)E ROODS LAMP i w I ■KI son article 1 8-12-23 1 den ■K i ’t Ypersche De 1 vier handelshuizen voor de welke ik hem mijne aanbevelingsbrieven getoond had. Wat kon ik anders dan God loven over een zoo groot geluk In mijn gemoed vond ik geene voldoende bewoordingen om aan dezen zoo hartelijken man mijn innige dankbaarheid uit te drukken. Ik bevond mij in een vreemd land, ver van alle mijne bloedverwanten en bekenden ’t is toch zoo troostvol niet waar, daar eenen weldenkenden persoon, eenen vriend aan te treffen, die belang in uw lot stelt Dus, volgde ik mijn vriendelijken leids man dwars door eenen doolhof van enge en sombere straten. Wij traden een ouderwetsch vervallen huis binnen. Daar fluisterde hij in der haast eenige woorden aan het oor van den diklijvigen poortier. Wij beklommen daarna eenen hoogen wenteltrap en bereikten eindelijk het zesde of zevende verdiep. Gewis, mijn verstand was erg door drank bedwelmd, en toch stond ik eene poos stil, als door den donder getroffen, bij het terugstöotend schouwspel van het morsige nest waar hij mij binnen bracht. Een met roet besmette lanteern verlichtte op akelige wijze de zwart berookte wanden daar, in den hoek, lag een afgrijselijke stroozak wat verder stonden twee kreupele stoelen en eene ver molmde tafel. Dit was nagenoeg het gansche huisraad. Mijn dienstvaardige vriend veront schuldigde zich, daar hij mij voor het oogen- blik niets beters aan te bieden had. Toevallig- lijk verkeerde hij in geldgebrek, men komt dat al eens tegen midden de menigvuldige bekommernissen des levens. De ware wijs- ^rij vertaald naar het Engelsch Is. ACHTERGAEL (vervolg) VIL de mensch, indien hij slechts wil, im- ”erz>jne slechte neigingen overwinnen kan, gezelschap der boozen steeds gevaar- iet kwade hier vaak reeds op aarde en het goede er ook meestal wordt, ziedaar de nuttige zedeles, uwen voordeele uitputten kunt. Bien que ces inconvénients soient trés graves, il faut reconnaitre au Gouvernement le droit de s’assurer qu’il est fait un emploi judicieux des indemnités allouées. Mais il mis dans l’impossibilité de toucher les indem nités qui lui reviennent, pendant de longs mois, a défaut d’obtenir l’indispensable certi- ficat de remploi qui lui sera délivré plus tard et sans aucune contestation. B. Il arrive aussi que des contestations soient soulevées par l’inspecteur du remploi. Celui-ci refuse de délivrer le certificat de rem ploi paree que la justification du remploi n’est pas jugée satisfaisante. A ce propos, voici un cas fréquent Le sinistré X.. a chargé un entrepreneur de lui faire une maison pour une somme de (met- tons 5o.ooo francs) soit le total des indemni tés. La troisième et dernière tranche des indem nités doit être versée au sinistré, mais après justification du remploi des deux premières tranches. Se présente un inspecteur du remploi qui constate que d’après lui la construction ne vaudra que 40.000 francs et qui refuse de délivrer le certificat de remploi. D’oü impossibilité pour le sinistré, d’obte nir la délivrance de la dernière tranche d’in- demnité, d’oü impossibilité par voie de con- séquence, de payer l’entrepreneur, d’oü trés souvent arrêt des travaux, menace de pro cés, etc. Voici une situation sur laquelle j’ai déja eu l’occasion d’appeler l’attention de Monsieur le Ministre. Tel particulier a fait reconstruire sa ferme par l’Etat. Il a pris possession de ses locaux construits selon les régies de l’art, confor- tables, modernes, bref, il est heureux et iln’a plus d’ennuis a craindre. Tel autre a fait réédifier une même ferme par l’entremise, par exemple des Boerenbon den Le Tribunal lui a alloué une indemnité. La ferme est batie, le fermier en prend pos session et le propriétaire s’entend dire nous évaluons votre batiment a une somme moin- dre a celle qui a été déterminée par le Tribu nal. Vous aurez a rembourser la difference C’est pour l’intéressé un trés lourd sacri fice, sinon la mine, et Ton comprend son désappointement. zweek ik onder het geweld der bekoring en geregeld begaf ik mij eiken avond in dronken toestand ter rust. Wat een voor heerlijke zomermorgen Hoe vroolijk blonk de zon aan den blauwen hemel toenik te New-York ontscheepte Nauwelijks had ik voet aan wal gezet, als reeds een lang mager heerschap, het bleek schrander ge laat, door eenen zwarten bakkenbaard om-’ lijst, op mij afkwam. Deze onbekende was zeer deftig aangedaan, zijne taal was be schaafd alles in hem getuigde van eene goede opvoeding. Dat ik een vreemdeling zijn moest, had hij aan mijn verlegen uitzicht ge raden hij ondervroeg mij op minzamen toon betreffend het doel mijner reis, mijne bestaan middelen, inzichten, en zichtbaar groeide zijne belangstelling aan, naarmate ik hem verder mijnen toestand ontwikkelde. God lof 1 wat al onervaren en onbezonnen jonge lieden, heb ik dank aan mijne langdurige ondervinding en aan mijne menigvuldige betrekkingen niet reeds te New-York op den rechten weg ge steld 1 zoo sprak hij. Wij brachten den ganschen dag te zamen door, bezochten de eene kroeg na de andere en ledigden menigen beker. Zooals gij den ken kunt, de nacht zou echter weldra aan breken. Hij bood mij vriendelijk zijne slaap kamer ter rustplaats aan. Trouwens, hij was een oude jongman, dat zou hem weinig stoor nis veroorzaken, en dan, moet men elkander op deze wereld niet helpen Des anderdaags, zou hij mijn leidsman wezen. Hij kende de stad New-York op zijn duimken, als ook de I M b m llhw autre exemple. La Cour des dom- je guerre de Bruxelles (4me chambre) n faveur de telle société qu’elle pourra je remploi en France en se basant ccord Franco-Belge et ce par un arrêt gewichtig, r- Pijnlijke omstandigheden van mijn ^2;jn u bekend, Mijnheer, zoo begon dn S Za^ 'k hier best over sPreken- tonaan b°ord van een schip de Washing- Mer<j ^enaani<^’ De matigheidsvoorschriften lioofd Op gemeld schip teenemaal over het ^MierZ'en' Verscheidene schraapzuchtige tegen raars verkochten er sterke dranken ^zelf0?1 £eiangen Prijs. De scheepskapi- ^nni '°nk Z’Ch meermaals zat. Dat zijne slechte voorbeeld volgde, hoeft ^^akt had gewis goede voornemens edoch reeds bij den derden dag, be- convient d’exercer ce droit avec modération. II ne faut pas que les inspecteurs du remploi fassent excès de zèle et se comportent comme des pédantesques pédagogues chargés d’exa- miner un devoir de style et qui heureux de trouver l’élève en défaut se réjouissent d’un accent omis ou d’une virgule superfine. Il n’y a lieu d’intervenir que la oü il y a faute lourde de la part du sinistré ou mani feste preuve de faute. II faut tenir compte de l’inexpérienoe des sinistrés en matière de batisse et chacun salt que les plus expérimentés en l’art de batir sont exposés a des mécomptes l’Etat qui a beaucoup bati en ces derniers temps doit en savoir quelque chose. Il doit suffire semble-t-il que le sinistré ait loyalement exécuté ses engagements. Quoi qu’il en soit, en cas de conflit persis tant entrele sinistré et l’inspecteur du remploi, quelle est l’autorité compétente, pour tran- cher le litige dans un sens ou dans l’autre il serait souhaitable que cette question fut tranchée. Aux termes de Partiele 65 de la loi sur les dommages de guerre, c’est au Conseil supé rieur des Dommages de guerre qu’incombe la mission de contróler l’emploi par les sinistrés des sommes mises a leur disposition en vue de la reconstitution du bien mais on voitdifficilement eet organisme intervenir dans chaque cas particulier. IV. - Revision éventuelle des jugements Mais, voici que se pose une autre question celle de savoir si certaines decisions const- dérées jusqu’ici comme définitives, sont sujet- tes a revision. La loi du 10 mai 1919 porte en 77 ce qui suit Les décisions qui auraient été rendues avant la publication de la présente loi par des Cours ou Tribunaux des Dommages de Guer re, sur des demandes relatives a des domma ges visés dans la présente loi, seront revisées et complétées conformément a ces disposi tions Depuis cette loi, certaines modifications ont été apportées a la loi sur les Dommages de Guerre, notamment en ce qui concerrie le remploi relatif a l’outillage industriel et com mercial. Cjtons un ■isi?«s c jéci- <flèduer décembre 1922. - t Opposé a cette thèse, ne se pour- b aS en Cassation, mais prétend que la e'X adoptée par la Cour ne peut être !eet fait savoir au sinistré, par lettre Jgjanvier IQ23 ce qui suit 3 En vue de permettre la liquidation de ['indemnité revenant aux sinistrés, il y 'jUrait lieu pour eux de s’engager a leur lChoixoubien a faire la reconstitution sur le ,territoire beige, e’est-a-dire se réinstaller en (Belgique en justifiant de la réquisition des (biens meubles achetés en Belgique ou a d’étranger, ou bien a faire la reconstitution ,surle territoire Franqais, mais a la condi tion dans ce cas, d’acquérir en Belgique les biens mobiliers a reconstituer Les indemnités ne pourront être payées qu’après que le remploi aura été effectué Dequel droit l’Etat prétend il mettre de •Iles conditions De quel droit s’avise-t-il ienepas exécuter la décision intervenue A juste titre, la Revue des Dommages de nerre a protesté contre pjreille attitude en irésentant les sévères observations que voici «II semble singulier que le Ministère des Affaires Économiques ne se soit pas pourvu en cassation contre les dispositions de l’ar- rêt de la Cour, étant donné qu’il semble dès le 18 janvier ne pas en admettre le disposi- tif. Il nous parait étrange de voir réformer administrativement une décision régulière. (Nous nous demandons dés lors a quoi ser- ventles juridictionsdes dommagesde guerre si 1’une des parties en cause s’arroge le droit de ne point respecter leurs décisions». III. Verification du remploi Quant au mode de vérification du remploi, n’est pas sans présenter de graves incon- snients. A. Soit mauvais vouloir, soit insuffisante ■ganisation du service d’inspection du rem- bi, il se fait que, trés souvent, sans motif, certificat de remploi se fait attendre de Ings mois. Il n’est pas rare de voir que tel nistré, qui a rebati a 1’aide de ses propres eniers ou a 1’aide d’argent emprunté, soit kt het r y ‘s, dat h straf vindt, ’«loond r Eü er ten aeene poos van diepe overweging VIII e beweegredens, die mijn noodzaakten mij te verwijderen, als- ’«drek Ik I DOOR dU 22 I Mede '7; 1-1 -

HISTORISCHE KRANTEN

Het Ypersche (1925-1929) | 1923 | | pagina 3