I I ft I I MogsMe - öommagas de guerre Assemblöe Oénérate du 9 Novembre 1924 a BRUXELLES l Rapport de M. Houlteaux J I Bericht I i6i5 3i5 26.860 68a 5 - 175 1818 - i5o R >eid ^ning. 1 Twee plaatsen van onderwijzeres zijn open te Yper, in de betalende lagere stads meisjesschool (Sint Janstraat) alsook eene plaats van onderwijzeres in de bewaarschool eraan gehecht. Wettelijke wedde. Aan vraag te doen vóór i5 December aan ’t Ge meentebestuur van Yper. Deux places d’institutrice sont vacantes a Ypres, a l’école primaire communale pour lil ies (école payante, rue St Jean), ainsi qu’une place d’institutrice a l’école gardienne y an- nexée. Traitement legal. Demande a adresser avant le i5 décembre a TAdministra- tion communale d’Ypres. De Burgemeester, Le Bourgmestre, R^EOLAERT. ce temps, qu’ont fait tous ces Ces f£S' (S»cteï- gemeente bevinden zich de wegen erbarmelijken toestand. Alleen de naar Hollebeke werd in 1 gelegd. Al de andere zijn gansch 'aar. Eene groote misnoegdheid be- Je bevolking jegens de gemeente nen Henri ^'po-Demuynck Henri p. Boesinghe »yn-Breyne Hilaire Ms Petrus Mais en matière agricole les circulaires n’envisagent pas que les bénéfices réalisés. Elies imposent aux Commissaires des éva- luations uniformes pour les animaux et les denrées et les Commissaires ne tiennent aucun compte des époques de l’enlèvement ou de l’entrée dans le patri moine des sinistrés des objets a indemniser. Ils s’en tiennent ne varietur aux chiffres des barêmes qui leur ont été imposés. Si les denrées ont été achetées a un prix fort ou récoltées a moins de frais par les cultivateurs eux-mêmes, ils proposent toujours la même indemnité. II en est de même pour le remploi des animaux. Ils n’accordent jamais comme rem ploi plus de deuxfois la valeur de 1914, alors. que ce remploi a peut être coüté trois ou trois fois et demi cette valeur, même si des pièces justificatives remises par les intéressés éta- blissent qu’ils ont payé beaucoup plus cher pour le remploi. Exemple M. F.,, de Barchon sur six chevaux qu’il possédait en 1914 adü en fournir trois a l’armée beige et les trois autres ont été réquisitionnés par les allemands. Tous ses biens ont été détruits, il n’a pas été taxé pour bénéfice de guerre. Ses chevaux qu’il possé dait en 1914 lui étaient indispensables pour son entreprise et ils lui étaient encore néces saires pour remettre celle-ci sur pied. Après l’armistice il a racheté trois chevaux bien- inférieurs en qualité a ceux qu’il possédait avant la guerre pour les prix de 35oo, 355o et 1800 francs, soit au total pour 885o francs. M. le Commissaire de l’Etat H.... de Liége, qui cependant passe, parait-il, au Ministère pour être beaucoup trop généreux ne voulait. admettre pour ce poste en vue d’une trans action que 2400 francs d’indemr ité de répa- ration et 1200 francs d’indemnité complémen taire de remploi, soit en tout 36oo francs, ou moins de la moitié de ce qui revenaiten réalité a l’intéressé. ...Nous pourrions citer d’autres cas encore oü des cultivateurs légèrement taxés pour béné fices de guerre pour la détermination des- quels le fisc avait tenu compte des indemnités présumées qu’ils pourraient recevoir du Dé partement des Affaires Economiques, se sont vu refuser toute indemnité complémentaire de remploi bien que les bénéfices de guerre ainsi fixés fussent bien inférieurs aux indem nités complémentaires de remploi que leur reconnait la loi. Et il s’agissait en l’occurrence d’une familie nombreuse dont le père et les deux ainés avaient été fusillés par les allemands en aoüt 1914 et dont tous les biens avaient été détruits. Voila a quels résultats aboutissent l’appli- cation des circulaires et des instructions don- nées aux représentants de l’Etat, alors que dans les premières années de l’application de la loi et jusqu’en 1922 au moins les cultiva teurs qui ont pu faire sortir leurs doss’ers ont été traités d’une faqon beaucoup plus favo rable et conformément au véritable esprit de la loi. (A suivre). V oormezeele deze J «enen ian van St El ooi ’Mam “Sdb; *tait onder d Voetj^' 's onverdiend daar zij vele Verbef?611 en P°gingen gedaan heeft om *e bekomen. Wie dan is de schuld 4n([Zen beklagensweerdigen toestand lajg Jjre gebeenten zelfs van minder be- s^i ebben volledig herstel der wegenis- waearOnien- ,om twee maten en twee gewichten Meidtrekkcn de aandacht der hoogere do?r>;_ °P dit onrecht met hoop van vol- XX. - Avis Me laatste zitting der Scheidsrechterlijke Commis si werd de schade, waarde 1914, als volgt iotgesteld voor de hiernavermelde geteisterden Dans la dernière séance des Commissions Arbitrates Valeur des dommages 1914 a été fixée comme mil paar les personnes ci-dessous Lan^emarck Woestyn Cyriel ^'Heville-Syoen de erfgenamen Myn-Üasselus M-Verbeke Henri inters Theophilus St. Jan ócononnrtas nela Métropole Qnparlepartout de la reduction du nombre ..faclionnaires. Aujourd'hui on annonce que pallet, mints tre de l’Intérieur, a décidé de. ■^riniir la direction générale de la... garde aarde n’existe plus depuis dix ans, et voila t'on s’aperpoit que pendant tout ce temps les L, ctntribuables ont payé un directeur géniral •^000 francs, des directeurs a 20.000 francs, Lsous-directeurs,chefs de bureau, sous-chefs de hirMU, commit d’ordre, etc. Quelle sotnme cela n’a-t-il pas coüté depuis la pirre?-- pt, pendant luif-li Oncroit rêver en lisant ces lignes. U est done établi que des grands chefs de [aGarde Civique ct leur suite ont touché de gros appointements... pendant dix ans après |i suppression de leur service. Qu’en pensez-vous contribuables Beiges si tardement imposés Etvous, malheureux sinistrés dont on con- teste les droits a la réparation et qu’on gratifie da titres non négociables Mais vous particulièrement, pauvres inva lides, qui, après avoir lutté victorieusement contre 1’ennemi de la Patrie, continuez a lutter stolquement contre la misère. Vous kéros, aux droits méconnus, qu’en pensez- vous Oh le joli régime des économies aux de- pens des uns... des gaspillages en faveur des autres. - Oh la vie chert pour ne rien faire Avoca! a Vise, secrétaire de la Délégation per manente des Sinistrés auprès de la Fédéra- tion des Coopératives pour Dommages de guerre. Messieurs, La tache qui m’avait été confiée pour l’assemblée de ce jour se trouve singulière- ment simplifiée par le retour aux anciens modes de paiement des indemnités, décidé par le nouveau Ministre des Affaires Econo miques ...S’il y a lieu d’être content de la nouvelle qui nous est parvenuê par la presse le I novembre, est-ce a dire que nousavonsobtenu pleine satisfaction sur toutes les questions qui ont fait l’objet de nos critiques depuis la grande manifestation d’Ypres au pri’ntemps dernier et au cours des manifestations régio- nales organisées par nos groupements de sinistrés Non certes, sinon la réunion de ce jour serait sans objet ou tout au moins n’en aurait d’autre que de tresser des couronnes de fleurs a ceux que nous critiquions il y a moins de dix jours encore. Les circulaires ministérielles et les in structions verbale» communiquées par les Directeurs et les Inspecteurs Généraux a Messieurs les Commissaires Principaux et par ceux-ci a leurs substituts, restent les grandes ennemiesdes sinistrés et tendent a restreindre de plus en plus leurs droits. Les Commissaires de l’Etat qui n’avaient d’autre mission au début que de vérifier le bien fondé de la réclamation des sinistrés et de veiller a la saine application de la loi tant en veillant a l’intérêt du sinistré qu’a celui de l’Etat, ont un róle tout autre a présent celui de réduire le plus possible et par un système de nominations a courts termes on tient con- stamment suspendue au dessus de leur tête l’épée de Damoclès, qui est pour eux la rési-' liation de leurs fonctions s’ils suivent plus fidèlement les inspirations de leur conscience que les instructions souvent en opposition ayec la loi qu’on leur impose. Les circulaires et instructions du Départe ment... tendent aussi a changer la mentalité des Tribunaux et Cours de Dommages de Guerre et les modifications apportées dans Ia composition des sièges ont eu pour effet de seconder l’ceuvre des circulaires et des instruc tions verbales et d’amener certains revire- ments dans l’application de la loi. Ces résultats aboutissent, comme le fai- saient les restrictions apportées aux modes de paiement, a traiter moins favorablement les derniers sinistrés que leurs compagnons d’in- fortune qui, soit par chance ou par intrigue, ont pu être servis avant eux. Ces considerations générales étant émises sur les circulaires montrons en les effets par quelques cas particuliers Régies quant aux honor air es d’ architects. 2") Indemnité forfaitaire de I’article 14 pour les immeubles reconstruits par l Etat... 3°} Dommages Agricoles. En matière agricole, des circulaires prescri- vent aux Commissaires de tenir compte des taxations pour bénéfices de guerre pour la détermination des indemni'és complémentai res de remploi. A la Fédération Nat’onale des Sinistrés il a déja étéditcequel’onpensaitde cette manière de voir, qui n’est pas précisément conforme a la loi. Notre principe était tous surle même pied au point de vue des indemnités, mais taxations considerables sur les bénéfices de guerre. Ce système nous paraissait plus equitable. frictions qui tendent a reproduire 'ent ce qui a été détruit sont abusives tgsques. .nhaitable que dans l’intérêt de tous, I HeS rj£tajre mécontent saisisse sans retard al des dommages de guerre d’une 18 tfl tation Par laquelle on voudrait lui faire B-orge pour apprendre a vivre a l’ad- gondure^. affi^mapgamagaBMi^iL j n mi WfttragSBKzwsgw; Federation Nationale des Sliistres 23.120 11.800 H

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Het Ypersche (1925-1929) | 1924 | | pagina 3