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La voiture la plus écoaomique du monde. - Économie dans la
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Avis aux Sinistrés
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Voici la lettre par laquelle M. Beaupain a
chargé le Président de la Fédération des
Sinistrés de 1’arrondissement d’Ypres d’excu-
ser son absence. Les sinistrés seront heureux
d’en prendre lecture.
Nous formons des voeux pouf le prompt
rétablissement des dévoués MM. Buyl et
Beaupain et comptons sur leur présence a la
reunion du io février.
Namur, le io janvier 1924.
Mon citer Président,
Je vous remercie de votre mot aimable et
je vous prie d’agréer en retour tous mes voeux
pour vous d’abord et pour les vótres, pour la
réussite aussi de nos communes revendica-
tions.
Jusqu’a ce jour je pensais bien pouvoir être
dimanche a Ypres. Depuis huit jours je souffre
d’un gros rhume, mais j’espérais pouvoii m’en
débarrasser et être fidéle au rendez-vous
dimanche prochain. Hélas 1 je vois bien que
qa ne me sera pas possible non seulementje
suis tout a fait aphone, mais par surcroit je
suis obligé de prendre de grandes precau
tions. J’ai voulu sortir quand même pour faire
humeur a certaines obligations et je paie a
présent cette imprudence.
Dites bien a tous nos amis combien je suis
peiné de ne pouvoir être parmi eux, j’aurais
voulu leur dire ce que nous avons fait pour la
cans? qui nous est chère j’aurais voulu ap-
porter mon tribut de reconnaissance pour le I
généreux concours que nous ont apporté en
toutes circonstancés des hommes comme Buyl
et Glorie j’aurais voulu dire toute mon admi
ration a la vaillante Region d’Ypres qui pour-
suit avec tant de vaillance et de fermeté le
bon combat pour une cause juste. J’aurais
voulu surtout sonner le ralliement des éner-
gies d une heure 01'1 plus que jamais nous avons
besoin d’union et de solidarité. J’aurais voulu
montrer aux sinistrés, qui croient pouvoir se
désintéresser de la hitte paree qu’ils ont recu
satisfaction, qu’ils doivent rester a nos cótés,
qu’une menace pèsera sur eux tant qu’il res
tera un seul dommage a régler, qu’il y a des
gens qui ré vent encore de remettre nos droits
en cause et de nous reprendre a la faveur de
l’indifférence, de la lassitude ou de l’envie, ce
que nous avons dii arracher a la parcimonie
de gens trop enclins a considérer les sinistrés
comme des profiteurs de guerre d’une espèce
spéciale.
I out cela je vous demande de le dire a ma
place.
Croyez bien que j’éprouve un véritable
chagrin a ne pouvoir me rendre dans cette
bonne ville d’Ypres oü j’ai toujours requ un
accueil si bienveillant, oüj’ai toujours senti
les cceurs battre a l’unisson du mien. J'espère
que cene seraque partie remise. Je serai parmi
vous a une prochaine occasion, car vous savez
que vous pouvez compter sur mon dévoue-
ment le plus absolu.
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der voormelde streken in ’t algemeen slechts
over één enkele plaats van gansch hunne wo
ning mochten beschikken
De afgevaardigde van Sladen voegt erbij dat,
in zijne gemeente, men de betaling vergt dei
belastingen voor de jaren iqifi, 1916 en 1917
alhoewel Staden reeds ontruimd was 1
De vergadering wordt om 17 uur geheven.
Herinnert U het inteiview van Minister
Van de Vyvere verschenen in Le Soir van
l5 December 1923
De ontbinding van het Ministerie van
Economische Zaken ging binnen de 2 tot 3
maanden plaats grijpen en al de zaken gin-
gen verzonden worden voor de Vredege-
rechten en voor de Hoven van Beroep
De toestand is zeer hachelijk en dreigend
het is dus volstrekt noodig U te vereenigen
en U nauwer aan een te scharen.
Twee uitspraken van het Verbrekingshof
vergrooten de ontreddering zal men de von
nissen herzien geveld tusschen de jaren 1919
en 1921 Over die zaak ondervraagd heeft de
Minister geen klaar en duidelijk antwoord
gegeven.
De geteisterden moeten een geheel, een
blok uitmaken, om dezen achteruit te
doen wijken die nieuwe inbreuken willen doen
op hunne rechten.
Wij zijn de slachtoffers maar willen niet op
nieuw geslachtofferd worden. (Toejuichingen.)
Ik voeg erbij dat, als wanneer zooveel
rampzaligen nog zoeken naar een dak om zich
te beschutten, het onbegrijpelijk is dat men
millioenen kan verspillen aan den heropbouw
van praalgebouwen Eerst en vooral het noo-
dige, het onontbeerlijke de heropbouw van onze
woningen, het bevaarbaar maken van onze vaart,
het weder oprichten van al onze gestichten van
vóór den oorlog, ’t Is voor onze streek, een kwes
tie van leven of dood (Ovatie).
De volgende dagorde wordt eenparig ge-
stemd
De afgevaardigden, tegenwoordig op de
vergadering vani3 Januari 1924
Gezien de nieuwe bedreiging die drukt,
niet alleen op de geteisterden die nóg geene
vergoeding ontvingen, maar ook op deze die
gelooven bepaald betaald te zijn
Betreurende het artikel op i3 Januari
1924 verschenen in het dagblad La Nation
Beige
Noodigen al de gemeenten uit hare Clubs
herin te richten ten einde weerstand te bie-
den en den veldtocht opnieuw hardnekkig
aan te gaan ter verdediging onzer rechten,
die rechten welke zoo dikwijls werden her-
kend maar thans stelselmatig in gevaar wor-
den gebracht
Wakkeren vurig de gemeentebesturen aan
dé wenschen der Clubs door hunnen invloed
en door hunne verzoekschriften te steunen
En drukken den wenschuit het Ministerie
van Economische zaken niette zienverdwij-
hen vóór den algeheelen heropbouw der
Verwoeste Gewesten.
M. Arthur Butaye Onze centrale vereeni-
ging te Brussel zal, door middel der dagbla-
denpers, protest aanteekenen tegen het arti
kel verschenen in La Nation Beige.
MHector Vermeulen deelt mede dat men te
Oostende zou besloten hebben acht honderd
huizen af te breken voor de uitbreiding der
havenwerken 1 (Algemeen protest). En dan
durft men nog spreken van woningnood 1
MGeuten stelt voor aan de Scheidsrecht-
bank té Parijs waar de zaak der weggevoer
den thans bepleit wordt, de kwestie te onder
werpen der knevelarijen en ellenden door
staan door de bewoners der streken in de on-
middellijke nabijheid van het front onder de
Duitsche bezetting-. (Aangenomen).
M. Geuten verklaart ook nog dat zekere
ontvangers der belastingen de betaling eischen
der lasten voor 1916, alhoewel de bewoners
1/2 litres d’ESSENCE
250 grammes d’HUILE
Un procés tendancieux I
En ma qualité de collaborateur occasioi I
de l’Ypersche j’ai voulu assister j
dernier au procés en déchéance intenté 1
l’État contre M
II s’agissait - (disons plutót il s’agit c I
le procés n’est pas terminé puisque le i’u J
ment n’est pas rendu) de la plus 'I
jusqu’a ce
nos régionJ
Dites bien a tous mes
je ne désarmerai pas et qUe
entière disposition.
Merci encore, mon cher Présid I
votre aimable invitation et croyez a6^’ P°Ur
timents les plus dévoués, mes Seih
p- be^vpain
nceuvre que l’État eüt employée j
jour pour compléter la ruine de
dévastées.
La thèse soutenue j
ce point écoeurante, quelle a soulevé a p]u.|
sieurs reprises des rumeurs d’indignation dansl
l’auditoire. I
En voici Ie sens I
Le sinistré qui aCcepte la somme allouéel
par le Tribunal des Dommages de Guerrel
ainsi que le coefficient, établi par l’État eu
s’appliquant aux différentes régions dansles-
quelles étaient établis les immeubles sinistrés]
s’engage d reconstruire ces immeubles de fapm I
leur donner la même valeur qu'en iqiq.
Si cette somme et le coefficient sont jugés
insuffisants pour arriver a ce résultat, le sinis
tré doit se pourvoir en appel
Si l’immeuble reconstruit a une valeur
moindre qu'en 1914, si certains matériauxsont
défectueux, le sinistré peut étre poursuivien
déchéance.
Et voici, Messieurs, certains arguments
dont le ministère public a osé se servir sans
rougir il y a de l’eau dans la cave, la servante
est tombée de l’escalier, les murs de certains
corps de batiments de la ferme n’ont qu’une
brique d’épaisseur l’entrepreneur a re-1
jointoyé les murs au ciment pour empêcher
que l’on ne constatat la mauvaise qualité du
mortier 1
Mon but, n’est pas de vous développer le
procés. Je veux simplement me borner a signa-
Ier aux sinistrés la nouvelle offensive dirigée 1
contre eux, offensive plus grave que toutes j
celles qui ont été tentées jusqu’a ce jour.
Car n’allez pas croire, Messieurs, que ce
procés vise particulièrement Monsieur M
ou son entrepreneur.
L’État s’est dit que si le Juge admettaitsa
thèse, le jugement établirait unejurisprudence
sur laquelle, Ton se baserait pour intenter a
tous les sinistrés un procés en restitution du
tout ou partie des sommes allouées.
Car, quel est celui d’entre nous qui na pas
ai constater certains défauts ou malfa?ons
dans son iinmeuble, soit dans la mise en
oeuvre, soit dans la qualité des matériaux
Ce procés, Messieurs les sinistrés, n°u
indique ia nouvelle voie a suivre pour éviter
la ruine de notre raalheureuse region, p°u
éviter notre propre ruine.
II faut que dés ce jour, nous nous
autour de notre dévoué comité, non pas
faqon passive en nous contentant d assis
aux assemblées mais d’une fa$on utile.
Il faut que nous ramenions a nous>
ceux qui ont abandonné la bannière^^
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Citroen, ce qu’ils en pensent.
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