Aux Amities Francaiscs il
Na dal- en Nljvethsldskamsr van Yper
La grande Pillé de notre Blbliolhèque
pits
Groote KHRMfWALSTOEl
L'Eglise de Cotnines France
1 Aangezien dit onderhoud voor iedereen
zeer nuttig kan wezen bidden wij U dringend
Zondag i3 Januari aanstaande, te 14 u 3o, in
het c Hotel Continental op de ontworpen
vergadering aanwezig te zijn.
Het gaat hier vooral om een onderlinge
goede overeenkomst te verwezenlijken ten
einde tot de uitvoering van ëen werk te gera
ken dat aan het algemeen belang beantwoordt.
Wij durven rekenen op Uwe tegenwoordig
heid en bieden U, intusgchen, Mijnheer de
Burgemeester, de betuiging onzer volkomene
achting.
De Voorzitter,
Arthur BUT AYE, Advokaat te Yper
Algemeeue Vergaderi ig van Zaterdag I" December
Na lezing der verslagen en briefwisseling,
raadt de Heer Voorzitter den leden aan zich
op het Handels-egister te laten inschrijven.
Hij meldt dat het bestuur scheidsrechters
heeft benoemd om een handelsgeschil te ver
effenen, hij geeft ook uitleg over de ontwor
pene maatschappij van goedkoope woningen.
Hij stelt de leden op de hoogte der stappen
aangewend bij Zijne Majesteid Koning Albert
om een verhoor te hebben aangaande de
algeheele vereffening der schade veroorzaakt
door den oorlog. Daar de mogendheden wel
dra eene bijeenkomst zullen hebben om dit
punt in orde te brengen, zoo is het voor onze
streek van het hoogste belang dat het vraag
stuk hier ook zijne spoedige oplossing vinde.
Er wordt besloten met Paschen 1929 eene
zesde handelsfoor in te richten.
De kiezing tot het Vormen van het inrich-
tings-comiteit geeft den volgenden uitslag
Zijn benoemd de HH. Bagein, Blom, Cardi-
nael, Donck, Gilles, Glissoux, Grüwez, Seys
V., Vandevoorde Flor., Vandevoorde Léon,
Van Lede en Vermeulen.
Het jaarlijksch avondmaal wordt vastge
steld'op Zaterdag 12 Januari, om 7 ure 's
avonds De HH. Gruwez en Cardinael worden
met de inrichting belast.
Verscheidene leden klagen over de gebrek
kige levering van den elektrischen stroom en
het bestuur wordt belast om dien toestand bij
het stadsbestuur aan te klagen.
La destruction de la bibliothèque de
Louvain restera toujours une hónte pour
TAHemagne, cemme i'ir.cendie de la bibliö
thèqué d'AKxanlrie c >uv ira toujours d'op-
probre Ie nöfn du é'aüfe Omar, et cela se
répètefa, a traversies siècles, malgrê tous les
adoucissements qu'un recteür, aussi p cifiste-
que magnifique, veut appealer a une inscrip-
'tion dont la i trop' cru», pourrait blèsser
i'A'll-, ma'gnèf
Ce Ciime contre l'intc-lléctualité, qui r.e
's'effa'ce pas plus que la tach dé sang de
Macbeth, eut son pendant dans celui de la
Tiïdiothèque d'Yprcs, mais celui ci souleva
prut être moins Tindignation publique, paree
qu'il füt le fait des bombardements et non
celui d'un feu mis par des soldats lancant des
bombes incendiaires.
1 Admettons que le système employé a Lou
vain füt plus répugnant qu'ii Ypres, et admet-
tons égalexnent que la valeur des collections
détruites füt infiniment plus considérable, il
ii en reste pas moins vrai que, jusqu'ici, rien
ne fut fait pour relever la bibliothèque
.d'Vpres, tandis que l'or Américain réédifia
un palais de la pensée et que des dons'
affluèrent de tous les pays du monde. C'est
en pleine guerre encore, que furent jetéesles
premières bases de cette reconstitution, et
nous croyons pouvoir afhrmer que si, a ce
moment la, un appel avait été lancé, nous
aurions pu bénéficier, dans les proportions
désirables, des largesses du monde savant.
C'est paree qu'on s'est croisé les bras, que
dix ans après la guerre, notre conseil commu
nal,dans l'une de ses dernières séances, en était
encore a choisir l'emplacement de sa luture
bibliothèque. On commence done a s'aperce-
voir que ce n'est pas seulement pour le debit
de la viande ou du beurre qu'il faut un empla
cement convenable, mais que l'étude, généra-
trice de toutes les grandes inventions moder-
nes et des satisfactions les plus nobles qui
soient, celles de l'esprit, réclame, elle aussi,
un vrai temple du lecueillement, rendu ac
cessible a tous, grands ou petits.
Of done, en cette séance, oü, exception-
nellement, on s'abstint un peu moins que de
coutume de se décocher des aménités, il tut
question de l'emplacement idoine de la biblio
thèque, de celui qui ne doit être choisi, non
pour de mesquines raisons pécuniaires, mais
uniquement pour répondre aux conceptions
le's plus modernes en cette matière.'
Abandonné le funambulesque projet d'uti
liser le coin de la rue de Dixmude, projet
dont nous eümes l'occasion de nous faire des
gorges chaudes a l'occasion du ir Avril der
nier, battu en brêche le projet d'appropriation
du terrain de la rue St-Jean, comme n'étant
pas une situation suffisamment centrale, il ne
reste done que cet emplacement absolument
rêvé et semblant tout indiqué, celui d'autre-
fois, celui du jardin public.
En face de l'antique abbaye de St-Martin,
au chevet de notre imposante collégiale, dans
le silence de tout cet enclos hanté de nos plus
aocier.s souvenirs historiques, dans le cadre
poétique des arbres qui garniront plus tard
notre pare minuscule, quel cadre idéal pour
inviter le penseur a venir se pencher sur les
livres, les rrleilleurs des amis pour qui sait les
apprécier
Nous ne doutons nullement qu'avec un peu
de réflexion, nos édiles et tous nos conci
toyens s'inclineront vers cette solution, de
toute simplicité, puisqu'elle ne fait que réta
blir l'état pririïitif, jugé excellent dé tout
temps. Cette solution apparaitra d'autant plus
favorable, croyonS-nous, quand, dans-un pro-
chain article, nous aurons exposé nos vues
personnelles sur la construction même.
P\ RES.
Cette église est aujourd'hui achevée en ce
qui-concerne le gros oeuvre, et l'on peut déja
commencer a se faire une idéé de l'aspect
qu'il présentera.
Ellè est batie dans le style des mosquécs
arabes, et nous choque par !a dans nos habi
tudes. Nos yeüx sont habitués aux styles
roman, gottique. renaissances. Certaines de,
nos' nouvellës''Egliseé' sont redónsti'uitOs dars
le style des Eglises- byzantines. Nous avons
même une église dans un .style qui mélange
la fois tous les styles rencontrés dar.s ros ié-
gions, la superbe église'dé Warnêton, un de
nosjoyaux ci'ai cllitecture, imposante, cl aie
pratique pour le cu'te, mais qui ceper.dant a
première vue, nous déroute un peu. Mais le
style arabe I Ce genre semblé demander un.
climat ensoleillé et chaud qui n'est pas le
nötre il convient niieüx, sem'ble- t il, a un
cinema ou a un théati e.
II se'ra.it cependhut téméraire de preju-er
et il faut attend re que l'Eglise de Comtnes soit
achevée cornplètement, dans sa decoration
intérieur^, avant de s'en faire une opinion
définitive. Pour le moment, cette église ne
rencontre pas encore d'admirateurs.
Le clocher a la forme d'une haute tour car-
rée, entièrement indépendante de l'Eglise
Elle ne 1 enlermera qu'une seule grande cloche
Ce'le ci sort des Ateliers de Fonderie de Vt'
Chafles-C. Waüthy, a Douai. Elle porte ï'in
scription suivante en franqais
Je remplace mes sceurs ainées Clemence
et Sidonie enlevées par les AUemands en
1917 pour etre conduites en Allemagne
Le dimanche n Mars sous le glorieux
pontificat de Pie XI, Mgr [qt
Quillet étant évêque de Lillek',
'e et ïu
u Monsi
'eur
le chanoine Charles Lamstaes
de la paroisse, °5'et<%£
J'ai été baptisée par Mgr Cbarl
te, évêque d'Amiens en cette nn„ Lec°m-
Je Co,nines. UVelleHgliSe
J'ai eu comme marraine dame V
Verhaeghe, néeClémence Vande V\T Henti
Et comme parrain Monsieur Pi
rillon Coisne, mi ai re de la ville. 'ei'e
A raon baptême j'ai reQU ies no
Clemence. Sidonie Charles-Pierre r™8
Je chante les louanges du Dieu t0ut
rysol.
sant, et je dois servir a Perpétuité au
culte
de la Sainte Église catholique romaine»
Chose étrange, l'année du bapiêmeT
est omise dans cette inscription.
Le succès brillant obtenu par le grandb
de Réveillon organisé Lundi dernier par ij
A. F. vient d'affirmer a nouveau, la sympat^
dont jouit cette belle institution patriotic
auprès - e notre chère population Yproise
Dès avant 8 1/2 heures, la jolie sailed,
Viéil Ypres"», était envahie par une I
joyeuse et animée qui laissait entrevoir, a®
organisateurs, une entière léussite.
II est vrai que le Comité avait, une fois de
plus, tout mis en oeuvre pour donner a cette
fête, un éclat inaccoutumé
II y eut des British dance ».a'un entré
endiablé des u Spot Prizes dance dont les
primes furent disputées, tant par d'enthoo-
siastes danseuses de.... l'ancienne génératioj
que par la jeunesse il y eut de joyeuses
farandoles, un cotillon conduit de maitresse
manjère et auquel participa la salie toi
entière dans un élan de gaité générale ;il
eut des danses Excusez-moi d'une am
santé fantaisie. Et il y eut, il y eut surtoutu
geste généreux de la part de l'assemblée.
Après que Madame A. Bentein, avec si
obligeance et son empressement coutumieri,
dès qu'il s'agit d'une bonne oeuvre, eut chants
de sa jolie voix La Charité de Faureel
que le public, ému par l'impeccable exécutioo
de éette oeuvre 'si pröfón'dément to'uchanle,
eut cpr.firmé le succès de l'interprête pari
tonnerre d'appiauqissements, une collecte fill
organisée dont le produit, soit la sonime de
six cents francs, sera versé au' profit des
infortunées victimes de la désastrcuse inon-
dation de Termonde.
Et l'on était rent: loin déja dans l'année
19 '9 lor; que l'on se sépara a 1 egret,
non sans avoir pr'is lYngagement de !eW
muux cr.core, au'térme de l'anfée présente,
i'aurore du C T.tonarre dé notre 'indépendance
natinale.
STAD T F1 S R
Gp Zondag ;0 Februari 1929, om 2 uur
met de welwillende medehulp
van 't Stadsbestuur en de bevolking
GOOO Fipatr?k
der Stad.
De inschrijvingen worden pp de yölgehde
aanvaard in het lokaal HOTEL DU NU'
Statiestraat, Yper, telkens van 7 tot 8
's avonds Zatcrda Woensdag'
Maandaji 18 Jar uavi en Zaterdag
bruari. Zij mogen ook schriftelijk tot het
gericht worden. Na laatstgenoemden
den hoegenaamd geen bijlredingen meer af
Verdeelivg der Premiën
1" Reeks Vermomde groepen van'ff
25 500 400, 350, 300, 250, 200, 150,
2 Reeks Vermomde groepen van
200, 150, 100,75, 50, 25 fr. pre grf»
3e Reeks Afzonderlijkenen kleinere
60, 50, 40, 25, 15, 10 fr. 350,
4e Reeks Versierde wagens ou
150, 100, 50 tr. gens<""
5; Reeks Muziekmaatschappij
van 1600 fr. wordt vöör deze reeks v