Caisse Commerdale de Roulerj
Voorheen G. DE LAERE C°
halfmaandelijksche rekeningen
Tijdperk van 10 tot 25 Maart 19255,00 t. h.
Handsis- en NijmheidsM van Yper
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Vande Lanoitte s koffie^
zijn de beste.
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Yper, den 27 Februari ig25.
A an den Heer Bestuurder der
Nationale Maatschappij van Buurtspoorwegen
BRUSSEL.
De Voorzitter,
H. VERMEULEN
Rangesloten bij de BRHQUE DE BRUNELLES (Kapitaal 200.(00.000 - ReseFïen 55.650.000)
Rekeningen 6 maanden 5,25 p. h. 1 jaar 5,50 p. b.
titres sur lesquels des intéréts ont déja été
payés antérieurement continuent a profiter du
béhéfice du paiement en argent. En ce qui
concerne le remploi, il n’est pas question d’ar-
riérés, puisque les intéréts ne prennentcours
que lorsquele remploi a été réellementeffectué.
le Musée Merghelynck et non loin de la ville
I institut de Messines. Il y avait la une source
considérable de bénéfices pour les habitants.
Rien ne nous reste aujourd’hui de tout cela.
II y avait aussi le canal de l’Yser, mais le mi-
nistre des travaux publics vient de nous donner
l’assurance que cette voie d’eau sera achevée
pour 1926.
Que compte-t-on faire des ruines de la caserne
de cavalerie et que compte-t-on faire de la
caseïne d’infanterie hativement reconstruite
en 1919 Ce batiment a, du reste, été trés mal
reconstruit et est envahi par l’humidité. Tout
cela démontre bien ce que je disais tantót
que l’aspect extérieur d’une région, fut-il riant
et luxueux, ne reflète pas toujours un état
prospère chez ses habitants. Je sais bien que
le ministre est animé des meilleures intentions
a notre égard. J'en ai pour garantie beau dis
cours prononcé samedi dernier a Ypres par
S. M. le Roi, qui nous a promis satisfaction
abref délai. Nos sinistrés, si probes, si vail-
lants, si travailleurs le méritent.
Je ne cesserai de défendre fièrement leurs
intéréts et de revendiquer pour eux cette pros
périté a laquelle ils ont autant de droit que les
autres Beiges.
Les déclarations de M.M. les ministres
Moyersoen et Baron Ruzette.
II est prévu au budget des travaux publics
un crédit de 85o.ooo frs et au budget des
dépenses recouvrables un crédit de I million
öio.ooo frs. pour le canal d’Ypres a l’Yser.
On eflectuera dans le plus bref délai les
travaux prévus a l’art. 40 du budget des dé
penses recouvrables et le ministre espère que
le canal d’Ypres a l’Yser sera complètement
en état en 1926.
Des instructions ont été données pour que
la toiture de la caserne soit achevée le plus
tót possible.
Au sujet du mode de paiement des indem-
nités pour dommages de guerre le ministre a.
répondu
M. Nolfs’est plaint du paiement de certains
dommages en titres plutót qu’en argent. Ac-
tuellement les indemnités sont payables en
argent, lorsque leur total ne dépasse pas
i5.ooo francs.
Lorsqu’elles dépassent ce chiffre, une dis
tinction s’impose entre les indemnités don-
nant lieu a remploi et celles qui n’y donnent
point lieu.
Les premières sont liquidées en espèces a
moins qu’il ne s’agisse d’un dommage indus-
triel ou commercial. Dans ce dernier cas. il
est délivré un titre escomptable a la Société
nationale de crédit a l’industrie.
Les secondes sont payées en obligations au
porteur.
Je ferai remarquer que la Société nationale
reprendra. les avances dans la plus large me
sure dés que le parlement aura approuvé l’em-
prunt américain.
M. Nolf nous a demandé quelle était la
politique du gouvernement enmatière d’échan-
ge de titres contre des prestations en nature.
L’application de ce système n’est pas possible
paree qu’il donnerait lieu a des speculations.
Les intéréts accumulés seront réglés en
titres au porteur. On ne peut demander que
l’Etat ajoute encoré en argent 20 a 25 p. c.
au montant de l’indemnité de reparation. Les
Mijnheer,
Ter laatste algemeene vergadering van den
Handels- en Nijverheidsbond onzer stad,
wierden klachten geuit over het onderbreken
van het verkeer op de lijn Yper Steenwerck, en
het bestuur wierd verzocht pogingen aan te
wenden om aan dien nadeeligen toestand een
einde te stellen.
Het bestuur van den Handels- en Nijver
heidsbond inziende den nadeeligen invloed
welke de onderbreking van het verkeer op
bovengemeld baanvak uitoefent op de han-
delsbetrekkmgen tusschen onze stad en de
streek welke de lijn doorloopt, dringt kracht
dadig bij U aan, om hei verkeer te doen her
stellen.
Uit een antwoord door uw bestuur gericht
aan het gemeentebestuur van Wesl-Nieuw-
kerke, vernemen wij dat de kosten van het
voorloopig herstel der brug der Douve aan
den Zwijnebak te hoog zouden beloopen en
dat de ontvangsten op de lijn Yper-Steen-
werek niet toelaten zulke uitgaven te doen.
Het bestuur van den Handclsbond, na een
privaat onderzoek over den toestand gedaan
te hebben, is van meening dat de grondvesten
der brug in goeden staat zich bevindende, het
genoegzaam ware de dwarsbalken welke be
ginnen te rotten te vernieuwen, hetgene eene
uitgave zouden vergen van hoogstens twee
duizend franken, het werk inbegrepen.
Het is te betreuren dat het bestuur der
Buurtspoorwegen bij het begin des uitbaten
der lijn in 19:1 zich tevreden gesteld heeft
met eene vourloopige brug, hetgene heden
dezen betreurenswaardigen toestand heeft
teweeg gebracht.
Een tweede inlichting geeft ons te kennen
dat de aanbesteding tot het maken eener
nieuwe brugzal geschieden in de maand Mei.
Indien deze wordt goedgekeurd en de wer
ken met spoed worden doorgedreven, zal het
verkeer op de lijn slechts met Juli kunnen
hersteld worden.
Dezen toestand inziende, nemen wij de
vrijheid U te vragen, maatregelen te nemen
om het verkeer te herstellen. Niet alleen is
dezen toestand hoogst nadeelig voor de be
langen onzer stad en het omliggende, maar
voor de Maatschappij der Buurtspoorwegen
zelf, welke haar gewoon vervoer zal zien ver
minderen of verdwijnen.
Het feit dat de Maatschappij geene bijko
mende uitgaven te doen heeft dan de herstel
lingen der brug, en dat 'de tegenwoordige
dienst hetzelfde personeel en mateiiaal in be
weging brengt, dan voor de onderbreking
dezer, doet ons de hoop koesteren <iat gij de
billijkheid onzer vraag zult inzien en dezelve
zult inwilligen.
Aanvaard, Heer Bestuurder, benevens on
zen dank, de verzekering ónzer hoogachting.
Vrhet Bestuur van Handels- en Nijverheidsbond'.
De d.d. Schrijver,
A. NOTEBAERT.
assurances nécessaires pour calmer les
inquietudes quise manifestent dans les milieux
intéressés.
pe l’exposé que je viens de faire il semble
résulter que les mesures restrictives ne visent
qüe les dommages industries et commerciaux.
jl m’a été dit qu’elles avaient été étendues a
des dommages agricoles.
Antérieurement au ier février 1924, la Fé-
dération des cooperatives liquidait tous les
dommages agricoles, sans tenir compte de la
valeur 1914 de l’entreprise.mais actuellement,
sauf en ce qui concerne ses transactions en
particulier, la Féderation n’est plus compé
tente pour décider de la liquidation en espè-
ceS des titres de dommages de guerre.
Cette décision appartient exclusivement
ministère des affaires économiques.
Je serais done reconnaissant a l’honorable
ministre s’il pouvait nous dire si j’ai été exac-
tement renseigné et si, a son avis, la restric
tion qui vise les dommages industries et
commerciaux peut être étendue aux domma
ges intéressant les exploitations agricoles.
J’aime a croire que les cas qui m’ont été
signalés sont isolés ou visent, peut-être, des
entreprises dont le caractère n’est pas nette-
ment défini.
Enfin, une dernière question concerne
l'échange des titres sans remploi contre des
prestations en nature a fournir par les Alle-
toands.
Cette question est diversement commentée
dans les associations de sinistrés.
Le gouvernement ferait bien de ne pas lais
ser l’opinion s’égarer en faisant connaitre dés
maintenant son sentiment a ce sujet.
Je tiens, en terminant, a souligner la nou
velle donnée par les journaux qui annoncent
la prochaine remise en état du canal de
l’Yperlée qui relie la ville d’Ypres a l’Yser.
S’il faut en croire le communiqué, une pre
mière tranche des travaux a exécuter serait
raise en adjudication sous peu.
1 Je serais heureux d’en obtenir la confirma-
ton, car l’exécution de ce travail viendrait
compléter d’une faqon heureuse la restaura-
ti’on de nos régions dévastées.
Je n’entends pas répéter ce que j’ai dit ici
l’an dernier sur la nécessité de rendre a nos
villes reconstituées les ressources dont elles
disposaient avant guerre.
L’administration communale d’Ypres insiste
surce point dans une supplique qu’elle vient
d’adresser au Roi.
Parmi ces ressources, il en est une a la-
quelle la ville d’Ypres tenait essentiellement
c’est la garnison dont elle a toujours été
dotée.
Je sais qu’il n’appartient pas a l’honorable
ninistre des affaires économiques de nous
donner satisfaction sur ce point. Mais il a
dans ses attiibutions la reconstruction de nos
datitnents militaires qui ont été détruits par
guerre, et c’est sous la direction de son
departement qu’a été reconstruite notre ca-
sWne d’infanterie.
Or, ce travail ne s’achève pas, les batiments
a’ont été recouverts que provisoirement et
devraient recevoir une toiture qui les mette a
labri des infiltrations d’eau, qui chaque jour
l®èoent de nouvelles et graves détérioralions.
Jè demande done a l’honorable ministre de
vouloir sans plus tarder décréter les
J'es.Ures qui s’imposent. (Trés bien sur divers
wies).
^•STRUYE.'- Je m’associe aux éloges
d°nnés a M.Vande Vyvere et a son successeur
J°Ur la merveilleuse restauration de la région
Pastes. Nous qui vivons au milieu des
populations de cette région, nous savons que
e bien-être apparent des localités restaurées
"est pas le reflet exact de leur situation éco-
onfique. Voici par exemple la ville d Ypres.
?ant du guerre elle possédait la célèbre école
Station, un bataillon d’infanterie, une
c°le régimentaire, une vaste école de bien-
lsUnce, deuxgrands établissements d’aliénés,
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