Nahlaah van den Carnavalstoet Chan bre des Représentants Vredegerechten Door den heer Lannoy, niiveraar en Voor zitter der Oostendsche Vischmijnvrienden, Werd, terwijl de klaroenen het te Velde» bliezen, een mooien bloemtuil neergelegd aan den voet van het gedenteeken onzer Ypersche Helden. Daarna werd door de zangvereeniging Het looze Visschertje onder de leiding v.an den heer Botteman, ons Nationaal Lied ih de beide talen gezongen. Korte, maar aandoenlijke betooging De h jer De Coster Emile, commissaris van den stoet en tevens oud strijder, bedankte hartelijk onze Oostendsche vrienden voor de bewezen hulde. Stad Yper GEMEEIVTE *A AD Zitting van Maandag 25 2-1929, om 18 u DAGORDE: r. Proces-verbaal der zitting van 28 Januar\l 19 9. 2. Slachthuis magazijn voor vellen vergoeding. 3. Staats Middelbare school Bestuur woning - gemeentelijk', vergoeding. 4 Stadsbegrooting voor 1929 wijziging. 5- Reinigheids- en Ruimingsdienst lasten kohier art 20 toepassing. 6. - Openbare Onderstand ontslag en overzetting van pacht. 7. Openbare Onderstand Maatschappij voor goedkoope woningen inschrijving van kapitaal. 8 Openbare Onderstand Begrooting voor 1929. 9. Cercle Hippique Yprois De V er - eenigde Hofbouwliefhebbers Vlaamsclie Toeristenbond Hooge Raad voor Toerisme Vragen om toelage. 10. Mededeelingen Séance du Mercredi 6 Février 1929 Discussion Générale du projet de loi régissant la location des biens ruraux appartenant a l'Etat, aux Provinces, aux communes et aux établissements publics (projet deloiamendé par le Sénat). M. le Président. Nous abordons la dis cussion générale du projet de loi régissant la location des biens ruraux appartenant aux pouvoirs publics. La discussion générale est ouverte. La parole est a \L Brutsaert. M Brutsaert. Messieurs, le projet de lot régissant la location des biens ruraux appartenant a l'Etat, aux provinces, aux com manes et aux établissements publics, élaboré par la Chambre, était, d'après les déclara- tiöns de l'honorable minïstre de l'agriculture, au Sénat, marqué au coin de la simplicité, de la clarté, de la souplesse, même de l'élégance, et' il faut bien le reconnaitre, peu de nos travaux ont mérité un tel concert d'éloges. Ce pur chef d'oeuvre, Ie Sénat, n'en déplaise a nos honorables voisins, l'a complét' ment défiguré. Les idees fondamentales la soumission par pli cacheté et la location de gré a gré a l'occupant qui a satisfait a ses obligations normalts, se retrouvent, il est vrai, dans le projet du Sénat ainsi que dans celui de la Chambre. Mais le Sénat a apporté a notre projet des modifications de détail contre lesquels, avec une unanimité touchante, s'est insurgée notre commission centrale. I. Notamment l'introduction, a titre obligatoire, d'un rouage inutile en l'occur- rence, l'agronome Je dis en l'occurrence, car je' sais, par ailleurs, les immenses services rendus a l'agriculture par nos ingéme agricoles. 2. - L'introduction, également obligatoire, d'un prix de bail et l'éviction définitive c u fermier sortant si l'oflre dun concurrent dépasse de 10 p. c. le prix de base. L'agronome ou un expert compétent de vrait intervenir au préalable pour donner son avis sur les clauses et conditions de location. Est ce bien indispensable de délivrer ce brevet d'incapacité a nos administrations publiques et surtout a nos commissions d as sistance publique, composées la plupart de propriétaires, cultivateurs, d'agents d aflaiies, régies par les lois de la représentation propor tionnelle, ce qui exclut toute velléité de tavo- ritisme ou de collusion. Au surplus, comme vous le savez. leurs décisions sont soumises aux avis, autorisations et approbations prévus par nos lois administratives. Pourquoi, après toutes ces garanties, cette nouvelle entrave Pourquoi les mettre sous la tutelle d'un agronome, qui est certes trés compétent en questions de technique agricole, maïs n'est point spécialement qualifié ou mieux qualifié que les membres de la commis sion d'assistance publique pour fixer la valeur de location des terres dans toutes les commu nes de son ressort, et cela d'autant plus que dans chaque commune, comme chacun sait, il y a de bonnes terres et de moins bonnes et que leur valeur locative vane dans des propor tions notables. Non, laissons les agronomes a leur véri- table occupation ils ont, au demeurant, du pain sur la planche et ne leur imposons pas ce röle ingrat de dicterlaloi aux commissions d'assistance publique qui, pour les services inappréciables qu'elles rendert sans rétribu- tion aucune, méritent mieux que l'humihante sujétion que le Sénat veut leur infliger. J'ajoute a leur honneur que toutes, a de trés rares exceptions prés, apportent a l'exer- cice des devoirs qu'elles ont librement assu- més la correction la plus parfaite et le zèle le plus louable dans la défense du patrimoine qui leur est confié. L'agronome est ici une superfétation. Ne lui aliénons pas les sympathies dontila besoin pour l'accomplissement de sa mission vraie, en le chargeant d'une besogne que les intéres sés eux mêmes, paree que sur place et docu- mentés par l'expérience, feront mieux ou du moins aussi bien que lui. •Je me plais a le dire votre commission spéciale ne voit qu'avantages pour les com missions d'assistance publique a demander l'avisd'un agronome ou d'un expert compétent sur les clauses et conditions de lecation, mais elle se refuse a suivre le Sénat qui fait de eet avis une obligation légale souvent ennuyeuse ettoujours coüteuse pour les administrations. Au surplus, le Sér.at n'a pas prévu, au non- accomplissement de cette formalité légale, une sanction, et cela peut être u se nouvelle source de confiits. Les longs débats qui ont surgi autour du projet de loi sur la lecation des biens iuraux, tant privés que ceux appartenant aux admi nistrations et aux établissements publics, ont été dominés'par cette pensée généreuse qu'il faut assurer la sécurité au fermier. C'est l'argument le ineilltur, mais péremp- toire, de ce qu'on invoque en faveur des longs baux. II est certain quec'estla l'argument péremp toire en laveur dts baux de lorgue durée. La Chambre s'est également in pirée de ce souci en stipulant a l'alinéa 2 de son article Lr que la location pourra se faire de gré a gré. C'est une première garantie. Mais il y a plus si deux ans auparavant au moins personnelle- ment j'aurais préféré un délai moindre, paree que, en deux ans, des modifications profondes peuvent se produire, - un accord n'intervient pas entre l'administration baüleresse et le locataire, le bien étant devenu li ore, il y a lieu a une nouvelle adjudication sous pli cacheté, et alors le fermier, qui a préféré plutót courir la chance d'une adjudication puy- d'accepter le prix que sa prudent q ou son experience cone amme - 1 cl I aurait drrl d'apres la Chambre, a une priorité option. Cette mesure est sage, me elle est coulée dans un texte précis et J ati Pr L'occupant, s'il a rempli ses oblig jouit du droit d'etre préféré, a égalité de a l'auteur de la soumission la plus élev' Et qu'on ne dise pas que ce droit de pri rence va décourager les amateurs. II n> rien. Le cahier des charges de l'admipjs tion des hospices de Bruxelles porte d de longues années, la clause que voici L'administration pourra donner la pr^ rence aux anciens locataires, qui auront d ce cas, facilité d'option au prix atteint l'adjudication si celui-ci dépasse le taux mise a prix, mais cette prélérence ne g accordée que séance tenante au locataire aura régulièrement rempli toutes ses obl tions. Cette faculté n'a pas empêché la hau des prix, et les biens loués par les hospi de Bruxelles ne sont pas donnés en local a des prix inférieurs a ceux des autres ad nistrations. Par une innovation, que notre savant I porteur qualifié de malheureuse, le Séna diminué notablement la sécurité du ferm occupant en permettant qu'il soit évincé nitivement et perde ainsi le fruit de améliorations et le gagne pain de sa fa par l'offre d'un concurient qui dépasse de p. c. le prix de base. Un exemple fera mieux comprendre la pi tée de cette dangereuse innovation. J'e prunte l'exemple au rapport de M. V Dievoet. Une administration d'assistance blique propose a son locata re de renouvé le bail au prix de 800 francs l'hectare Nol que ceci se passé au moins deux ans av< l'expiration du bail Le locataire trouve fermage excessif et, comme il a encore de ans devant lui, il préféré attendre que situation économique de l'agriculture ou situation de sa familie lui apparaissent pi clairement et lui dictent la décision que s intéréts du moment lui commanderont. Ila; en homme avisé et prudent, et personne peut incontestablement lui faire un reproch Une adjudication a lieu par pli cacheté. I soumissionnaire a offert 880 francs l'hectai D'après la Chambre, le cultivateur sorta aurait option au prix de 880 francs mai d'après le Sénat, il n'aurait plus cette optii si le prix ofLrt atteint 881 francs, paree q la soumission dépasse de plus de 10 p. c.j prix de base. Dans la période d'instabili écoi.omique, oü les soumissions se font so vent sans mesure et atteignent parfois, so l ii.fiuerce de mobiles divers souvent étra gers a l'agriculture, des prix fantastiques, u telle disposition nous semble inadmissib paree qu'elle enlève toute sécurité au termi sortant. Aussi, nous préoccupant avant tout dass cier a la bonne gestion du patrimoine d établissement publics la stabilité du fer®1 qui l'occupe, nous invitons la Chambre a J pas suivre le Sénat dans la voie oü il s< égaré et de s'en tenir strictement au pr°. que votre commission spéciale a élabore Te rekenen van 25 dezer worden de diens der Vredegerechten, van het eerste en twe^ kanton Yper, overgebracht naar het Justicie Paleis, Groote Markt. Justices de Paix A partir du 25 courant, les serv^ Justices de Paix, des ier et sd canton seront transférés au Nouveau Justice, Grand'Place. rénrnii nn son exnerienrp rrmr

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Het Ypersche (1925-1929) | 1929 | | pagina 4