J I I 1 i li if IHti t onderhond VERBRUIK OP DE 100 KILOMETERS 8 l II Wet spaarzaamste Autörijtuig der wereld. Besparing in het verbruik en van III Par a J DUNN Kataloog en proeven gratis op aanvraag. reqhercher si la balance de ces operations se solde en bénéfices on par des pertes Attendu que la décision dénoncée ne justi tie done point, en prenant le mot «dommage» dans le sens que lui attribuent les articles i et 2, ,1’absence de dommages dont elle fait état qu’il s’ensuit que son dispositif n’est point légalement justifié au regard des articles i et2, de la loi du 6 septembre 1921, citée au moyen, et qu’elle viole ces dispositions legales Par ces motifs casse la décision rendue err cause, mais en tant seulement qu’elle a refuse au demandeur toute indemnité du chef de l’enlèvement d’animiux, de matériel et de réeoltes ordonne que le présent arret sera transcrit sur les registres de la cour des dom mages de guerre de Liège, et que mention en serafaiteen marge de la décision partiellement annulée les frais a charge de l’Étatrenvoie la cause a la cour des dommages de guerre de Bruxelles. Yves. (Horizan de Dinant). AH ee n verkoo pe rs Garage Vraag aan de eigenaars van een CITROÈN-AUTO wat zij er van denken. Fédération des Sinistrés de l’Arrondissement d’Ypres La dernière réunion mensuelle des délégués des Clubs de sinistrés a eu lieu a Messines, le i5 juin 1924, au «'Café de l’Hótel de Ville». La séance est ouverte a 16 heures, sous la présidence de M. Deleu, bourgmestre de Messines. Au bureau MM. Arthur Butaye, Président de la Fédération des Sinistrés de l’Arrondissement d’Ypres Fournier, bourg- mestre de Wytschaete Geuten, Président de la. Cooperative pour dommages de guerre L,a Vallés de la Lys a We rvieq. M. Delen remercie l’assemblée et tout par- ticülièremer.t les représentants de la Fédéra tion des sinistrés. M. Arthur Butaye se dit heureux de se retrouver a Messines, sa ville natale et de- mande que les Messinois restent étroitement unis pour obtenir le parachèvement complet de leur coquette cité. On aborde ensuite les différents points de l’ordre du jour 1° Baraquements du Fonds du Roi A Ibert. MArthur Butaye Beaucoup de sinistrés ont pu ériger leurs baraquements sans devoir payer une redevance quelconque aux proprié- taires des terrains. D’autres n’ont eu a payer qu’une redevance minime. Le fisc n’hésite cependant pas a réclamer aux dits propriétaires le paiement d’imposi- tions des années passées, impositions s’éle vaat pour certains a plusieurs centaines de francs Tout cela est anormal et il est indispensable de. protester énergiquement contre ces me smes. Après discussion il est décidé de faire un exposé de ces faits auprès de la Direction des Contributions. L’Administration du Fonds du Roi Albert sera invitée a faire enlever les baraquements me®aqant ruine ou devenus sans emploi. 2" L’adoption nationale des communes. M. J. Deleu Les communes ont requ une circulaire datée du 25 avril 1924, leur deman dant un rapport sur l’état de la reconstruction et de la restauration, ce afin de permettre a la. Députation Permanente de formuler son avis au sujet du maintien éventuel du bénéfice de l’adoption. Cette circulaire demandait notamment d’en visager aussi la possibilité de ramener les finances de la commune au niveau exigé, par le produit des taxes communales, et on faisait remarquer que les -travaux encore a exécuter pour la restauration du domaine public conti- nueraient a être assurés au besoin par les soins du Haut Commissaire Royal. Le Gouvernement semble chercher a désa- dopter d’office la plupart des communes. Est-il pour toutes les communes désirable qu’elles soient désadoptées ou bien ont-elles avantage a rester adoptées C’est ce qu’il s’agit d’examiner. La loi du 8 avril 1919 sur l’adoption natio nale des communes stipule en son art. 1 que les communes qui ont souffert gravement des dévastations de la guerre peuvent être adop tées par le Roi, au nom de la nation, et que le Roi peut mettre fin a l’adoption a la de- mande, soit du .Conseil Communal, soit du Gouverneur de la Province, la Députation Permanente préalablement entendue. L’art. i5 dit même qu’après une année révolue il est loisible aux communes de renon- cer a l’adoption, de l’avis conforme de la -Dé putation Permanente. Avantages de l’adoption L’art. 4 de la loi dit L’adoption entraine pour l’Etat l’obligation d’assurer les dépenses nécessitées par le rétablissement du domaine et des services publics de la commune, les dépenses obligatoires auxquelles la commune ne peut faire face en tout ou en partie, d’après les circonstances, ainsi que les dépenses facultatives dont l’inscription au budget com munal a été admise par le H. C. R. Depuis lors, cependant, une loi du 3 no- vembre 1921 a restreint les pouvoirs des H. C. R. qui n’eurent plus a approuver les bud gets et, depuis le i5 avril dernier, les H. C. R. sont supprimes. Un Arrêté Royal du i5 mars 1922 dit que l’approbation des budgets communaux par la Députation Permanente n’entraine pas pour l’Etat l’obligation de pourvoir aux déficits éventuels. Désavantages de l’adoption Les communes adoptées n’obtiënnent pas de jugements relatifs a leurs dommages de guerre et le H. C. R. fou celui qui en exerce les fonctions) a la haute direction de leurs travaux de restauration du domaine public. Bien plus, le 2 de l’art. 4 stipule Pour le rétablissement du domaine et des services publics, le H. C. R., agissant au nom de l’Etat, peut se substituer a la com mune si celle-ci se trouve dans l’impossibi- lité, düment constatée par lui, d’agir par elle-même Certaines communes, des moins dévastées, ont déja été désadoptées d’office par Arrêté Royal. D’autres ontsollicité elles-mêmes leur désadoption, mais elles n’ont pas toujours eu a s’en louer elles avaient surtout pour but de recouvrer leur autonomie et, pourtant, elles n’ont pu parfois se soustraire a la direc tion du H. C. R. pour les travaux de restau ration de leur domaine public. Parfois même le H. C. R. est parvenu encore a se substituer a elles pour imposer les plans et a faire exécuter les travaux a sa guise. La plupart des communes adoptées ont requ a certains moments en 1919 et 1920 des som mes destinées au paiement des travaux de restauration et des subsides pour construc tions provisoires elles ont été autorisées le H. C. R. a exécuter certains travaux ou j acquérir du matériel en réparation de dom mages de guerre. II est arrivé que le Haut Commissariat négligé de fournir les fonds pour le paiement de certains achats ou de certains travaux ou pour l’assurance des ouvriers chargés par [a commune d’exécuter des travaux dangereux de sorte que les communes ont dü utiliser pour certains paiements des sommes destinées a d’autres travaux et que leur situation finan- cière est fortement obérée et, disons-le, tout, a-fait embrouillée. Certaines caisses communales sont en dé ficit et l’onne parvient pas a payer des travaux qui ont dü être exécutés ou des acquisitions que l’on a dü faire. Tout cela est irrégulier, mais existe en fait. Bien des communes ont ainsi a récupérer des sommes qui auraient dü leur être fournies mais qu’elles n’ont pu obtenir jusqu’ici. Nous croyons que les communes dont la situation financière obérée et embrouillée par des causes semblables, ne peuvent être dés adoptées avant que cette situation financière ne soit assainie. Toutes les communes ont été invitées a voter de nouvelles taxes qui doivent être approuvées par la Députation Permanente et le Roi. Certaines de ces taxes ont été rejetées, d’autres ont été approuvées, mais n’ont pas encore pu être perques. Et dans certaines communes oü la reconstruction n’est faite qu’en partie, les taxes ne peuvent encore don- ner qu’un faible rendement. Une longue discussion s’engage a ce sujet, a laquelle prennent part MM. Arthur Butaye, Deleu, Fournier, Ollivier (Neuve-Église) et B. Vermeulen (St-Jean). II en résulte que la plupart des communes désirent le maintien de l’adoption jusqr’i leur reconstruction inté- grale. Sur la proposition de M. B. Vermeulen la question de l’adoption sera portée a l’ordre du jour de la prochaine conférence des bourg- mestres de (’arrondissement, conférence a laquelle seront invités également les échevins ‘et conseillers communaux. Toutes les com munes doivent se solidariser avec la ville d’Ypres. MDeleu veut bien se charger de provoquer cette réunion a trés bref délai. (Assentimenl unanimé). 3° Salubrité des nouvelles constructions, no tamment la question de l’étanchéité des caves voütées dans les habitations villageoises. M. Arthur Butaye fait part des plaintes reques de tous cótés au sujet des défectuosités dans les reconstructions par l’État. La plupart des caves sont inondées. II n’est pas nécessaire que le cahier des charges ou le mètré stipule que les caves doi' vent être étanches. Cela va de soi. Une cave n’est pas une citerneet il est de la plus urgente nécessité de remédier a l’état de choses signalé. Cette question sera portée également a l’ordre du jour de la prochaine conférence des bourgmestres. 4° Contrats de parachèvement. Plusieurs délégués interviennent dans ce débat et notamment MM. Depuydt, Olliv^ et B. Vermeulen qui discutent les que* tions du nivellement des terres, des tra vaux de drainage, d’évacuation des eaux Ie 7 12 liters NAPHTE 250 grammen OLIE - *i b I 'i luit

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Het Ypersche (1925-1929) | 1924 | | pagina 2