Les Motos SAROLÉA Situation eene toelage vragen voor den aankoop van ■een nieuw vaandel. Het inhuldigingsfeest zal plaats grijpen den 2n Zondag van Tuindag, en zij ontwerpen dien dag een schoon leest in te richten, waaraan briefdragers uit alle .gewesten met verscheidene muzieken zullen deelnemen. Voor hun vooroorlogsch vaandel kunnen de briefdragers geen schadevergoe ding bekomen, daar hunne aanvraag te laat werd ingediend. M. Colaert. Zij haddea een vaandel voor den oorlog, 'k herinner mij nog het hen te hebben overhandigd. Helpen wij thans er hun een nieuw te bezorgen met eene toelage van .400 fr. te stemmen. M. Van Nieuwenhove. Depuis l'armistice la Ville n'est encore jamais intervenue pour l'achat d'un drapeau. Pour ne pas créer de précédent il serait préférable de leur accorder ce subside pour organiser leur fête. M. Sobry se rallie a eet avis. T_a proposition d'allouer un subside de 400 'francs pour la remise du drapeau est votée a l'unanimité. XII. Mededeelingen1) Lezing wordt gegeven van een telegram van den Heer Méchant, Kabinetsoverste bij den Dienst der Economische Zaken, waarbij deze meldt dat ■de aanbesteding van het gerechtshof is goed gekeurd. 2) M. Vi rwilghsn, Afgevaardigde Bestuur der bij den Dienst der Verwoeste Gewesten, onderwerpt, bij zijn schrijven van 26 Maart 11., de plans van het Waterkasteel te Zillebeke aan de goedkeuring van het Stadsbestuur. MVan der Mersch. L'adjudication aura lieu vraisemblablement le 16 ou le 17 Mai prochain, et comprendra la station de pom page, la salie des machines et le chateau d'eau. Les filtres ne seront mis en adjudica tion que plus tard. 3) Een brief van M. Méchant meldt de spoedige terugzending der kunstvoorwerpen, het Museum Merghelynck toëbehoorende, ten einde de ontworpen tentoonstelling, welke in den loop van den Zomer zal plaats hebben, mogelijk te maken. M. Bouquet. N'est-ce pas le moment de décider dans quelle salie l'on hébergera ces oejuvres d'art. M. Colaert. II nous faut avant tout rece- voir les objets, nous vous convoquerons alors. Les batiments sont prêts, la boucherie, l'école moyenne et, a la rigueur, l'hótel de Ville. M. Van der Mersch. D'ici peu Mme Mer ghelynck va nous envoyer l'autorisation de recevoir ces objets. M. Colaert apprend alors au Conseil qu'en signe de reconnaissance le Collége a décidé ■de donner le nom de rue Arthur Merghelynck a l'actuelle rue du Vieux'Marché aux Habits. M. D'Huvettere. Ouand la reconstruction du Musée Merghelynck se fera-t-elle MVan der Mersch. L'Etat Beige avait fait des démarches pour acheter les domma- ges de guerre de ce batiment. Heureusement Mme Merghelynck a refusé et a introduit elle- même sa demande. Une première expertise a déja été faite et tout fait espérer qu'un juge- ment sera rendu sous peu. 4) Er wordt kennis gegeven van een twee den brief van M. Verwilghen betrekkelijk het herstellen van kasseien der stad Yper. De aanbesteding voorziet dallen in cement voor straten van weinig belang. In stad echter zijn het platinen. M. Van Alleynnes. Avant guerre toutes les rues étaient pavées en platines, et dans le temps les propriétaires riverains en ont payé ohacun la moitié. lis ont par conséquent droit a ce qu'on y mette a nouveau des platines, sinon ils seront a même d'exiger qu'on leur rembourse la différence de valeur. M. Dylahaye.— Alle huizen zijn thans voor zien van water, gaz- of electriekleidingen. Wanneer het er nu zal op aankomen hieraan herstellingen te doen, zal dit zoo gemakkelijk- niet meer geschieden. M. Van der Mersch. Les platines nous arrivent trés peu. Or si l'Etat n'en donne pas, la question se pose faut-il laisser les rues secondaires dans leur état actuel ou bien y placer des plaques en ciment M. Colaert. Tachons d'éviter ces bloes en ciment. D'ailleurs, gr&ce a la convention que nous aurons pour nos dommages de guerre, j'espère que l'on pourra se tirer facile- ment d'affaire. 5) Een derde brief van M. Verwilghen heeft betrek op eene aanbesteding voor het leveren van buizen en toestellen van waterleidingen voor straten waar thans nog geen water be staat. Het geldt hier zekere uitbreidingen van het waterleidingsnet in vervanging van kleine straten die nu niet meer bestaan. 6) Een brief van den Heer Gouverneur der Provincie West-Vlaanderen doet opmerken dat er, tijdens de stemming van het reglement op de opcentiemen, verwaarloosd werd te bepalen voor hoeveel jaren die zullen geheven worden. M. Van der Mersch propose d'en fixer la durée a trois ans. Admis. 7) Den 28 Maart 1.1 liet de Heer Hoofd ingenieur-Dienstbestumrder der Buurtspoor wegen het plan geworden van zekere nieuwe instellingen te Yper. Dit plan werd aan den Heer Coomans onderworpen, die enkele wij zigingen heeft voorgesteld aan den Heer Perquy welke door dezen laatste zijn goed gekeurd geworden. MBouquet. N'y a-t-il pas de lettre dans le dossier au sujet de l'électricité M. Van der Mersch. Si fait, mais la dis cussion se fera a huis clos. M. Van Alleynnes. Je serais curieux de savoir combien d'arrêts on a constaté et com- bien de fois le Collége est intervenu auprès de la Société. M. Van der Mersch lui répond que pour le moins sept a huit lettres de réclamations ont été envoyées, et M. Declercq va chercher la fiche de l'appareil enregistreur qu'il commu nique a Af. Van Alleynnes. 8) De Feestcommissie der Kruisstraat, in een schrijven van 14 April, vraagt eene toe lage voor liet inrichten harer jaarlijksche Meikermis. Daar dit punt op de dagorde niet vermeld staat wordt het bij dringendheid aanvaard en de toelage van i5o -fr. zooals de vorige jaren, gestemd. 9) Een brief van den Heer Tordeur, kanto naal Schoolopziener, bericht de stad dat de benoeming van een nieuwe onderwijzeres voor de Meisjes-school der Rijsselstraat toe gelaten is Dit zal het voorwerp uitmaken der aanstaande zitting. De openbare zitting wordt geheven te 4 u. 45. Nous recevons la lettre sirivante Monsieur l'Editeur, Voulez-vous avoir l'obligeance d'insérer la petite remarque qui suit, en réponse a un article, paru dans votre journal du 10 cou rant, sous le titre Situation Déja La Gazette avait cru devoir ren- seigner ses lecteurs sur l'utilisation a la gare d'Ypres et a celle de Courtrai, d'un nombre exagéré de sous-chefs de station. Votre cor- respondant a repris le sujet pour votre jour nal et c'est ainsi qu'on ressasse le bon lecteur de ce cri de détresse continuel au gaspil- lage Pour la tranquillité de votre correspondant, qui est certainement animé de louables inten tions, notamment celle de débarrasser les administrations de fonctionnaires et d'agents inutiles, coütant beaucoup d'argent au con- tribuable, je dirai que eet article de compres sion, par réduction de personnel, a été telle- ment épluché par l'administration même, que je ne vois plus le moyen, sans nuire a la bonne marche du service, de réaliser de nou- velles réductions, si on ne prend certaines mesures radicales, que n'approuveront pas tous les contribuables et feront regretter pas mal d'entre eux, d'avoir agité cette question éminemment complexe, de faire réaliser des éeonomies par le chemin de fer, qui est èn somme un service public. Parmi ces mesures, notons les suivantes Supprimer le service de huit heures ét le repos hebdomadaire, que le législateur et non le chemin de fer a institués. II est évident que l'application du service de huit heures et du repos hebdomadaire ont occasionné le renforcement du personnel et entrainé une sérieuse dépense, sur laquelle est venue se greffer une nouvelle dépense annuelle d'une vingtaine de millions, pour perte de rende ment, par suite d'infirmités et de fréquentes absences des 8000 invalides, imposés au che min de fer par le Gouvernement Supprimer une bonne partie des réductions sur les voyages consenties au public et dont l'aiïipleur devient effrayante celles aecordées aux nombreuses families, aux invalides, aux militaires et anciens militaires et officiers, même quand ceux-ci voyagent pour affaires personnelles, aux journalistes, aux ouvriers... Le transport de ces derniers se traduit pour le réseau par un déficit, qui dépassait cent millions en 1922 et atteint certainement i5o millions par an, actuellemest. Mais je ne vois pas bien le moyen de sup primer, ou de diminuer cette réduction d'une ma-nière sensible, car, du point de vue de Ia main-d'oeuvre, l'abonnement d'ouvri.er, en suppriman't pour ainsi dire les distances, rend 1'emplacement de l'usine indifférent, l'ouvrier conservant sa mobilité, l'accroisse- ment des navrantes cités ouvrières agglomé- rées autour des usines se restreint. C'est done par nécessité sociale, que le chemin de fer a institué les abonnements d'ouvriers et s'est consenti une perte 'trés appréciable de ressources. Faut-il faire intervenir le patron, comme en France Revenant a l'utilisation de cinq sous-chefs, la oü il n'y en avait qu'un, cela n'existe nulle part. Mais votre correspondant vise la station d'Ypres, oü trois éxtensions sont justifiées, par l'érection de la gare de formation qui n'existait pas avant la guerre et qui est venue au secours des gares voisines, devenues éga- lement trop exigües. La concentration a Ypres des manoeuvres cJe triage des gares limitro- phes a évité par ailleurs des agrandissements coüteux, mais a donné a la gare d'Ypres plus d'ampleur et nécessité une extension de per sonnel mais ce n'est en somme qu'un dépla- cement de personnel, au profit de la gare et de la ville d'Ypres. Pour gouverne, le trafic de cette station était de 200 wagons avant la guerre, escales comprises, il est de 600 actuel- lement par jour, en saison normale de 800 a 95o et 1000, en période des forts transports. Croyez bien, Monsieur l'Editeur, qu'il n'y a parmi les cheminots, plus aucun chef immé- diat, qui oserait encore garder un seul agent inutile ou incomplètement justifié et veuillez croire, et dire a votre aimable et zélé corres pondant, que cette question de plus grand rendement du réseau a toute l'attention de l'administration et est par trop complexe j'ai taché de vous le démontrer par quelques exemples pour être traitée et critiquée par les non initiés. Je pense que, par leurs cris, certains jour- naux poussent inconsciemment a la hausse des tarifs et je suis de ceux qui estiinent qu'ils sont suffisamment élevés, bien que le coëffi ciënt d'augmentation ne soit pas encore en rapport avec celui du prix de revient. Mes sieurs les journalistes feront bien de rester en dehors de la question s'ils ne veulent pas perdre le bénéfice de leur quart de place. Agréez, etc. Sans Rancune. donnent la plus grande satisfaction. AgenceGarage Devos Dewanckel, EjY, ii£ê£i*SFZSSt

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Het Ypersche (1925-1929) | 1926 | | pagina 5