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^onSeil Communal d’Ypres
du Samedi 20 Décembre 1924
ïiance
io/ioo door iedereen zal aanvaard
den achtbaren
ga ik niet
leuses a Sysseele. M. Sobry propose un sub
side de xooo fr.
M. Van der Mersch fait observer que les
communes bien plus pauvres qu’Ypres subsi-
dient pour plusieurs milliers de francs. Ypres
ne peut faire moins. Le Bureau de Bienfai-
sance subsidiera aussi, et notre subside devrait
donner la même somme. En outre, eet éta
blissement de Sysseele construira une annexe
a Courtrai, trés bien. Mais pourquoi cette
annexe ne se construirait-elle pas a Ypres
Nous sommes toujours écartés de tout.
Plusieurs membres interrompent et font ob
server que nous possédons ici les terrains de
l’ancienne école de bienfaisance appartenant
a l’Etat, tandis qu’a Courtrai on devra payer
cher pour en acquérir.
MGlorie. Soyons trés génêreux pour
tout ce qui se fait ailleurs et refusons tout
soutien a ce qu’on veut avoir ici I
M. Van Nieuwenhove. Les Hospices
donnent déja 10.000 fr., le bureau de bienfai
sance également. La vilie donnerait done en
réalité 3o.ooo fr. Ce serait trop en considera
tion de nos finances.
M. Van Alleynnes propose de donner ces
io.ooo fr. en cinq annuités de 2000 francs,
M. Sobry se rallie a cette proposition, M.
Colaert également, et elle est admise a l’una-
nimité, sauf le vote négatif de M. Glorie, avec
le veeu de voir la succursale se construire a
Ypres.
10. M. Sobry propose d’écrire, au none
de la vilie, a Leurs Majestés le Roi et la
Reine, pour leur faire observer que depuis 6
ans Ypres attend que sa reconstruction soit
faite, et les dommages de guerre ne servent ui
a reconstruire ses casernes, hi son éeole de
bienfaisance, ni sa prison, ni son canal. On
demande l’intervention favorable de Leurs
Majestés.
M. Van Alleynnes.— Qu’ont dit MM. Fort,
homme et Ruzette
M. Sobry donne lecture d’une lettre de M.
Forthomme.ministre de la Défense nationale,
informant la vilie qu’il n’y a intérêt de coa-
struire a Ypres ni un aérodrome, ni des instal
lations pour les intendances militaires, ni
(On trouvera cette lettre in extenso dans le
présent numéro).
M. Van Nieuwenhove. Le ministre n’a-t-
il pas dit que les écoles. ne sont pas sufffisam-
ment organisées pour lesenfantsdes officiers
M. Colaert. Le ministre a dit qu’en géné-
ral les officiers et les états majors n’aiment
pas a venir a Ypres.
Commeconclusion, tout le Conseil estd’avis
d’écrire a Sa Majesté, sauf a porter quelques
modifications au texte proposé par l’échev.in
M. Sobry.
11. Budget de la vilie pour iga5. Ce
budget a été, a huis-clos, longuemerut discuté,
dit M. le bourgmestre, en sorte qu’il est inu
tile d’en donner lecture chiffre par chiffre.
Des observations sont faites au sujet de
divers articles qui s’en trouvent un peu mo-
difiés.
Dans une séance a tenir Samedi prochain,
le budget sera définitivement arrêté.
Au sujet de l’art. q5 M. Van Nieuwenhove
demande s’il est exact que contrairement a ce
qu’il avait été décidé antérieurement au Col
lége, c’elui-ci a consenti a prendre, dés le ir
janvier prochain, a sa charge, les salaires des
deuxmécaniciens de la station de pompage de
Dickebusch L’ex-échevin des travaux pu
blics rappelle que le programme élaboré par
l’Etat et accepté par la vilie pour le fonction-
nement des machines d’élévation d’eau Dicke
busch, prévoit la mise en marche simultanée
de deux pompfes, la 3e servant de réserve, et
pouvant envoyer én 8 heures dans le chateau
d’eau, la quantité d’eau nécessaire a la vilie
pendant les 24 heures. Or, dit-il, par suite du
diamètre insuffisant de la conduite d’aspira-
tion actuelle et qui heureusement n’est que
provisoire, il est impossible de mettre en.
marche deux pompes en jnême temps. II en.
séance a huis clos dure jusque 4 h. 40 m.
X’ouvre la séance publique.
T tprésents MM. Colaert, bourgmestre,
jentSobry, Van der Mersch, Declercq,
Tvinsïweins, Bouquet, Lemahieu, Dela-
C, Delhem, Glorie, Van Alleynnes, Van
^u’wenhove et Donck, conseillers Versail-
s secrétaire.
AbsentsM. D’Huvettere.
l Le procès-verbal de la séance du 29
ovenrbre dernier est approuvé sans observa-
- Règlemtnt sur les sepultures. Modifica-
Les concessions au cimetière coüte-
mtal’avenir r5o fr. au m. c. pour les con-
tssions le long du mur de la Chaussée de
jjnnebeke et 100 fr. au m. c. pour les autres
^cessions a perpétuité, 5o fr. au m. c. pour
(Sconcessions de 20 ans. La superficie doit
je de l.5o m. c. au moins.
j Cimetière. Concessions au profit des
ff/res du Bureau de Bienfaisance.
Le Bureau de Bienfaisance demande un
jnf spécial, moins coüteux. Cela lui est
tcordé.
- Bureau de Bienfaisance. Cession de bail.
-Unlocataire de Zuydschote demande de
ïder son bail a un parent. Le Bureau de
bienfaisance est autorisé a accepter cette
session.
5. - Bureau de Bienfaisance. Location de
hris. II s’agit de terres a Poelcapelle. Le
Bureau est autorisé a donner ces locations
moccupeurs qui en font la demande.
6. - École de musique. Budget pour IQ25.
Hopte.
École professionnelle de St Joseph.
fecomptes 1923-1924 sont approuvés.
if.Bouquet fait observer qu’d y a des élèves
Fallons et demande si on les instruit dans
s deux langues. En outre, du temps de
I. Neuville les enfants venant de loin pou-
lientmanger a l’intérieur des salles, aujourd’
lion les oblige a quitter les locaux et cela
5 engage par les jours de mauvais temps a
to dans les cabarets. C’est une mauvaise
toe a laquelle on devrait renoncer.
Ecole professionnelle de St Joseph. Bud-
^otir iq2Ö. Ce budget prévoit de la part
!'avilie une augmentation de subside s’éle-
13.000 francs. L’Échevin des finances
la''equedes réductions doivent ètre por-
tsices prévisions et notamment que les
i’es de ’communes environnantes ive de-
liont pas être a la charge de la vilie.
Delahaye plaide pour l’instruction pro-
^ionnelle de diverses branches de métiers,
c°nsidère qu’il n’est p s de la dignité d’un
leHieu d’arrondissement d’abandonner les
IVes étrangers a la vilie qui viennent chez
former dans un métier.
lee* daar in de billijke vraag van de
r°epschool dat deze zich de zwaarste op-
ringen getroost om hier eene modelschool
échten, voor oogen hebbende de nood-
J’J’heid van de vakkundige opleiding der
eren onzer kleine burgers en werklieden.
2al de toekomst zijn van onze stad
Iseene vraag welke de Yperlingen zich
.^tellen.
ïiwT toe^omst van de stad, zal deze
Mi 6 Yperlingen voorbereiden.
itie 611 aan ons volk, in plaats van er
"erkers, metserdieners of manceuver-
’iin dn te maken, eene vakkundige op-
ezorgen, indien wij, met ze wat wij
6 ^00Seschool der werklieden doen
Mo’ Zu^cn onze werklieden bekwame
Me! UerS va^mannen worden, dan zal er
mtijW<iZen Om nijverheden bier in te plan-
erheid welke de stadzoo noodig heeft,
ktlt Je’)eurt cr nu Op eigen initiatief
I eene Beroepschool gesticht, initia
tief van den onvergetelijken Eerweerden Heer
Neuville.
Na den wapenstilstand in voorloopige ba
rakken ingericht, kende de school een moeilijk
begin, maar het Bestuur voortgestuwd door
den algemeenen wensch der bevolking, aange-
moedigd door het Staatsbestuur, door de
Provincie, heeft het aangedurfd een der
schoonste scholen, een der prachtigste gebou
wen op te richten van gansch het land, zonder
de minste tegemoetkoming van de stad.
De gebouwen zijn er, nieuwe professors
zijn benoemd, nieuwe leergangen worden
ingericht... noodzakelijke leergangen... onder
andere van electriciteit, van mekaniek, van
motor, automobielleer,van coupe, enz., enz.,
op enkele vraag zal er een leergang van weef
kunde worden ingericht
En wat vraagt het Bestuur van de school
aan de stad Eene subsidie van 20/100 op
haar gewoon budget.
Wat doet de Staat?...
Deze, bij monde van hare Inspecteurs, van
de Bestuurders van het Ministerie, ja van den
Minister zelf, moedigen de school aan, het
geldt de toekomst van de stad en van haar
werkvolk de Staat komt tusschen voor het
gewoon budget, door haar gecontroleerd en
verbeterd, met 5o/ioo. De Provincie wil ook
niet ten achteren blijven en geeft 3o/ioo op
hetzelfde gewoon budget,in alle andere steden
en dorpen van gansch het land vult de stad
het ontbrekende aan, omdat die besturen van
langs om meer overtuigd en bewust zijn van
de noodzakelijkheid van die scholen.
Zie eens wat opoffering de werklieden zelve
doen zij zenden hunne kinderen van af hun
veertiende tot hun zeventiende jaar naar de
school en wat zien wij... op Is October laatst
waren er 121 leerlingen, nu 146, waarvan er
18 bijgekomen zijn van Yper alleen.
Dat bewijst, Mijne Heeren, dat onze kleine
burgers en ons werkvolk zelf bewust zijn van
het groote nut van de Beroepscholen.
Was de school er niet, dan zou het wel ge
beuren dat de stad gansch den last van de
inrichting eener school, die tot honderd dui
zenden beloopt, zou te dragen hebben, want,
en ik geloof wel dat vele van mijn Collega’s
van hetzelfde gedacht zijn, reeds lang hadden
wij dusdanige instelling aangevraagd en ver
dedigd in het voordeel onzer werkersbevol-
king.
Ik versta dat de toestand van Yper onder
geldelijk oogpunt hiet schitterend is. Daarom
stel ik zelve voor, stad’s aandeel in het ge
woon budget, dat rond de 80.000 fr. bedraagt,
te verminderen tot op 10/100.
Maar met het verslag van
Heer Schepen van Financiën
t’akkoord.
Subsidieeren voor zoover het Yperlingen
geldt is een uitzonderingsmaatregel, die te
verrechtveerdigen ware in een verachterde
gemeente, maar die onweerdig is voor de
hoofdplaats van een arrondissement als Yper.
De stad heeft ten plicht ook tusschen te ko
men want het geldt hier het hooger onderwijs
van de werklieden.
Ik verhoop, Mijne Heeren, dat die billijke
vraag van
worden
M. Sobry trouve par contre que les commu
nes dont des enfants viennent ici a l’école
devraient intervenir dans ces frais d écolage.
M. Glorie fait observer que la Ville a refuse
600 fr. par an pour installer a. 1 École moyen
ne une classe franqaise et des cours latins.
Maintenant elle propose d’intervenir pour des
10.000 fr. dans une augmentation pour l’École
professionnelle Cela est illogique.
M. Delahave fait encore ressortir l’utilité
de cette École professionnelle.
Ce budget est approuvé.
g Sanatorium de Sysseele Donck.
La province demande a chaque commune
d’intervenir par un subside dans la construc
tion du sanatorium pour les femmes tubercu-
I
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