Iff Illi I Op het Katholiek Congres te Oostende VERBRUIK OP DE 100 KILOMETERS Ret spaarzaamste Autorijluig der wereld. -- Besparing in liet verbruik en van onderhol 7 12 liters NAPHTE 250 grammen OLIE a CSe, Mèenenpoort, Un peu de logique Hi h La Manifestation de Vise D U N N Y p E Kataloog en proeven gratis op aanvraag. L' Encore la Revision des Dommages de Guerre Au cours du débat du Vendredi 23 Mai dernier les Ministres ont entendu ce qui suit M. DEJARDIN déclare qu’il y a eu de nombreux abus dans la liquidation des dom mages de guerre. Il est intervenu plusieurs lilt i De heer Bruneel heeft, in weinige woorden, de waarheid verkondigd. De afwezigheid van den heer Minister liet niet toe daarover uit te wijden. De geteisterden zien met een waar genoe gen dat de heer Bnmeel onverpoosd hunne rechten verdedigt en zijn hem daarvoor zeer erkentelijk. Les sinistrés de la Flandre et spécialement ceux de la region Sud seraient heureux devoir une enquête sévère se poursuivre sur les nom- breux cas frauduleux cités par les députés socialistes. Et si les sommes récupérées de cette manière pouvaient empêcher le ministère de revenir sur sa decision de diminuer le coeffi cient d’un 1/2 pour cent, Ypres et environs commenceraient a croire qu’un peu de justice est entrée dans les cerveaux administratifs. Mais nous n’engagerons personne a se faire des illusions. Pour clóturer la brillante journée, que fut celle du 29 Mai dernier, l’ordre du jour ci- après a été proposé et voté par acclamations. II a été remis a M. le Bourgmestre de Vise, qui s’est chargé de le transmettre au Ministry des Affaires Economiques et a Sa Majesték Roi. M. VAN WALLEGHEM, a son tour, s-en prend a la politique du gouvernement en matière de dommages de guerre. Il s’effOrce de mettre M. Van de Vyvere en contradiction avec M. Th^unis, apropos de la revision des jugements. Il proclame que le parti socialist» est partisan de cette revision. Pour justifier sa manière de voir, le député de Charleroi accuse nommément plusieurs entreprises de la région d’avoir scandaleuse- ment fraudé l’Etat et d’avoir extorqué, a titre de dommages de guerre, des indemnités for- midables. Voici une usine qui valait tout au plus avant la guerre 100.000 fr. (le prix du terrain, des installations et de lamit. aille, car on avail depuis 1913 licencié les ouvriers) elle a obtenu 2 millions de dommages de guerre. Voici une entreprise qui était estimée frs, 680.000 elle a touché 7 millions. Telle société dont les titres avant la guerre étaient cotés deux francs s’est fait allouer de grosses sommes aujourd’hui ses titres attei- gnent 5oo francs. M. Van Wallegbem multiplie les exemples analogues il les prend non seulement dans le pays de Charleroi, mais aussi dans les- environs de Bruxelles. Pour conclure, il réclame une enquête sur 1’attribution des dommages de guerre Ce que nous mettons en question, dit-il, ce n’est pas le droit a l’indemnité, nous recon- naissons que les sinistrés ont le droit d’être dédommagés mais nous savons qu’il yaeu des abus spécialement pour les gros domma- ges et c’est pourquoi nous demandons la revision de ceux ci. ORDRE DU JOUR Considérant qu’après cinq ans de fonction- nement des Cours et Tribunaux de Domma' ges de Guerre, une jurisprudence sérieuse a suffisamment pu s’établir pour qu’il soit néces saire de créer encore des circulaires inter- prétatives Considérant que les dites circulaires et leS instructions verbales ne tendent a rien moio’ qu’a l’abandon des anciennes directives don-' nées aux Commissariats de 1’Etat de confor mer leurs propositions a ce qu’ils croyaie»1 AMeen ver koopers Gai*age Vraag aan de eigenaars van een CITROÈN-AUTO wat zij er van denken. Zoodoende maakt ge als Yperling slecht werk en ge verdient algemeene minachting. Het kapitaal, noodig tot het degelijk inrich ten, is daaromtrent geheel en gansch onder schreven. ’t Ware reeds gedaan werk zoo de inrichters niet besloten hadden iedereen het zijne te laten bijbrengen. Zij wenschen zooveel inogelijk een groot getal kleine inschrijvingen te ontvangen omdat de Yperschc weverij het werk zijn zou van grooten en kleinen. Yper voor allen en allen voor Yper. Voor alle inlichtingen of inschrijvingen kan men zich wenden bij de leden van den beheer raad M.M. Ernest Seys Jos. Vandermersch Hector Vermeulen M. Vergracht G. Dela- haye H. Vanderghote Ribert Van der Schel den, ook nog bij de heeren toezichters A. Vannieuw enhove R. Declerck en AWeckesser. De bespreking over de oorlogschade die vermeld stond op het programma van het Congres der Katholieke Vereenigingen, ge houden te Oostende op 3in Mei en in Juni, werd niet aangevangen ten gevolge der afwe zigheid van den heer Minister Van de Vyvere. Onze gewezen senator, M. Gustaaf Bruneel de Montpellier heeft nochtans de aandacht der vergadering op die zaak getrokken en met eenparigheid en door handgeklap volgenden wensch doen stemmen De Federatie der Katholieke Vereenigingen drukt den wensch uit het werk van herstel der verwoeste gewesten en der vergoeding voor oorlogschade te zien voortzetten tot de volledige voltooiing, in volstrekte uitvoering der wettige bepalingen die deze kwestie be- höerschen. Die wensch werd voorafgegaan door een overzicht, gegeven door den heer Bruneel en waarvan wij, in enkele woorden, de voor naamste punten weergeven Het ware kmderachtig de machtige krachtinspanning te loochenen, ontplooid in ’t vqoruitzicht van het herstel der verwoeste gewesten en het is noodig daarvoor dank te betuigen aan dezen die daarvan de ontwerpers waien. Maar mag men zeggen, zooals men het in de Pers schijnt te willen laten verstaan, dat alles voltrokken is Verre van daar en wij zijn gereed, zoo noodig, het bewijs ervan te leveren. Ter gelegenheid van officieele rondreizen, ingericht voor Kamerleden en. afgevaardigden der Pers, heeft het Ministerie hun laten zien wat er gedaan werd. Het belang daarvan moeten wij niet verminderen. Maar ik ben ge machtigd te verklaren dat de Federatie der Gateisterden bereid is aan de heeren der Pers, ter gelegenheid eener rondreis, te laten zien wat er nog te doen is, en hoe het gedaan werd, en. hoe, onder meer, de banen zijn. «De nieuwe gebouwen hebben, over het algemeen, een kunstig en sierlijk karakter, maar achter die schoone gevels schuilt dik wijls zooveel ellende. Het werk is aangevangen, het mag niet onvoltooid blijven en, niettegenstaande de afwezigheid van den heer Minister, mag dit onderwerp, dat aan de dagorde staat, niet verzwegen worden. Het is ook noodig dat dit algeheel herstel vermeld worde op het programma der Katho lieke Partij. Ainsi paria l’homme de la rue Il y a eu en Belgique deux espèces.de sinis trés. Les premiers sinistrés sont ceux qui ont eu leurs maisons, industries et commerces dé- truits par le fait de la guerre. Les seconds sont ceux qui, ayant fait des affaires avec les boches pendant la guerre, se sont vus, a l’armistice, a la tête d’un nombre considérable de marks, lesquels a la rentrée du gouvernement beige ne pouvaient plus avoir de valeur, puisque c’était de la monnaie ennemie. Le gouvernement beige s’empressa d’in- demniser jusqu’au dernier centime et au dou ble de la valeur du mark ces seconds sinistrés et déboursa a leur bénéfice un total de sept milliards, sans que ces sinistrés, qui n’étaient au tres que des mercantis, barons zeep et autres trafiquants avec l’ennemi, n’eussent a fournir d’autres pièces que les coupures ennemies. Les premiers sinistrés, qui, eux, n’avaient trafiqué d’aucune manière avec l’ennemi, mais avaient tout perdu par le fait de l’ennemi, ont été soumis a toutes les tracasseries imagina- bles avant de se voir appliquer les termes d’une loi en laquelle ils avaient eu foi. Et enfin, lorsque la situation financière du pays semble malheureusement compromise a la suite de eet échange de marks, ce sont ces sinistrés qui vont devoir se contenter de titres payables aux calendes grecques et ne pour- ront plus reconstituer leurs foyers. Pourquoi sont-ce les trafiquants avec l’en nemi qui sont avantagés La saine logique commande, puisque l’on connait les personnes qui ont échangé des marks contre des francs, de leur en faire rem- bourser au moins la moitié et de leur remettre pour ce montant un titre payable dans trente années et ne produisant pas d’intérêt. Cela ferait rentrer environ trois milliards et demi dans les caisses de l’Etat. Ce petit appoint pourrait permettre l’achè- vement de la reconstruction des régions dé- vastées. Le ministre, M. Delacroix, qui a fait cette belle opération des marks, est actuehement a la Commission des Réparations oü ses émo- luments ne sont que de 220.000 francs l’an. Peut-être, M. Delacroix, s’il était bien sol- licité, accepterait-il aussi un titre pour la moitié de ses appointements. Avec l’autre moitié, soit 110.000 fr., il pour rait bien s’en tirer. 1 7 fois, déclare-t-il, dans le but d’en réprim quelques-uns, mais il s’est heurté a la ma(J vaise volonté de 1’administration.

HISTORISCHE KRANTEN

Het Ypersche (1925-1929) | 1924 | | pagina 2