VELDE I i MM |fa I ffl Mill i La cession des remplois 50 ’t Ypersche 8-9-23 alleen iets wil- '^agboek-Roman uit het laatste offensief door Lodewijk Arend. <oCüi; *3 •y^ylLT Gij bests koffiedrinken A Begeeft U naar den oud gekenden V V Koffiewinkel van G. Vande Lanoitte-De Bandt, in de Dixmudestraat, YPER. Hoe weet gij dat Door tooverkunst. Is René daar ook ge weest Zwijg van René, wat heeft hij daarmee te maken Wacht, daar komt hij. Inderdaad, René komt recht op ons af met een paar oogen die niet voorspellen dat hij in beste stemming is. Peet, waarom zegdet gij niet dat gij naar Sysseele gingt - Ik heb u geen rekenschap te geven van mijn gaan en komen Ik zeg dat niet, ik had u len vragen. Zoo Ja, of gij een pak chocolade wildet meê- pakken voor e... Voor Amandine Doe uwe commisfeies zelf, beste vriend, ten andere ’t was niet noo- dig ik had er een meê. Afgunstige vent I Bah, Reneetje, maak u zoo dik niet, gij schuimbekt van afgunst omdat ik u voren ben. Kom, kom, vrienden, werp ik ertus- schen, geen krakeel of tweedracht om dat meisje. Vandaag zijn wij hier, morgen weer verder, toekomende week misschien te Gent of te Brussel en alles is vergeten, ’t Is immers niet ernstig zulke liefde Liefde !-Liefde kraaien ze allebei ge lijk, wie spreekt er van liefde. Hoe noemt gij het dan Vriendschap 1 Ja vriendschap omdat wij er waren als Notre confrère L’Horizon de Dinant, public d ce sujet l’intéressant article ci-après On a crié au scandale paree que la cession des indemnités a prêté a certains abus criti- quables. Sous prétexte de supprimer les abus, que l’on atteigne le principe excellent de la cession des indemnités, ce serait une erreur vraiment regrettable. Nous souhaitons que cette erreur ne soit pas commise. Les Dinan- tais savent dans quelle mesure, la facilité accordée par la loi pour la cession des rem plois, a donné un essor a la reconstruction de leur ville, a la reconstruction dans des conditions de beauté et d’hygiène qui étaient desirables. Le législateur devait prévoir et organiser la cession des indemnités. S’il ne l’avait pas prévue, le sinistré aurait fait indirectement ce que la loi lui a permis de faire directement. Telle personne qui était bénéficiaire d’in- demnités pour la reconstruction d’une maison, aurait convenu avec telle autre personne qui voulait user du bénéfice du remploi, qu’elle re- construirait la maison en son nom et qu’elle lui vendrait alors cette maison a des conditions déterminées. L’acheteur pouvait convenir avec son vendeur qu’il prendrait sur lui tous frais, toutes les démarches et tous les ennuis relatifs au reglement des dommages de guerre et a Ia construction du batiment il l’aurait fait en vertu d’une procuration que son ven deur lui aurait consentie. Le tour eut été joué et le législateur n’aurait pu y faire aucune opposition. La cession d’indemnités a eu lieu surtout, pour ne pas dire presque exclusivement, en matière immobilière. La faculté de cession a eu pour effet de favoriser, dans une large mesure, lareètauration desimmeubles détruits par faits de guerre, dans notre pays. Nous ne savons si le législateur avait en vue ce résul- tat. Si tel était son but, ses intentions étaient excellentes et elles ontporté, dans notre pays, des fruits magnifiques. En effet, le fait que le gouvernement, au lendemain de 1’armistice, a répandu sur notre pays des centaines de millions pour la recon struction, a permis de donner de 1’ouvrage aux ouvriers qui, sans cela auraient étéastreints a un chomage vraiment déplorable. kinderen van den huize Zoo en als zij u beiden evenveel vriend schap toedraagt, moet gij dan ruzie krijgen Prullen, vriendjes Geef mekaar de hand en sla dat boek toe. Neen, neen, meent René, onder vrien den is men gedienstiger dan Jef geweest is. Zooals ge wiltmeent Peet, De vriendschap is uit. Telkens zij elkander zien, draaien zij het hoofd en doen al wat ze kunnen om niet verplicht te zijn malkander het woord toe te sturen. Ik zeg wel tegen Peet hoe kunt ge zoo kinderachtig zijn maar, geen slechter doove dan die niet hooren wil. Er is niets aan te doen. Hoe meer mijn vriend denkt aan de ijverzucht van René, hoe dieper en vaster zijn besluit groeit zich niet te laten het gras onder de voeten maaien door zijn mededinger. In den namiddag hoort hij zeggen dat René het rijwiel van den chef is gaan vragen en hij komt met onverholen blijdschap naar mij toe gevlogen om te zeggen, terwijl hij in de han den wrijft René wil vandaag naar Sysseele, maar ’t is te laat Hoe zoo Er zijn orders gekomen op ’t bureel dat wij weer alle oogenblikken kunnen vertrekken. De vijand trekt achteruit. Dat zal zijn spijt nog verergeren. Hij moet het weten En als wij blijven vooruitgaan en komen aan... de baan Brussel-Mechelen waar zult gij dan naartoe rijden préfère laisser opérer un prélèvement a due concurrence sur 1 indemnité restant due. L’engagement pris en ce sens sera soumis a 1 approbation du Haut Commissaire Royal. XXV ILL L Inspecteur du remploi verse les indemnités remboursées par les sinistrés au compte-chèque postal du Département des Affaires économiques du ressort oü le dom- mage a été jugé et adresse une copie de la convention passée avec les intéressés au Ser vice de la comptabilité, 27, rue des Ursulines. Les déclarations de renonciation portent expressément que le sinistré renonce aux in téréts afférents a la partied’indemnité aban- donnée ou s’engage a rembourser ceux qui lui ont été payés de ce chef. Cette renonciation entraine, cela va de soi, la suspension de la liquidation des intéréts sur les indemnités allouées indüment. XXIX. Les fiches annonqiant les paye- ments de moins de i,ooo francs, sont classées séparément par ordre alphabétique et ne sont pas inscrites au sommier. Les dossiers deplus de i,ooo francs sont classés par commune, dans l’ordre du numéro du sommier. XXX. Les dossiers sont conservés a I’Inspection du lieu de remploi jusqu’après apurement total de l’affaire. Ils sont ensuite renvoyés au greffe du Tribunal avec les pièces justificatives a l’intervention du service du remploi du lieu du dommage XXXI. Lorsqu’un dossier est soumis a la Cour d’Appel, il n’y a pas lieu de retarder le payement des premières tranches sur les points non soumis a l’appréciation de la Cour. Seule la dernière attestation ne pourra être délivrée qu’au vu du dossier, qui, au besoin, pourra ètre derqandé en communication au greffe. Le remploi restera évidemment réser vé pour les questions discutées. XXXII. Les dossiers complets sont com muniqués aux Inspecteurs du remploi dès que les jugements sont devenus definitifs ou que la transaction est approuvée, sans se préoc- cuper s’il y a lieu a remploi ou non, ou si le remploi est constaté dans le jugement. Le Directeur general, VERHAEGHE. ction. Cette intervention ne doit toute- être sollicitée pour les indemnités 1 jées par des jugements anterieurs au 8 I 3Cj05re 1921, date de la mise a exécution de faC10idu6septembre 1921. YXIV. Les tribunaux n’admettent pas I ja cession de dommages mobiliers dans un ,jut de Speculation. Les cessions qui seraient faites après jugement ne peuvent être admises I ue pour la valeur de reparation en 1914, ,.aUf nouvelle décision du Tribunal Les in demnités de remploi sur le mobilier doivent rester personnelles au sinistré et le remploi nepeut bénéficier aux cessionnaires auxquels, dans la plupart des cas, on accorderait ainsi I an second mobilier. j(XV. Leremploi en France par des sinis- ;frés beiges et réciproquement en Belgique par des sinistrés francais, est réglé par la circu laire ministérielle du 17 mars 1922, ire Direc tion, n* II774- Pour le remploi effectué par des militaires Velges en territoirc occupé, on peut délivrer ^’attestation de remploi au vu du rapport de h’autorité militaire dont dépendent les intéres bés. S’il parait opportun de procéder a un Examen approfondi, on en réfère a 1’Adminis tration centrale. I XXVI. Pour le payement des deuxième iet troisième tranches, il y a lieu de délivrer fattestation de remploi dès que l’état d’avan- ixsnent de la construction ou le dépot des «tatériaux donne 1’impression certaine que rintéressé achèvera son immeuble pour le montant des sommes dont il sollicite le pave ment. I XXVJI. D’une irianière générale, afin de ne pas compliquer la liquidation, il est dési- .nble, sauf nécessité absolue, de ne pas sein den les premières tranches et de réserver pour le payement final les retenues éventuel- les a opérer. De tnême, lörsque la dernière tranche est itrop importante, et qu’il semble y avoir lieu a ■opérer une reduction éventuelle, il est pru dent de limiter la dernière attestation de remploi aux sommes qui en toute éventualité seront dépensées. Lorsqu’une construction est adossée h un immeuble reconstruit par 1’0. R. D., il y a men de s’assurer du remboursement de la mitoyenneté ax-ant d’autoriser le payement de I k dernière tranche a moins que le sinistré Tweedracht. (vervolg) Zeg eens, weet gij niet waar Peet is Jawel, jawel. Luister eens. Gij weet wel le freule daar in Sysseele Amandine I_ Juist.Wel, hij heeft het rijwiel van den chef :®^v’aagd, is een pak chocolade gaan koopen J ’J akkeren... onze Jef is naar Mandientje 1 Naar Sysseele L ^eker, zeker. Maar luister verder René M bezeilde bedoeling, hij heeft ook een pak Ik\v C°’a<^e ^efr°ckt, maar toen hij bij den chef a,u, was Jet reeds gaan vliegen en nu loopt I ei al rond om een rijwiel te vinden I Ei a^> ah dat zal een spelletje geven t’duit k*er &een rijwielen te krijgen, de _C,.ers hebben ze allemaal opgevorderd. loopt heel het dorp af. la<l r Orn’ Jor’s’ WÜ gaan ook een pak choco- aenbij Bakker, maarwij etenhetzelfop. Sa ko^ ^en tetwijl ik over den koer den Jel gansch bezweet terug. Eer ik F) kem *ets te vragen, zegt hij rT ^roe^en van Mandientje ank u, en was ze tevreden over de -lade? ■bi f't-'i fï'M’i ff ■lüiS

HISTORISCHE KRANTEN

Het Ypersche (1925-1929) | 1923 | | pagina 5