s. Une importante reunion de la i 11 h d ■si Déclarations-Passavant [•11 f lM biffl Depart. cSe EVS. 1 1 daa: maar ook jaarlijks Mi Fédération Nationale des Sinistrés de Belgique it Bruxelles d>gheid Men. heer 1 Gerken dat de au bureau de ce journal Hst Garnizoen Pogingen worden aangewend om ons garni zoen terug te krijgen. Wij zullen niet rusten vooraleer volledige voldoening bekomen te hebben. Van Yper naar den Yzer •er meldt dat de Ypersche Han- ^Vei'^eidsbond op Zondag 16 Novem- aar°ver eene graote vergadering tet Wii M in Mér t, bestond. De eigendommen 1v Gesticht van Meessen liggen meest arrondissement Yper en men de Wervicq était present a 1 assemblee. La plupart des cooperatives de sinistrés du pays étaient représentées. Le Discours du Président M. P. Beaupain, en ouvrant la séance a 2 heures, prononce le discours suivant d’honneur, Van Schoor, sénateur a Termonde, L. Van Alleynnes, de la Délégation Permanente, Houlteaux, avocataVisé, A. Ledoux, E. De- thier, secrétaires, L.Timmermans. M. Geuten Mc ,Heel de h öe Vaart v V \00rzitb La Fédération Nationale des Sinistrés a tenu dimanche après-midi une importante assemblee générale au Palais d’Egmont, a Bruxelles. Au bureau avaient p-is place M. M. P. Beaupain, président de la F. N. S. en- touré de MM. A. Butaye, avocat a Ypres, président suppléant président La Fédération Nationale des Coopératives a envoyé a toutes les Coopératives la lettre- circulaire ci-après Federation des Cooperatives pour Dommages de Guerre (Société Coopérative) BRUXELLES N° S. I. 49.689 Bruxelles, le 5 novembre 1924. 14, Rue de Berlaimont. Messieurs, Nous avons l’honneur de porter a votre connaissance que le Conseil d’Administration de la Fédération a, au cours de sa dernière séance, accepté, a son vif regret, la démission que, pour des raisons personnelles, son Directeur M. KESTEMONT, lui avait re raise depuis quelque temps déja. Le Conseil a tenu a exprimer a M. KES TEMONT sa gratitude cordiale pour les services éminents qu’il a rendus a notre oeuvre commune. M. KESTEMONT, dès le debut, s’est montré a la hauteur de la tache difficile qui lui était confiée. On peut dire que la Fédéra tion a été, en grande partie, son oeuvre. Vous serez unanimes, nous n’en doutons pas, a vous associer a 1’hommage que lui a rendu le Conseil. M. WILLAERT, qui remplissait jusqu’a présent les fonctions de Sous Directeur, as sure, depuis le ier de ce mois, la direction de la Fédération. Nous serons heureux de vous voir reporter sur lui la confiance que vous avez toujours accordée a son prédécesseur. Veuillez agréer, Messieurs, 1’assurance de notre considération distinguée. Le Président du Conseil, Michel LEVIE. N. d. I. R. Les sinistrés de I’arrondissement s’associent de tout coeur aux sentiments expri- més ci-dessus. Ils se souviendront toujours avec reconnaissance de la précieuse collaboration que M. le directeur KESTEMONT ne leur a jamais ménagée. Ils espèrent du reste que M. KESTEMONT ne les aura pas quittés tout-d- fait et qu’il continuera d les aider de ses conseils et de son expérience. Mes premiers mots seront pour vous adres- ser un cordial souhait de bienvenue. Jevous remercie d’avoir répondu avec tant d’empres- sement a notre appel j’y vois un gage dës sentiments de solidarité qui unissent les sinistrés wallons aux sinistrés flamands. Ces sentiments se sont affirmés au cours de toutes les manifestations qui se déroulèrent tant en pays flamand qu’en pays wallon il faut qu’il continue a en être ainsi. N’avons- nous pas été tous victimes d’un même cata clysme ne souffrons-nous pas tous, depuis que nous réclamons nos droits, des mêmes injustices Ce n’est pas a vous qui avez vécu comme moi cette angoissante question de la repa ration des dommages de guerre qu’il est nécessaire de rappeler les luttes que nous avons eu a soutenir, les épreuves qui nous furent imposées depuis la mise en application de la loi de 1919. Vous savez quelles atteintes furent portées successivement a cette loi en dépit de nos protestations et au mépris des engagements les plus solennels. Mais nous ne sommes pas ici pour récriminer sur le passé. Tout au plus vous demanderai-je tout a 1’heure d’en tirer un enseignement pour Favenir... Vous n’ignorez pas dans quelles disposi tions d’esprit nous avons convoqué cette as semblée. Les délégués des coopératives avaient été réunis le 24 juin dernier pour entendre l’exposé des restrictions imaginées par le Ministre des Affaires Economiques. M. Levie avait promis de poursuivre ses pourparlers il espérait obtenir certains adou- cissements sans toutefois nous laisser grand espoir et le 23 septembre, 1-a Fédération des Coopératives devait vous réunir a nouveau pour vous communiquer le verdict ministériel. Car, vous vous en souvenez, on ne vous demandait meme plus votre avis la Fédéra tion avait été placée devant ce dilemne se soumettre ou se démettre. Le Gouvernement passait outre a toutes les protestations. Il est' inutile queje rappelletout 1’odieux du nouveau régime imaginé par le département des Affai res Economiques, la scandaleuse injustice des restrictions fut mise en évidence au cours des manifestations si dignes et si imposantes qui se déroulèrent successivement a Ypres, a Dixmude, a Visé et a Herve. Mais il n’est de pires sourds que ceux qui ne veulent pas entendre et il est clair que le gouvernement ne voulait pas entendre. Mais a présent tout cela est passé. Un brusque revirement s’est soudain produit les restrictions sont abolies et on nous annonce le retour au régime en vigueur en 1923. je pense que vous éprouvez tous la même im pression que nous ressentons, il nous semble que nous sortons d’un véritable cauchemar. Et nous nous demandons s’il est bien dissipé. Que s’est-il done passé et a quoi devons nous cette métamorphose inattendue On ne le dit pas. Une explication a cependant été donnée officieusement. Vous l’avez peut être lue. Je vous en rappelle l’cssentiel Les nouveiles dispositions, dont la mise en vigueur était d’ailleurs rendue nécessaire par l’état du Trésor, n’ont donné que des résultats illusoires contre des inconvénients certains. On espérait diminuer dans une mesure importante les débours immédiats. En fait, on a obtenu jusqu’ici une réduction de qua- rante millions. Et il s’agit, bien entendu, non pas d’une dépense évitée, mais d’une dépense reportée, transformée en dette a terme por- tant intérêt. Le systême a eu, d’autre part, le facheux effet d’entraver la reconstruction et la renais sance industrielle et commerciale des régions dévastées. Enfin, il a abouti a des situations peu logi- ques. Des sinistrés se voyaient octroyer par jugement une certaine indemnité, a la condi tion expresse de l’avoir réemployée a une date déterminée. Or, ils ne recevaient que des titres non négo- De vergadering, die met de meeste belang stelling werd gevolgd, wordt om 16 1/2 uur geheven. t gevraagd om het Gesticht Meessen te bekomen. .eer Minister antwoordde dat hij de atsing naar Lede niet zou toegestaan jn(jjeii het onder zijn bestuur had voor- Ild geweest, maar, gezien het nu reeds ^Mitmkken feit was, de zaak hem heel een ®°j7gchepenen-Collegie deed hem opmer- jat indien er vóór den oorlog 200 doch- waren van krijgslieden verwond of tefS uveld in dienst van het Vaderland (de faking van het gesticht te Meessen bedroeg C leerlingen) er nu, gedurende een tijdver loop van een dertigtal jaren, veel meer in de enschte voorwaarden zouden zijn om j^/ooyhun opvoeding te ontvangen ten minste van zoodra een zeker aantal oorlogs- invalieden kinders zullen hebben die 6 jaar oud zijn. Het gesticht van Lede zou dus kunnen be houden worden, doch ten laste van den Staat, en dit te Meessen zou weder opgericht wor den en bestaan met de inkomsten van de eigendommen der oude abdij van Meessen, zooals dit ten eeuwigen dage moet gebeuren volgens het decreet van Keizerin Maria-The- resia. De heer Minister deed opmerken dat zulks inde tegenwoordige omstandigheden niet zou hunnen geschieden, uit hoofde van den moei lijken finantieelen toestand en dat, ten andere, ie Regeering reeds veel doet ten voordeele van de oorlogsweezen en van de oorlogsver minkten. Om beter de belangen der gemeente Mees- senin die zaak te kunnen verdedigen, heeft i.Ddeu, toen eene plaats open kwam in de Besturende Commissie van het Gesticht, zijne kandidatuur voorgesteld om van die Commis sie deel uit te maken. De heer Minister heeft M.Deleu in die plaats benoemd. Maar M. Weit was tot nu toe nog in de gelegenheid niet eene beslissing te doen nemen om het Koninklijk Gesticht te Meessen herop te ichten. Zelfs heeft een zonderling besluit van den Dienst der Oorlogschade de zaak nog verer- ?erdmen zou, als basis voor het herbeleg te de waarde 1914 nemen van dit gesticht lat niet vernield werd, en daarop een coëffi- toepassen (4 b. v.) welk heel de som >epaalt die te Lede moet hergebruikt worden. In ander woorden, als men yÓo.ooo frank leenit als waarde 1914, dan moet te Lede [000.000 fr. gebruikt worden van de oorlog- >C ^vergoeding welke aan Meessen toekomt Die veropenbaring wekt natuurlijk in vergadering de grootste misnoegd- 81d en iedereen is van gevoelen dat tegen zulke schreeuwende onrechtvaar- niet genoeg kan geprotesteerd Voorzitter H. Vermeulen doet zei- a gemeente Meessen mag ver y F zlJn dat gansch het arrondissement t ar zal steunen in hare werking om te bekomen en het Koninklijk Gesticht ^.‘'krijgen. on, moeten allen samen werken, zegt hij, °ns arrondissement te behouden of te bekomen al hetgeen er vóór den ^ninkl'’05"011^' e'gend°mmen van het liet an ^et arrondissement Yper en het is heiroy.'j611 het Gesticht zelf dat men er uit MoiBe^n maar ook een heel belangrijk men Jaarlijks aan onze streek vergadering drukt hare instemming Ve> klaring van den heer Voorzitter. w5SchenkornSt wederom te De verp1 liebben 'voltrokken «eilijk scheen. L M—HMBIBIIIIMT i MMBgMHKPgrffi-n1 MB

HISTORISCHE KRANTEN

Het Ypersche (1925-1929) | 1924 | | pagina 3