^antonnementschade
mijn beheer, reeds verschil-
°nder de
schaden,
A propos de la tour de St Pierre
a YPRES
is
de
el ^chenkomenden Staatskommissaris i
jt,
tij worden,
Koninklijke Hofbouwmaatschappij
van het arrondissement Yper
en Het werk van den Akker
gevestigd Hotel des Brasseurs Statieplaats
-»O8O«
Verslag der algemeene vergadering
gehouden op ZONDAG 27 APRIL 1924
De
•herval,
o* tot d<
De Heer Van Winsen N. Voorzitter opent
de vergadering om i3 ure i5 De raadsleden
zijn voltallig aanwezig uitgenomen de Heeran
Bouckenooghe en Vermeersch Em., die zich
doen verontschuldigen ook zijn een tachtig
leden aanwezig die de beneden zalen van
’t lokaal goed vervullen.
De Secretaris Casier geeft mededeeling van
’t verslag der vorige algemeene vergadering
welk is aangenomen. Als mededeelingen wor
den bekend gemaakt
1) Een schrijven van ’t Stadsbestuur om
ons gedacht te laten kennen aangaande een in
te richten Yper-fleuri met aanstaande Tuin
dag dit punt wordt naar de toekomende
raadvergadering ter bespreking overgelaten.
2) De Heer Peemans, Staatstuinbouwcon--
One pensez-vous de la tour de St Pierre
Cette silhouette massive et trappue n’est
guère heureuse. La forme la plus moderne et
la plus perfectionnée du vandalisme est la
théorie si chère a nos esthetes de la fameuse
Unité de Style Elie sert de prétexte pour
faire disparaitre de nos monuments tout ce
que les siècles leur ont apporté et qui consti-
tue justement ce qui nous les rend chers.
Nos églises, baties pour la plupart il y a
7 ou 8 siècles, lorsque nos régions connurent
une période de grande prospérité et furent
les fleurons de la belle civilisation de la gran
de période du moyen age, furent les témoins
de toute notre histoire. Elies partagèrent avec
nos ancêtres les joies et les peines. Elies con
nurent les périodes de prospérité et les pério
des de souffrances et de misère. Chaque géné-
ration y avait laissé son empreinte et les avait
embellies selon ses gouts, son idéal, et ses
conceptions. Rarement ces ajoutes furent de
mauyais gout. Notre race a toujours eu un
sens'dela beauté, suffisant pour l’empêcher
de sacrifier aux mauvais gouts de certaines
époques.
Quelques époques avaient laisse des souve-
nirs particulièrement heureux. C’étaient les
périodes oh nos ancêtres avaient connu la
prospérité, notamment la fin du XIH'ne, !e
milieu du XIVme, de debut duXVIme, le milieu
et la fin du XVIIme et surtout le commence
ment et le milieu du XVIIIn,e siècles. C’est a
cette époque que nous devious les belles cho
ses qui enrichissaient l’intérieur de nos égli
ses, nos marbres, nos bronzes, nos lambris et
nos boiseries sculptées.
Aucune vieille église ne présentait une unite
de style. -Cette unité de style était, dans notre
pays, réservée aux froides et prétentieuses-
églises neuves que l’on érigeait dans les pays
de nouveaux riches, Ostende, les faubourgs
de Bruxelles, etc.
Le fait d’avoir sacrifié le campanile de St.
Pierre a cette fameuse unité de style est d’au-
tant plus malheureux, que pour le reste de
l’église, cette marotte n’a pu être mise en pra
tique. Derrière le portail roman, on n’a pas
osé porter une main sacrilège au superbe
transept gothique.
Le campanile était un des éléments de
notre paysage, au même titre que les silhouet
tes de nos Halles avec leur Beffroi, et de
St. Martin avec sa tour. Quand on contem-
plait la Ville des hauteurs de Zillebeke, la tour
de St. Pierre couronnan^. la ligne sévère de
nos vieux remparts, égayée par leur verte
frondaison, était l’élément le plus caractéris-
tique. Quand on se trouvait sur les hauteurs
de la Brique, il se dessinait harmonieusement
sur 1’horizon entre la masse majestueuse des
Halles et de St. Martin a droite, et St. Jac
ques a gauche.
Nos ancêtres Yprois étaient des flamands
de la frontière. Comme flamands, ils aimaient
a orner le cadre de leur vie de beaux monu
ments. Ils aimaient les belles lignes architec-
turales, mais ils aimaient la clarté et 1’harmo-
nie. Ils n’aimaient ni les rues étroites et som
bres de Gand et de Bruges, ni la lourdeur
massive des monuments Gantois, ni la tristesse
mélancolique, a mon avis, bien monotone, des
rues de Bruges. Bruges avait peut-être des
chefs-d’oeuvre plus beaux qu’Ypres, mais
n’avait pas nos rues claires et gaies, nos
monuments, qui malgré leur masse formida
ble, donnaient une impression de légèreté.
Comparez nos Halles et notre Beffroi aux
Halles et an Beffroi de Bruges. Notre église
St. Martin aux églises de Gand et de Bruges I
Ils évitaient les briques rouges et les petits
granits bleus qui noircissent si vite. Ils se
servaient des grés et des briques blanches,
les - pignons et les tours élancés, les églises
claires.
La silhouette de notre Ville avait quelque
chose de gai, de joyeux. Nos tours émer-
geaient d’une belle ceinture de verdure. Main-
tenant, quand les remparts auront de nouveau
leurs frondaisons, la tour de St Pierre n’émer-
gera plus que sous forme d’une pyramide
massive surmontantunelourde tourcubique...
L’Ypersche nè pourrait-il être l’interprête
des Yprois pour protester centre I’acte de
vandalisme, qui a été commis
N. d. 1. R.Notts croyons que c’est pour un
motif d’économie que I’on a mis sur St. Pierre le
chapeau pointu actuel. Plus tard, (quand la
Belgique sera plus riche, on rendra peut-être d
St Pierre sa tour d'avant guerre.
i°. Op welke manier en wanneer de
heer Minister rekent de schaden te regelen
wegens kantonnement van troepen, vallend-e
onder de toepassing der wet van 14 Augus-
tus 1887, en voor welke vergoeding de
belanghebbenden verwezen waren, bij von-
nis uitgesproken door de Rechtbank voor
Oorlogschaden, als niet vallende onder de
toepassing der wet van 10 Mei 1919 6
September 1921.
2°. Of er te dien opzichte, door de
geteisterden, en na uitspraak der Recht-
bank, nog pleegvormen te vervullen zijn,
uit hoofde der wet van 14 Augustus 1887.
De Rechtbank immers had mij verzekerd,
dat na het vonnis, de stukken betrekkelijk de
niet aanvaarde schade uit het dossier werden
weggenomen, door de zorgen der Greffie en
rechtstreeks verzonden naar het bevoegd
Ministerie tot vereffening.
Op mijne voorenstaande vragen gaf de
heer Minister van Landsverdediging volgende
antwoord
«Ik heb de eer u te laten weten dat mijn
Departement de bezwaren, waarover de
Rechtbank voor Oorlogschade een vonnis
van onbevoegdheid uitgesproken heeft,
enkel (en dan nog onder voorbehoud) kan
onderzoeken, zoo de bij artikel 106 van het
reglement op de militaire verstrekkingen
voorziene bewijsstukken overgelegd worden.
Deze stukken dienen door de Burgemeesters
op verzoek van de belanghebbenden, aan
mijn Departement overgemaakt
Er spruit uit voorgaande onderrichtingen,
dat de in dezen toestand verkeerende geteis
terden, met tusschenkomsr van het Gemeen
tebestuur van de plaats waar de schade werd
aangericht, een heel nieuw bundel moeten
samenstellen, behelzende aanvraag, schat
tingen, inlichtingen, bewijsstukken, enz.
zooals alles is voorgeschreven bij de wet van
14 Augustus 1887.
Ik vond het nuttig deze inlichtingen aan de
geteisterden bij middel van’ 't Ypersche te
laten kennen. B. D.
Menigvuldige aanvragen tot bekomen ver
goeding wegens oorlogschade bevatten dusda-
u^e schaden, welke vooreerst door den tus-
in zijne
Conclusion en vervolgens door de recht-
ank, bij de uitspraak van haar vonnis, tot de
Verschuldigde vergoeding niet aangenomen
om reden dergelijke schade niet valt
toepassing der wet op de Oorlog-
maar dient geregeld te worden, bij
J *Passing der voorschriften der wet van 14
T gustus 1887, op de militaire verstrekkingen
n aldaar aangeduid als Kantonnement-
schade».
geteisterde is dus niet in staat van
maar moet andere maatregelen nemen
te ge e vergoeding van dergelijke schaden
T Daar ik onder
ilfde °nJl'SSen 'n dien aard bekomen had, heb
Lp n, ,eei Minister van Landsverdediging
^adpleegd, om te weten
vocats eux-mêmes sa femme est morte de
Couleur quand il est rentré au pays, après
parinistice, tout son cabinet était perdu il
n’avait plus le courage ni même la force de
reprendre la lutte pour refaire sa situation
économique perdue. C’était l’homme tout dé-
signé, Par sa science juridique, par son
experience des affaires, pour être le conseiller
du Gouvernement nous ne sommes même
pas parvenu a le faire nommer juge de paix
Et pendant ce temps, des stagiaires nous
représentaient a des commissions interna-
tionales et s’octroyaient des cent mille francs
par an
Je dois a la vérité de faire suivre la liste de
,<ette observation, que les chiffres d’appointe-
ments indiqués ne sont péut-être pas ou plus
tout a fait exacts ils dépendent d’abord du
cours du change, puisqu’ils sont payés en
tnark-or, et puis, il y a eu, dans les tous der-
niers temps, de légères réductions. D’autre
part, j’excepte des appreciations ci-dessus,
M. Colson, dernier venu a la Commission des
Réparations, dans une situation rela’ivement
humble d’ailleurs M. Colson, ingénieur
-électricien remarquable, ancien chef du cabi
net des ministres Renkin et Poullet, a rendu,
après l’armistice, d’immenses services au
pays, notamment en remettant les chemins de
fer sur pied. A ce titre, sa place était a Paris,
■et sa situation actuelle apparait quelque peu
■comme la juste reconnaissance du pays pour
Tun de ses bons serviteurs.
Acenombreuxpersonnel, il y aliend’ajouter
une bonne douzaine de dactylos a 2,000francs
par mois, huissiers et porteurs, etc.
.Multiplier le nombre de ces rongeurs par le
nombre des autres délégations alliées, déléga-
;tions officielles ou... d’observation, et 1’on
I '-comprend pourquoi les indemnités payees par
I 1’Allemagnen ’arrivent pas jusqu’aux sinistrés,
i .auxquels elles sont destinées.
On comprend aussi pourquoi des négocia-
lions avec 1’Allemagne trainent d’année en
année, de conférence en conférence, d’exper
tise en expertise...
A Paris, on disait avec un frémissement de
joie dans la voix nous en avons pour quinze
.ans.
Aujourd’hui, grace aux derniers experts,
I ils en ont au moins pour 40 ans.
Quarante ans a 220,000,000 par an
Etainsi on aura réalisé cette chose parado
xale, qu’alors que 1’Allemagne aura payé ses
dettes, les Beiges, ruinés par les impóts de
reparation, n’en auront a peu prés ri.en
touché.
II est vrai que quelques Beiges, les profi
teurs de la C. D. R. dispensés de l’impót,
protégés par le Gouvernement, - pourquoi -
wivront dans le luxè.
'Cest déja un résultat. C’est, peut-être, le
II résultat
Si
iji