I I GebruiKt de YPERSCHE REKLAAMZEGELS en rapport avec, le L’eau ne contient aucun 7-— Ecole communale pour filles, rue St Jean. M. Colaert. Avant la guerre, cette école était, de gratuite a 1’origine, devenue payante du vivant même de son fondateur, M. Vanden Peereboom. Rétablirons-nous l’école payante ou l’école gratuite ou en ferons-nous une école moyenne pour filles Une école moyen ne sera trop coüteuse et déja les jeunes filles peuvent suivre l’école moyenne des garqons. Une école moyenne coüterait au moins 25.000 l’an, et le gouvernement seul en aurait la haute direction. Quelqu’en soient les frais, nous aurions l/3 a payer. Ce i/3 pourrait être énorme. Une école payante Si nous admettons dans cette école un certain nombre d’élèves a titre gratuit pour nous conformer a une circu laire du ministre Destrée, nous pourrions avoir des frais plus modérés grace a 1’inter- vention de l’État, et réduire même les frais encore en combinant avec des jardins d’enfants a créer. Voila la question. Le Conseil doit 1’exami- ner. Le fera-t il dès ce soir, ou veut-il rémettre pour mieux pouvoir étudier M. Van Nieuwenhove. Quand nous avons fait le pacte de 1919, il a été convenu de réta- blir nos écoles telles qu’elles étaient en 1914. Or, en 1914, cette école était payante. Le minerval des élèves peut venir compenser un peu la différence des traitements du corps enseignant. Nous ne sommes pas obligés de prendre du personnel a gros traitement. Nous prendrions des jeunes institutrices a 5.900 fr. par exemple, pour débuter. Cette question des frais ne doit pas nous arrêter. M. Colaert. Nous avons en effet admis dans notre pacte le rétablissement des écoles telles qu’elles étaient, mais les frais de cette école s’élèvent a plus que ce que nous pen sions, et aujourd’hui le Denier des Écoles n’existe plus. M. Van der Mersch. Pour obtenir l’inter- vention de l’État, nous devrons admettre un certain nombre d’élèves gratuites, et c’est ce qui augmentera les frais- II n’y a que cette difficulté la. M. Colaert propose de continuer cette dis cussion a la prochaine séance. Admis. 8. École communaleménagère. Budget 1925. M. Sobry propose de n’admettre que le même budget qu’en 1924. Le budget présenté était sensiblement supérieur. Refusé. g. École moyenne de l’État. Section latine. M. Colaert. Nous avions voté en une précédente séance l’érection d’une 4e moyenne et voté centre une section latine. Or, il se fait que le Gouvernement n’admet pas l’une sans l’autre. Nous n’étions done pas bien renseignés. II faut 10 inscriptions pour une section latine, or il y a déja 11 inscriptions. Ilya done a revenir sur le vote précédent et a admettre la création d’une classe latine. Le bureau administratif s’est prononcé en majorité pour la création de cette classe. MSobry s’effraie du coüt qu’entrainera cette création d’études latines a Ypres, et s’oppose done au projet. M. Van Nieuwenhove. A toutes les écoles moyennes,l’État propose d’ajouterune section latine. Il faudra pour cela un professeur d’athénée, mais précisément cela permet de supprimer un régent. Le traitement d’entrée du professeur est de 7600, celui d’un régent est de 5.900. Il y a done une différence de 1.600, dont le i/3 a charge de la ville. Par consequent la dépense ne sera que de 533 fr. a charge de la ville, ce qui est insignifiant. Moyennant cela, nos jeunes gens pourront, a Ypres même, faire la moitié déja de leurs études latines. Ce sera pour les parents un grand bienfait et une économie considérable. Il est certain que si nous refusons ce cadeau de l’État, celui-ci établira cette section latine a Menin, ou a Poperinghe. Menin fait déja des démarches en ce sens. Ailons-nous nous laisser enlever une aussi belle occasion Et n’oublions pas que sans la section latine, nous perdrons la 4e moyenne aussi. M. Van der Mersch insiste sur la question de la dépense, et voudrait avoir un renseigne- ment officiel a ce sujet. Nous devons être prudents et économes. Remetton's a huitaine pour obtenir ce renseignement. M. Van Alleynnes fait a son tour 1’expose de l’utilité d’instituer ce cours. Il est inutile d’attendre huit jours puisque nous connais- sons la dépense a faire 533 francs par an. MBouquet intervient a son tour. Comme membre du Bureau administratif de l’école moyenne il a voté la création de la section latine. Il en fera de même comme Conseiller communal. C’est une question de loyauté. MM. Colaert et Van der Mersch s’appuyant sur des considérations financières, demandent qu’on remette le vote a huitaine, d’autres- conseillers veulent qu’on vote de suite. A la majorité d’une voix, la question est remise a une séance a tenir samedi prochain. MM. Donck et Van Alleynnes quittent la séance. 10. École professionnelle libre de St-Joseph. Budget 1920. M. Sobry fait rapport. Ce budget est en augmentation de 33.000 fr. environ, et la part incombant a la ville sera d’environ x3.ooo fr. M. Sobry ne peut accepter cette augmenta tion des frais. Ondécidederemettre la discussion a huitaine. 11. École communale pour garf ons. Sub side complémentaire. M. Sobry est également opposé a cette de- mande de 1000 fr. de subside. Ce subside est cependant vote. 12. École adoptee de St-Michel. Cette école, étant augmentée d’une classe il y a lieu d’augmenter de 100 fr. le subside a lui allouer. Admis. 13. Finances. Budget de 1920. Le budget, déposé par l’échevin des finan ces, M. Sobry, cloture par un déficit de fr. ^55 .000 environ. La discussion en est remise a huitaine. 14. Communications. M. Bouquet interroge le Collége au sujet des agissements de la société concessionnaire de l’électricité. Il a été entendu que les parti- culiers pourraient s’adresser a des électriciens de la ville pour leurs travaux, et que la so ciété concessionnaire ne s’occuperait pas des travaux intérieurs. Or, il y a une compagnie 1’ Omnium qui entreprend ici ces travaux. Il n’y aurait rien a reprocher si cette compa- ghie Omnium n’était pas la même chose en fait que la compagnie concessionnaire. Si mes renseignements sont exacts, et j’ai tout lieu d’en être convaincu, il y a la une incorrec tion violente. M. Colaert. Si cela est vrai, c’est odieux. Nous aurions a intervenir. Mais il nous faut des certitudes. M. l’échevin Van Nieuwenhove s’informera et répondra samedi prochain. M. Lemahieu demande a quelles conditions a la campagne on pourrait se raccorder au réseau électrique qui nous vient de Roulers par cette série de pylonts. M. Van der Mersch répondra samedi. M. Delahaye demande que le Conseil s’occupe de suite du bassin de natation. Le ministère nous l’a promis pour 1926. C’est le moment d’y veiller. Le Collége se mettra ministère. MBouquet demande ou en est la ques tion du boulevard de la Porte de Lille a celle de Menin. M. Van der Mersch. Le Gouvernement voulait un boulevard lart e de 12 metres, la ville ne veut pas qu’il en ait plus de 10. Nous ne pouvons pas concéder plus que cette lar- geur qui sera toujours amplement suffisante. Nous attendons que l’État marque son accord. La séance est levée a 6 h. 40 m. ^''■'rï^opriétés communales. Échange de ter- 2’"palais de Justice. 1il Hospices- Vente de la main a la main de ^r/tf!WjjoSpices demandent au Conseil 1’auto- ^eS vendre a la ville le terrain de r>Sa' 1 Hópital, Grand’Place, oil doit venir 1 Tala’5 de Justice. La ville ensuite doit être 6 see a dormer a la Province ce terrain aU cheté, en échange du terrain de 1’ancien Palais de Justice, au jardin public. Admis a l’unanimité. Cette opération est écessaire pour la construction du nouveau Palais- - Le Conseil des Hospices demande a pouvoir vendre un petit terrain a St-Jean. Admis* - plan d'alignement de la rue de I’Arse ni et de la rue de la Pompe. Le projet donne lieu a certaines observa tions Les rues en seront améliorées mais le prOjet est sans utilité suffisante puisque la ruelie de la Pompe débouche en escalier sur I ['Esplanade a cóté de la caserne, et que son élargissement ne s’explique pas par une né- cessité du trafic. La question est remise pour permettre 1’examen d’un autre arrangement qui ne coü terait peut-être rien a la ville. 5. Règlement-taxe sur l’eau potable. M. Sobry donne lecture du projet des taxes pour 1’emploi de l’eau de la ville. En attendant l'établissement des compteurs, la ville perce- vrait d’après le nombre des robinets. M. Delahaye vindt dat de stad eene moeilij ke periode doorgaat, en dat de voorgestelde taks van p5 cm. per kubieke meter voor de industrieelen, veel te hoog is, en 20 cm. niet zou moeten te boven gaan. M. Delhem vindt die taks ook te hoog. M. Van Nieuwenhove. Ieder persoon te Yper gebruikt hedendaags 100 liters water per dag. ’t Is te veel. Hij geeft eenige bijzon- 1 dorheden over de kosten die de waterdienst aan de stad veroorzaakt. Die kosten zouden moeten gedekt worden. Tot nu toe heeft de stad nog niet in staat geweest eene taks op te leggen. M. Van Alleynnes. L’eau a été analysée, etdéclarée non potable, même après ébulli- tion. Est-il alors juste de faire payer pareille eau M. Colaert. bacille nuisible. Hf- Van der Mersch. On devrait diminuer 'a taxe de l’eau industrielle, et on pourrait ®gmenter la taxe a payer par les particuliers ont plus de robinets chez eux. Tous les pagers doivent payer une part dans les frais c ce service public. La situation est trop 01 hole en ce moment pour les industriels, et On nepeut les taxer a 75 cm. Les bourgeois Quiont de l’eau a l’étage devraient être taxés P us de 5 fr. par an et par robinet. De toutes ce service doit couvrir ses frais. s„ Prenons que les frais annuels 2iOQVent a 6°'°00 fr' y a aujourd’hui déja 0 raccordements, en les taxant a 25 francs par 8,1] 1 r ^ja II 168 raiS sera’ent PresQue couverts Parait alors inutile de mettre de si lustri l.XeS a C^ar^e ^es habitants et des que Van. ^ieuwenhove. Ce règlement n’est de v,soire. Tant que nous n’avons pas d'un nlJ1-curS’ il nous faut nous contenter Suit^6 ParPr’se d’eau. résulioUne ^'SCUss’on un peu confuse d’oü il QUO Ponsabi 1 16 ProPriétaire ne peut être res- ^Phs a taXe a Payer Par locataire. nient l’ét ,a’ econsell reprend successive- '^uieit 6 chaclue article du projet de I ^ous et Passe au vote- s°Uvent tI\entrerons pas dans la discussion Sltlte et re,S ^’duse, et même parfois intéres- ^cleg, n 1Vert’Ssan^e de chacun de ces ^•Nos*i°S I(> Pa&es de texte n’y suffiraient ieeCteUrs trouveront dans le prochain voté, eSlernent provisoire tel qu’il a été i

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Het Ypersche (1925-1929) | 1924 | | pagina 3