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lokaal Frascati Hoogstraat, 72, Gent,
een grooten liefdadigheidsprijskamp in, gedu
rende November met den grooten kruisboog'
op i3 m. gedurende December met den
kleinen kruisboog op 10 m. gedurende
Januari met de karabijn 6 m/m op 12 m., ten
voordeele van den National en Bond ter bestrij
ding der tering en van het Nationaal Werk
der Oorlogsinvalieden. De maatschappijen
die belang in dezen prijskamp stellen en geen
programma ontvangen hebben, gelieven hun
adres aan genoemde maatschappij te sturen.
C’est done dimanche prochain, 14 courant,
que s’ouvrira pour notre Cercle Sportif Yprois
la saison officielle de football.
Nous sommes heureux de voir que le nom-
bre et la forme des joueurs ait permis aux
membres dirigeants du cercle d’inscrire, cette
année, trois équipes pour les matches offi-
ciels c’est la meilleure preuve, qu’après de
pénibles et laborieux débuts, une ère nou
velle s’ouvre pour le C. S. Y.
Puissent les dirigeants rencontrer toujours
chez les joueurs, comme ce fut le cas jusqu’-
ici l’amitié et le dévouement si nécessaires a
la bonne marche d’une société sportive et
puisse le cercle tout entier rencontrer de la
part de la population Yproisela sympathie, ce
soutien moral, qui est un des meilleurs stimu
lants pour la plupart des sociétés de Football
de Belgique. Ce serait alors la marche assurée
vers le succes.
Dimanche prochain, nos 2 équipes rencon-
treront les 2 équipes de l’U. S. de Mouscron.
Les équipes premières se rencontreront au
Stade Yprois lenouveau terrain du C.S.Y.
situé rue des Augustins. Les équipes secon
des matcheront a Mouscron. Souhaitons a
notre seconde bonne chance et espérons qu’
elle nous revienne avec un beau succes.
Quant a notre première équipe qui joue
BIJHUIZEN a
dimanche a Ypres, si nos joueurs savent
maitriser leurs ner'fs et jouer avec calme, ce
premiér match officiel de l’année doit être une
première victoire.
A ce propos qu’il me soit permis de deman-
der aux spectateurs de rester calmes eux-
mêmes cLest le meilleur moyen de ne pas
énerver les joueurs. N’oublions jamais qu’un
joueur énervé perd une grande partie de ses
moyens.
Et en terminant je fais un appel chaleureux
a tous les amateurs desport, pour qu’en grand
nombre ils assistent dimanche prochain au
premier match de la saison cesera leur faqon
d’encourager les dirigeants et les joueurs et
ils pourront alors s’attribuer une toute petite
partie des succès que je souhaite de tout coeur
a notre société sportive le C. S. Y.
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M. C. lieberghien avait mis tout son déli-
cieux talent a contribution pour les chants,
tandis que M. G. Claerebout, le sympathique
amateur de musique était la pour Taccompa-
gnement.
Le grimeur, M. Mullie, avait de même
déployé tout son talent pour métamorphoser
nos jeunes acteurs en gens et chevaliers du
moyen-age, tandis que tous les acteurs rivali-
sèrent de zèle pour bien representer la pièce.
Comme auteur du drame, je sais les réser
ves que les régies de la modestie m’imposent;
cependant qu’il me soit permis de remercier
la vaillante Gaieté Cominoise des énormes
sacrifices qu’elle s’est imposés pour monter
la pièce, et de me dire trés sensible aux nom-
breuses felicitations reques de toutes parts.
J’ajoute tandis que pas moins de dix-sept
journaux flamands publient ,en feuilleton le
roman, dont le drame esttiré, M. A. Deraedt-
Verhoye de Roulers offre, en ami, de publier
a ses frais, Le crime du Chateau de Comines.
Lundi prochain, lors de la Fête officielle
des Louches, les membres de la Gaieté Comi
noise, costumés comme au théatre, marcheront
au cortège a Comines-France et dimanche
21 octobre, a la demande générale du public,
une dernière représentation du drame sera
donnée en la salie du Royal-Palace
II est done permis de croire que le drame
féodal du Crime du Chateau de Comines est
une ceuvre de valeur, dont je suis fier d’avoir
doté la ville qui, 11 y a 5o ans m’a requ
dans son sein. p p DENYSj
Chevalier de l'Ordre de la Couronne.
féodal que je croyais a jamais voué a
|Opans Fame et dans le coeur, je me sens
heureux et fier de cette marque inattendue de
louce sympathie, dont je suis ainsi l’objet.
Je suis encore heureux de trouver en ces
es gens la révélation de si beaux talents,
ant aux points de vue de l’art théatral et de la
>elle musique, que des aptitudes décoratives.
Tous ceux, qui ont assisté a la représenta-
ion du drame, ont admiré les majestueuses,
uggestivestoiles de MM. Decroixet Deruyck,
ui refoulaient la vue et la pensée vers le
jhateau et la ville de Comines, au milieu des
»mps austèreset grandioses de la seigneuriale
jodalité.
On peut dire que ces jeunes gens qui ont
rosse ces toiles sont des artistes de talent,
niont su placer le drame, joué sur la scène
ans le ton et le cadre des temps éloignés.
Alors, M. Crop, n’était-il pas 1’incarnation
female de Gosuin, Te Chevalier parjure et
iminel. Etsa vue ne fait-elle pas frissonner
horreur. Qui dira qu’il n’a pas joué son role
grat en véritabïe artiste
Tuis, M. L. Jonville, dans son tragique role
l jeune Seigneur n’a-t-il pas ému tous les
Eurs? N’a-t-il pas fait verser des larmes,
nt dans ses épouvantables malheurs, que
ins lajoie de sa glorieuse délivrance
pui ri’apas cru que le véritabïe Sigefroid de
amines d’autrefois se trouvait vivant devant
[us
|Et M. Robert Folens, (Odon), dont le role
mplexe consistait a servir deux maitres,
na coté Sigefroid pour le sauver, et de
utre, le traitre Gosuin pour le dominer et
confondre 1 Et n’a-t-il pas su se couvrir
mépris d’abord, et de sublime admiration
suite
M. Om. Werbrouck, le mystérieux et terrible
nibadour, qui en sait long sur le crime de
Jsiiin, a profondément ému Pauditoire, tant
r le charme de sa voix que par 1’audace de
révélation. Ensuite, quand, par le fin
1 du grimeur (J. Mullie), métamorphosé
superbe Comte de Warnave, ce même O.
vient dominer tout le jeu du drame, qui
de prendrait pour un professionnel expéri-
intê de la scène
On peut en dire autant de M. R. Folens,
eaant le role d’aubergiste.
M. Verbindt, le berger Cunéwald, mérite
rtainernent tous les éloges pour sa manière
lire moyenageusement les runes. Il a pro
nt tout l’effet qu’on peut attendre de cette
afique de devin.
E. Taillieu, en Osw. de Dadizeele, a
un parfait héraut d’armes, qui comme aide-
stic’.er a animé admirablement le trés bril-
Qt tribunal des chevaliers.
I- H. Jonville, également héraut d’armes,
°UVe 1’occasion de montrer son caractère
^eux dans l’institution de la première fête
is Louches.
Iff
ais on ne peut pas oublier les ouvriers-
^ews, (MM. E. Pollet, Ed. Lorraine et
pauwelyn) dont le róle intéressant com-
en',a a la Gouwalda. Ils ont donné réelle-
une idéé concrete des moeurs populaires
1 ®oyen-age.
SOmme, la Société théatrale de la
réla-S°n^noise a donné une excellente inter-
,10n du drame féodal dont nous venons
^ter les personnages.
-ssi tout le monde s’était donné la main
^fa3re réussir 1’ceuvre.
mtOrndé n avait reculé devant aucun frais,
ie ,/Ur ^es costumes de l’époque reculée
Ur decorations artistiques de la
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