is Prêts de la Gaisse d'Epaipe Pe heer o111 Arthur Butaye dankt den heer voortdurende toewijding aan zijn® teisterden en denkt dat de ver st lot de.r eens zal zijn om tegen de nieuwe .dering "e g, n door de regeering ingevoerd, jatrege e test aan te teekenen. (Alge- cbtdad>g Pr .insteinwWg)- ontstaat eene langdurige en zeer Daar°.^ bespreking waaraan, onder meer, langrlJK heeren deel nemen Arthur ^fyaupaiti, Deleu, Bruneel de Montpel- '"T' der en zoon), V xndmomme, Geuten, 1 toch Vandelanoitte en de Thibault de 'lSi"^ooT een worden al de bepalingen der Een schikkingen grondig onderzocht en ne^vergrrderir'g besluit eenparig dat aj de wettige middelen moeten wor- 1 gebruikt om het gevaar van ondergang ÏonsïHen dreigt af te weren 0) dat die protestbeweging, zooals altijd, ^meen moet zijn, dus buiten en boven alle Verscheidene afdoende middelen worden beraamd waarvan de vergadering de die aan het bureel overlaat en er wordt sloten onmiddellijk volgende dagorde te ropenbaren De vergadering van de Federatie der «teisterden van het Arrondissement ter, gehouden te Yper den 13 Septem- r 1925 na kennis genomen te hebben n de nieuwe maatregelen genomen ior de Regeering om het herstel der oor- gschade niet meer te betalen Teekent met de grootste krachtdadig- id protest aan tegen deze beslissing die ;n ondergang van de geteisterde ge- eenten en bevolkingen na zich zal slee- in, beslissing die inbreuk maakt op de 'eten op de uitdrukkelijke verbintenis- n der Regeering Gelast haar Bureel al de middelen op izoeken om te verkrijgen dat er terug- Éeerd worde tot de feitelijke uitbetaling :roorlogschadevergoedingen, die alléén n de ware geteisterden kan toelaten :h in hun vooroorlogschen toestand te rstellen En beslist van, intusschen, een onder- iud aan te vragen met de heeren Minis 'svan Geldwezen en van Economische ken. Na een hartelijk woord van dank aan de eren Buyl en Beaupain en aan de tegen- )ordige afgevaardigden wordt de vergade- igom 17 u. 3o geheven nadat de heer Henri Idhof den heer Geuten namens de vergade- ig de beste geluk wenschen had toegestuurd de prachtige Handelstentoonstelling te ervik. Nos lecteurs trouveront ci-aprcs la déclaration ttidlequi determine les conditions de ces prêts. a Uront avec soin et verront qu'il nest pas ss'bleauxsimstrês d'accepter cette combinaison. deration des Cooperatives Pour Dommages de Guerre Bruxelles, le 9 Septembre 1925. Monsieur l'Administrateur, -omme suite a la decision prise lors de notre 3nse" Géaéral du 4 courant, j'ai l'honneur VOus laire parvenir, sous ce pli, une note n»ant les mesures nouvelles prises par le Verneroent en matière de paiement des Vmafs de Suerre. exnr 'Z a®reer' Monsieur l'Administrateur, de mes sentiments les plus dis- Le Directeur, M. MÉCHANT. A M. BUYL, 0oPérafStraieur e a Federation des J02 n lVfS t>our Dommages de guei re °'devard Militaire, IXELLES. Mesures nouvelles prises par le Gouvernement en matière de paiement des Dommages de Guerre RÈGLE 1 outes les indemnités pour dommages aux biens sont payées au moyen d'obligations au porteur, 5 °/o, de la Dette Publique. A eet effet, le sinistré reqoit du Départe ment des Affaires Economiques un mandat, sur presentation duquel les titres lui sont déli- vrés par l'agent du Trésor. Ces obligations sont remboursées endéans les 3o ans, par tirages au sort annuels a partir de xg35. AVANCES Foutefois, les sinistrés se trouvant dans une situation difficile, pourront obtenir sur le montant de leurs obligations des avances a consentir par la Caisse d'Epargne .et de Re traite et pouvant aller jusqu'a 80 du naontant des titres. Ces avances ne pourront ètre faites que sur les titres au porteur délivrés a partir du l'r Septembre 1925. Pour les titres nominatifs antérieurs au ier Septembre 1,925, l'avance a obtenir sera sub- ordonnée a f'autorisation du Département des Affaires Economiques. Les avances ne pourront être consenties qu'en matière immobilière pour domma ges privés ou agricoles, a l'exclusion des dommages industriels et commerciaux et pour autant que les indemnités soient sujet- tes a remploi. DEMANDES D'AVANCE Les demandes d'avance ne sont recevables qu'après avis favorable de l'agent du Trésor, qui consulte a cette fin le Receveur des contributions en ce qui concerne les revenus professionnels et non professionnels des deux années précédentes du sinistré et les personnes a charge de celui-ci. Le demandeur, autorisé a recevoir une avance, se rend ala Banque Nationale, dépose ses titres en nantissement et signe un acte de prêt sur nantissement en double, qui est enregistré gratis. Le prêt, qui ne peut être supérieur a 80 u/o du capital nominal des obligations re mises en nantissement, ne peut comprendre des fractions de dizaines de francs. Les titres déposés doivent être munis des coupons non échus. Le prêt est conclu pour une période fkiis- sant le lr janvier qui suit la date de la signature du eontrat. Les renouvellements sont faits exclusive- ment pour un an. Le taux de l'intérêt est fixé a 6 1/8 l'an. L'Intérêt du prêt ainsi que le prix du timbre des deux doubles du eontrat (Frs i,5o) sont payés par l'emprunteur, lors de la conclu sion du prêt. Les intéréts de renouvellement peuvent être payés au moyen du produit de l'encaisse- ment des coupons échus des titres donnés en garantie. L'emprunteur aura la faculté de retirer, avant l'échéance, tout ou partie des valeurs données en gage, moyennant le rembour sement, dans le ir cas, du capital prête et, dans le second cas, d'une somme a fixer par la Caisse d'Epargne et de Retraite. Dans l'un et l'autre cas il sera ten.u compte a l'emprunteur de l'intérêt non échn de la somme remboursée. La ristourne des intéréts portera sur la période restant a courir, déduction faite de deux jours. Toutefois, un minimum de dix jours d'inté rêt devra toujours être acquis a la Caisse d'Epargne. Lors du remboursement total du prêt, l'em prunteur doit restituer le double du eontrat qui lui a été remis. II faut absolument que les sinistrés refu- sent tous les mandats que le Ministère leur enverra. Qu'ils les remettent a leurs Cooperatives réciproques. Celles ci les renverront en bloc au Gouvernement. La suppression de notre Bureau de Bienfaisance La mise en vigueur de la nouvelle loi orga- nique de l'Assistance Publique entrainera le 22 de ce mois la suppression de notre Bureau de Bienfaisance. 11 ne sera pas inutile de rappeler a nos con- citoyens que le Bureau de Bienfaisance de la Ville d'Ypres était la plus ancienne institution de ce genre en notre pays. Le reglement pour l'entretien des pauvres, établi par le Magistrat d'Ypres en l'année i525, fut défioitivement appliqué en i53o après avoir été en butte a des contestations dont' fait part, dans un ouvrage remarquable, notre conckoyen M. l'avocat Jules Nolf. Charles Quint par son ordonnance du 7 mai i53i approuva en tous points le nouveau reglement de l'institution de bienfaisance, dont les dispositions ont toujours un carac- tère d'actualité. C'est ainsi que d'après ce règlement, les préfets des pauvres étaient chargés d'exhorter les indigents, de les engager au travail et d'examiner leurs besoins. Des écoles et des ateliers furent organisés et les enfants dee pauvres furent obligés de les fréquenter. Et comme les aumónes ne devaient en aucun cas servir a entretenir la paresse, les administrateurs forcaient les indigents valides a travailler, et au besoin, ils leurs procuraient del'ouvrage. Cette organisation achevée, la mendicité fut interdite sous peine de correction arbitraire. Les prescriptions si sages concernant la fréquentation des écoles et des ateliers d'ap- prentissage produisirent un effet salutaire sur notre classe indigente, elles obtinrent l'appro- bation de corps célèbres et de personnages marquants de l'époque. C'est ainsi que la Faculté de Théologie de Paris écrivit au Magistrat que le règlement pour la sustentation des pauvres d'Ypres est une institution utile, pieuse et salutaire que le Cardinal de Lorraine, évêque de la Morinie protégé et consolide autant qu'il est en lui le règlement pour l'entretien des pauvres, saintement et pieusement imaginé par les Magistrats de la ville d'Ypres que d'autres prélats et notamment le Cardinal Campigius, légat du Pape, donnèrent leur haute approbation a l'esprit de l'institution réformée. Notre antique bureau de bienfaisance fut réorganisé, après la Révolution franqaise, par Décret impérial du 7 Germinal an XIII (28 mars i8o5) relatif au renouvellement des administrations des pauvres. La Commission d'Assistance publique dont les administrateurs, au nombre de six, vien- nent d'être nommés par le Conseil communal, met done fin a une institution fameuse qui marqua dans l'Histoire de la Bienfaisance dans les Pays-Bas au i6e siècle. Notre concitoyen, M. Georges Tack, en aura été le dernier président. II avait succédé a son père, M. Léon Tack-Van Elslande, qui nornmé administrateur du Bureau de Bien faisance, le 4 mars 1861, assuma cette charge de dévouement durant 45 années, jusqu'a sa mort. Revêtu d'un esprit de charité éclairé, doué des qualités requises pour faire un président modèle, M. Georges Tack, assuma après la guerre, avec ses collaborateurs, la lourde tache de reconstituer le patrimoine détruit de notre Bureau de Bienfaisance, qui passe désormais en d'autres mains. Qu'il reqoive ici l'hommage de notre recon naissance pour les services appréciables ren- dus durant une carrière de charité déja longue et féconde. Son désintéressement et sa grandeur d'arae sont garants de l'avenir. Puisse-t-il rendre encore de précieux services a sa chcre ville natale. >U\V6

HISTORISCHE KRANTEN

Het Ypersche (1925-1929) | 1925 | | pagina 3