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La voitnrc la plus éeonomiqne «lu monde. - Économie dans la consommation 1
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Un appel impudent aux
sinistrés en faveur de
l’industrie boche
CONSOMMATION AUX 100 KM.
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sinistrés
Les (wantages des petits
La Queslüon des Inlérëts
va aux pauvres
YVES.
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7 1/2 litres d’ESSENCE
250 grammes d’HUILE
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men dat de Federatie zal schrijven aan den
heer Minister om hem te vragen hoe de ge
schillen met het Herbeleg moeten geregeld
worden. In de toekomende vergadering zullen
wij daarover misschien ingelicht zijn.
Daar de afgevaardigden van eenige belang
hebbende gemeenten afwezig zijn, wordt tot
-de naaste maand de bespreking uitgesteld van
het wederopbouwen in onze streek van som
mige officieele inrichtingen, zooals de Insti
tutie van Meessen, de school van Wytschaete,
de Verbeteringsschool van Yper, Rijschool,
Museums, enz.
De vergadering wordt geheven om 4,3o u.
LES AMIS DE L’ENNgty||
Bien des gens se sont plaint a nous de ne
pas recevoir, outre les indemnités principals
qui leur sont dues, les intéréts que la loi stipule
en leur faveur.
Notamment dans toutes les transactions qui
sont intervenues en nombre assez important
par l’intermédiaire des coopératives de sinis
trés, le règlement s’effectue sans que 1’on tien-
ne compte des intéréts.
Nous comprenons parfaitement que stir la
■valeur de remploi, étant donné les dispositions
tie la loi, le ministère ne se charge pas de fai
re le calcul des intéréts sans jugement préala-
ble. Mais sur la valeur reparation ou valeur
1914, le calcul des intéréts serait fort simple.
La loi stipule de facon trés nette ace sujet
les intéréts prennent cours a partir du premier
janvier 1920.
Bien des gens se sont fiés a cette disposition
de la loi pouv attendre patiemment le règle
ment de leurs indemnités en se disant que les
sommes qu’ils ne réclamaient pas a l’Etat
étaient productives d’im intérét de 5 °/o l’an
qui compensait le retard.
Or, lors du règlement, ilss’aperqoivent que
les intéréts ne suiventpas. Leur déception est
grande.
Plusieurs se sont plaints au ministère de
cette situation. On leur a répondu par une cir
culaire vague dans laquelle on leur laissait
entendre qu’ils doivent déja être bien satisfaits
d’obtenir le principal de leurs indemnités et
que le calcul des intéréts demanderait un tra
vail trop long et trop important qui retarderait
la liquidation des autres affaires. Dans cette
circulaire, pas la moindre assurance en ce qui
concerne le payement futur des intéréts. C’est
de cela surtout, qu’avec raison, le sinistré se
montre ému.
Nous avons déja réclamé bien souvent et
nous demandons encoreune fois une assurance
qfficielle en ce qui concerne cette grave ques
tion des intéréts.
La justice est surtout froissée par le fait
qu’un traitement différent est fait aux sinistrés
suivant la facon dont les indemnités leur sont
accordées,'soit par le tribunal au moven d’un
titre, soit par la Fédération des Coopératives
au moven d’un cheque.
Lorsqu’un titre est créé, généralement pour
ne pas dire toujours, les intéréts afférents a ce
titre sont payés avecune certaine régularité.
Au contraire, lorsque la Fédération émet
un chèque, ce chèque ne comprend que le
principal et non les intéréts de l’indemnité.
Les sinistrés n’ont-ilsdonc pas a la chambre
des mandataires capables de poser au ministre
une question précise a ce sujet
Nous aimons a croire que notre appel ne
restera pas sans écho.
ifoor al uwe DRUKWERKEN wendt U
ter drukkerij C. DUMORTIER.
Agents Concessionnaires G a ra ge
-
Les petits sinistrés sont favorisés a juste
titre par une disposition spéciale de la loi.
La loi sur les dommages de guerre est une
loi démocratique et c’est bien a tort que 1 on
s’imagine qu’elle favorise surtout les riches et
les puissants.
Cette dernière erreur d’appréciation de
bien des gens provient souvent de ce que,
dans sa dernière revision surtout, la loi ac-
corde une faveur marquée aux industries sinis-
trées.
Mais en servant les intéréts des industriels,
le législateur a eu en vue de servir les intéréts
nationaux en général etles intéréts de laclasse
ouvrière en particulier. Dans un pays surpeu-
plé comme le nótre la grande valeur d’échange
est la richesse la plus certaine.
C’est le travail des ouvriers, c’est l’industrie.
Quand l’industrie est prospère la prospérité
du pays est assurée.
On 1’oublie un peu trop facilement. Dans
la reconstitution de l’industrie, comme dans
la reconstitution des immeubles batis, le légis
lateur n’a poursuivi qu’un seul but favoriser
la restauration nationale. Qu’il ait en même
temps et par contre coup favorisé certains in
téréts particuliere, c’est certain mais souvent
la prospérité de la nation dépend de la pros
périté de certaines sources de richesse parti-
culières.
C’est seulement dans la mesure oil ces inté
réts particuliers servaient la collectivité que
le législateur les a favorisés.
Pourtant dans la reparation du dommage
subi par les particuliers dans leur mobilier, la
loi fait une difference entre les pauvres et les
riches.
Mais cette différence est en faveur des petits
et des humbles.
Le coefficient de remploi pour le mobilier
est habituellement 3 j^’est a-dire que si le
sinistré a perdu un mobilier sujet a remploi
d’une valeur de 10.000 francs en 1914, il aura
droit a3o.ooo francs d’indemnifés.
On a ditavec raison que ce coëfficiënt limité
ne permettait pas au sinistré de reconstituer
son mobilier, les prixatteignant 5 foisla valeur
d’avant-guerre.
Mais lorsque le sinistré a perdu en totalité
un mobilier valant moins de 25oo francs valeur
1914, il aura droit a un coefficient de remploi
de 4.
Lorsque la valeur 1914 du mobilier totale-
ment sinistré n’atteignait pas 1.000 francs le
coefficient appliqué sera 5.
On le voit la faveur de la loi
et aux petits.
L i charité nous oblige a reconnaitre lebien
fondé de cette faveur, il est nécessaire d’éta-
blir que 1’on a été totalement sinistré il ne
suffit pas que la valeur totale du sinistré par-
tiel soit inférieure aux chiffres in iiqués.
Notons encore et c’est piquant qu’il
est des cas oü le sinistré aurait eu a vantage a
diminuer le chifire de sa reclamation un
dommage de 2.400 francs donnera droit a une
indemnité supérieure a celle qu’on auraitobte-
nue pour un dommage de 3.00b frs.
Si les sinistrés connaissaient toutes les res
sources de la loi 1
Comme beauco'up de nos lecleurs
re(ti d’un nommé Plas la circulaire dont
ci-aprèy nous croyons interessant de reprodui
ci-après les commentaires qu'en fait
Beige dans son numéro du 10 sepl^
dernier.
Comment un agent d’affaires beige
travaille au profit de 1’Allemagne
contre 1’occupation de la Ruhr
Il vient de se fonder, parait-il, un group
inent pour la défense des détenteurs c
titres de dommages de guerre. Les intérèi
de ces détenteurs sont done en peril Est<
que l’État aurait prémédité de ne pas pay
le coupon et serions-nous logés a 1’enseigi
de certaines Républiques nègres contre
rapine desquelles les gogos ont accoutuo
de foi mer de semblables Comités de défensr
Nous allons bien voir.
Un factum incroyal
Transcrivons textuellement la circulai
qu’un lecteur nous communique, transc
vons-la sans en rienomettre.ni surtout lenoi
du signataire, qui pretend agir au nom 1
groupement susdit.
Groupement pour la défense
des détenteurs de titres de dommag
de guerre
Mandataire de Sinistrés Bruxelles, le 25 ao
1923. pour les Réparations. Rue Alplion
Renard, l5.
NOTES SUR LA REALISATION DI
TITRES DE DOMMAGES NON S0\
MIS AU REMPLOI. I
La question des reparations pendanit Pad
cinq ans, menace de dégénerer pour lessinis
en une gigantesque duperie.
Pour gagner la guerre, il a fallu quoin
et ctre 22 allies. 11 est permis desedeiMi1
avec anxiétc, conilnen d’années il faudra»
pour gagner la paix. D’iniiombrables coup
ces ont eu lieu pour règler la question dis'
rations. Toutes n'ont servi qu’d enibroui
vantage la situation qui est devenue aujoiir
aux yeux du monde entier, un étalage l0’t
de giichis et d’incapacitc.
Eu attendant, le franc beige, a la
joie de nos boursiers, poursuil sa eluded
uant dans le gouffre le titre de donunag^
la baisse du mark, TÉtat alleman a
geusement anéanti sa dette mterieure w
priint, rentes, etc.), ruinant rentiers
bourgeois. Nous n’en sommes pas
ment, mais qui se serait jamais doide
franc tomberait a 21 centimes!
ment beige s'etiorce émdemment B
inquietudes, mais il a aussi un
cette baisse, puisque de cette
rasse de sa formidable dette V'*
teurs de titres de dommages.
sement financier se Jail sur
reuses viclimes de guerre, qai
de mal/ieurciises DI PLS DE
A cause de la chute du franc,
titrd de reparation sans lU
iiiijourd'hui a MOlS DO
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Catalogue et démonstrations gratuits
□emandez aux propriétaires d’une automobile
Citroen, ce qu’ils en pensent. D
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EUG. FI.AS