Grondverzakking aan den Yzer
Oorlogschade - Dammages de guerre
onderhal
liet spaarzaamste Autorijtui
VERBRUIK OP DE 100 KILOMETERS
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Oorlogsherinneringen
der wereld. -- Besparing in het verbruik en van
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Kat aio og en proeven gratis op aanvraag.
De Sluis te Nieuwpoort bedreigd
Een ernstige grondverzakking deed zich
voor aan den Westerkant der Ypersluis,
aan de monding van den Yzer te Nieuw
poort.
De aarde verzakte aan de vaargeul van
de sluis en ontblootte de steenen b?klee-
ding van den muur.
De sluis zou bedreigd zijn. Groote hoe
veelheden aarde werden naar de achter-
haven gezogen.
Ingenieurs van Bruggen en wegen
kwamen spoedig uit Oostende ter plaats
aan.
4595 -
26.241
21.371,25
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AHeenverkoopers Garage
Vraag aan de eigenaars van een CITROEN-AUTO
wat zij er van denken.
Meenenpoort*
critique des restrictions nouvelles et enfin la
suggestion finale d’un nouvelordre de priorité.
L’accueil fait a ce discours montre que 1 as-
semblée est en pleine communion d’idées avec
le président de la F. N. S. II est dailleurs
significatif que les administrateurs de la Fédé-
ration des Cooperatives n’y ont rien répondu.
Les négociations continueront done d’ici au
25 septembre avec le ministre des Aflaires
Economiques.
La parole est ensuite donnée a M. Geuten,
délégué de la Coopérative de Wervicq, qui
proteste a son tour contre les restrictions
dont sont a présent victimes les sinistrés qui
n’ont pas eu la bonne fortune d’etre servis au
début.
M. Depuydt, délégué de la Coopérative de
Kemmel, s’élève a son tour en termes bien
sentis contre les restrictions dont on vient de
nous donner lecture. II rappelle- que lorsqu’il
s’est agi de défendre le sol de la patrie me-
nacée, les sinistrés des régions dévastées
furent, jusqu’a l’age de 40 ans, tous mobilisés
par le Gouvernement du Havre.
Ces sinistrés firent alo'rs vaillamment leur
devoir et nous voyons aujourd’hui ce même’
Gouvernement marchander a ses défenseurs
dont beaucoup ont payé de leur sang la
délivrance de notre pays le paiement des
indemnités solennellement reconnues.
D’unanimes applaudissemer.ts accueillent
ces énergiques interventions.
Après quelques observations de délégués
au sujet de la rétroactivité des restrictions
M. LEVIE s’est empressé de lever la séance.
ques mois les fonds du dernier emprunt
seront épuisés et que la Trésorerie sera alors
impuissante a faire face a toutes les requisi
tions de paiements. Messieurs, nous nous
sommes demandés si dans une telle situation,
la solution la plus équitable ne serait pas
d’établir un roulement. La loi prévoyait des
priorités. Certains citoyens en ont bénéficié
légitimement.
Ne trouvez vous pas qu’avant de payer
cette multitude de dommages uniquement
constitués par des requisitions de cuivres et
de laines ou par des pillages peu importants,
il serait plus équitable de payer les vrais
sinistrés, ceux dont on ne contestera pas qu’ils
sont plus intéressants
La Fédération Nationale des Sinistrés a
toujours tenu pour la stricte équité de défen
dre, avanttout, les droits des vrais sinistrés.
Messieurs, il est une expérience que vous
pouvez faire prenez un état de paiement de
votre Fédération. Vous verrez qu’or. liquide
en ce moment a tour de bras des quantités de
dossiers insignifiants. Mais ces petits domma
ges représentent des sommes rondelettes
quand il y en a des milliers. Est-il vrai, mes
sieurs, qu’il y avait plus de 100.000 dossiers
de cuivres et laines dans l’arrondissement de
Bruxelles dont on a cru devoir régler un
grand nombre avant tous autres? Qu’on paie le
matelas de laine ou ledommage de l’indigent,
rien de plus juste. Mais le plus souvent ces
petites sommes sont encaissées par des gens
qui n’attendent pas après. N’est-il pas irritant
de voir mettre en branie tout l’appareil judi-
ciaireet administratif pour liquider des sinis-
tres de r5 frs payés souvent a des gens qui en
feraient d’un cceur léger le sacrifice Bien
des mandats de pajement ne couviiraient pas
le prix de revient du dossier calculé au plus
ju^te. Dès lors ne serait-il pas plus légitime
de faire attendre ces pseudo sinistrés et de
décider par exemple qu’on commencera par
étudier et liquider toutes les affaires de sinis-
tres complets, puis au fur et a i,nesüre de leur
épuisement les dommages de 75",'o, de 5o%,
de 25% et ainsi de suite
S’il est vraiment nécessaire de faire des
categories, celle la serait encore, vous le
reconnaitrez, la moins injuste. Les autres
attendraient leur tour. Sans doute, ce système
ne contenterait pas les fabricants de staiisti-
ques oü le nombre d’affaires traitées donne
illusion aux observateurs superficiels. II ne
ferait peut-être pas non plus l’affaire des gens
qui ne voient la question des dommages de
guerre que sous l’angle électoral. Mais il
heurterait moins le sentiment de justice que
nous avons tous en nous.
Messieurs, je m’arrête. Je vous livre ces
suggestions que grand nombre de vrais sinis
trés appro,uveraient, j’en suis convaincu. Ju
vous demande d’y réfléchir. Nous ne voulons
recourir ni a la menace ni a l’imimidation,
cela répugne a notre caractère. Pour étudier
des douloureux problèmes, le gouvernement
noustrouvera toujours prêts a un examen
consciencieux. Ce que nous demandons, e’est
le respect de la loi, Ie respect des droits
acquis, c’est que personne ne soit dépouillé
grace a des artifices juridiques que l’équité
condamne, des légitimes reparations qui sont
dues a ceux que la guerre a si durement
frappés.
Ce discours est souvent interrompu par les
applaudissements qui soulignent particulière-
ment le rappel des promesses oubliées, la
III. I
Bombardement van het Hospitaal I
Zondag 20" December. I
Nog nooit misschien hadden er in I
Gesticht zooveel Heilige Missen plaatsgehad I
daar er, onder de brancardiers van de drié 1
Fransche ambulances veel priesters waren I
Om 9 1/2 uur werd door de soldaten de 9
Hoogmis gezongen, 't Is altijd schoon omI
zien eene kapel vol met soldaten. I
Even na den middag waren er veel gekwet- il
sten en brancardiers rond het gebouw. ’t Was
prachtig weder.
Drie vliegmachienen zweefden boven del
hoofden heen. Zij gaven signalen, ’t warenI
vijandelijke.
Een obus ontplofte tegen het gebouw... de
beschieting duurde twintig minuten. Vier
obussen vielen op de gebouwen en drie in
den dichten omtrek.
Van de eerste’bom redden de Franschen
hunne gekwetsten en voerden ze verder. Twee
soldaten, ongelukkiglijk, een apotheker en zijn
helper, werden gedood, twee andere licht
gekwetst.
’t Was juist bezoek voor de zieke en ge
kwetste burgers er waren heel veel bezoe
kers. ’t Was een algemeene vlucht door de
velden. Velen werden door de bommen vol
aarde gesmeten maar niemand van hen werd
gekwetst.
In de ziekenzaal zelf was er geen enkele
ruit gebroken, maar het was een gejammer en
geween zonder einde.
Al de zieken en gekwetsten werden in de
kelders gedregen en daar op matrassen uitge
strekt.
Een begin van brand werd spoedig uitge
doofd.
De avond viel de nacht was toch zoo
akelig... De zieken in de kelders sidderden
van angst, zij smeekten om weggevoerd te
worden... iedereen waakteen bad...
’s Morgens werd de Heilige Mis een half
uur vroeger opgedragen daaraan hebben
velen nog hun leven te danken.
De Geniesoldaten ruimden den weg op voor
den grooten ingang van het Gesticht. Met de
hulp van het personeel werd het vernielde
binnengebracht.
’t Was kalm op geheel het front... enkel
eenige geweerschoten.
Plots ontploft eene bom, midden in het
volk...
Wat verschrikkelijk schouwspel De groots
ingang van ’t gebouw is vernield en tusschen
de overblijvende steenen lagen er elfmenschen
dood of kermend van de pijn.
De jonge Daniël V... lag de eerste schrik
kelijk gekwetst, de ©ogen gericht op het beeld
van het Fleilig Hert, boven den ingang...
Zie zegde hij, het Heilig Hert ziet
mij aan
Albert D... lag aan de deur, Bene liet va”
Zonnebeke met afgeschoten voet ernevens en,
tusschen vijf gedoode soldaten lag Jozej
van Moorslede zielloos ter neder.
Gabrielle D... lag tusschen de steenen... eeB
enkel gekwetste, Henri V... kon alleen de*
kelder bereiken.
Hat Hospitaal te Yper
Van November 1914 tot April jgj.
door Gustave DELAHAYE
{December 1915).
In de laatste zitting der Scheidsrechterlijke Commis
sies werd de schade, waarde 1914, als volgl
vastgesteld voer de hiernavermelde geteisterden
Messines
Vandenberghe Edmond
Ploegsteert
Cardon Henri
Westnieuwkerke
Provoost Florent
W ulverghem
Trioen Renier
Wytschaete
We Cardinael-Deconinck
Baeckelandt Gabrielle
Delporte Omer
Catteau Edouard
Van Elslande Emile
Callens René
7 1/2 liters NAPHTE
250 grammen OLIE
C1®,
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