gemeester Colaert, omringd van de he Schepenen, Gemeenteraadsleden j Cretans en vrienden van het onderwijs ont de zich een uitgelezen programma Het fransch koor Renouveau gekozen, wierd met smaak en gevoel doori jeugdige scholieren uitgevoerd. Het nieuw zusje een voudigheid, opgezegd met een klein meisje, bekwam bijval. Une petite fête Japonaise waarondi lieve danseressen, op zijn japoneesch, geb ren, méanders en gezangen uitvoerden, wie, met algemeen handgeklap begroet. Zoet Mieken eenvoudige zang voort kleintjes, met lieve stemmetjes, uitgevoerd, Mijne Moeder aangrijpend dichtj talentvol door een jong kind vertolkt. Koor der Vogelen wierd meesterlij gezongen door al de leerlingen der schoo De slotzang vooral was indrukwekkend. Daarbij eene uitdeeling van premiènaani leerlingen, hoogst belangr ijk. Kortom, prachtig feest dat Bestuurster Onderwijzeressen en leerlingen ter eerestrdi Prijsdeeling Stadsknechtenschool Maandagmorgen om iou.hadin«Lapiere’s huis de plechtige prijsdeeling plaats voor de leerlingen der Stadsknechtenschool. Voor iemand die Yper bewoont sedert 1920 is het een droom, nooit had men gedacht dat de her leving, het herstel van alles, zoo een vooruit gang zou gedaan hebben, ook heeft deze plech tigheid op weinig na, zijne weerde en luister van vroeger verworven. Bestuurder en onder wijzers wedijveren om ter meest om hunne leerlingen de stof aan te leeren door het pro gramma voorgeschreven. Het grootgetal pun ten in iedere klas door het meerendeel der leerlingen bekomen,is een treffend bewijs dat de pogingen der onderwijzers bekroond en beloond zijn. Het koor Onze Helden ge- toondicht door den HeerTieberghien, bestuur der en gedicht door den heer Vandendriesche, leeraar, behaalde veel bijval. Die prijsdeeling was voor leeraars en leer lingen een dag van voldoening en erkente lijkheid. ;ij ft otaUSSi

HISTORISCHE KRANTEN

Het Ypersche (1925-1929) | 1923 | | pagina 6