HANDELSFOOR GROOTE D mil 1 “I 1 i 11 II 1 Grande Foire Commerciale II KATTEFEEST 'll H IM IBIS i I hii I Ville d’Ypres Stad Yper Conseil Communal d’Ypres is NT aux lI an YPER STAD le Séance da Samedi 21 Février 1925 du Id Hl l van Donderdag 9 tot Maandag 13 April 1925 De Foor die begint op Zondag 8 Maart aanstaande belooft iets buitengewoons te zijn. Een vijftigtal barakken van alle slach zal op de Groote Markt geplaatst zijn, waarvan de bijzonderste aantrekkelijk heden zijn Cirque Demuynck, Carrou sel-Salon Baudele', Montagnes Russes, Champignon Palace, Majestic Raylway, Roue dansante, Carrousel Auto, Monte la dessus, Théatre des Fantoches, Musée du Bagne, Musée Oerter. 1I Illi II III Iril du Jeudi 9 I LI I au Lundi 13 Avril 1925 (=1=^-[=1^', ==lt=1l 6. Bureau de bienfaisaiice Vente de 3i onnes en mauvais état par suite d’éclats d obus. Approuvé. 7. Comptes 11)24 du corps des pompiers. Ces comptes sont approuvés. 8. Comptes 1922 et IQ23 de l’École moyen ne de l’État, et compte de clerc a maitre. Ces comptes sont également approuvés sans observation. g. Enseignement primaire Don. M. Georges Fiers a fait don d’une somme de 5oo fr. dont l’intérêt str-ira a récompen- ser chaque année tin bon élève de l’école com munale pour gaigons. M. Van Alleylines propose d’acheter un lot des Régions devastées, ce qui est un excellent placement sous tons les rappoits, et procure en outre la chance d’un kt. Le don est accepté a\ec reconnaissance. 10. Taxe sur les pompes a essence. Cette nouvelle taxe servirait a équilibrer les Finan ces communales. Elie serait de 100 ir. pour les pompes mobiles et de 200 fr. pour les pompes fixes, par an. Il y a, en ce moment, six pompes a essence fixes, et cinq pompes mobiles. Il est a suppo ser que le nombre s’accoitia. Les conseillers sont unanimes sur le princi pe de la taxe. Après discussion, le taux. ci- dessus est approuvé a la majorité. 11. Exposition commerciale IQ25 Be mande de subside. Le Handelsbond pour la foire commerciale de 1925, demande un subside de i5oo francs. A la majorité des voix, un subside de l5oo fr. est adopté. 12. Société d'Horticulture Concours d'étalage. Cette société demande un subside de 5oo fr.a donner en prix pour un concours d’étalage et de balcons fleuris. C’estun retour aux traditions d’avant guerre. 13. École communale École de musique Remploi de dommages de guerre. Le dernier point a l’ordre du jour de la séance du Conseil a trait au remplacement a l’école de musique, des instruments détruits par la guerre. M. Van Nieuwenhove, président de la com mission administrative de cette école fait un exposé trés détaillé des difficultés que ren contre la Commission au sein de l’Adminis- tration centrale, pour obtenir le remplace ment des instruments dont était propriétaire en 1914, notre école de musique. Pour obtenir un crédit de 9.900 francs, a valoir sur les indemnités de dommages dues, il a fallu quatre mois. Obtenir un crédit de l’Administration centrale ne signifie pas pour une commune adoptée, toucher le montant de ce crédit, il y a loin Les instruments com- mandés et livrés en aoüt dernier et les factu- res s’y rapportant adressées au H. C. R. le 10 septembre suivant, les fournisseurs, a l’heure actuelle, attendent encore toujours le règlement de leurs factures. Ce qu’ils nous ont livré est en service depuis six mois mais les 9.900 fr. restent au ministère. En atten dant, ces mêmes fournisseurs réclament a l’Administration communale, pour retard de payement, un intérêt de 6 ®/u. Les cours de l’école de musique, continue M. Van Nieuwenhove, sont suivis depuis le 1 janvier, par plus de 270 cloves, soit plus que le double de la population de 1914. L’en- La séance s’ouvre a 5 h. Sont présents MM. Colaert, bourgmestre, président; Van der Mersch, Sobiy, Declercq, échevins Iweins, D’Huvettere, Bouquet, Lemahieu, Van Alleynnes, Van Nieuwenhove, Delahaye et Delhem, conseillers Versailles, secrétaire. Absents: MM. Glorie et Donck. 1. - Le procés-verbal de la précédente séance du 24 janvier est approuvé sans obser- vations. 2. Propriétés communales Vente de ter rain. Il s’agit du terrain de l’ancien chateau d’eau. Le gouvernement demande a la ville de lui vendre ce terrain pour y construire la gendarmerie. Cette nouvelle caserne doit don- •ner asile a 19 cavaliers et 8 fantassins. Le Collége échevinal est d’avis de donner suite a cette demande. La superficie est de 1 ha. 36 ares 90 ca. Le prix serait de i5 fr. le m. c. Le Conseil approuvé que le Collége ré- ponde en ce sens. 3. Propriétés communales Location d’un terrain, a Boesinghe, le long du canal, prés de Steenstraete. Le bail serait a l’année seu- lement, le locataire M. Leroy, le prix de 100 fr. pour les 36 ares. Approuvé. 4. Hospices civils Vente de terrains a bdtir. Il s’agit de la vente d’une petite par tie de pature a St Jean. M. D’Huvettere estime qu’il est de mauvaise pratique de vendre en ce moment des proprié tés foncières dont la valeur ne subit pas les mauvais effets du change. MSobry trouve au contraire qu’il faut pro filer des hauts prix actuels, paree que nous avons tous la conviction que le franc repren- dra sa valeur. Comme il ne s’agit que de petits terrains a batir, le Conseil est d’avis qu’il y a lieu d'autoriser la vente, la nécessité de procurer des maisons et les contributions auxquelles les maisons sont soumises compensent ample- ment les risques de la vente. 5. Hospices civils Reconstruction d’une maison Approbation de I'adjudication. Les Hospices ont 1’intention de reconstruire une maison rue St Jacques, a Ypres. Le Conseil approuvé 1’adjudication des travaux. seignement y souffre du manque d’instri a mettre a la disposition des débutant??15 les parents ne possèdent pas toujours?1 moyens de permettre 1’acquisition aux actuels, d’un instrument. L’école avant PHX disposait d’un grand nombre de ces i ments nous né parvenons pas a les rem^?' eer en quantités équivalentes, le coefficient: d^ remploi (3) n’atteignant a beaucoup près la valeur actuelle du matériel didactic’ PïS renouveler. D’autre part, la valeur 14 ?- - réduite de 10 soit 3 X 800 fr., pour rajSQe de vétusté comme si les instruments a cordes par l’usage, perdaient de leur valeur Ajoutez a toutes ces chinoiseries, un échange de co respondances sans fin avec le ministère bien souvent pour répondre aux demandes de ren- seignements saugrenues de cet office et vous vous rendrez compte de 1’importance des obstacles entravant l’exécution de notre mis- sion d’adminisrrateurs. En attendant que le gouvernement veuilh bien remplir ses obligations vis-a-vis de notre ville, avec un peu plus d’empressement qua présent, la caisse communale ne pourrait-elle avancer les fonds pour payer les factures au fur eta inesure de lalivraison des instruments? Payés au comptant, les fournisseurs sérieux nous feraient des offres a des conditions plus favorables». M. Bouquet, membre de la même commis sion, appuie vivement les déclarations et les suggestions faites par le président de l’école de musique. La majorité des conseillers estime que la situation que vient de faire connaitre M. Van Nieuwenhove ne peut perdurer, que 1’ensei- gnement de la musique en souffre et qu’il y a lieu de s’adresser directement au ministre compétent. De plus, la caisse communale, en attendant une solution, fera les avances indis- pensables au règlement des factures. M. Sobry. Le budget n’a pas de crédit sur Uquel cette dépense pourrait ètreimputée. MVan der Mersch. Ce n’est qu’une avance, ce n’est pas une dépense. M. Sobry. Nous n’avons pas d’argent. Si nous devons faire une avance, il nous faut recourir a une Banque et payer un gros intérêt. M. Van Nieuwenhove. Mais si nous ne payons pas les fournisseurs, la ville devra leur payer l’intérét a 6 aussi. Déja mainte- nant, des fournisseurs he veulent plus traiter avec l’école de musique. M. Sob'y. C’est regrettable. Lafauteen est a l’État, et c’est auprès du gouvernement que nous devrions insister. Mais la ville ne peut pas intervenir et payer sans transgresser les régies de la comptabilité communale. M. D’Huvettere ne croit pas que les obser vations de M. Sobry soient fondées. La question sera soumise a 1’examen Collége échevinal. 14. Communications. Les conseillers protestent vivement contre les pannes facheuses d’électricité qui se so renouvelées dans ces derniers temps- 1 absolument qu’il y ait un "agent a p°s e f auquel on pourrait s’adresser pour ren,esajt de suite aux pannes. Maintenant on ne oh ni a qui s’adresser. M. Van Nieuwenhove. ^’eijtre?5reraLs de l’église St Martin occupe tous les du Parnasse, il y aurait lieu de lui We 3 un loyer pour ce terrain. Le Conseil appuie cette observation- -M. Co/aerZ a requ la visite d’un d’Australië, lui annongant que 109 J ypres, ves Australiens comptent venir yisi ^eaucOup le jeudi 19 mars. Ceux-ci aimeraien ^ongejl avoir 1’honneur d’etre regus par lunch- communal, et de se voir donner agf'a. Cette communication est évidemm agsez ble a recevoir, mais ce lunch s jsSent coüteux quoique ces jeunes g«ns t pas boirfe ni vin, ni bière, et ne P désir®* fumer. Comme les Anglais d YP tjOn, raient aussi intervenir a cette re le Bourgmestre est autorisé a tiii l„,1S;ra!ier British Club, et le représentant pour arranger cette réception- La séance est levée a 7 h. 3o n11 Ir: I III i

HISTORISCHE KRANTEN

Het Ypersche (1925-1929) | 1925 | | pagina 4