Caisse Commerdale de Roulers Voorheen G. DE LAERE C° halfmaandelijksche rekeningen ill Tijdperk van 25 Februari tot 10 Maart 5,00 I. h. I ill Mrs d’Anglais Gebruikt de YPERSCHE REKLAAMZEGELS illPl Deman dtes possibles Allemagne Belgique même temps de trés I 1 jaar S,S© p. ii. i La loi sur les layers dans les regions dévastées Kos Ministres de la Justice et sont chargés de l’exécution du .rrêté. La circulation du bétail dans la zone de douane frat inanccs )t a: Question poséepar M. le depute JANSON d M. le Ministre des Finances Dans la zone de douane, les cultivateurs ■doivent se procurer un passavant pour circu- ler avec le bétail. Autrefois, ce passavant était délivré sur production de 1’inventaire du bétail. Aujourd’hui, le cultivateur, pour obte- Aangesloten bij de BASQUE DE BRUNELLES (Kapitaal 200.000.000 - Reserven 55.650.000) -- Rekeningen 6 maanden 5,25 p. h. 1 jaar p. h. Que 1’AIlemagne cherche a échapper, dans la mesure du possible, a ses obligations de vaincue, c’est de bonne politique allemande. Elie n’en manquerait pas moins a 1’honneur et a la parole donnée. Mais que la Belgique cherche, ellq, a échap- per au paiement des engagements qu’elle a pris envers ses sinistrés, cela n’est pas excu sable ce n’est pas seulement déshonorant pour elle mais c’est en mauvaise politique. Et cette faute devient d’autant plus grave que pour justifier la violation de ses obliga tions, la Belgique a prétendu jusqu’ici que les Boches eux ne la payaient pas. Or, aujourd’hui le gouvernement est forcé de reponnaitre qu’en 1924 il a requ un milliard 800 millions or pour lui permettre de tenir ses engagements envers les sinistrés. Cet argent a done été détourné de sa des tination. Le gouvernement beige est coupable envers nous de détournement de fonds. Ce fait brutal est la! Un particulier qui agirait ainsi serait mis en prison de suite. I 11 '11'! 'I pi. le sénateur GUY A UX a posé la question suivante d Mle Ministre de la Justice Un propriétaire dont les immeubles ont été détruits pendant la guerre et qui, al’interven- tion du tribunal des dommages de guerre, a été indemnisé du préjudice subi, peut-il, lors- qu’il a reconstruit de nouvelles habitations, grace a ces indemnités, louer ces nouveaux immeubles comme bon lui semble N’est-il pas soumis a la loi sur les loyers A t-il le droit de réclamer de ses locataires plus de 125 p. c. du prix des loyers de 1914. pour les maisons reconstruites M. le Ministre a répondu L’article 23 des lois coordonnées sur les loyers dispose' que la loi n’est pas applicable... aux immeubles atteints ou non par des faits de guerre qui, depuis cette date (ll novembre 1918) ont subi des travaux de reconstruction... dont le coüt a été supporté par le propriétaire, au moins a concurrence de moitié de la valeur de l’imtneuble au ir aoüt 1914 J’ajoute qu’il ne. m’appartient pas d’inter- préter la loi. Aux termes de l’article 92 de la Constitu tion, les contestations qui ont pour objet des droits civils, sont du ressoit exclusif des tri bun aux. LVerend Père MOLONY fait savoir l "Hes désireuses de suivre ses cours |8’les donne les Mardi et Jeud» |L5UsoiL Chez Mr L. N. Mucpliy, Aujourd hui le Conseil communal qui rece- vra le Roi, Lui demandera-t il 1) Quand on nous rendra notre garnison 2) Quand on nöus rendra notre canal 3) Quand on nous rendra notre École de bienfaisance 4) Quand on nous rendra notre Musée Mer- ghelynck 5) Quand on rendra a Messines son Institu tion Royale Le Conseil communal qui recevra M. le Ministre Moeyersoen, lui demandera-t-il pour- quoi, après avoir annoncé qu’il levait toutes les restrictions mises aux paiements depuis février 1924, il remet de nouveau, moins de deux mois après cette levée, toutes ces res trictions en vigueur, en les accentuant encore puisque maintenant on ne paie plus aucun titre aux négociants, quelque minime qu’en soit le montant et même pour les immeubles Lui demandera-t-il pourquoi il nous a en- voyé son chef de cabinet, il y a un mois, prêcher a nos industriels et négociants de se remettre quand même au travail, malgré ces restrictions Lui demandera-t-il si son attitude est incon- sciente ou ironique Lui demandera-t il ce qu’il a fait du milliard et demi qu’il a requ de 1’AIlemagne pour nous être remis nir cette pièce, doit produire un certificat d’origine délivré par le secrétaire communal. Ne serait-il pas possible de revenir a l’an- cien système les formalités actuelles obli- geant l’intéressé a faire souvent diverses démarches avant d’obtenir le passavant du secrétaire communal Réponse de M. le Ministre En mars 1921, le département des finances, d’accord avec l’administration de l’agriculture, a dispensé les détenteurs de bestiaux de la tenue des in- ventaires des animaux des espèces bovine et ovine. Cette mesure, qui se justifiait notam- ment par la circonstance que les bestiaux n’étaient plus passibles de droits a l’entrée, s’est traduite par un réel soulagement pour plus de 3o,ooo families de la zone frontière. II ne serait pas opportun, dans les circon- stances actuelles, de rétablir les inventaires, non seulement paree que ce régime comporte de lourdes sujétions tant pour les détenteurs de bestiaux que pour le personnel de la douane, mais paree qu’il ne procure même pas, au point de vue de la surveillance géné rale, des garanties bien solides. Pour le surplus, la délivrance ou la valida tion des documents pour la circulation du bétail dans la zone limitrophe de 5,ooomètres n’est pas obligatoirement subordonnée a la production d’un certificat de l’administration communale. Comme pour toute autre mar- chandise dont le transport dans le rayon est soumis a surveillance, il suffit que l’origine indigène du bétail soit établie a la satisfaction des agents de l’administration, l’intéressé pouvant faire la preuve de cet ind'igénat par tous moyens pertinents (factures, documents de douane, lettres de voitures, etc.) (signé) LEOPOLD, mois d’avril 1924, l’administration des neS a mis en adjudication la démolition jDes de l’Ecole avec charge pour l’entre- irde convertir les terrains en prairies, ’jnstitut Royal de Messines a été fondé tu d’un édit de Marie-Thérèse, le 3o y76. Le texte stipule rfgeons d perpétuité, par les présentes, l’abbaye de Messines, en notre dite jnce des Flandres, une fondation pour nfants et pour les veuves des soldats os troupes uis la guerre, l’Institut est déplacé a ,rès d’Alost. uoi servent, dans ces conditions, les unces et les Arrètés Royaux si le Mi- de la Justice lui-même ne les respecte l’est ce que les habitants de la Région ée se demandent. sympathie du Ministère des Travaux spour la renaissance du pays dévasté. y a actuellement six ans et trois mois la signature de I’armistice et l’adminis- des Ponts et Chaussées n’est pas •imémede renseigner les négociants et ills riverains du canal sur les alignements pter pour la reconstruction de leurs bles. prouve combien peu sont avancés les et la confection des plans. Faut-il dire énorme que cette négligence cause. tracisme du Ministère de la Défense tale vis-a-vis de la région oü s’est dé- sort de la Belgique. n Arrété Royal du 10 décembre 1847,' iigné par Chazal, décréta la création cole d’Equitation a Ypres. mile se chargea alors des frais d’instal- elle dépensa de ce chef 40.000 fr., m lui disait Etablissez cette école, la sur un bon pied c’est un établis- nt permanent et vous pouvez être cer- qu’il vous sera conservé Ms de Monsieur Alphonse Vanden oom, séance de la Chambre des Re- ants du 9 juin i853. Art. 6 de la loi militaire du i5-8-23... Application des dispositions précé- le iVIinistre de la Défense Nationale ra, autant que possible, aux miliciens "isonssituées a moins de 5o kilomètres domicile et dans le cas oü cette dis- tvra être dépassée, tiendra compte 'lités de communications ferroviaires ‘garnison assignée et le domicile du 1. 'Ppression de notre garnison est done oalavolonté du législateur, tout le h West-Flandre se trouvant a plus de 'te kilomètres du centre d’instruction Proche. 'Pü’s fournai jusqüe Ostende soit sur lance de frontière terrestre et maritime )n cent kilomètres, il n’y a plus une lrn>son beige. ’"be coté de la frontière les garnisons "’’’ntenues. entre les meilleurs voisins, il faut un "löture... en 1815 les alliés décidèrent de ^°rteresses la frontière qui séparait as de la France, il maintinrent les ^es de Maestricht et de Venloo... -3> I ms—Minnato»

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Het Ypersche (1925-1929) | 1925 | | pagina 3