LA
BRIQUETERIES
Direction Commerciale, 4, rue du Gouvernement,
LVS
DE
Vente de briques aux Entrepreneurs par fours complets
on par mille, sur wagon
cent valeur
I
Crase de Logement
A
SLYPE
cause en
n’a pas ou peu
coefficient que
Société Anonyme Capital Fr. 2.500.000
CHANTIERS A WARNÊTON
Causes Remèdes
Question brulante que d’aucuns se deman
dent si réellement elle existe la nier serait
autant dire qu’un aveugle voit clair. Tous les
journaux épiloguent journellement sur cette
question épineuse sans y porter le moindre
remède. Examinons done froidement les
considérations qui peyvent, non amener la
solution, mais une grande atténuation au mal
qui sevit, et pour les clairvoyants n’ira qu’en
s’accentuant.
Il est tout naturel que la première
est la guerre. Depuis 1914, on
bati. En ce moment, ilfaut un
Siege Social Bruxelles, Rue
TOUQUET
Sadresser soit au Siège Social a Bruxelles
soit aux Chantiers directement, soit a la
1 l0CaleSdU
Prejudiciable.
toute i’
!nsemble
lage
confine aux environs de 6 pour
1914, suivant les localités.
Qui construisait avant guerre Ecat tons
d’abord les personnes construisant leur home
pour leur usage personnel dans les grandes
villes, des capitaux étaient placés dans des
maisons de rapport les entrepreneurs de
maqonnerie, de charpente, etc., pendant la
morte saison, occupaient leur personnel a la
construction de. maisons ouvrières et bour
geoises en province n’a t-on pas vu surgir de
terre des rues entières, construites par des
boulangers, bouchers, épiciers, etc., voulant
ainsi s’assurer la clientele de leurs locataires
Tout cela amenait la farine au moulin La
crise n’existait pas.
Depuis, toüs ces moyens ont disparu et,
1’egoisme engendré par la guerre aidant, la
situation normale ne reviendra pas de si tót
nous insistons sur ce point, car si des mesures
énergiques ne sont prises la crise du logement
deviendra une veritable calamité sociale.
Ouand on a vu la dépouille mortelle du père
pendant 3 jours dans une salie commune, oil
1’on dormait et mangeait quand on a vu
une mere donner le jour a son huitième
enfant dans 1’unique chambre qui sert d’habi
tation a toute la familie, le coeur se soulève de
pitié. Que fait-on de la morale La société ne
se sent-elle pas coupable de son inertie ?Qu’on
ne nous accuse pas d’exagération D’autres
personnes ont constaté les faits ci-dessus
dont nous .garantissons l’authenticité dans
toute leur horreur.
Nous parions sans haine et n’accusons pas,
mais un devoir s’impose, et toute personne
imbue de sentiments d’humanité et de solida-
rité doit aider a la solution. C’est pourquoi,
voulant apporter notre faible aide, nous sou-
mettons ces suggestions.
Nous espérons que les critiques y apporte-
ront des améliorations, nous pourrions les
discuter en commun en nous inspirant de la
deviseDu choc des opinions jaillit la lumière.
Société Nationale des Habitations
a bon Marché
Cet organisme était appelé a rendre de
grands services, les exigences budgétaires
ont restreint ses ressources. Est-ce un bien,
est-ce un mal L’avenir nous rendra sages.
Cette institutiontient-elle réellement compte
dans la distribution des subsides des besoins
du pays Ne vont ils pas trop aux grandes
villes II est a noter qu’elle ne parviendra
jamais a y supprimer la crise du logement.
Dans ces centres, des besoins nouveaux se
répèteront continuellement par l'exode de la
campagne vers la ville, ce qui est plutót un
mal envisagé au point de vue économique et
du bien-être du locataire.
Quant a la vente des maisons par cette
société, nous en avöns jusqu’ici été partisans.
Mais nous avons dü depuis en rabattre et
nous la considérons comme une erreur. Notre
opinion s est faite après une petite enquête
sur place. Voici la réponse de locataires
d habitations a bon marché Si j’avais l’ar-
gent nécessaire au payement de la maison
louée, j’en construirais une a mon goüt et la
oü il me plairait. Cela parait d’ailleurs
assez logique. On pourrait tenter, nous insis-
tons sur ce mot, la vente par annuités. Quel
en sera le résultat-?
D autre pait 1 autonomie des sociétés loca
les deviait être d’avantage respectée il faut
tenir compte des us et coutumes de la région
Een grondbegin in deze zaak is dat voor
alles wat de schade betreft, de geteisterde een
mandataris is die zich hier als een goed huis
vader te gedragen heeft.
Men weet dat vaak de geteisterde, met de
toegewezen som, zijn huis heeft kunnen her
stellen en er zelfs meer heeft kunnen aan
toevoegen. In dit laatste geval, heeft hij meer
bekomen dan hem toekwam en het te veel
moet terug naar de Schatkist. Mijne beambten
moeten in die zaken naar de wet handelen.
Zijn er klachten, dan moeten die nagegaan en
onderzocht worden. Ik heb de lijst dier klach
ten aandachtig nagezien en bevonden dat zij
meestal slechts kleine sommen betreffen.
In die gevallen, en vooral wanneer er te
goeder trouw is gehandeld geworden, dan
wordt er niet op aangedrongen en laat men de
geteisterde van de aangebrachte verbeteringen
genieten, zonder van hem eenige wederstor-
ting te eischen.
In rechten kon men dus niet zeggen dat het
nazicht van de wederbelegging eene wijziging
is van ’t vonnis. De wet schrijft het ten andere
voor. De zaak moet dus opnieuw terugkomen
voor de rechtbank, indien het nazicht uitwijst
dat dit noodig is.
Eene uitzondering is er, waarbij de kracht
van gewijsde niet kan ingeroepen worden
namelijk wanneer er bedrog werd gepleegd.
Zijn er nu misbruiken voorgekomen in de
quaestie van het nazicht, dan zal ik het noodige
doen om ermede zoo gauw moge'ijk gedaan
te maken.
De heer Missiaen (in ’t Vlaamsch). Ik zal
het kort trekken.
Alleen wil ik doen opmerken, dat, ofschoon
ik niet gansch voldaan ben over 's minister
antwoord, ik niettemin zekere bevrediging
heb, omdat de minister ons verklaart, dat het
gewijsde stee Is moet geëerbiedigd worden,
tenzij wanneer er bedrog werd gepleegd.
Verder zou ik toch willen, dat, in elk geval,
de geteisterde zijn geld ontvangen zou om den
aannemer te betalen, mits hij desnoods later
aan den Staat zou teruggeven, wat hij te veel
zou gekregen hebben.
Degenen, die bedrog plegen, verdedigen wij
niet. Wij hebben het alleen over de opzieners
van de wederbelegging, die niet zelden optre
den met een zeker soort ambtsmisvorming.
Moge de minister ons nu nog toegeven, dat
het wederbeleggingsattest in elk geval zou
afgeleverd worden, met voorbehoud later des
noods het teveel terug te geven, dan hebben
wij volle bevrediging. (Bij de uiterste linker
zijde Zeer wel
De Voorzitter. Het incident wordt geslo
ten.
et ne pas imposer des plans dont 7
fait ressembler l’agglomération e'
chinois. Utl vilt
Le contact entre les sociétés
société nationale est nulle et
les administrateurs des sociétés J
Belgique devraientseréunir soit en a I
soit en congrès, au moins une fois SSeniblée,
les discussions feraient fructifier pParannée;
Quoiqu’il en soit, la Société Naf
mérite des encouragements et est
appelée a rendre de sérieux services.
Régions Dévastées
La reconstruction rapide des regions
tees attenuera largement lacrise du lOge
car ceux qui doivent encore rentrer décon^
tionneront les grandes villes et hi «T"
place a d’autres gens sans abri.
II est indéniable qu’un grand effort a ét’
fait dans le sens de la reconstruction et hon^
mage sans restriction doit étre rendu aai
pionniers qui y ont contribué.
Il y a encore beaucoup a faire, on devrait I
même prendre une mesure par laquelle on I
forcerait les indifférentsou incapables a mettre
la main a l’oeuvre, et si d’ici un anilsn’y ont
obtempéré on devrait reconstiuire a leurs
risques et périls. Bien entendu, il serait fait
exception, la oü l’État n’a pas encore pris de
décision définitive quant a l’alignement (cela
existe encore malgré que certains sinistrés
soient privés de leur m^ison depuis 1914).
Les tribunaux des dommages de guerre des
régions réellement dévastées, auxquels nous
rendons d’ailleurs hommage, devraient s’op-
poser radicalement a la suppression d’une
maison et par contre accorder la reconstruc
tion de maisons en remplacement de chateaui
si ces derniers sont situés dans un centre peu
populeux, et en permettre la reconstruction
dans des communes limitrophes la oü la
population est plus dense, mais, bien entendu,
toujours dans les régions dévastées.
La Dette de la Reconnaissance
Que de monuments, que de couronnes, que
de fleuis, que de discours, n’a-t-on pas voués
aux morts de la grande guerre On a trés
bien fait et on ne saurait avoir assez de
reconnaissance envers ces héros qui ont
versé généreusement leur sang pour l’huiw-
nité. Mais ces morts, peut-être, nous crient
d’outre tombe Assez de tout cela, cette
reconnaissance la'vous coüte cher et ne pro-
duit rien, donnez ces millions a nos freres
d’armes mutilés, nous sommes morts mais
nous avons des frères aveugles, estropiés,
sans bras, sms jambes, pensez a eux, peut-*
être n'on tils pas de gite 1
Cette voix, nous devons l’écouter. DanS
chaque localité on doit formerun comité po«f
ériger la maison du mutilé ou, a defau
celui-ci, au combattant ayant la plus gra
familie. Ce ne sera pas une auinóne, ce
simplement la dette de la reconnaissance.
but serait double: humanitaire et utie-
y a en Belgique plus de 2.600 communes,
seraient autant de constructions n0U.V^fl.
Chaque commune aura sa maison, ff
tera son mutilé et personne ne re^US^oa,
souscription. En avant done ^e^eSRö;or
naissants pour l’oeuvre de la Dette e
naissance a double but. Je soG'
Régénérons l’esprit de fraternité et
darité, apprenons aux enfants qu au
de la maison du mutilé ils ^°’Ten gsaDc«
d’abord le mutilé, ensui^Ha^rc^'’^^
Royale. 23
i
DEMANDEZ PRIX ET CONDITIONS DE VENTE