Caisse Commercial de Routers
AV I S
4,75 t. h.
Tijdperk van 10 tot 27 October
HALFMAANDELIJKSCHE REKENINGEN
Voorheen G. DE LAERE C°
Faites ce que je dis, mais...
Fë&iSüet
Faillate
Consulat Royal de Roumanie a Ostende
Dienst der Verwoeste Streken
Aangesloten bij de BANQCIE DE BRUNELLES (Kapitaal 200.000.000 - Reserven 55.650.000)
Les carillons, chants de l’espace
Bij Koninklijk Besluit in datum van g"
September 11. werd het voordeel der aanne
ming onttrokken aan de volgende gemeenten
Kemmel, Langemarck, Voormezeele, Waas
ten en Zonnebeke.
^IIIFBSTATION
„LséeaVISÉ le29Mai1924
$eS Groupsments de Sinistrés
je la Province de Liége
M. Charles Gheude, dans la revue Savoir
et Beauté de la province du Hainaut, nous
parle des chants de l’espace et des carillons.
Notre pays possède a Anvers, Bruges, Gand,
Malines, Hal, Herenthals, Courtrai, Roulers,
Audenarde, Lierre, Saint-Nicolas, Turnhout,
Tirlemont, Mons, Chimay, Tournai, Namur,
Huy, Liège, Malmédy, etc., des carillons nom-
breux et renommés. Nous avons toujours eu,
nous avons encore des campanaires et des
organistes de tout premier ordre.
M. Gheude souhaite que Bruxelles rétablisse
en la Maison du Roi, Grand’Place, le carillon
qui, il y a vingt ans, y fit une brève appari
tion, et il exprime le voeu qu’on rétablisse
aussi a YPRES, Dinant et Visé les carillons
que la guerre a détruit. Il demande, enfin,
qu’on aide Nivelles a compléter la somme né
cessaire pour munir son célèbre clocher d’un
carillon et il fait appel aux bonnes gens de
chez nous Maurice Gaucher
{Extrait du journal' Le Soir - Les Revues
Beiges).
Nous tenons a fa re con-
naitre a nos lectears
qu’il est de toute évi-
dence qu’ils doivent s’adresser chez
VAN NESTE, 29, Grand’Place a Ypres
pr acheter bijoux, orfèvrerie ou montres,
être bien servis, en confiance et au plus bas
prix. o— Reparations soignées
Seul dépositaire de la Montre OMEGA
La ^sponsabilité de E'Etat
L’Etat est tout-puissant aujourd’hui ce
qui fait sa force, c’est qu’il est insaisissable.
Oh I nous savons, il peut être attrait en jus
tice. Mais tout le monde n’a pas les moyens
d’user de ce procédé, et tout le monde n’a
pas non plus le temps d’attendre que les tri
bun aux se soient prononcés. L’Etat va en
appel, fait trainer les choses, connait les mille
et une manières d’éterniser un procés et quand,
en fin de compte, il a perdu la partie, le par
ticulier n’a plus aucun intérêt a la gagner.
Car c’est un fait digne de remarque que
1’Etat agit comme si les lois n’existaient pas.
Nous devons payer nos contributions, mais
il berne tous ses créanciers en général et les
sinistrés en particulier.
Nous devons un intérêt de 6p. c. pour les
impóts payés avec des retards, et bientót eet inté-
rét sera porté a 8 p. c. mais l’Etat sert 5 p. c.
d’intérét aux malheureux qui détiennent des titres
de Dommages de guerre.
Tous les industriels doivent répondre a la
commission chargée d’enquêter sur les huit
heures, mais l’Etat, qui apparait comme le
plus grand industriel, refuse de donner son
opinion.
Une loi prétend démontrer aux propriétai-
res qu’il est malhonnête de majorer le taux
des loyers de plus de too p. c., mais le gou
vernement nous vend ses services a des prix
quadruples de ceux de 1914.
Des textes législatifs obligent les sociétés
concessionnaires des services de tramways
ou d’autobus a assurer la bonne marche du
trafic, mais l’Etat laisse rouler ses trains a la
«va commej’te pousse
Les industriels qui livrent des marchandises
a l’Etat sont mis a l’amende s’ils ne s’exécutent
pas dans les délais voulus, mais les voyageurs
arrivent a destination avec des heures de
retard sur l’horaire officiel, sur la foi duquel
ils ont payé trés cher leur place en chemin
de fer.
Le commerqant qui vous vend du platre
pour de la farine est puni, mais il n’est pas
rare que l’administration des postes achemine
par la voie ordinaire les lettres pour lesquel-
les la taxe express a été payée. Et l’on assiste
a la tentative officielle de nous faire prendre
du papier pour de l’or quand l’Etat nous offre
des banknotes en échange d’espèces trébu-
ch antes.
En vérité, si les particuliers adoptaient
entre eux les procédés dont l’Etat use a l’égard
des contribuables, nous passerions pour le
peuple le plus pervers, le plus querelleur et
le plus chicanier de la terre.
Heureusement, l’exemple d’en haut ne fait
pas tache d’huile.
Cela leur met la conscience en paix, et c’est
la seule satisfaction que leurs dirigeants ne
peuvent leur enlever.
Journal du Commerce Namur, 1-10-24).
(z) II résulte d’une communication qui a été
fate le 24 juin dernier d l’Assemblée Générale
dela Pédération des Cooperatives, que certaines
nmélioratwns ont déja été apportées aux mesures
Venous critiquons ci-dessus. Ces ameliorations
went surtout les tout petits sinistrés. II reste
^éannioins de grandes lacunes que nous aurons
occasion d’examiner d la manifestation qui
lieu d Herve en aoüt prochain.
Wij vernemen dat bij vonnis van 27 Sep
tember, 11. dè rechtbank van het arrondisse
ment Veurne, de handelsmaatschappij Loyètte
C°, houthandel, in failliet verklaard heeft.
Als Curators werden aangesteld de Heeren
Advokaten V alcke en Bulckaert van Veurne.
Par jugement rendu le samedi 27 septembre
dernier, le tribunal de Fumes a déclaré en
faillite la société Loyette C°, commerce de
bois. Ont été commis comme curateurs MM.
les Avocats Valcke et Bulckaert de Furnes.
RAPPORT
i'hurM l’avocat M. HOULTEAUX,
s„lUr. dr l’U. G. S.
par ces motifs et tout ceux que
,,ai eu pkonneur d’exposer aujourd'hui
1 Nous réclamons de toutes nos forces l’abro-
jes nouveaux modes de paiement qui
d’etre inaugurés et le retour immé-
diat au régime qui leprecedait.
Nous réclamons un traitement identi que pour
tous les sinistrés de la guerre non seulement
dans la determination des droits qui sont régis
ar les lois, mais aussi dans les mesures d’ap-
plication et surtout dans le mode de paiement.
Nous avons tous également souffert et pour
nous sinistrés les principes de solidarité hau-
tement proclamés au retour de nos vaillants
soldats, ne sont pas de vains mots, et nous
prétendons que nous avons tous droit a une
niéme reparation.
Même si nous n’avions pas de crainte pour
l’avenir d’un retour sur le passé, même si nous
étions convaincus que d’autres hommes ne
viendraient pas a la téte du Gouvernement ou
que ceux qui viendraient a remplacer ceux qui
y sont, feraient leur la promesse sans cesse
répétée de Monsieur le Ministre des Affaires
Economiques au nom du Gouvernement, qu’il
nesera plus apporté de modifications a la loi,
nous resterons groupés et unis pour défendre
le dernier des sinistrés et réclamer jusqu’au
dernier moment comme nous le faisons
aujourd’hui
L’égaihé toais S S(1)
Visé, le 29 mai 1924
Pour l’Union des groupements de Sinistrés
de la Province de Liége.
Le Secrétaire,
Marcel HOULTEAUX.
Le
’nstitutions se retranche derrière forces
,s nioins fondés les uns que les autres.
f ipres avait, dans ses environs,
Iers ^ess’nes pour les filles de nos
Cede oeuvre a été transférée a Lede,
L*n ne la reverra plus.
a ernière Heure ajoute
une grave responsabilité
^ed’Un L en majeure partie, est responsa-
L’estl’gt C1'Se.^°nt °n ne Peut prévoir l’issue.
''lais en at5ui a zessuscité nos villes, certes,
vie. ”óme temps, il leur a supprimé la
La légation de Roumanie a l’honneur de
porter a la connaissance des porteurs beiges
de rentes roumaines, par eux acquises pen
dant les périodes 1914-1916 Aoüt et 1916 Aoüt
1918 Novembre (date de l’armistice), titres
non encore estampillés, qu’en suite de l’accord
intervenu a ce sujet entre les deux gouverne-
ments beige et roumain, l'examen et le. con
trole des dits titres de rente seront repris
incessamment dans les bureaux de Légation.
II est toutefvis désirable, en vue d’éviter des
dérangements inutiles, qu’aucun de ses por
teurs ne se présente a la chancellerie de
cette Légation avant la publication officielle
qui fixera la date du commencement de ces
opérations, les conditions et modalités qui en.
seront l’objet.
Pour tous renseignements écrire MRamet„
Consul au Consulat de Roumanie d Ostende.
^ous extrayons d’un interview qUe MNolf
cccorlé ei £a Bernière Heure les déclara-
t0,lssuivantes qüi sont bien exactes
bixmude fait appel aux industriels du pays
fc ifcui demande dc venir s’installer dans ses
®u's et a amener ainsi la population ouvrière.
tio ^olame éperdüment des installa-
(jenS]-1^ai'tnnes pour lui permettre de se tirer
g cultés dans lesquelles elle se débat.
tioi)11 n’>^^reS so^’cit« le retour des institu-
liief ^ae^e Possédait en 1914: Ecole de
(cei[aiSanCe Sarnisons école d’équitation
sery6 Q eia'1' célèbre) école régimentaire
toutCeS £énie et de l’infanterie. Bref I
n monde qui lui fajt maintenant défaut.
gouveinement a qui on réclame le retour
officif-
Près d’Ai(
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(SUITE ET FIN)
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