Oorlogsschade-Oommages de guerre j Notes sur la non-réciprocité de traitement des sinistrés Beiges en France, qui sont moins biens traités que les sinistrés Francais en Belgique, lesquels jouissent des meines prérogatives que les ressortissants Beiges. Met spaarzaamste Autorijtuig Gebruikt de KLEUREN en VERNISSEN Franco-Belffe der wereld. -- Besparing in het verbruik en van a11^1 VERBRUIK OP DE 100 KILOMETERS Alleenver koopers: Garage auJ proeven gratis op g52 625 2375 920 3040 35o 295 - 27-855 1960 io65 9440 - «970 - 255 5i3o - 5325 i6fo i3g5 - i4.53u 11 <.840 lsWj tails J, ■fend no® Kataloog en ||j FABRIEK Legein Gebr*, Brugge. DepotVANDE LANOITTE, Dixtnu- destraat, Yper. F l.i de laatste zitting der Scheidsrechterlijke Commis sies werd de schade, waarde 1914, als voljt vastgesteld voor de hiernavermelde geteisterden Dans la dernière séance des Commissions Arbitral*s la valeur des dommages 1914 a été fixée comme suit pour les personnes ci-dessous Wervick Biesbrouck Omer Nollet-Fastre Henri z Ferest-Tillie Henri D’heere Eudoxie Bonduelle-Coene Jean V' Vancompeinolle-Bouckhuyt Carrein Théophile Billiet Cael Gustave We Decaluwe-Raeke Liefuoghe Céline echt. Tops Dermaux-Therry Pierre Richard Grison Valère Ve Dujardin Pierre Desmadryl Leonard Verschaeve Ramon Henri Deeb rcq-Catuau Triphon Ghelu we Goemaere-Soenen Joseph Patlyn Marie Verhaeghe-Rose Henri 7 12 liters NAPHTE 250 grammen OLIE D U Cie, Meenenpo0 Nous Usovs dans Les Régions Libérées de Paris, la note suivante Ayant exposé un cas particulier a M. le Ministre des Affaires Économiques de Bel gique, chargé de la réparation des domma ges de guerre, il répond, par lettre du 10 septembre 1928, que les Franqais en Belgi que sont traités sur le même pied d’égalité que les Beiges et que la jurisprudence iran- qaise, contrairement a celle de Belgique, ne tient pas compte des changements subsé- quents de nationalité des dommages les lois beiges coordonnées des 10 mai 1919 et 6 septembre 1921, traitant les sinistrés fran qais en Belgique sur le même pied d’égalité que les sinistrés beiges, je conclus done qu’un traitement de bonne et loyale réci- procité s’impose en faveur des sinistrés bei ges en France. En ce 'qui concerne les dommages immo- biliers, Son Excellence me signale que la Joi beige prévoit le remploi dans toute l’étendue de la commune du lieu du sinistre. L’esprit d’équilé des lois beiges sur la répa ration des dommages de guerre forme la Charte des sinistrés francais en Belgique, lesquels, sont traités sans distinction de ré gime avec les ressortissants beiges. Le sinistré beige en France ne jouit pas des mêmes avantages, il est ligoté par les textes de 1’accord franco-beige qu’on lui oppose et qui lui portent un grave préjudice de liberté et de remploi. En' Belgique, le sinistré franqais a le droit de remployer au meme titre que les sinistrés beiges ses dommages immobiliers dans toute l'étendue de la commune oil le dominate a eu lieu en immeubles ayant 1° La même affectation ou une affectation analogue 20 Ou bien en imm-ubles ayant un intérêt économique. L’article 20 de la loi du 10 mai 1919 mo- difié par 1’aiticle 20 de la loi du 6 septembre 1921 stipule en outre que les bénéficiaires franqais d’une ou plusieurs indemnités pour dommages subis en Belgique, peuv^nt les apporter en Socié en vue de la reconstruc tion d’écablissements industriels, commer cially ou agricoles dans toute l’étendue de la commune elle prevail encore que de tels rem- plois pourrontse transporter dans toute l'étendue du royaume de Belgique, avec, da s ce cas, Tautorisation du tribunal des dommages <ie guerre donne-t on de semblables facilités aux sinistrés beiges en France En France, le sinistré beige est ligoté, obligé au remploi sur place el en identique, il ne peut déplacer son industrie ni ses immeu bles, malgré les nécessités du progrès ou autres raisons et certains vont perdre les frais supplémentaires pour avoir méconnu les rigueurs des accords franco-beiges, décret franqais du 24 octobre T919. Les lois beiges ne faisant aucune dinstinc tion de traitement entre les sujets de Sa Majesté Albert ier et les sinistrés f anqais ayant subi des dommages de guerre en Belgi que, 1’abrogation des accords franco-beiges de 1919 s’impose. Par réciprocité, la France juste titre combien il est cette reunion, il n’a pas été veritable renaissance de eet retour a l’endroit même oü il perpétuité. II est incomprehensible, en effet les groupements qni, d’après leur’Je blent créés pour travailler au rétablh de eet institut dont ils represented ij* nir, on n’émet pas même le veeu dej reconstruire. Ainsi, il parait qu’il existe une oeuvre pir Madame Houtart-Carton deWiart le titre suggest if Les Amis de Messinê, présidée par Madame la Duchesse de V( dome. Peut être ignore-t on rheme a Messi 1’e.xistence de ce groupement, car les pers nalités qui le constituent semblent nejaj avoir mis le pied a Messinesdepuis la gue Est-ce que tous les efforts de cette phiiantropique seraient done dirigés l’établissement de Lede, qui a déjaengl, une notable portion des dommages de gut de celui de Messines, ainsi que les dons 1 a ce dernier, tant par le Comité de Dan Hollandaises que par la République de Ci et qui absorbe en outre tous les revenusi 1’Ancienne Abbaye de Messines A-t-onse lement mis Madame TAuguste Présidente courant de ce qui s’est passé pour rari Messines 1’Institut qui doit s’y trouver! Et l’Association d’Anciennes F.Ièves, fod a 1’initialive de Madame A. Laurent, pi laquelle on croirait que doivent rerun bien doux souvenirs des années passéesn eet établissement si imposant, oü ces Da et Demoiselles ont requ leur éducation,et était si bien situé sur une colline, dansim si pittoresque, d’oü la vue s'étend sur vaste horizon Faul-il que les anciennes! ves s’habituent aussi a dire Messines peut rester en ruines. I ITnstitutde Lede, ce cadeau magnifiqueo par le Gouvernement avec les indemniteit venant a l’Établissement de Messines. PeJ Messines, cette petite ville, qui lut Ie be de l’Institution Royale. Elle doit reder®1 dite, car elle a été coinplétement dévasteej la guerre. A Messines, qui fut jadis villes importantes et des principals Ion la Flandre, il faut enlever tout ce qui rap son brillant pass Quand done pourra t-on trouver sonnalité assez influente pour faire aux communes dévastéès cequileur? conformément au droit et a la JustlCgfl^, Messines réclame son Institution Warnêton réclame sa sucrerie. Ypres réclame son École de ie son École de Cavalerie, et niai établissements. -uvoir^l La Region dévastée sentbled pouillée de tout, au profit de a trale du pays, vers laquelle afflue ressources des Régions exlr®raeS’>/x«0f Un attcitft 31 a le devoir de donner aux dommages subis par des Beiges les mêmes libertés et les meines facilités de remploi et de paiement qu aux sinistrés franqais, dont le statut est régi par la loi du 17 avril 1919. Afin de faciliter le redressement de Ia si tuation faite aux sinistrés beiges en France, ne prendriez-vous pas en mains, avec quel- ques amis députés, les intéréts des sinistrés beiges en intervenant auprès du gouverne ment, signalant a la Chambre, dès sa rentrée, l’écart choquant de traitement qui existe entte les sinistrés franqais en Belgique traités sur la base de la loi beige sans aucune distinction, tandis que les sinistrés beiges en France sont bloqués par 1’accord franco-belge d’octobre 1919 qui doit, dans l’état des choses actuel- les, poussées a l’extrême par les agents de la reconstitution, être considéré comme un moyen de brimades que vous savez apprécier. L’article 8 de la loi beige du 6 septembre 1921 qui compléte l’article 8 de la loi du 10 mai 1919, dit textuellement que les person nes physiques et juridiques étrangères sont admises au bénéfice de la loi 11 va quelques interventions en perspec tive sur la nationalisation et sur la ques tion d’imputation au point de vue fiscal, vous pourriez saisir vos collégues et faire cause commune pour redresser cette situation facheuse. II y a urgente a réparer cette difference de traitement inflig'e aux sinistrés beiges en France, ce qui leur fait subir bien des tribula tions, des retards, en lèsant considérablement leurs intéréts, ce ne peut étre la récompen&e du loyalisme qu'ils ont témoigne a leur seconde Patrie. G. L. Vraag aan de eigenaars van een CITROËN-AUTO wat zij er van denken. L’Institution Roya|G de MeSsin -- Le journal La RégiOn q- a ses nombreux lecteurs l’artic^” journal Neptune dorniantkV^ d’un banquet qui a réuni a breuses anciennes élèves q de Royale de Messines. 1Institutio Notre vaillant journal, qui déf d’ardeur les droits et les revend nos communes déva-t>e<s SUrprenantque)d) .^estionde 'nstitut, de, a établi ikh» nra r 19 - ltrem^uer

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Het Ypersche (1925-1929) | 1924 | | pagina 2