Hl
Conseil Communal d’Ypres
du samedi 25 janvier 1925
iance
D<
(7 Vervolgt).
is de samentrekking der
het front, in
den
ver-
Laséance s’ouvre a 2 h. 45. Sont présents
Colaert, bourgmestre, président So-
Van der Mersch, Declercq, échevins
j’Huvettere, Bouquet, Iweins, Lemahieu,
Nieuwenhove, Delahaye, conseillers
'ersailles,secrétaire. Absents: MM. Delhem,
,lorje) Van Alleynnes et Donck.
1 - Le procès-verbal de la précédente séance
jtlupar M. Versailles. Il est trés précis,
■ès complet, et ne soulève aucune observa-
on.
2 Emprunt au Crédit communal de francs
450.000, destinés a rembourser a la Banque
e Courtrai un emprunt de 1.225.000 francs,
ontracté afin de fournir les fonds nécessaires
la Société Électrique. Les frais d’éhctrifica-
on ne dépassant pas l.qÓo.ooo francs, le
rédit communal fera l’avancc de cette som-
ie et le remboursement aurait lieu a trés
fflg terme. Les titres devraient pouvoir se
laceraYpres ou dans la région. L’intérêt
Era de 6 La ville de Poperinghe a, en
uinze jours de temps, couvert deux fois un
nprunt de 5oo.ooo francs. L’Administration
jminunale d’Ypres est convaincue que le pu-
liccouvrira eet emprunt.
M. Van Nieuwenhove. La section des
inances a-t-elle été consultée
jf. Sobry. Nous avons traité cela en
ollège.
M. Van Nieuwenhove. Nous avons une
Ktion des Finances, il faut la consulter.
II. Colaert. Nous avions a aller vite.
M. Van Niemvenhove. Oü trouvera-t-on
idifférence entre l’intérêt du Crédit commu-
al et celui qu’exige la Banque de Courtrai
our les deux années écoulées et qui est
ley’/o
M. Van der Mersch. Nous avons bien dü
[ins adresser a la Banque de Courtrai puis-
aenous ne savions pas alors combien il nous
indrait pour l’électrification. La société Élec-
ique ne doit payer que l’intérêt au taux du
rédit communal, or la difference avec celui
th Banque de Courtrai ne fera qu’une som-
ieassez minime, relativement parlant, en-
ron 7000 a 7000 francs.
M. Van Nieuwenhove. La section des
1' inances aurait dü faire tous ces calculs.
M. Van der Mersch donne l’historique de
toutes les négociations qui ont eu lieu dans
le passé entre la ville, la Banque de Courtrai,
le Crédit communal et la société Électrique.
M. Van Nieuwenhove. Y a-t-il des frais
d’émissions
M. Sobry répond que non.
M. Van Nieuwenhove doute que dans les
circonstances critiques présentes, on ne trou-
ve facilement a placer en ville un emprunt de
cette importance.
M. Colaert. Pas si vite qu’a Poperinghe,
e’est certain. La il y a plus d’argent qu’ici.
M. D’Huvettere. II y a un danger. Nous
prévenons la Banque de Courtrai que nous la
rembourserons. Mais supposons que nous ne
puissions placer nos titres a Ypres, comment
alors pourrons-nous nous acquitter
M. Van der Mersch. C’est un compte
courant que nous rembourserons a la Banque
au fur et a mesure de nos disponibilités. Cette
Banque n’en est pas du tout froissée.
M. Van Nieuwenhove espère qu’a 1’avenir
on ne manquera plus de soumettre ces ques
tions a la section des Finances.
Mise au voix, le principe est admis. Le
Ccllège s’abouchera done avec le Crédit com
munal.
3. Propriétés communales. Expropriations.
Au coin de la rue des Lombards et de la
rue de Lille, la ville a exproprié 122 m. c. Il
s’agit de régulariser.
MDelahaye se plaint de ce qu’il y ait en
core des propriétaires non payés.
M. Van der Mersch. Nous avons 1’argent
en caisse, et nous payons couramment. S’il y
a des comptes en souffrance, cela provient
de ce que des pièces rnanquent ou que les
plans d’expropriation ne sont pas encore
parvenus.
M. l’échevin Van der Mersch explique ou en
est le projet du nouveau boulevard Porte de
Lille a Porte de Menin. La Ville et l’État ne
sont pas encore parvenus a se mettre d’accord
sur la largeur de cette voie.
4. Communications.
M. Colaert. Vous avez tous été surpris
comme moi, par la nouvelle que donnent les
journaux de Bruxelles. Ceux - ci annoncent
que l’État a donné a la ville de Bruxelles les
collections de l’Hótel-Musée Merghelynck
Je n’ai pas pu y croire. Je suis allé vöir
bombardement afwisselend, worden de be
stormingen ’s namiddags hernomen de
pogingen van den vijandzijn zoo scherp, dat de
hulp van 2 bataljons der 5* Divisie moet inge
roepen worden, om de verdediging van dit
punt door te houden. Op een zeker oogenblik,
gaan de loopgraven van het bruggehoofd ten
Zuiden van Dixmude verloren, maar een
tegenaanval neemt er weder bezit van.
Op het einde van den 2in, is de algemeene
toestand van het leger kritisch, want, om zijn
stellingen te houden, heeft het zich genood
zaakt gezien het grootste gedeelte van zijne
reserven in den strijd te werpen.
Rond het einde van den nacht van 2in op
22n, geschiedt de eerste ernstige gebeurtenis
van den dag. Onder begunstiging van de
duisternis, heeft de vijand een naar Tervaete
aangelegde gelegenheidsbrug ingenomen en
is tot op den linkeroever doorgedrongen.
Talrijke tegenaanvallen in den achtermiddag
door de tot de ie Divisie behoorende 2e en 4e
linieregimenten, en het 8e regiment, van de 4e
Divisie, en met den steun der Grenadiers en
Carabiniers ondernomen, slagen er niet in,
den vijand weder op den rechteroever te ver
drijven een bataljon Grenadiers, echter,
bereikt den Yzerdijk, maar niet genoeg onder
steund, moet het zich den volgenden nacht
terugtrekken. Die offensieve handelingen zijn
zeer bloedig en brengen een aanzienlijke ver
zwakking teweeg bij de troepen die er aan
deelnemen.
Divisie zal Vladsloo aanvallen en de Fran
se marinefusiliers zullen naar Beerst op-
ikken. De ne en I2e linieregimenten wordt
bezetting van het bruggehoofd van Dix-
®de opgelegd.
Die aanval maakt goeden vooruitgang
eersten Vladsloo worden bezet, maar in
ningen komen toe, volgens welke wordt
^gesteld, dat sterke Duitsche kolommen
“Dalle wapenen ten Noorden en ten Zuiden
^Roeselaere verschijnen, en datde Fransch-
,Dgelsche cavalerie, die in die richting werk-
lïni was, zich terugtrekt de positie van de
lar'nefusiliers en van de 5e Divisie op den
proever wordt te gewaagd bevonden, en
ekoepen worden terug op den linkeroever
Men Yzer geroepen.
uiten een krachtig bombardement op het
'eele front, is de dag van den 2On geken-
f etst door een dubbelen aanval tegen beide
Men van de lijn gericht.
e meest stevige dier aanvallen is degene
r,Van6uur ’s morgens aan, Lombaertzijde
L e hoeve Bamburgh, ten Oosten van
L^Oort> v00r doel heeft. Tegen den
L ?aan die posten verloren, maar de
kst n*et kunnen verder komen. De
L arid echter is ernstig geworden, ten ge-
|M.e Van de sterkte van het artillerie en
Ia fieVUUr-
et andere uiteinde van
naar Dixmude, heeft de in
Iv Ondernomen aanval kunnen
lo2Wden-
I beffen,
le Ministre, M. Nolf, qui m’a répondu que ce.
n’est qu’un dépot provisoire.
Nous savons ce que cela veut dire. En
Belgique, le provisoire est du définitif. Cette
manière de faire n’est ni légale, ni convenable.
Le testament mystique de M. Merghe
lynck a disparu, mais nous en avons assez de
bribes pour savoir ce que M. Merghelynck
avait la volonté de faire. J’ai déposé une
question au bureau de la Chambre et le Mi
nistre devra bien me donner une réponse
officielle.
Il ne faut pas qu’on nous traite toujours
en parias. Nous n’avons ni l’école de réfor-
me, ni la garnison, ni le canal, et voila qu’on
nous enlève le musée qui nous devait attirer
tant de monde
Nous n avons pas le droit legal de protes
ter, mais nous éclairerons le Ministre
M. Sobry lit un extrait du testament mysti
que de M. Merghelynck, relatif a la fondation
de l’Hótel-Musée Merghelynck. Malheuren»
sement on ne possède pas le texte complet.
La guerre a détruit les documents d’Ypres.
M. Colaert. L’État a certainement u»e
copie de ce testament mystique. Madame la
douairière aussi probablement
M. Van Nieuwenhove. L’idée du Mi
nistre n’est pas d’installer le musée définitive-
ment a Bruxelles. Mais les collections s’abi-
ment la ou elles se trouvent actuellement, et
c est sans doute pour cela qu’on les mettrait
ailleurs. Si done la ville pouvait informer offi-
ciellement l’Académie des Beaux Arts que
nous avons de quoi remiser trés convenable-
’ment les trésors de notre Musée, je pense bien
qu’on nous les rendrait immédiatement
MVan derMersch. Nous avions prévenu
le H. C. R. et demandé le retour de nos col
lections, et justement deux jours après cette
démarche, voila ce que nous apprenons par
les journaux 1
M. Van Nieuwenhove. Nous avons des
locaux déja surabondants, 1’an prochain nous
aurons encore la Boucherie. Faisons done
revenir tout le mobilier, montrons que nous
pouvons l’héberger, et nous pourrons ravoir
nos collections
M. Colaert. Je m’occuperai activement
de cela a Bruxelles, et si parlementairement
la réponse n’est pas suffisante, je déposerai
une demande d’interpellation
M. Van der Mersch. Me la douairière
vijandelijke strijdmachten uitgevoerd gewor
den. Zij zijn aldus vóór het front gerang
schikt de 4e Ersatzdivisie staat tegenover
Nieuwpoort het IIIe Reservekorps, van
Nieuwpoort tot Keyem het XXIIe Reserve
korps, ten Noorden van Dixmude eindelijk
het XXIIIe Reservekorps te Dixmude en ten
Zuiden daarvan, hetzij gezamenlijk 7 divisies
tegenover het Belgisch front.
Een zulke samenvoeging van strijdmachten
vergt een dringende en nauwkeurige begren
zing van het defensief front. Na overeenkomst
tusschen de Fransche en Belgische Opperbe
velen wordt er besloten dat het Belgisch leger
zich zal bepalen tot de verdediging van de lijn
van den Yzer tot op de hoogte van St Jacobs-
cappelle, hetzij een front van 23 km. Tegelij
kertijd, worden schikkingen genomen om de
verdediging van de lijn naar het Zuiden door
Fransche troepen aan te vullen en een over-
vleugeling van het leger op de rechterflank te
vermijden.
Gedurende den nacht van 20“ tot 21°, en
den ganschen dag van den 2ln, wordt het
front aan een buitengewoon krachtig bom
bardement onderworpen. Het schieten der
Duitsche artillerie wordt nu op de eerste lijn,
dan op het terrein achter deze gericht, om de
aankomst der reserven op de gevechtsstelling
onmogelijk te maken sommige loopgraven
worden letterlijk aan stukken gebouwd. De
infanterieactiën zijn zeldzaam.
Te Dixmude, echter, worden hevige uit
Beerst afkomstige nachtaanvallen tegen het
I2e linieregiment gericht. Met een geweldig