Une Agréable Constatation In het Paradijs des Sovjets Du choc des idéés j aillit la lutnière Monsieur l'Editeur de la Région d'Ypres Désireux de répondre a l'appel paru sous ,ce titre dans votre estimé journal, sollicitant le concours de tous les Yprois et amis d'Ypres, pour aider les autorités locales, et la commis sion permanente des fêtes/'ajrelever le com merce d'Ypres attirant davantage encore étrangers et touristes, et les faire rester plus longtemps dans nos murs, je viens solliciter l'hospitalité de vos colonnes pour les sug gestions suivantes I. Créer a la place René Colaertsur le terrain planté en face du Square, un pare d'Artillerie, en souvenir de la défense héroi- que et du martyre d' dpres. Ce pare porterait le nom de Pare du Maréchal French vicomte d'Ypres, en hon- neur du glorieux soldat anglais. Cet hommage légitime de la ville d'Ypres reconnaissante a la vaieureuse armée anglaise serait hautemmt apprécié par nos allies, et nous pourrions compter sur leur concours, pour fournir amplement le pare de tout l'atti- rail de guerre indispensable. Et qui sait ce qu'ils feraient plus tard pour embellir le pare et glorifier la mémoire du Maréchal French II."Se mettre en rapport avec les auto rités'militaires Britanniques, Franchises ët Beiges, en vue d'étudier les moyens pour 'installer a Ypres, avec leur concours financier (qui ne manquerait pas ici) et sur un terrain militaire de la ville, le long du rempart entre la Caserne d'infanterie et la porte de Lille, un modeste Panorama de i'héroique défènse du saillant d'Ypres par les alliés, avec les 'glorieux combats de la Cóte 60, de Wytschdète, de Messines et de Kemmel. Ce panorama, a l'instar du Panorama du Congo de la dernière exposition internationale d'Anvers, serait installé dans une galerie horizontale d'une longueur maxima de 100 mètres. Pared spectacle serait de nature non s.eule- rrient a exciter vivement la curiosité et a flatter l'orgueil national de tous nos alliés, surtout des ariglais, mais il constituerait aussi une source permanente de revenue pour la ville, et de prospérité pour le commerce local. III. Ypres ayant perdu sa garnisö'n.'(a jamais 'peut être I) l'ancienne plaine d'ëxer- cice e'n face de la caserne d'infanterie" et l'ancienne plaine de manceuvres('pla'mé d'Amour) n'ont plus de raison d'être et vien- dront, après leur déblaiement, disponibles pour une autre destination. A la plaine d'exercice, le terrain affecté en d'ernier lieu au garage des auto-cars du front, abrité contre tous les vents, se prêterait biert, me semble-t-il, comme plaine de jeu pour les .enfants, pendant la bonne saison. A l'instar de ce qui existe au pare Josaphat de Schaerbeek, on pourrait établir au centre de la plaine une assez vaste arène de sable blanc, ou les enfants de tout age pourraient prendre leurs ébats, comme sur le sable de nos plages, et y élever des monticules, creuser des tranchées etc., etc. Et en aménageant autour de cette arène quelques bancs p.our les parents et gardiens des enfants, on permet-, trait a ceux ci de les surveiller et d'assister a leurs ébats, bien" a l'aise, tout en s'occupant d'ouvrages manuels. Quant a la Plaine d'Amour, quelle belie ■plaine de sport, ne ferait-elle-pas, oü les sports favoris, Football, Lawn Tennis, Course a pied, Cyclisme, trouveraient chacun leur terrain propre. Cette plaine de sport serait la bienvenue pour les étrangers comme pour les Yprois, et engagerait a fermer le cóté nord de la plaine et a l'abriter ainsi contre les vents du Nord, en y contruisant des villas., des cafés, laiteries, etc., etc. IV. Transformer tout le bloc de l'enclos: St-Martin, y compris les terrains deTancien palais de Justice, en un beau jardin public, cloturé par une grille artistique du cóte c e la Place Vanden Peereboom, de laRue Surmont, et de la rue Jansenius. La at te drale rester ait entièrement dégagée, car e e mérite d'être vue et connue de pres. Le jar in soigneusement tracé, et planté d essences d'arbres a grand ombrage (chêne, tillen platane, etc.) et oü les parterres de ileurs se combineraient harmonieusement aux vertes pelouses, oftrirait pour les étrangers et les Yprois, un délicieux séjour de repos et de farniente, en attendant que sa luxurieuse végétation le transforme, dans l'avenir, en un petit Eden au milieu d'Ypres Pourquoi pas? Dans ce grand jardin, qui pourrait recevoii aussi le nom d'un illustre Yprois, trouveraient aussi place le Musée Communal, un Kiosque permanentdes bassins ave: jets d eau, des abris contre les intempéries, une laiteriedes bancs partout, et pour l'instruction de la jeunesse Yproise orner les pelouses par ci par ia de bustes des enfants d'Ypres, les plus illustres par leur savoir ou leurs services d la chose publique, Ministres, Evêques, Législa- teurs, Bourgmestres, artistes, etc. Je soumets ces suggestions a l'appréciation de vos lecteurs, et si elles ont l'heur de plaire, je continuerai volontiers la série. Veuillez agréer, Monsieur l'Editeur, avec mes remerciments anticipés pour l'hospitalité accordée, mes salutations distinguées. Votre abonné, RH. A l'occasion des élections prud'hommales a Bruxelles et au pays industriel Wallon, les communistes se sont tenus cois et a part Seraing, oü leur, participation marqua pour eux un reeul formidable, ils se sont tout par tout réfugiés dans l'abstention, gardant ce Conrad le silence prudent. L'autre parti extréme, celui des activistes en Flandre, a cru devoir présenter quelques candidatures pour les chambres ouvrières, escomptant au moins quelques succès locaux. Son espoir a été déqu, n'ayant pu enlever le moindre siège. Tout ceci a simple titre de constatation. L'histoire en se renouvelant reste toujours Ia même, et après un jugement d'erreur d'un corps électoral, celui ci après une période d'expérience en revient par un jugement plus approfondi a une conclusion plus saine et plus normale. Dans l'arrondissement d'Ypres. aux der- nières élections législatives, les activistes par- vinrent a réunir plus du tiers des votes et leur candidat fut élu par le plus grand nombre de suffrages. Aux dernières élections communales d'Ypres, le même parti ne se classa plus que second emportant encore les 2/7 des votes. Aux élections pour les prud'hommes il dégringole en troisième position n'obtenant pas même le cinquième des votes pour la Chambre ouvrière, s'abstenant prudemment pour les Chambres patronales et celle des employés. Nous faisons abstraction de toute idéé politique ou philosophique et nous nous abstenons surtout au point de vue de per- sonnes. II est incontestable que la Belgique compte Parmi les activistes quelques ennemis achar- nés et tenaces. Depuis l'armistice, ceux-ci ont entrepris une propagande aussi active qu'insidieuse. Profitant du mécontentement d'un grand nombre et d'un ensemble 'de cir- constances bien souvent malheureuses mais inevitables, causées par la grande guerre entrepnse par les Allemands, ils les ont ex ploits d'une faqon sournoise, entrainant a leur suite nombre de mécontents qui dans ieur naïveté s imaginaient pouvoir se fier a de fallacieuses promesses pour se procurer une revanche ou obtenir le i'edressement h griefs personnels bien souvent exagérés. 6 Au début, ils parvinrent pour ainsi dire - couper nos parages en deux En réalité et bien heureusement, les de nières élections en sont une preuve irréf* table, les deux fractions sont loin d'être égale en nombre et en forces. Certes au commencement de la malSaine campagne ils étaient paivenus a creuser large fossé entre les Flamands, qui tout étant attachés a leur Flandre ne voulaient pas laisser mettre en doute un attachement identique et aussi vivace de leur fidélité belge et ceux qui par naïveté, mécontentement ou aigreur, s'abandonnèrent aveuglément a des meneurs qui crurent les amener a une séparj. tion compléte et extréme. Si cette situation avait perduré, si cet état de choses et d'idées aurait dü continuer dans le même sens et du même train, dès a présent, nous en aurions vu de belles 1 Heureusement elles ne peuvent continuer. Si le nombre est grand de ceux qui au début ont écouté les perfides conseils des sépara- tistes, les ont suivis, avalant les bourdes énormesdontonlesrégalait,la majoritéd'entre eux ont appris a connaitre les véritables pra. blèmes qui se dressent devant eux comme devant tous et sont rentrés dans les rangs nationaux Beiges oü ces problèmes doivent trouver leur juste solution. Ils ont tourné catégoriquement le dos j ceux qui avaient taché de les mal guider, et les élections dernières permettent d'affirmer que le flux activiste a désormais atteint ses limites extrêmes et qu'il ne peut plus que décroitre en attendant qu'il disparaisse. Cm qui ont abandonné les candidats activist/s le Juin, ne les suivront plus jamaisL'activisme en effet a fait son plein. Tout ce qu'on peut prévoir dorénavaat e'est que nombre d'honnètes gens abuses, ayant toujours été pour la plupart des catho- liques pratiquants et profondément chrétiens, une fois informés exactement et instruits par l'expérience reviendront tous, jusqu'au der nier, de leur erreur passagère. Espérons que les efforts loyaux de la part de notre gouvernement, pour donner satis faction aux aspirations légitimes de notre peuple flamand et pour redresser des griefs réels ou des inégalités existantes produiroal un complet et durable apaisement general- Tous les gens d'ordre, a quelque opinion qu'ils appartiennent en expriment le désirpour le bien de la Belgique, pour celui de la Flandre, pour celui de notre chère Ville d'Ypres. Het Middencomiteit van het Syndicaat dei Mijnwerkers en het Middenbestuur van afdeelingen der Ingenieurs en Technici®1' deden tijdens den Zomer van 1927 een ond® zoek betreffende de arbeids- en levensvC' waarden van het technisch personeel i» mijn ondernemingen in Rusland. Dit onderzoek had betrekking op ongepei' 400 ingenieurs en techniciens, behoorende'9 de koolbekkens van de Donetz, van BaW van den Oural, van Siberië en van het Vet'J Oosten. Er mag dus gezegd worden, dat uitslagen van het onderzoek een nauwheid gedachtige verschaften van den algemee11 toestand in Rusland. -hell Welnu, de algemeene uitslagen van I onderzoek waren de volgende jI 1" Ontoereikend technisch in opzicht van de hoeveelheid e° I hoedanigheid. J Men telt gemiddeld één ingenieur p^M arbeiders en één technisch arbeider of f per 80 arbeiders. "F j( I De Practik is een beambte die, z j I bijzondere studiën gedaan te hebben, R® I wordt voor het vervullen van een P0^ I eenstemmende met dien van ingea'eUf |l

HISTORISCHE KRANTEN

Het Ypersche (1925-1929) | 1928 | | pagina 2