Persoverzicht La rue Maréchal French, Les Relations entre les Villes d'Ypres et de Bailleul gn 1881M. Jules Cordonnier, Mgr. pehaisnes, Président de la Commission his- toriquedu Département du Nord, M. Ignace Coussemaker, Vice-président du Comité -jlamand de l'rance, recevaient un livre impri- en anglais et édité a Londres sous le titre ie The Bailleuls of Bailleul in Flanders j)0Ulieu and Eecke L'auteur, J. Bailey, Esq. Cambridge Ter- race 66 Hyde Park, qui se prétend descendre jgs anciens seigneurs de Bailleul, y écrivit la généalogie des chatelains de cette ville. ges de Bailleul formèrent depuis le XIe siècle jusqu'a une époque reculée de la Re naissance, une iamille illustre qui se divisa en trois branches les chatelains de Bailleul, jes de Bailleul, seigneurs de Doulieu, et les rie Bailleul, seigneurs d'Eecke. Un de Bailleul suivit la fortune de Guil- Jaume le Conquérant, devint roi d'Ecosse .c'est un de ses descendants, habitant Lon dres, qui a écrit le volume dont il est question plus haut. Les Chatelains de Bailleul avaient le titre ,et exergaient la juridiction de Vicomtes. Arnould de Gramines fut le premier sei gneur de Bailleul qui prit le nom de sa cha- tellenie il vfvait en 1062 il eut de sa femme, Jafille de Geoffroy, sire de Melvalle, deux fils Baudouin Ier qui lui succéda, et Albert. Tous deux partirent a la première croisade en 1096 avec Godefroy de Bouillon Albert mourut en Palestine en 1098. Baudouin Ier épousa Plectrude, fille du seigneur d'Acquinghem, de laquelle il eut Baudouin II qui lui succéda. Le rqseptembre 1116 Baudouin Ier signa une charte par la quelle Baudouin VII a la Hache, Comte de Flandre, supprima le duel judiciaire en faveur des bourgeois d'Ypres. Baudouin II, fils et successeur de Bau douin Ier, eut de son épouse, Euphémie de St Omer, deux fils et deux filles Gérard, Hoston, Alix et Mathilde. Gérard, seigneur de Bailleul, épousa Hel- duine, fille du chatelain de Bergues, il eut dnq fils parmi lesquels Hugues qui, par son mariage avec une soeur d'Anselme, chatelain d'Ypres, devint seigneur de cette importante chatellenie, il mourut en Ii65. Un autre fils de Baudouin II, Henri de Bailleul, devint chef de la branche des de Bailleul, seigneurs de Doulieu. Baudouin III de Bailleul, fils et successeur de Baudouin II, prit la croix en 1177 avec Thierry d'Alsace, il avait épousé Agnès, fille d'Anselme, chatelain d'Ypres, auquel son frère Hugues avait succédé. En xi5g Baudouin III signa des lettres de Thierry d'Alsace par lesquelles la foire de Messines était prolongée de quatre jours 'i signa également avec Wautier d'Ypres et d'autres officiers du Comte les lettres de Thierry d'Alsace données en 1180 dans la roaison des Templiers prés d'Ypres et rela tives a une restitution de titres. Baudouin III y est nommé par la grace de Dieu, chate lain d'Ypres En 1x82, Baudouin III de Bailleul, avoué del'Eglisede Messines, sous les ordres de philippe d'Alsace, comte de Flandre, signa Ul*e lettre de ce dernier dans laquelle il con- firmait le don qu'il avait fait de ses terres de Neuve-Eglise et de Messines al'Eglise Notre Dame de Messines Baudouin l'avait signée ^fiualité de chatelain d'Ypres. Baudouin IV de Bailleul épousa Mabilie "h Bourbourg il partit a la troisième croisa ^een iigo il mourut sans postérité. Sasceur Mabilie lui succèda elle se maria ^eux fois; elle épousa d'abord Adam, seigneur e ^Vallincourt, qui mourut sans postérité 5 *218, puis Hugues, seigneur de l'Hallier. 'lle ne laissa qu'une fille qui mourut en 1245. Marie, la dernière fille de Baudouin III, devmt alors chatelaine de Bailleul elle épousa Jean d'Aubigny qui mourut en 1279 en laissant un fils, Hugues ce dernier n'eut qu'une fille. Après sa mort les chatellenies d'Ypres et de Bailleul furent séparées la fille d'Hugues d'Aubigny épousa Pierre de Wittèke, sei gneur de Racher qui devint chatelain de Bailleul du chef de sa femme. De millioenenkrach te Antwerpen Uit Het Laatste Nieuws Wolverij Ik denk aan de kleine menschen, die getrof fen zijn door de Antwerpsche geldwolverij. Die kleine menschen... ei, wat is dit een stom woord, terwijl enkel bedoeld wordt menschen met kleine beurzen. De menschen met kleine beurzen zijn weer de groote slachtoffers. Zij zijn altoos de slacht offers. Elk ongeluk is voor hen «de» ramp. Zij zijn het, die de ware oorlogsellende hebben gedragen, de ware watersnoodmizerie. Zij zijn dubbel zoo ziek als ze ziek zijn en dubbel zoo verlaten als de dood komt. Nu is de geldwolverij, na eerst met een glimlach in hun huizen te zijn gedrongen, met hun arm geld gaan strijken. Neen, niet met hun geld maar met hun jaren van zuren ar beid en wreeden kommer, met hun droomen op een betere toekomst, met hun rust in hun oude dagen. Wolverij Er zijn twee soorten slachtoffers onder de kleine beurzen de gewone brave burger, die zijn geld bracht en de houders der bijkantoren. Ik denk ook aan deze. Hun goed vertrou wen is tweemaal verschalkt geworden door de wolverij. Ook zij hebben hun spaargoed ver loren, en nu dragen zij nog 't leed van hun vrienden en kennissen, die met roode oogen en bevende handen aan hun deur komen staan. Zij lijden dubbel zoo diep... Arme menschen, allen te zamen Indien de bankwereld een hart heeft dan zal zij, bij inschrijving, al die armen helpen Ook dit is een nationale ramp. Maar hier is de oorzaak met naam en toenaam geweten. Wil de bankwereld toonen, dat voor haar het vaderland verder gaat dan de deuren van haar brandkast en zij een andere Braban- gonne kent dan het refrein van andermans duiten dan heeft zij daartoe nu een glanzende gelegenheid. Bankiers, hebt dien moed A. Rannah. Besparingen l Uit De Landwacht De dakschaliën der kazerne te Yper Met echte verstomming hebben de Yperlin- gen gezien dat de 80 kubieke meters schaliën, welke destijds bij de kazerne aangebracht werden om er de daken mee te voorzien, nu in openbare veiling zullen verkocht worden met den afval der barakken. Hoe het mogelijk is zulke verkwisting te doen is waarlijk niet denkelijk. De kazerne valt in puin bij gebrek aan dak, men koopt schaliën en eens dat ze er zijn, verkoopt men ze Of moet de kazerne heelemaal in puin vallen, en indien er geen soldaten meer ko men, kan het gebouw dan voor niets anders meer dienstig zijn De twee millioen welke men uitgaf voor het herstel zijn alzoo redde loos verloren. Waarlijk, dat zijn gouvernementsche bezui nigingen. En intusschen moet de uitgeperste belastingbetaler dat alles lijdzaam aanzien en van al dezen, die zouden moeten spreken, is er niet één die den mond roert. Wanneer zal dat veranderen Comte d'Ypres Association des Hoteliers et Restaurateurs d'Ypres. YPRES, le 12 février 1926. Messieurs les Bourgmestre, Bchevins Con- seillers de la ville d'Ypres. Messieurs, L'association des Hoteliers Restaurateurs de notre Ville, dans sa dernière réunion, a exprimé le vceu que le nom de feu le Maré chal French, Comte d'Ypres, soit donné a une artère de notre Ypres, si renommée. Ce voeu a été dicté par des considérations aussi justes que naturelles l'illustre Général Britannique, digne Représentant des armées quiontdéfendu notre Ville sansrelache et sans reproche, mérite que son nom ne s'efface plus jamais de la mémoire des citoyens d'Ypres. Si ces Messieurs en décident ainsi que des sus, nous nous permettrions de suggérer que l'actuelle rue de Menin fut dorénavant bapti- sée du nom du glorieux Soldat. Cette artère relie, en effet, les deux points de notre Ville les plus péniblement gravés dans les souvenirs de toutes les families de l'Empire, a savoir nos Halles regrettées et la Porte de Menin. Nous n'avons, quant a nous, trouvé aucuii- argument contre ce choix. II va de soi que si la Ville décide plus tard d'élever un monument au défunt Lord d'Ypres, le choix de la Rue a rebaptiser pourrait être subordonné au choix de l'emplacement qu'oc- cuperait éventuellement le monument en question. Dans l'espoir que vous apprécierez, Mes sieurs les Représentants de la Ville d'Ypres, combien l'amour propre des milliers de visi teurs Britanniques serait flatté par ce geste de votre part, nous vous présentons l'homma- ge de notre" profond respect. Pour l'Association des Hoteliers, etc. Pour le Secrétaire, (signé) A. Cleenewerck. Ville d'Ypres. Administration Communale Ypres, le 24 février 1926» A Monsieur Albert Cleenewerck, Association des Hoteliers et Restaurateurs Hotel SkindiesYpres. Monsieur, Nous avons l'honneur de vous accuser ré- ception de votre lettre par laquelle vous nous faites connaitrequel'Associationdes Hoteliers, et Restaurateurs de cette Ville, dans sa der nière réunion, a exprimé le vceu que le noin de feu le Maréchal French, Vicomte d'Ypres, soit donné a une artère de la Ville. Cette demande, qui mérite toute notre attention, sera soumise a un bienveillant exa men et nous aurons soin de vous faire connai- tre ultérieurement la décision qui aura été prise. Veuillez agréer, Monsieur, l'assurance de notre considération distinguée. Le Bourgmestre (signé) Colaert. II serait souhaitable qu'une rue de notre ville porte désormais le nom du maréchal French. Nous avons, en outre, pensé que le Maréchal Foch mérite le même honneur. L'exemple que nous donne la petite ville de Casselpétillante d'initiative, est instructif elle possède sa rue Maréchal Foch et sa Place Herbert Plumer, Comte de Messines, depuis des années. II nous est d'avis que, non seulement il nous appartient d'honorer comme il convient des figures illustres britanniques, mais que nous devrions, chaque année, lors de l'anniversaire d'une batailled' Ypres, organiser une Semaine Anglaise avec festivités de toutes sortes, congrès, etc. De cette fagon, Ypres attirerait tous les ans de plus en plus de visiteurs. Les désirez-vous Ils sont la des légions qui n'at- tendent que notre appel. Mais rendez a César ce qui lui appartient. A. Cleenewerck.

HISTORISCHE KRANTEN

Het Ypersche (1925-1929) | 1926 | | pagina 5