£0^' BRIQUETERIES de Direction Commerciale, 4, rue du Gouvernement, I Schrijfmachien UNDERWOOD nieuwe, occasie, werken copi1. Vraagt prijzen in YPER aan Marie-Th. Marchandisse, l3, Slachthuisstraat. LA LA'S Vente de briqaes aux Entrepreneurs g?ar fours complets ma par mille, sur wagon OB PANME Travail en A LE S’adresser soit au Siège Social a Bruxelles soit aux Cliantiers directement, soit a la Société Anonyme Capital Fr. 2.500.009 CHANTIERS A WARNÊTON SLYPE Sandbach; M. Demets, bourgmestre d’Ander- lecht et le général Gignillat a sa droite, M. Colaert et le général Hoffman. On remarquait a cóté des délégués étrangers, la présence des présidents des sociétés locales, invités par la F. N. C. A l’heure des toasts, M.Vandromme remer- •cie la F. I. D. A. C. et dit son admiration pour l’ceuvre charitable qu’elle a entreprise. Il léve son verre au Roi, a la Familie Royale, a la Belgique et a Ia F. I. D. A. C. M. Bertrand répond par un salut émouvant a la courageuse et loyale Belgique. Le général Sandbach assure que 1’Angleterre -est d’accord avec les Beiges et les Franqais, pour réclamer a 1’Allemagne de justes repa rations. Enfin, M. Colaert, bourgmestre, dit sa joie ■de rendre hommage aux soldats qui ont pris part a la défense de sa ville. Vers 4 I'2 heures, le lunch prend fin et 1’assistance debout, écoute les Hymnes Na- tionaux. Les délégations parcourent, en auto, quelques rues de la ville ’avant de partir pour Poelcapelle, oü le général Sandbach, M. Demets, bourgmestre d’Anderlecht et le colo nel Aerts prononcent quelques mots. M. Janne et M. Bertrand fleurissent le monu ment Guynemer. Malgré la déconvenue du retard, la fête fut anagnifique et pleine d’entrain. Discours de M. VANDROMME Messieurs, Je suis trés sensible a 1’honneur que m’ont réservé les camarades de la F. N. C. d’Ypres, ■de vous remercier de votre visite; maisje suis confus de me sentir si peu, de ne pouvoir. comme il conviendrait que je le fisse, vous exprimer toute mon admiration, pour 1’oeuvre charitable que vous avez entreprise. Voulant éviter de nouvelles guerres, et leurs fatales conséquences, la Fidac s’est imposé la tache trés ardue, qui doit conduire a la pacification des peuples la Fidac vent la paix, la paix bienfaitrice, que le monde desire impérieusement. Quelle belle définition que celle du mot Paix Situation tranquille d’un Etat, qui n’a pas d’ennemis a combattre; Concorde, tran- quillité inférieure, qui règne dans un Etat. Vous ne voulez plus, Messieurs, de cette exaltation qu’on appelle improprement patrio ttisme et qui, cxploitée par le caprice d’un monarque, ou la cupidité, la rivalité des Etats, jette des millions d’hommes dans le plus affreux carnage. Vous voulez substituer a ce faux patriotisme, le vrai, le seul patriotisme, ■qui est celui d’etre utile a son pays, d’etre utile a l’humanité. Or, veut-il le bien de son pays, est-il humain, celui qui inc'onsidérément fait la guerre Vous cherchez, Messieurs, le moyen d’as surer la Paix entre les Nations vous vóülez mettre les ptuples civilises a 1’abri des cala-- mités de la guerre. Votre tache est grande, elle sera longue. Déja des homines de bien ont songé a eta- blir des cönfédérations, des congres. Il y a eu des projets de paix perpétuelle, il y a des alliances, des traites mais les raisons de la politique égoïste les font presque toujours avorter. Vous pensez, Messieurs, qu’apres avoir épuisé toutes les voies de la négociation pour vider les différends, le devoir et l’intérêt des gouvernements est de recourir a 1’arbitrage. De me dal jon s der Kasselr; L’idée est noble et généreuse elle mérite tout notre respect. Je souhaite que vos loua- bles efforts soient fertiles en bons résultats. Votre Fédération compte déja plus de neut millions d’adhérents, dans huit pays différents; d’autres s’inscriront, j’en ai la plus profonde conviction. Il le faut d’ailleurs, pour le bien de l’humanité aussi faut-il que tous les com- battants s’unissent, que les malheureuses divergences existant entre ces anciens combat- tants Beiges disparaissent, car ces divergen ces diminuent la force, en détruisant 1 unité. Je souhaite qu’il n’y ait plus, dans un ave- nir prochain, qu’une ligue d’anciens combat- tants, une seule, et que tous les anciens se groupent autour du même drapeau, aux cótés de la Fidac que chaque organisme local ait sa section Fidac pour agir sous les direc tives de la section-mère de Bruxelles. Et voici déja un même désir exprimé par le distingué directeur du Foyer Américain d’Ypres qui m’écrit Monsieur le Président, Je suis trés honoré d’avoir recu votre aimable invitation, a participer au cortege que vous organisez en l’honneur des délégués de la Fidac, qui viennent a Ypres. Il ne me sera pas possible d’y envoyer notre drapeau, qui n’est pas en état en ce moment,- mais je me ferai un plaisir d’être personnellement présent a cette cérémonie. J’estime, en effet, que e’est pour moi, que e’est pour tous un devoir de conscience, de témoigner toute la sympathie au mouvement si intéressant de l’ceuvre, poursuivie par la Fidac et a la personnalité si hautement res pectable de ses délégués alliés, qui viennent de prendre une attitude si digne, en face des problèmes d’ordre international, qui mena- cent, a l’heure actuelle, de faire échouer les efforts de ceux qui veulent, dans la Paix, assurer le triomphe des idéés, pour lesquelles tant des nótres ont donné leur vie sur les champs de bataille Ainsi penseront bientót tous les anciens combattants. Le but poursuivi est trop beau, pour qu’ils ne fassent tons un effort pour l’atteindre ils doivent être unis, égaux et solidaires ils doivent se soutenir les uns les autres, soucicux de marcher vers un avenir meilleur ils doivent aider la Fidac dans son épuration de la lutte des classes et des races, qui est l’origine de tous les conflits sociaux, ils doivent l’aider dans sa volonté de garantir la Paix 1 Voila, Messieurs les distingués délégués de la Fidac, le voeu que je forme et qui est celui de tous les camarades d’Ypres ce voeu, nous le lormons avec toute l’ardeur dont nous sommes capables. Et permettez moi inaintenant, de remercier M. le Bourgmestre, qui a bien voulu nous recevoir officiellement et inviter la populate n a assister, nombreuse, a notre cortège j’as- socie a mes remerciments, M. le Commissaire d arrondissement, les Autorités, les Présidents des sociétés, les habitants de la ville, qui, en prenant part a cette fête, ou en pavoisant, en ont rehaussé l’éclat. Qu’il me soit permis, pour terminer, d’ac- clamer le Roi, la kamille Royale, la Belgique et la Fidac Prachtig zomerweder, gulhartig onthaal ’t Was hetgeen de Harmonie Ypriana‘1 beurt viel op Zondag laatst bij haar reis) naar De Panne. De Harmonie met de talrijke eereledi welke haar vergezelden werd ontvangend® de Heeren Lapierre en Dequecker. Om ’t spelen van on2e schoonste stapmarcbeni gevolgd van een talrijke menigte, brachtli muziek een bezoekje aan MGeorges Lapi^ en zijne achtbare Dame. Reusje lied dreunden door de hoornen. In eenelt drukwekkende aanspraak wenschte <le Lapierre allen welkom. Men gevoelde Ypersch hut bewogen was. De een wip gedronken cp den groei en bloei van P Ypriana Een bloementuil werd leg 1 aan den voet van het Standbeeld/ richt ter cere \an de Zonen der.duin^ vielen op het veld van eer. Daarna"er| bezoek gebracht aan den welbemin1 e-10 voorzitter M. Armand Donck. Èenpra^ bloementuil werd Madame Donck boden door den voorzitter der eenige welgepaste woorden vooi familie werden met eene BrabauconM - Om 11 ure werd het concert 8<’^e uitvoering van het puik jrrog^^^^ 23 Siège Social Bruxelles, Rue Roya*c’ TOUQUET SLYPE (NI Onze Yperlingen bestatigen met voldoe ning dat de prachtige heropbouw der Kls selrij vooruit gaat, reeds is het tweede ver diep aangevangen. Zeven kunstmedaljons zullen het pracht»! bouw versieren, boven de eerste stogiej sympathieke figuren verbeeldend onzer ooi logshelden en Staatshoofden Koning Albert met rechts Voorzitter Poincaré, Marschail Foch en Joffre, en links Koning George» Marschaals French en Douglas-Haig. Doch de Commissie der Monumenten absoluut dat de zeven Hoofdzonden, zooi vroeger, hunne plaats vinden op den gevels diensvolgens werd er beslist zeven leelijb tooten uit te kiezen om boven het tweed verdiep in te metselen. Het staatsbestuur heeft geraadzaam gevut den den keus dier antipathieke figuren ai hare medeburgers over te laten. De geteisterden die sedert maanden mi cene tranche wachten, hebben reeds v» een dier medaljons hunnen keus gedaan. Lundi dernier a l’occasion de la - des Congressistes de la F. I p .e<Mi Yprois ont eu l’occasion d’admifef 1(1 du travail en Régie. eSeï«ts A partir de 10 heures, les travaillent a monter I’échafaudage du r ont contemplé d’abord le montage d veau kiosque, puis ont attendu avec UB* l’arrivée des congressistes jusque mij- heure ils ont recommencé a réattendr vers 3 heures. ehSf|K A 2 fr. 5o c. l’heure, le travail de journée reviendra au coefficient 75 Qu’en pense l’inspection du rempioj h cordera-t-il le certificat pour la tranch vante? Ou bien fera-t-il prononcer la 4 v ance contre l’État cette DEMANDEZ PRIX ET CONDITIONS DE VENTE

HISTORISCHE KRANTEN

Het Ypersche (1925-1929) | 1923 | | pagina 4