n ill h' It 11 F I1H N tal I I H 1 fl onderhol- VERBRUIK OP DE IOO KILOMETERS |lli lil Het spaarzaamste Autorijtuig der wereld. - besparing in het verhrnik en van 7 12 liters NAPHTE 250 grammen OLIE Meenenpoortp 1 - nos I SÉ WAT DUNN Kataloog en proeven gratis op aanvraag* II a encore une J'j Stic a en Belgique A 11 e e n v e r k o o p e r s Garage Vraag aan de eigenaars van een CITROÈN-AUTO wat zij er van denken. Budget du Ministère des Affaires Économiques et budget des dépenses recouvrables en exécution des traités de paix permets x a pour F La réparation des dommages de guerre a entrainé un travail considerable, trop lourd pourune administration créée de toutes pieces au lendemain de l’armistice certains sinis- trés, partis de rien ou de peu ont profité de l’inexpérience des services pour les tromper et obtenir de l’Etat des indemnités bien supé rieures a celles auxquelles ils avaient droit. La répression a été sévère mais juste, elle a été approuvée par tous. Les commissariats d’Etat ont alors eu une tendance a voir des fraudeurs partout et, le désordre régnant dans certains greffes aidant, ils ont entamé des poursuites contre des per- sonnes parfaitement honorables et de bonne foi qui sont ainsi devenues victimes de l’im- puissance de l’administration. Les tribunaux du premier degré n’ont pas toujours su s’éle- ver au-dessus des opinions de petites villes et ils ont généralement suivi les représentants de l’Etat. Heureusement il existe encore une magis- trature indépendante et clairvoyante, étudiant les dossiers sans parti pris, pour sauver l’hon- neur de sinistrés injustement compromis. Tel vient d’être le cas pour Mhóte- lière a Opoursuivie avec une rare téna- cité, sur la plainte d’un commissaire princi- deze laatst genoemde jaren. Daarenboven wordt 5oo fr. afgerekend per kind beneden de 21 jaar ten laste van belanghebbende. Het verlies van huishuur, of welk ander ook, ondergaan gedurende den oorlog, worden evenzoo afgerekend van de winsten, dit in zooverre zij niet vergeld worden door eene gelijkwaardige vergoeding. Dit is het geval met oorlogsschade waarvan het bedrag niet is verminderd met het cijfer der toepasselijke winsten. Nochtans wordt op verzoek van belangheb- ben le tot na bepaalde regeling der oorlogs schade gewacht met het innen van het deel der bijzondere belasting betreffende gebeur lijke verliezen, dit in geval de belanghebben* de oorlogsschade heeft geleden wegens feiten in uitoefening van beroep of aan goederen deel uitmakende van handelszaken. Wat betreft de oorlogsschade, wordt door het Bestuur der Belastingen enkel als verlies aanzien (bepaald of onzeker volgens het geval) de normale waarde welke op het oogenblik dat de schade berokkend werd, hetzij de geheele of gedet Itelijke vernielde goederen, hetzij het opgeeischte of het weggenomen vee, veitegen- woordigden, dit zonder rekening te houden van de aanvullende kosten der wederbelegging. Elke toepassing moet dus zorgvuldig on derzocht worden met betrek op de-vergoedin gen voor oorlogsschade, het 'is immers gebeurd dat verliezen niet werden algerekend van de opgelegde winsten, daar zij aanzien werden als te zullen worden vergoed krach tens de wet op oorlogsschade, dan wanneer zij enkel onrechtstreeksche schade uitmaakten die niet het minste recht geven op vergoeding. Er dient in voorkomend geval rekening gehouden met deze omstandigheden wanneer het er op aan komt te bepalen in welke mate de geteisterde zich heeft weten te herstellen zonder de hulp van eene aanvullende vergoe ding voor wederbelegging. De Minister, (get.) A. VAN DE VYVERE. pal, pour escroquerie et fausse déclaration de dommages de guerre. Malgré ses énergiques protestations, les documents fournis au dossier’ et la substan tiate plaidoirie de son avocat, elle a été condamnée a iooo fr. d’amende et 2 mois de prison sans sursis. Elie a interjeté appel devant la Cour de Gand. Celle-ci, après une longue et minutieuse étude de l’affaire et sur la plai doirie de M. Stinglhamber, avocat a Bruxel les, vient, dans vn arrèt récent, de proclamer l’entière innocence de la prévenue et 1’a acquittée, le 23 Mai 1924. La Cour a admis la parfaite bonne foi de 1’appelante. L’administration a beaucoup de pouvoirs, trop, peut-être et s’il y a une morale a tirer de toute l’affaire, c’est que les fonctionnaires munis de ces redoutables pou voirs feraient bien de se montrer plus circon- speCts avant de déférer devant les tribunaux des personnes honorables dont la bonne foi n’est pas douteuse mais dont les erreurs invo lontaires ont pu être entretenues par le man que d’organisation des bureaux des dommages de guerre. ip Séanca du mercredi 25 juin 1924 (Suite) M. DERBAIX. Je crois utile d’attirer 1’attention de 1’honorable ministre sur la s tua- tion actuelle, au point de vue de la réparation des dommages de guerre, de pertaines catégo- ries d’étrangers en Belgique et de Beiges en France. En France, les sinistrés beiges sont obliges, notamment, de faire le remploi de la totalité de l’indemnité, y compris la perte subie, dans la commune du sinistre. Et les cessionnaires francais de dommages appartenant a des Beiges sont soumis a la même obligation, de même que les Beiges cessionnaires de dommages franpais. On sait que les Francais sinistrés en Belgi que jouissent d’un traitement beaucoup plus favorable. Je n'entre pas dans les détails, et 1’honorable ministre connait la question beau coup mieux que moi. Mais il est évident pour tous que la situation actuelle ne saurait équitablement perdurer. Les régies appliquées en Belgique aux Francais et en France aux Beiges doivent être identiques, c’est alafois la lettre et 1’esprit de la convention franco-beige dug octobre 1919. Elie a eu pour but l’établissement d’un régime de stricte réciprocité entre les ressortissants des deux pays. Cette réciprocité n’existe pas, M. le minis tre le sait, et des réclamations lui sont adres- sées de toutes parts. Outre les réclamations des intéressés et de mandataires publics, des chambres de commerce, des conseils com- munaux lui ont signalé les graves inconvé- nients de l’étatde choses existant, et il importe d’y remédier sans retard. Je suis persuade que 1’honorable ministre se préoccupe de la question, qu’il tachera d’imprimer l’activité nécessaire aux négocia- tions engagées entre les deux pays et que celles-ci, grace a lui, pourront prochainement Ci®, aboutir a une solution équitable nationaux. M. VERCRUYSSE. - Je me r- d’appuyer les observations de M. Derbai propos des Beiges qui sont établis en France Pas plus tard que lundi dernier, un Be| établi dans les environs de Saint-Quentin s’est vu refuser une indemnité de remploi de 40.000 francs paree qu’il n’a pas pu effectuer ce remploi dans le rayon de 5o kilomètres prescrit par la loi franqaise. M. VAN DE VYVERE, ministre des af faires économiques. Après les discours des rapporteurs, je pourrai être trés bref. Le budget des dépenses recouvrables a deux parties bien distinctes la reconstruc tion et les dommages de guerre. En ce qui concerne la reconstruction, la mission de mon département est virtuellement terminée. Nous avons jusqu’ici reconstruit a peu prés entièrement les domaines communaux et les habitations particulières. Pour les communes adoptées, sur 180,772 habitations détruites, 118,869 ont été recon- struites. De plus, 12,000 habitations provisoi- res baraquements sont en service. En réalité done, notre mission peut être consi- dérée comme achevée. 11 e 1 est de même pour la remise en vie des communes détruites. La Nation a adopté 24’2 communes or, ig5 ont été déja désadoptées. II n’en reste done plus que 47. M. Digneffe a parlé, a ce propos, de la suppression des hauts commissariats. Je n’ai pu supprimer tout le personnel, car il reste encore a liquider un certain nombre d’affaires. Les hauts commissaires ont terminé toutes les entreprises mais il faut surveiller les travaux en cours. II est done nécessaire de maintenir une partie du personnel comp- tables, surveillants de travaux, les architectes qui doivent surveiller les comptes. Mais tout le personnel supérieur, qui a la responsabilité directe et l’mitiative, va disparaitre. Quant aux dommages de guerre, il n’est pas question de réduire les droits des sinistrés. II n’est pas question de modifier la loi, ni son application. Ou cherche simplement a protéger la trésorerie. Nous fixons les droits des sinistrés, nous leur remettons un titre reconnaissant leur dette et donnantdroit aux intéréts. Nous I n’aurons done pas d’embarras de trésorerie si I le crédit était insuffisant. I II s’agit d’une dette que nous reconnaissons I et qu’au be^oin nous reporterons a I’an pro I chain. Il n’y a done aucun danger. I M. FRANQOIS. C’est beaucoup plus I dangereux. I M. VAN DE VYVERE, ministre des af- I faires économiques. Non Un emprud I pour payer les dommages de guerre n’est pa5 I dangereux on sait bien que ces dommages I sont tellement considérables que 1’Etat doit recourir a 1’emprunt pour les liquider. Mais I ce qui serait dangereux, ce serait que latré-1 sorerie, pour liquider les dommages, dut I recourir a 1’inflation. Cela nous ne le voulon5 pas. (Tres bien 1 sur plusieurs bancs.) I Régie générale le remploi est payé e® I espèces l’indemnité non remployée n’est p35 payable en espèces. Celui qui ne doit paS remployer peut attendee. I Une exception est prévue d’abord pour leSB indemnités non soumises a remploi P°ufB i.. iiMHnnKsna gagancn»11' i i h

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Het Ypersche (1925-1929) | 1924 | | pagina 2