DE LA c it if I ill Direction Commerciale, 4, rue du Gouvernement, Y,“fli' ««4 bon vieux Lafontaine ',e^reavt 3 Veote de briqsses aux Entrepreneiirs par ïoüfs complets o» par I '"’’'’'“‘SLs Oll*!l Warneton A L La reconstruction d’Ypres SJadresser soit au Siège Social a Bruxelles soit aux Chantiers direclement, soit a la Hi Sucrerie de Sucrerie de s’installer a V s’appliquer aussi bien au r- taires des grandes usines qu’a pies maisons de nos ouvriers Car, il ne faut pas de dommages de guerre, 1’on puiSSl ce bon vieux Lafontaine même oü ^ls ont subi des do: avant guerre, vie, si Ce e temps i Nous recevons la lettre suivante Mon Cher Ypersche Il est surprenant pour nous, Warnetonnois, de lire dans chacun des numéros de votre excellent journal et, de plus, d’entendre dire dans chacune des réunions qui ont lieu a Ypres que ce soit de «l’Yper Op 1 que ce spit de I’Ha-ndelsbond que ce soit même de la Federation des Sinistrés de I’Arrondis sement d’Ypres toujours les mêmes plain- tes, les mêmes doléances, sans cesse répétées <dLa Sucrerie’de Warneton ne viendra pas s’installer a Ypres paree que nous man- quons... d’eau... navigable et... autre aussi, paree que... le canal, notre canal, nous fait défaut A l’initiative de la société des architectes d’Angleterre, une conférence a été donnée lundi dernier a Londres, par M. G. lopham Forrest, architecte en chef du district de Lon dres. Le sujet en était La Reconstruction d’Ypres Les ambassadeurs de Belgique et de France, le Consul général de Belgique et un nombreux public trés distingué étaient présents. Après avoir décrit l’état de la ville d’Ypres a la fin de la guerre, le conférencier montra l’effort du peuple beige dans l’ceuvre de la reconstruction et comment, par l’adoption de la ville par la Belgique une aide efficace par- vint a y ramener et a héberger les habitants rapatriés. La défectuosité des moyens de com munications, et la mise hors d’état du canal rendaient les travaux trés difficiles. Néanmoins, dés 1919, une petite ville provi soire de prés de mille huttes en bois s’élevait déja. Les ruines se déblayaient, les matériaux étaient classés, les canalisations d’eaux et d’égoüts étaient en réparation. Mais ce fut surtout la construction des demeures privées qui occupa l’activité des pouvoirs publics et des habitants. Ce qui était, il y a trois ans encore, une immense plaine désolée et morte est aujourd’hui une ruche active oü par centaines les maisons se réédi- fient avec un progrès étonnant. La cité Ligy fut aussi mentionnée. L’orateur cita en paèsant l’intervention du ministre Renkin, de M. Coomans, architecte d’Ypres, de MM. R. et Carl Verwilghen (de 1’0. R. D.) Un vif hommage fut rendu aux particuliers et a tons les ouvriers de cette grande oeuvre, aux autorités qui eurent a cceur de sauver ce qu’il était possible de con- server des anciens batiments publics, et l’ora- teur finit par exprimer l’espoir que les Halles seraient rebaties dans un délai assez rap- proché. lllustrée par une centaine de projections lumineuses, cette conférence obtintun énorme succès, et ne peut que contribuer au bien de notre ville d’Ypres. N. d. 1. R. Si avec tout cela, se rappelant enfin que les promesses solennelles lient les grands états, même lorsqu’est passé le dan ger qui a fait surgir ces engagements, le gouvernement britannique aidait la Belgique a se faire payer par l’Allemagne au lieu de l’en empêcher, tout serait parfait. Nous ignorons si le conférencier a fait cette réflexion, mais il nous est bien permis de la faire ici, a sa place. Un bruit court, en effet, le long de la L bruit encore étouflé, que la Sucrerie de W neton aurait été... cédée a la Province - les petites spéculations ne sont pas permi pour les particuliers, les grosses le serait elles pour les Pouvoirs publics qui doiv précher d’excmj le 1 pour en faire Centrale d’ Energie Electrique, apte a pourn de courants électriques notre Flandre, tl trale qui s’érigerait en dehors de notre c| trée, d’après les tins a... Ostende, daprèsl auties a... Roulers 1 I A Ostende J I Sans doute paree que cette pauvre '1 manque de ressources ou encore pourpoul favoriser ainsi plus iacilement 1 impülta| des charbons anglais et travailler de la J rationnellement a la baisse du chaig| beige I A Roulers J Hé bien mes bons enfants d Ypr£S> I dites-vous I Il ne vous a pas suffi de vous lai» 1 ver votre Usine a Gaz qui piocurait et du travail a quelqu’unes de v0S families puvricres pour la von voies d’accès et de communications faciles et en quantités, telles rivière ou canal, chemins de fer ou tramways sont toutes choses primordiales et essentiel- lement nécessaires a une industrie quelconque et principalement a 1’exploitation et a la bonne marche d’une sucrerie. Manquons-nous de cela a Warneton Avez-vous tout cela a Ypres Nullement A Warneton tous ces éléments y existent autant qu’avant guerre et, franchement par- lant, ce n’étaient pas la les moindres lacteurs qui amenèrent la Sucrerie de Warneton, par conséquent n)tre Sucrerie, au degré d’activité et de prospérité qu’elle atteint les années qui précédèrent le terrible cataclysme mondial et qui la mirent meme au premier rang, pour ne pas dire en tête, des sucreries du pays. A Ypres, malheureusement, on manque de toutes ces choses indispensables a l’éclosion d’une grosse industrie telle une sucrerie qui, dans ces conditions, y serait ccrtainement une sucrerie mort-née. Je regrette beaucoup de devoir le consta- ter, mais le fait est la et, certes, il est indé- niable. Je comprends trés bien que le Handels- bond d’Ypres ainsi que 1’Yper Op travaillent avec acharnement au relèvement de leur belle ville ils y sont complètement dans leur róle et je ne puis, vraiment que les en féliciter. Mais je ne comprends aucuné- ment ces plaintes amères et ces larmes ver- sées lors d’une des récentes réunions de la Fédération des Sinistrés de 1’Arrondisse- ment d’Ypres concernant le déplacement de la Sucrerie de Warneton a Fumes et non a... Ypres Heureusement pour nous, Warnetonnois, il ne s’agit aucunément, dans cette affaire d’installation d’une sucrerie a Furnes, de notre sucrerie de Warneton. Seulement, je croyais et même plus d’une fois j’ai pu m’en convaincre que la Fédé ration des Sinistrés de 1’Arrondissement d’Ypres avait pour but de souvenir les droits des sinistrés, de tons les sinistrés de I’ar rondissement d’Ypres, même ceux du Sud de la Flandre dont dans ces réunions les intéréts ne sont pas précisément trop pris a coeur, bien loin de la sans, préférence aucune pour ceux du centre de 1’arrondisse- ment d’Ypres et de combattre énergiquement les atteintes, quelles qu’elles fussent, qui, éventuellement, pourraient être portées a leurs droits légaux édictés et sanctionnés par les divers Arrêtés-lois et Arrêtés royaux concernant les dommages de guerre. Or parmi les textes de ceux ci, il y a notam- ment l’article 16 de laloiduó Septembre 1921 qui dit Le remploi immobilier doit être fait dans la commune en immeubles ayant la méme affectation ou une affectation analogue. Et plus loin article 17 de la loi du 10 Mai 1919 Le Tribunal s’inspirera aussi bien dans l’octroi du remploi des intéréts legitimes du bénéffciaire que de l’intérêt public etdes conditions tant régionales que générales de la vie économique Or, ces articles de la loi sur les reparations des dommages de guerre ne doivent-ils pas BRIQUETERIÉS Société Anonyme Capital Fr. 2.500.000 p CHANTIERS A WARNÊTON - LE TOUQUET - SLYPE Mais, enfin, nous nous le demandons, c e quel droit réclamez-vous la Warneton De quel droit la Warneton devrait-elle aller Ypres... ou ailleurs L’eau a satiété, les meubles ou immeubles et oü, gagnaient honorablement leur i même loi ne s’applique en même industriels, quel qu’ils soient. En effet, ne serait-ce pas une injustice grante, voire même un crime de condamneri braves artisans a se réinstaller et a reb; leur home a l’endroit même oü, par su de certains accomodements avec les hau sphères, on aurait permis aux fabricants déplacer leurs usines et toléré ainsi depri l’ouvrier, force de revenir en eet endroit son travail quotidien et le petit détaill ainsi que le petit bourgeois de son gaj pain Il n’est done nullement étonnant qt voyant leurs intéréts défendus de telle so sinon combattus au profit du centre de l’an dissement par la Fédération des Sinist de 1’Arrondissement d’Ypres quenosdi guésde Warneton ne s’empressent guèred sister a ces réunions a quoi bon, d’ailleu Sous peu, cependant, l’occasion sera don a la Fédération susdite de défendre cetteli ci non seulement les intéréts d’une petite v comme Warneton, mais les intéréts même 1’Arrondissement d' Ypres que, sans exagé tion aucune, Ton pourrait taxer d’arrondis ment rouge intéréts qui, jusqu’ici n’ont que trop sacrifiés. W transen Roulers moyennant... la pr°niesse.^ J de l’érection prochaine dans votre J usine electrique c’est a ^U^uepJ s’installer aussi cette usine el J ciale et c’est de Roulers encore^js peut''! enverra, non seulement le gaz, 'I1 I bien le courant électrique I ll all MHHI n DEMANDEZ PRIX ET CONDITIONS DE VENTE Selon que vous serez puissants ou misérable Les tribunaux de Cour vous rendront lu, S Non il serait souverainement injUste d,. poser aux ouvriers et aux petits comnier le remploi de leur humble habitation leur modeste mobilier dans 1» °U coinniu 'mmages a lei lYJ Siège Social Bruxelles, Rue K°>a .J TOUQUET - SLYPE NIEjjCJ

HISTORISCHE KRANTEN

Het Ypersche (1925-1929) | 1923 | | pagina 4