Ofctóïs kGGmmoree&ti'lridusfila d'Ypres La distribution d'Eau Een schandalige leugen LB&t, afin de payer les industrials et com- «srrqants, érait admis- et serait mis au. point cfssjs quelqiies jours-, M. Geuten fut autorisé a annoncer cette mesure a l'assemblée- géné- rai» de la Fédération des coopératives qui afiait avoir lieu l'après-midi du même jour. La délégation remercia M. Janssen et fit resaortir l'heureuse- influence que cette déci sion produirait non. seulement chez les- sinis tral mais même au point devue national 'X. D. L. R. Au nom des sinistrés du Er fut, la Régïon d'Ypres renterci'e 'bien viszment M. Janssen et les membres de la délé- gcüian avec leur chef, le zélé M. Geuten. fishération nationale des Coopératives pour dornmages de guerre L'assemblée générale de- la Fédération a eu-Jieu mardi, io mai, dans l'après-midi, a 3ï*jtelles. Nous ne sommes pas encore a même de downer le procés-verbal de cette assembléè, mai* lés résolutions suivantes ont été prises r) Dissolution de la Fédération comme telle. Son encaisse apparlient »ux sinistrés. 3J Le conseil gécéral teste en fonction comme liquidateur. 4). Les coopératives locales resteront exister comme par le passé. ri&tifcnaal Verband der 5antenv''2rkende Vennootschappen voor oor ogsschade De algemeene vergadering van het Verbond heeii. Dinsdag namiddags ro Mei, te Brussel plaais gehad. Biet proces-verbaal dezer zitting kunnen wij iy.og niet mededeelen maar de volgende beslissingen werden-genomen. i Ontbinding van- het eigenlijk Verbond. 2)* Zijn inkas behoort aan de ge-teisterden- 3) De algemeene-raad blijft i 11 werking als- vereffenaar. 4): De plaatselijke cooperatievm blijven bestaan zooals vroeger. «De West-VlamingKatholiek Weekblad ter verspreiding der Vlaamsch Nationale gedachte, schreef onder meer het volgende in zij» nummer 290 van Zondag in Mei 1927, onder den titel Vredelievend België Men herinnert zich nog hoe huichelachtig België zich voorgesteld heeft in 1914 het on- schuldig slachtoffer te zijn van de duitsche inval. België had den oorlog gewild, om zijn lieve Fransche bondgenoot bij te staan, en uit diens sterkte, de macht te zoeken om het Vlaamsche element in dezen staat, kapot te maken. Verleden week hebben we ontegenspre kelijke duitsche b& wijzen gegeven dat 'De West-Vlaming wetens en willens, scJtandalig gelogen heeft. Hier zijn er nog,, en vaa belang I Generaloberst Freiherr vort Bissing (ig-5-igiy) k Om den huidfgen oorlog aanvallend te hunnen voeren, was de opperste legerleiding verplicht door België heen te trekken derech tervleugel van het Duitsche leger kon maar moeilijk langsheen de Holldh.dsche provincie Limburg voorbijtrekken Rijkskanselier Graf von Hertling (11-7-1918) De opmarsch door België was dooh de oor- logstoestanden voor ons eene opgelegde noodza- v/kglijkheid. En, we warm evenzeer door de oorlogstoestanden gedwongen - België te bezet- ten.... België is in onze hand het pand voor de toekomstige onderhandelingenEen pand beteekent den waarborg tegen zekere gevaren, welke men verwijderd houdt door het feit dat mén dit pand in handenheeft. Dit pand laat mm slechts los, Wanneer de gevaren uit'den weg geruimd zijn. Frankfurter Zeitimg (21-11-1917) Ware het niet veel juister te zeggen, dat onze toenmalige legerleiding in het oprukken oaar België de eenige mogelijkheid zag, om de ernstige gevaren, die een oorlog op twee fronten opleverde, door een verrassend afdoend om- vleugelen van het Fransche veldleger van ons af te keer en Prof. Dr. Wilhelm Friedrich Foerster (to-l- 191S) Slechts wanneer men in het herstel van België eene zaak van nationale eeren niet een handel,woórwerp ziet, slechts wanneer men opnieuw het kanselierswoord, van het begane onrecht aanneemt, slechts wanneer de rechts zin van het Duitsche Volk zóó krachtig door- breekt, dat het inziet hoe ontoereikend al de Zoogezegde bewijzen zijn, waarmede zekere leeraars in het Volkerenrecht de onzijdigheid der Belgische Regeering hebben verdacht ge- maakt en ons van alle onrecht vrijgepraat heb- ben, slechts dan zal men de juiste besluiten en de juiste woorden vindenom de overige wereld te overtuigen, dat een nieuw Duitschland tot stand gekomen is. Nu het hoogste militaire gezag in Duitschland, verleden zomer vastge- steld heeft, dat het uit heel den aard van Frankrijks oorlogsplan en offensief gebleken is, dat het niet in 's vijands bedoelingen lag, de Belgische onzijdigheid te schendenzijn ja alle bijkomende beweringen als zou België tegen ons samengespannen hebben, in duigen gevallen, gansch afgezien van het feit dat alle dikwijls aangehaalde covversa- tions niet het geval van oorlog, maar slechts enkel het geval van eer en Duitschei: inval ver- onderstellen. Wil De West- Vlaming nog andere onte gensprekelijke Duitsche bewijzen van het Vredelievend België We hebben er, en met de vleet Conférence de M. SANDflON, Ingénieur Messieurs, CVst en m'invitant a votre banquet annuel, qu'un merabre de votre Comité, Monsieur Glissoux, m'avait demandé de vous donner une causerie sur la distribution d'eau. Comme j'avais accepté avec empressement l'invitation pour le banquet, il de-venait assez difficile de refuser la causerie. D'un autre cóté. cette demande n'était pas nouvelle, votre trés actif Président, Monsieur Vermeulen, toujours disposé a profiter de toutes les circonstances, si minimes soient elles, de nature a faire connaitre les besoins de la Ville ou d'aider a son r elèvement, m'avait depuis longtemps demandé cette causerie. II m'avait montré tout l'intérêt qu'il y aurait a ce que les membres de la Chambre de Com merce soient mis au courant de cette impor tante question de l'alimentation de la Ville en eau et, tout dernièrement encore, il y mit tant d'insistance que finalement il n'y avait plus moyen de rcculer. Me voila maintenant devant vous, j'ai natu- rellemcnt préparé cette causerie, jai une foule de notes, j'ai même un tableau assez original a vous montrer, j'ai aussi et surtout un auditoire des plus synapathique mais,et il y a un grand mais, je n'ai rf n mais absolument rien d'un conférencier. C'ést vous dire, Mes sieurs, que je dois absolument compter sur toute votre indulgence pour me permettre de vous exposer le nouveau système de la distri bution d'eau d'Ypres, ce qui a été fait et ce qui reste a faire. Dans la remarquable conférence qu'il vous a donné dernièrement sur le même objet, votre Président vous a dit que cette distribu tion d'eau, dont l'origine remonte au XIP ou XIIIe siècle, était établie au moyen de fossés a ciel ouvert qui amenaient, l'eau des étangs dans les fossés entourant la Ville. De la, des canalisations en bois ou en plomb dirigeaient lea eaux vers des puits nmponnés répa.rtis dans les divers quartiers de la Ville De ces puits so!lient des canalisations, secondaires et par- ticulières qui dégorgeaient dans des puits privés. Mais, a la suite des nombreux sièges que la Ville eut a subir, des importantes et conti- nuelles modifications furent apportées aux fossés des remparts dont dépendait intime- ment le régime des eaux et, il s'en suivit une situation tellement compliquée et tellement défectueuse de la distribution d'eau qu'elle provoqua des disettes et des épidémies extra- ordinaires. C'est en 1877, après une foule d'études et de recherches que l'on en arrivah modifier com- plètement la distribution d'eau, par l'établis- sement d'une canalisation en fonte pour l'ad- duction des eaux de l'étang de Diekebusch, la construction d'un réservoir maqonné a la Porte du Temple et l'ètablissement d'un réseau de distribution au moyen de canalisa tions également en font'e. La date de cette décision, de modification de la distribution d'eau, es" assez frappante cette décision du Conseil Communal est en effet intervenue en septembre 1877, c'est a dire qu'au mois de septembre prochain il y aura exactement cinquante ans et, il semble qu'il y a la un cinquantenaire qui ne peut pas passer inaper^u, mais qui mérite au contraire de faire l'objet d'une fête tout a fait spéciale. En 1882, le réservoir de la Porte du Tem ple s'écroula et après une nouvelle série d'étu des, vinrent toute une succession d'améliora- tions des installations. En i8g5-i8g6, c'est la construction du cha teau d'eau, des bassins de décantation et de filtration, ainsi que l'ètablissement de l'usine de pom page k l'angle de la rue d'Elverdinghe et üe la Chaussée de Furnes. Après, c'est en 1898, l'établisiement de la canalisation en fonte pour l'adduction des eaux de l'étang de Zillebeke. Ensuite, en 1911, le renforcement de l'usine de pompage par le placement d'un nouveau moteur a gaz pauvre. Et, enfin, en 1908, igi3 et 1914, les grands travaux de eurage, d'endiguement et de mise en état des deux étangs, travaux anêtés en pleine activité, le 18 octobre 1914, par le premier obus allemand tombant dans l'étang de Diekebusch. La somme des sacrifices que la Ville s'est imposée pour mener a bien toutes ces amélio- rations est énorme et témoigne de l'intérêt supérieur que tous les Administrateurs et tous les notables de la Ville ont toujours porté a cette importante question, et de leur volonté de voir leur Ville être et rester a la tète des villes de Flandre en ce qui concerne les instal lations publiques d'hygiène. II existe une ancienne carte des distributions d'eau oü cette place d'Ypres, au premier rang en Flandre, est marquée d'une manière frap pante c'est une carte de la Belgique, sur fond blanc, et sur laquelle les localités pour- vues d'une distribution d'eau sont marquées d'un point noir ces points, disséminés dans le Brabant et le Hainaut, plus rapprochés dans les provinces de Liége et de Luxem bourg, plus resserrés encore dans la province de Namur et particulièrement dans l'arrondis- sement de Philippeville, n'existent pas en Flandre oü, c'est un immense désert tout blanc, saut' cependant, un point, un seul, Ypres. Ce fut toujours de savants spécialistes en matière d'hydrologie qui, avant guerre, s'oc- cupèrent de la question des eaux d'Ypres et, après l'armistice, ce fut aussi un savant spé- cialiste, Monsieur Mennes, a l'époque, Inspec teur Principal des Travaux d'Hygiène au Ministère de l'Intérieur et, actuellement Ingénieur a Anvers, qui fut chargé d'élaborer le projet de rétablissement de la distribution d'eau, comme celui des égouts, avec les deux collecteurs latéraux a l'Yperlée qui malheu- reusement ne furent pas exécutés, comme celui d'aménagement de l'Yperlée avec ses trois hypotèses, comme aussi d'ailleurs, de tous les projets de l'espèce dans toutes les Régions dévastées. Pour moi. Messieurs, qui ai été icile témoin de la prodigieuse activité du savant Inspec teur, c'est un devoir que de profiter de cette occasion pour vous dire, que c'est la l'un des hommes qui ont le plus étudié et le plus tra- vaillé en vue de la reconstruction des Régions dévastées. Malheureusement, cette activité et surtout cette compétence, qui sans doute laissait trop peu de place a la critique, n'étaient pas de nature a plaire a tout le monde certams lui cherchèrent des difficul- tés, d'autres commirent la lourde faute de le laisser partir, et ce fut laune perte irréparable pour les Régions dévastées oü, quo! que l'on fit, il ne fut jamais remplacé, et pour le Ministère de l'Intérieur oü il ne le sera que bien difficilement. Vous vous rendez parfaitement compte de r- fitdjj «^1- WUJWVAajj-T;;;v?Ay-i - - WÊÊKÊÊÊÊÊ

HISTORISCHE KRANTEN

Het Ypersche (1925-1929) | 1927 | | pagina 2