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Conclusion
Quand on examine la faqon de juger les
affaires de dommages de guerre, celle dont
les jugements s’exécutent ou même l’éventuelle
revision de certains jugements, on est amené
a faire des critiques. On constate des exces
de zèle, des partis pris, des négligences, par-
fois même du mauvais vouloir.
Ces reproches que je considère comme fon-
dés s’adressent moins au ministre qu’a cer
tains de ses fonctionnaires.
Il faut espérer qu’a 1’avenir, il n’y aura
plus lieu de les formuler je l’espère et pour
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des affair
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begeerte bestaat in manmoedig aan de slechte
kans het hoofd te bieden. Zijne familie was
zeer achtbaar, zeer rijk. Zij zou hem eerlang
eene aanzienlijke somme gelds zenden, en dan
was hij er weder boven op.
Vermoeid van de reis, duizelig door het
bovenmatig drinken, wierp ik mij gansch
gekleed op den stroozak, en sliep weldra zóó
hard in, dat de trompet van het laatste oor
deel mij niet wakker hadde geschud. Toen ik
des anderdaags de oogen opendeed, was het
reeds tamelijk laat in den morgen. Een flauwe
zonnestraal drong door het enge dakvenster-
ken en deed de akelige naaktheid van dit ellen
dig verblijf nog levendiger uitschijnen. Ik
bestatigde gansch verbaasd de afwezigheid van
mijnen dienstvaardigen gezel. Waar was hij
heen Waarschijnlijk, zoo dacht ik, heeft eene
haastige bezigheid hem in de stad geroepen,
en zag hij er tegen op om mij te ontwekken.
Ik wachtte ongeduldig op zijne terugkomst.
Een onverklaarbaar angstgevoel beving mijn
hartEene uur, twee, drie uren gingen
voorbij, de minuten, die verliepen, schenen
mij eeuwen te zijn. Waar toch bleef hij zoo
lang Eindelijk door den honger gekwollen,
verliet ik dit naar verblijf en daalde den trap af.
Een spek of worstkraam stond rechtover
het ouderwetsche huis. Daar aan de toon
bank zou ik een wit tarwebroodje en eene
snede hesp koopen. Ik ging betalen. Maar o
hemel wat kwam mij over Eene plotselinge
bleekheid verspreidde zich over mijn wezen,
eene siddering doorliep mijne ledematen, mijn
geldbeugel was weg, weg, met 40 franken die
Aucune modification n’a été apportée a la
disposition de l’art. 77 mais cette disposition
a pris place dans le texte des lois coordon-
nées des 8 septembre 1921 et 10 mai 1919.
Dans ses arrêts du 12 juillet 1922 et du 3i
mai 1923, la Cour de Cassation considère
cette disposition comme faisant partie de la
loi du 8 septembre 1921 d’oü il s’en suivrait
que de nombreuses décisions considérées
comme définitives seraient en réalité, sujettes
a revision.
Par l’effet de cette jurisprudence, qui
parait erronée, on pourrait donner effet rétro-
actif a des dispositions auxquelles le législa-
teur n’a nullement voulu donner ce caractère.
II est vrai que la Cour de Cassation pro-
nonce ses arrêts en toute indépendance et
qu’il ne nous reste qu’a nous incliner devant
ses arrêts, même lorsque nous les considé-
rons comme basés sur des considérants non-
fondés.
Mais, il importe de savoir si, éventuelle-
ment, le Gouvernement serait disposé a
mettre a profit semblable jurisprudence pour
provoquer des révisions de jugements pris.
En ce cas, il y aurait lieu de protester cen
tre une attitude allant manifestement a ren
contre de la volonté maintes fois exprimée
par le législateur.
Qu’on dise une bonne fois qu’il y a droit
acquis au profit du sinistré dès qu’il y a sen
tence définitive, dès qu’il a passé devant les
juridictions des Dommages de Guerre. Il y a
juridiction d’appel il y a cassation éven-
tuelle faut-il vraiment qu’il y ait encore une
possibilité de revision en vertu d’un article
de loi post-daté II ne faut pas donner l’im-
pression que tout puisse être remis sans cesse
en discussion.
les sinistrés eux-mêmes et pour 1 Etat.
Pour les sinistrés car ils sont intéiessants
et leurs misères ne devraient pas s accompag-
ner de mille et une vexations.
Pour l’État celui-ci a fait des efforts con-
sidérables.
D’une manière générale, il satisfait a ses
engagements et si difficile que soit sa situation,
il n’hésite pas a consacrer les millions néces
saires a la restauration des régions dévastées.
Mais, par suite de certains procédés en don-
nant, comme a regret, ce qu’il donne, en cher-
chant a restreindre les droits des sinistrés par
des artifices de jurisprudence, il perd, dans
les régions dévastées, le bénéfice de son
grand geste. Le sinistré finit par ne plus voir
que certaines vexations sans s’arrêter a l’im-
mensité du sacrifice. C’est regrettable.
Bien que la Chambre n’ait pas voté les dis
positions proposées contre les cessionnaires
de dommages de guerre, bien que la Loi sauf,
quand il y a exploitation, confère, dans l’in-
térêt de la restauration le droit au remploi,
des fonctionnaires continuent systématique-
ment a faire tout ce qu’ils peuvent pour que
le remploi ne soit pas accordé a ceux qui ont
racheté des ruines avec droit aux dommages.
II importe que les choses soient mises au
point plus d’Appels arbitraires, plus d'affai
res qui trainent des mois et des mois avant
de recevoir en Appel une solution plus d’en-
couragements d’aucune espèce a une jurispru
dence restrictive, plus de retards ou de tra-
casseries, dans l’exécution des jugements,
plus d’inspecteurs de remploi a mentalité de
pions, en un mot application loyale de la
Loi sur les Dommages de guerre.
Et, si certains magistrats adoptent trop
facilement des théories fantaisistes, sorties
des bureaux comme celle se rapportant aux
cessionnaires qu’on les fasse voyager de
temps en temps dans les régions dévastées oü
ils prendront contact des réalités nous
aurons ainsi la tournée des magistrats de la
Cour d’Appel de Gand dans nos régions dé
vastées elle offrira pour le moins, autant
d’intérêt que la tournée des journalistes néer-
landais.
Programme simple etclair exécution loyale
de la part des sinistrés, de leurs obligations
exécution loyale aussi de la part de l’État, de
ses obligations sans vaines chicanes et sans
inutiles et dangereuses vexations.
onderhoud voorzien Ik kende geen anil»
en wat mijne geleerdheid betreft, dezej
van geringe beteekenis. De in lomp^l
hulde bedelaar, weet nog immer hoe en|
hij de bijzondere openbare liefdadig
roepen zal. De armste daglooner beziI
immer den schat zijner sterkgespier e j
tot allerhanden ruwen arbeid bek''^J
ik was rampzaliger dan beiden. J
maar al te wel, dat mijne kastijding
dat ik mijne vroegere misdrijven 1
schrikkelijke wijze zou uitboeten. I
Aan welke bron thans troost gep“ I
Waarheen mijne schreden gerlC J
Wanhopig dwaalde ik vvel ia
straat uit. Ik las gretig de aan J
aan de vensters van zekere l’OO'wl
zen en handelshuizen geplakt.
vreesachtig bevend in verse
stichten aan en verzocht ei0
plaatsje van kantoorbediende, II
boodschapsdoener. I
Ach 1 hoe voelde ik telkens I
teleurstelling in den boezel I
menigmaal bewolkte het roo
mijn voorhoofd 1 Meerniaa I
gene snaaksche bediende me I
heid den spot.... Ja, zeker
zeker I
1 kunnen aanvaarden..niaa^
I ik nog wat mijne broek °P
verslijten eerst en vooral n1 Ui
ten tot dat mijn knevelbaar K
kortom, ik was een kou gFI
ik bezat de vereischte keo11 I
heden niet.
M. Van de Vyvere; ministre
économiques (en flamand) t>
répondre brièvement aux interpe|?
Si je considere l’mterpellation 1
sens littéral, je constate que> d’a - dans s
pellateurs, les fonctionnaires dev^ leS'n’
la jurisprudence, mais seulementT1
jugement vient corborer leur opinu^
Aussi, je désirerais que ]es int" t
montrassent autant de respect p0Ur 1
naux que moi-même pour h chose'ju? W
11 peut arriver certes, que, parsn?“f
trop grande precipitation, une
insuffisamment instruite. Mais
s’agir ici que de cas tout a fait exception!
Lorsque le tribunal statue, il établits’ji
lieu a remploi.
L’administration doit alors examiner 1
d’abord le jugement même ensuite, elle,
décider de quelle manière le remploi
s’effectuer, car le tribunal ne fixe pas dui
ce point.
Le second point concerne le montant
remploi. Le tribunal fixe un maximum. D’aj
la loi même (art. i5 et 22), j’ai le devoid
ganiser un controle en matière de remploi
Ce controle a pour but de s’assurer s
remploi a eu réellement lieu, si les som
ont suivi leur destination et si le propriet
a agi en bon père de familie.
C’est un principe en la matière que, en!
ce qui concerne les dommages, le sinistré;
comme mandataire, devant seconduirecon
un bon père de familie.
Le controle permet également de voir si
sinistré, avec l’indemnité lui accordée.i
faire exécuter les réparations nécessaires;
s’il a pu faire davantage, et, dans ce dern
cas, ayant requ plus qu’il ne fallait, l’excéi
doit être versé au Trésor.
A eet égard, mes fonctionnaires onti
conformer a la loi. S’il y a des plaintes,cd
ci sont examinées.
J’ai consulté la liste des plaintes intro
tes et j’ai constaté que, généralement,
n’ont trait qu’a des sommes relative
minimes.
Dans ce cas, et surtout lorsqu’on ag
bonne foi, on n’insiste pas, laissant bénéK
les sinistrés des améliorations, sansrisM
au profit du Trésor.
En dpoit on ne peut done pas dirfl
l’inspection du remploi est une moftB
hij bevatte en weg waren ook mijne aanbeve
lingsbrieven Ik stond om dood te vallen
wat was er van geworden Gisteren avond,
bij ’t slapen gaan, had ik nog alles op mij
Dit herinnerde ik mij zeer goed. Waarschijn
lijk was mijn gansche schat, des nachts bij het
omkeeren op den stroozak uit mijne zakken
gerold. Pijlsnel vloog ik op mijne stappen
terug. Helaas, mijne opzoekingen bleven
vruchteloos Beneden gekomen, ondervroeg
ik haastig den diklijvigen poortier. Een fijne
spotlach speelde op dezes lippen.
Wat zijt gij nog groen, schertste hij,
thans is ’t vruchteloos geschuifeld. De vogel
is gaan vliegen en terug keeren zal hij niet...»
Nu stond mij de zaak klaar Een ellendige
gauwdief, een vuige afzetter, ja, dat was die
schoone deftige heer met zijne innemende
manieren. Zoo leerde ik voor de eerste maal,
dat het al geen goud is wat blinkt, dat men
niet altijd de lieden naar hun uiterlijk oor-
deelen moet, en dat een bescheiden wantrou
wen in den vreemde eene niet te misprijzen
deugd is.
Ik doortastte, met zenuwachtige aange-
jaagdheid, mijne beide onderlijfzakken. Bij
geluk stak daar nog een arm half franksken in
de voering verdwaald, zoo toch mocht ik den
wreeden honger stillen die mijne ingewanden
verknaagde. Verbeeld u mijnen toestand
Hier stond ik nu, midden deze reusachtige
stad, als uit de lucht gevallen, alleen, gansch
alleen, zonder bloedverwanten of vrienden,
zonder levenservaring, zonder kruis of munt
op zak 1 Hoe of waarmede zou ik in mijn
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