LA Illi I BRIQUETERIES de lY1 f coim11 Direction Commerciale, 4, rue du Gouvernement, DEMANDEZ PRIX ET CONDITIONS DE VENTE II Yb j Oorlogsschade -Damages öe guerre Venle de briques aux Enlrepreneisrs par fours compieis (11 r «o par mille, sur wago” Inspection du remploi Z en i73o 3020 A SLYPE I Scheidsrechterlijke Commissies van het Rechterlijk arrondissement Yper Commissions Arbitrates de t’arrondi55ement judiciaire d’Ypres Les mandats des Commission's Arbitrates de Becelaere, Passchendaele, Staden, Hoogh- lede, Oostvleteren, Kemmel-, lamertinghe, Poperinghe, n’ont pas été renouvelés. Société Anonyme Capital Fr. 2.500.000 CHANTIERS A WARNÊTON 1280 618 620 553 - 488 3241 non accord Ii5i i58o i3or 10.399 4102 2238 2174 2405 i55o - u5o Q25 5735 1865 1535 - 2785 M l I De mandaten dér Scheidsraden van Bece laere, Passchendaele, Staden, Oostvleteren, Poperinghe, Vlamertinghe, Kemmel, Hoogh- lede zijn niet meer vernieuwd. Ui Par arrêté ministeriel du 27 Juillet 1923 les Commissions Arbitrates d pres, Messi nes, Warneton, Comines, ^Veryicq, Lange- niarck sont maintenues en fonctions pour un nouveau tenue d'un an, prenant cours 1e ir Aoüt 1923. Bij ministerieel besluit van 27 Juli 1923 worden de Scheidsrechterlijke Commissies te Yper, Meessen, Waasten, Komen, Wervick, Langemarck voor een nieuw termijn van één jaar, met ingang van 1 Augustus 1923, inwer king gehouden. We Vercouter-Coffijn en deelhebbers 4-65 Catrv-Bonneel Henri Speybrouck-Delvael Pierre Dhantschotter-Breyne Hector M al brancke- B ruggem an Cy ri 11e Meurisse-Verbeke Pierre en kinders We Franchomme-Hervent en Dessauvage-Bouckaert Cyrille kinders Mahieu-Leroy Ernest Clicque-Carton We en kinders 1620 1340 1020 575 540 deelh. 25 20 - en r a valeur Siège Social LE TOUQUET S’adresser soit au Siège Social a Bruxelles soit aux Chantiers directement, soit a la ambulant, par exemple des rie, qui servent successive? remploi chez des brasseurs cess1 Ploegsteert Maerten Emile Deribreux-Dessein Plateau Henri Platteeuw Isidore V' Houdt Cappaert Henri Werquin- Heugen Rouze Hortense Carton-Fleurice Becue-Behague Warneton i56o 15.290 deel- 2000 2565 iq85 n65 Instruction généiale relative au remploi des indemnités pour dommages de guerre (Suite) XIV. Lorsque le service de remploi con state des malfaqons ou l’usage de maléiiaux défectueux, il ne lui appartient pas de s’ériger en défenseur des intéréts du sinistré qui doit surveiller lui-même la reconstruction de son immeuble. Cependant, encas de fraude impor tante et manifeste, ou en cas de collusion pré- sumée entre l’entrepreneur et 1e sinistré, l’at- testation de remploi ne sera délivrée que pour le montant de la valeur des matériaux et de la main-d’oeuvre réellement utilisés, ainsi que d’un bénéfice normal. On se conforme, 1e cas échéant, aux prescriptions du n° IV ci-dessus en faisant remarquer aux intéressés que les dépenses alléguées ne constituent pas 1e rem ploi tel qu’il doit être concu d’aprèsune saine interpretation du jugement ou de la transac tion. XV. Un sinistré a le droit de remplacer son mobilier par du mobilier d’occasion, sous la 1 éserve que c’est la valeur réelle de celui-ci qui sera admise comme valeur de remploi. Pour 1e surplus, si le sinistré considère 1e remploi comme accompli, il peut demander l’application de l’article 5oó/.v des lois coor- données sur les dommages de guerre. Le sinistré ne peut acquérir plus de mobi lier qu’il n’en possédait précédemment, mais il a la faculté d’acheter d’autres objetsprésen- tant le même intérêt économique. Ses acqui sitions doivent toutefois rester en rapport avec sa situation sociale. II en est de même des dépenses pour objets de luxe, lesquels, en tont état de cause, ne peuvent être admis au remploi que pour leur valeur en 1914. II est a noter toutefois qu’un objet peut per- dre son caractère de luxe dans certains cas notamment lorsqu’il constitue l’instrument d’une profession tels sont, par exemple, le piano d’un professeur de musique, 1e piano d’étude, le fusil d’un garde-chasse, etc. II convient, a eet égard, de s’inspirer des con clusions des commissaires de l’Etat et des jugements intervenus et de soumettre a l’Ins- pecteur principal du ressort les applications importantes. XVI. Les sinistrés peuvent recourir pour leurs achats de mobilier, de machines, etc., a la Commission des Reparations, n° 12, rue de Spa, en y remettant des commandes isolées ou collectives ou des contrats conclus librement en Allemagne. Les payements peuvent se faire au moyen des titres de dom mages de guerre, avec ou saus remploi. XVII. Pour la réparation des dégats industriels, entrent seults en ligne de compte les installations définitives, destinées a remet- tre l’industrie en activité, et non du materiel Inde laatste zitting der Scheidsrechterlijke Commis sies werd de schade, waarde 1914, als volj t vastgesteld voor de hiernavermelde geteisterden Dans la dernière séance des Commissions Arbitral!s la valeur des dommages 1914 a été fixée comn e suit pour les personnes ci-dessotis Gheluwe Hermans-Coucke Alphonse Corneillie-Dewulf Gustave Vanrobaeys-Hollevoet We en hebbers Spinnewijn-Verack Henri D’alwein-Vervaeke Victor Taillieu-Clarisse Henri Claeys Henri ’"’•J mJ Spruytte René Lufau-Thiesson Knockaert-Rohart Terly Auguste Cneudt-Laperse Wervick Vandenbroucke-Desreumaux Camille Maertens-Hoorelbeke Arsiel Dubois-Vandevoorde Emiel Gheysen Léontine en Estelle W' Vercaemer-Verbeke Charles kinders Bruynooghe Emma, We Demuysere Julien echt. Verfaillie Cyrille Baelen Marie We. DumontCyrille echt. Dumont Victor en deelhebbers 1185 Dumont Victor Enoch i3o fession. XVIII. - Quand un mobilier a un marchand de r 1 autre sinistré, après la vérificati ploi, il y a lieu, a priori, de fraude, car il n’est pas admissible mobilier passe tour a tour sinistrés jusqu’au moment de Inspecteurs du remploi. XIX. - Un sinistré n’est pas t constituer servilement un imineuble/” Il a le droit d’en modifier la disposition^ rieure et la forme architecturale, pOura/ qu’il reste dans les limites de la valeur/ parcontre, il ne peut être question d’admat? comme remploi, par exemple, des modi tions aux parties existantes ou la rcstauratij des chassis qui étaient vélustes avant] guerre et qui n’ont pas subi un don®, direct nouveau au cours de celle-ciLesi demnilés ne peuvent servir qu’a la réparatii des dommages de guerre proprernent dits. XX. L’intérêt économique de la nati exige qu’on ne réduise pas le nombre d’ha tations. On ne peut done, sans aiitorisaf du Tribunal, réunir deux ou plusieursdc mages en un seul pour agrandir un immeu sinistré. Les indemnités pour dommages guerre ne peuvent devenir une cause d'ei chissement, abstraction faite de la plus-va normale des immeubles. Il est de jurisprudence constante qut sommc consacrce au remploi ne doitpasi nécessairement la même.que cello queo porterait le rétablissement d’un iinmei sinistré dans son état primitif. On ne peut reconstituer un ensemble qui, achevé, an la même valeur vénale et de rapport qui construction detruite, bien entendu en basantsur les valeursen 1914, vétustédédi Tel est le cas des grands immeubles qu’a peut, dans un but de lucre, convertirem sons multiples, dont le revenu relatit dép: de beaucoup celui d’immeubles primitifs. réserves ci dessus doivent, cela va de soi concilier avec les termes et les modalités jugement intervenu qui, vraisemblablei» aura tenu compte de cet accroissenw»1 valeur ou de rapport, pour réduire le cient de remploi. j XXL - Lorsqu’une autorité officielle joint au propriétaire d’agrandir des ma» insuffisantes comme hauteur, superficies le propriétaire peut réduire exceptio®1 ment le nombre de constructions, a la tion d’y être autorisé par le Tr'l}Un^ dommages de guerre, par jugement nidi XXII. - En ce qui concerne la re* tion du cheptel allemand, on Peuta m somme fixée par le Département de 1 ture. Si le sinistré déclare avoir d’autres restitutions en nature, on^ mention sur le certificat de remp 01 j détail du nombre de têtes reques e^ valeur. Si les têtes reques en ^1 pondent approximativement a ce es^ servi de base a la supputation de pour dommages de guerre, il y admettre au remploi pour une valente. XXIII. - Les indemnités accoijr.(e( les dégats mobilierè ne peuvent ser^t|'ijl stituer les immeubles que nmy13'1 vention du Tribunal ou Bruxelles, Rue Ro?3’6’ J (Nieu^ 1 J 11 4900 ,equele«it clf R la V|siteie

HISTORISCHE KRANTEN

Het Ypersche (1925-1929) | 1923 | | pagina 4