||f
Caisse Commerdale de Roulers
Voorheen G. DE LAERE C°
i
I
I
till
Tijdperk van 10 tot 25 Februari 5,00 t. h
II
I II
r
Hi
H
HALFMAANDELIJKSCHE REKENINGEN
i!
id!
Le scandal© des briques étatistes
jll
een
Total.
du 3o-i-25).
Handel- en Nijverheidsbond Yper
ure
van
’"génieur qui s’occupe
s
i hJ 11
De Voorzitter,
H. Vermeulen.
De Voorzitter,
H. Vermeulen.
Le Président,
H. Vermeulen
Aangesloten bij de BASQUE DE BRÜ^ELLE$ (Kapitaal 200.000.000 - Resenen 55.650.000)
--
Rekeningen 6 maanden 1 jaar G/TO
Algemeene vergadering
Zaterdag 3 Januari om 8
Brief aan den Heer Verwilghen
Hoogkommissaris T/S.
Yper, den 3 Februari 1920.
Mijnheer,
Tengevolge der inzakkingen aan de brug te
Hollebeke, is de baan Y*per-Komen sedert
vier weken onderbroken. Dientengevolge, zijn
alle rechtstreeksche verbindingen met de ge
meenten Hollebeke, Houthem en Komen totaal
onmogelijk.
Daar zulks heel nadeelig is aan de betrek
kingen der inwoneis van bovengemelde ge
meenten, alsook den handel der streek ten
hoogste be'e umerd, nemen wij de vrijheid de
aandacht van Ued. te trekken op de dringend
heid der herstellingswerken, ten einde het ver
keer op deze b ran ten spoedigste opnieuw toe
te laten.
Een gunstig gevolg verhopende, bieden wij
U, Heer Hoogkommissaris, de verzekering
onzer hoogachting.
De d. d. Schrijver,
A. Notebaert.
Zijn tegenwoordig de H. H. Vermeulen H.
Tahon J., Declercq R., Glissoux Eug., Seys
Ern., Vanderghote H., Vanderschelden R.,
Proot G., Notebaert A., bestuursleden als
ook een vijftigtal leden.
De H. H. Bagein M. en Vergracht M.
lieten zich verontschuldigen.
Na lezing en goedkeuring der verslagen
worden de verscheidene artikels over de
vaartkwestie in Het Ypersche verschenen,
de vergadering voorgelezen.
Daarop vraagt de Heer V. Seys, dat het
Bestuur onderzoeke welke maatregelen dienen
getroffen te worden, om den herbloei onzer
wekelijksche markt, te bewerkstelligen.
Lettre envoyée a M. Pierre NOLF
Ministre des Sciences et des Arts,
Bruxelles.
Ypres, le 28 Janvier IQ25.
Monsieur le Ministre,
La nouvelle, parue dans les journaux de la
Capitale et suivant laquelle l’Académie des
Beaux Arts aurait donne a la Ville de Bruxel
les le mobilier de notre Musée Merghelynck, a
jeté ici une profonde consternation.
Si réellement cette décision a été prise, elle
est tout a fait contraire a la volonté de la
législature lorsque celle-ci a voté la loi sur les
dommages de guerre, elle est aussi en oppo
sition avec les promesses de Sa Majesté et de
plusieurs de ses Ministres et, ce qui est plus
grave, elle constitue une violation du testa
ment de Monsieur Arthur Merghelynck qui
fonda le dit Musée et le légua a l’Académie
des Beaux Arts, a condition qu’il resta a
perpètuité a Ypres et dzxisYHotelMerghelynck.
Notre courageuse population a peine a
croire a la véracité d’une nouvelle aussi grave.
C’est pourquoi, Monsieur le Ministre, nous
osons espérer qu’il nous aura suffi d’avoir
attiré votre attention a ce sujet pour que vous
nous donniez a bref délai une réponse calmant
les inquiétudes des Yprois.
Nous vous prions d’agréer, Monsieur le
Ministre, 1’assurance de notre considération
distinguée.
Le Secrétaire,
Robert Declercq
L’État présente sa defense
et plaide coupable - Les contradictions
et les Fantaisies Ministérielles
M. le ministre des affaires économiques
vient de répondre aux questions que lui ont
posées MM. Maenhaut, Vandevelde et Pierco
au sujet des briques accumulées par 1’Etat
dans tous les coins de la Belgique.
Il avoue 264 millions 400 mille briques, mais
nous savons qu’au cours d’une réunion de
maitres-briqueticrs, un haut fonctionnaire du
département a parlé de 400 millions...
Mais, 264,400,000 n’est déja pas a dédai-
gner. C’est, du reste, un peu moins que le
chiffre que nous avons donné comme certain.
Le Peuple n’aura done plus aucune rai
son de mettre nos affirmations en doute et
nous supposons qu’il aura la loyauté de le
dire a ses lecteurs.
Le ministère reconnait que les approvision-
nements se répartissent comme suit Moni-
teur du 27 janvier IQ25)
Flandre occidentale
Flandre oriëntale
Brabant
Hainaut
Province de Liège
Province de Namur
264,400,000
Il est évident que ces chiffressont« adoucis»
puisque nous avons une liste qui comporte
270 millions de briques, sans discussion
possible.
Mais, il y a bien mieux
Pour Namur, le ministre avoue 12 millions
de briques. Or, nous possédons unepiece ojficiel-
le, signee par un haut fonctionnaire du départe
ment, qui declare que, a A nhée seul, il y a i5
millions de briques I...
Pour toute la province de Liège, 1’Etat
avoue 1,700,000 briques. Or, a Braives seul,
il y a trente fours d’ environ un million de briques
chacun
Il est probable, sinon certain, qu’il en est
de même dans les trois autres provinces.
Le ministre est, évidemment, de bonne foi,
mais ses bureaux, qui l’ont renseigné sur tout
cela, ne le sont guère.
Les prix d’achat de ces briques varient
entre 55 francs et 84 francs le mille dit le
ministre.
I Or, dans sa réponse a une question de M.
I Vandevelde, le ministre déclare
I Les prix d’achat ont été de 80 francs en
11922 et de 84 francs en 1923.
I Oü, quand et comment 1’Etat a-t il pu se
I procurer le millier de briques a 55 francs
I Peut-ètre un solde, une liquidation, une mise
I01 vente qui constitue, en tout cas, une
1 miime exceptron.
I A M. Vandevelde, on affirme que le prix de
I We est actuellement de 60 francs, et a M.
Maenhaut qu’il varie entre 35 et g5 ir.
I Pourquoi 1’Etat ne vend il pas Tn archi-
'^tenousen donne la raison. Il s agit pré-
demerit des briques de Bossuyt, que 1 Etat
Shrine audacieusement pouvoir revendre a 60
■francs
H “J ai suivi de pres, nous écrit cet architecte,
^fabrication. L’exécutiön était bonne. Mal-
^Wisement, l’Eiat avec le bagage de techni-
tlens qu’q a sa disposition aurait du se ren-
H re cornpte de la nature du sol. A cause du
HI ces briques ne valent rien, absolument
IlT?' construis des maisons ouvrières et
HI ,entrePreneur est tenu de se servir de ces
«qnes 85 fraocs le mille. Que va-t-il se
SSer?j’en refuserai la moitié si pas d avan-
■I V
’"génieur qui s’occupe de construe
Hl S’ nous parlant des memes briques, nous
HI elles se cassent an inoindre hoc
91r j avoir cn b“’ 'l)1 h’',e
I '"SrJ11'le 55 e. (jue le concours
jJ
x:
i H
des briquetiers ne fut obtenu que grace a
divers avantages qui leur furent concédés
avantages qui, évidemment, sont retombés sur
le prix de la fourniture...
Si le titulaire actuel du département des
affaires économiques n’est pas personnelle-
ment responsable du fait que 1’Etat se trouve
être maintenant a la tête de tant de millions de
briques, il n’en est pas moins vrai que la poli
tique des bureaux de ce département est respon
sable des achats inconsidérés et répétés de
matériaux. Nous reprochons surtout a ce
département
De n’avoir pas su liquider ces stocks,
depuis quatre ans, et de payer ou de de
voir payer de 2 a 5 francs pour mille
briques et par année de retard dans l’enlè-
vement.
Pourquoi force-t-on les entrepreneurs de
maisons ouvrières a se servir de ces briques,
alors qu’on les dédaigne dans la construction
des bureaux de postes, gares et autres bati-
ments que 1’Etat construit en ce moment
Le ministre a dit encore que les ventes
publiques organisées n’ont donné aucun ré-
sultat satisfaisant Alors, comment le même
ministre peut-il affirmer que le prix actuel est
de 60 francs par mille briques
Un fait ressort de tout cela et c’est celui
qui intéresse le pays. L’Etat perdra, au moins,
25 francs par mille briques, s’il les vend a 60
francs et comme il y a 264 millions de briques
avouées, c’est une perte sèche de 6,600,000
francs auxquels il faut ajouter le prix des
amendes, soit 1,322,000 francs ou, a quelques
francs prés, 8 millions.
Mais, nous sommes a même de prouver que
l’incurie gouvernementale coüte infiniment
plus au pays.
Une fois de plus l’incapacité industrielle et
commerciale de 1’Etat n’est-elle pas, hélas,
trop surabondamment prouvée
Et les journaux officieux qui navaient pas
assez d’éloges pour les ministres batisseurs recon-
naitront-ils que notre campagne anti-étatiste
avait sa raison d’etre
Libre Belgique
N. D. L. R. Il y a quatre ans que la
Région d’Ypres proteste contre les
abus de l’Etatisme. Il y a déja deux ans
qu’elle dénonqait le scandale des briques
Indien leden bijzondere gedachten hebben
hierover, kunnen zij zich op de éérstkomende
bestuursvergadering aanmelden.
Het jaarverslagzal toekomende maand door
den Heer Declercq ingediend worden.
Het verslag der kas, gaf voor uitslag
boni van fr. 504,26.
De gedeeltelijke herkiezing van ’t bestuur,
bracht er al de uittredende leden in terug. Te
weten de H. H. Vermeulen, Declercq, Glis
soux, Seys, Vergracht.
Om bijzondere redens, wordt vervolgens
overgegaan tot de verkiezing van een bestuurs
lid, in vervanging van den Heer Proot. De
uitslag was de verkiezing van Heer Fl. Van-
devoorde.
Na overhandiging der lidkaarten voor IQ25,
en inschrijving voor het souper, wierd de
vergadering geheven.
De d. d. Schrijver,
A. Notebaert.
t
I
143,000,000
4,400,000
47,000,000
56,3oo,ooo
1,700,000
12,000,000
I
.--toe.