La question des intéréts
3Bl08b9feidselBH der Vpsisclu Haitdeisin
Chez nos Mfn;stres
Federatie der Geteisterden
van het Arrondissement Pe
vgrplicht ten andere de regeering zich daar
mede onle .ig te houden en ze doet het met
ijver.
Er dient ook gezegd dat de herhaalde po
gingen -an het meentebestuur, van de
Federatie der geteisterde», van de Handels
kamers, van onze Volksvertegenwoordigers
van o ze Senatoren, met meer toelaten de
oplossing dier kwestie nog langer uit te
st« Hen.
De ingezetenen van «wis arrondissement
w,pten reeds allen dat le v dledige voltooïings
wferken der vaart en der dokken van Nieuw
Hooi t (die daarmede in varband staan) onmid
dellijk in aanbesteding rullen komen en dat
on e waterweg vanaf 9jubeljaar onzer
honderdjarige onalhan -hjkheid opnieuw
a>f) de scheep-aart and geleverd worden.
Onze hanoel en nijveih l i zullen zich dan
künnen ontwikkelen.
Zt-er aanmoedig n ie officieele berichten
zijn ons daarbij zoo pas toegekomen.
De terugkeer van j|»*»sch onze vooroor-
lOnsche economische un.'usting wordt aan
hoogeihand met ernst overwogen. De Reget-
rtng denkt eraan o verwijld een begin me je
te maken en datgene wai ons onmogelijk kan
teruggeschonken worde» door het gtlijkwaar
dige te vervangen. E n hei 1 kiesche zaak die
veel onderhandelingen zal vergen.
Voor het oogei.i lik denken wij het nuttig
en verkieslijker in geen verdere bijzonder
heden te treden.
Maar wat we er hier van zeggen zal volstaan
om het begrijpelijk o ge 1 uld te bedaren.
Ons gemeentebestuur, onze handelskamer
en wettige gemach igden nemen die zaak ter
harte. Op hun verkleefdheid megen we
rekenen.
De Regeering, harerapds, is vast besloten
hun voldoening te schenken.
Op haar ook mogen we stellig rekenen.
Le Peuple tient absolument a critiquer n'im-
porte quoi sans trop s'inqniéter dubien fondé
de ses observations. Du moment que le Gou
vernement actuel fait quelque chose, cette me
sure doit être mauvaise, u priori.
Aussi ce journal recidive t-il, et dans son
numéro du 21 Février dernier, nous trouvons
la réédition de Terreur commise i5 jours plus
tdt et que nous avons déjfi signalée
Mais, pour faire de lYffct, Le Peuple inti
tule son article d'un résumé ébouriffant et qui
fera l'étonnement de tousnossinistrés, grands
et petits, cultivateurs ou non Le Gouver
nement a suppriméles intéréts descréances
des petits cultivateurs, mais veut donner
cent millions aux gros sinistrés.
Oui, rien que ga, c'est a faire frémir 1
Et il est au courant, Le Peuple II peut mê-
me citer les noms de ceux qui ont engagé le
Gouvernement k commettre ces horreurs
Et il les cite I
Ne pas reproduire les deux paragraphes
dans lesquels ces noms paraissent, serait Dri
ver nos lecteurs d'un bon moment a'ahurisse-
ment, suivi d'une- douce compassion pour le
jrjurnal qui lance de pareilles bourdes. Les
voici, tenez vous bien, amis lecteurs
«Le XXe Siècle», dans un article nébuleux
qui ne réfute aucun des arguments présentés
dans notre numéro du 7 courant, ne dément
pas non plus la visite faite a M. Jaspar par
MM Butaye, Geuten et consorts, lesquels
agitèrent l'épouvantail électoral de leur région
auxfins d'obtenir la consécration d'un principe
illégal entre tous la non-restitution des
intéréts payés indüment sur les indemnités
allouées pour dommages de guerre,cadeau de
quelqüe cent millions, dont bénéficieraient
seuls les gros sinistrés.
Ce que les délégués des sinistrés de la
région d'Ypres ont demandé a M. Jaspar,
clest de contrevenir d la loi, en ne faisant pas
reverser au Trésor public ces intéréts regus
indüment.
Et c'est done a la suite d'une visite de MM.
Butaye, Geuten et autres délégués des sinis
trés de 1'arrondisserBent d'Ypres chez M.
jaspar, qu'a été prise cette horrible décision
de rafler aux petits cultivateurs les intéréts
qui leur sont düs et de laisser aux gros sinis
trés les cent millions d'intérêts qui leur ont
été indüment payés! Quels horribles gens que
ces délégués
L'auteur de eet article du Peuple a entendu
parler de quelque chose, mais, comme il n'est
pas au courant, tl embrouille tout, les hom
mes, les questions et les dates, et il cuisine
ainsi pour ses lecteurs, non sinistrés et aussi
peu au courant que lui, un bien singulier
hochepot.
Voila prés de 10 ans que les délégués de
notre Fédération des Sinistrés ne cessent de
se rendre chez les ministres, même chez le
Roi, souvent seuls, parfois avec les délégués
de la Fédération Nationale des Sinistiés de
Helgique sous la conduite de leurvaillant pré
sident M Beau pain, de Namur. Nos sinistrés
savent que c'est giüce a leurs démarches con-
tinuelles que nous avons obtenu ce que nous
arons. Les noms, que cite Le Peuple, ne sont
que ceux de deux de nos délégués. II y en a
avec eux une vingtaine d'autres qui, sans se
losser jamais décourager, sV n vor t a Bruxel
les ou ailleurs, lrapper a toutes les porles
chaque fois que la Fédération des Sinistrés
en a ainsi décidé en ses réunions mensuelles.
et cela dure <>epuis des années et des années.
La vérité nous oblige cependant de dire que
nos délégués n'ont jamais été regus qu'une
seule fois a Bruxelles par M. Jaspir. C'était
il v a deux mois quand deux dé'égués de la
Fédération (et cette fois précisément M.Geu
ten parexcep ion. n'en était pas) accompa
gnèrent chez 1 Premier M inistre les délégués
d s Chambn s de commerce d'Ypres et de
Nieuport. II tutques'ion a cette audience du
ca al. de l'Institution Royale, de la gare, du
batadlon, etc., etc., bref de tout l'ancien ou-
tilDge économique qui faisait notre vie
d'avant guerre et dont nous demandons le
retour, mais pas un mot n'y fut dit de la
question des intéréts» qui sort évidemment
du cadre des préoccupations de ces deux
Chambres de commerce.
Voyez vous comme Le Peuple est hien au
courant
Nous ne discut«rons pas ici pour la centième
fois cette question des intérêD payés Depuis
le début de l'année 1923, La Région d'Ypres a
toujours soutenu et prouvé que ces intéréts
etaient dus, que l'Etat n'a<'ait pas le droit de
les réclamer en retour, que la loi n'a pas
d'effet rétroactif. II faudrait un volume pour
reproduire tou c<=> que La Région d'Ypres a dit
au sujet de cette question, tranchéa du reste
en notre faveur non seulement par la [ustice
Beige, mais méme par le Conseil d'Etat en
France oü la même question avait été agitée.
Touj^u's nous avons engagé nos sinistrés a ne
pas céder a cette prétention de l'Etat. Non,les
intéréts en question n'étaient pas indüment
payés et la question de restitution n'en aurait
jamais dü être posée. Ce qui n'empêche que
cette prétention del'Etat n'indisposat doulou-
reusement les milliers de nos petits sinistrés
qui s'en trouvaient menacés.
Et les intéréts dus aux cultivateurs et non
pavés Au courant des toutes premières an
nées d'après-guerre, nos cultivateurs pou-
vaient recevoir en nature du bét ai 1des in
struments aratoires, des engrais etc. a condi
tion de renoncer aux intéréts des indemnités
allouées par lugements. Mais c'était la un
marché librement débattu et accepté, n'y ad-
héraient que ceux qui voulaient hien. La Ré
gion d'Ypres n'a jamais cessé de critiquer cette
condition préalable imposée par l'Etat, mais
celle-ci pouvait plus ou moins se justifier.
Quoiqu'il en soit, comme il y a déja un bon
nombre d'arnées que ces rérupérations en
nature ont cpssé en fait, c'est la une question
aujourd'hui morte. hien morte, enterrée de
puis longtemps, et a laquelle plus personne ne
songe. C'est de l'histoire ancienne, archi-
oubliée.
II est done abso'ument erroné de dire que
l'Etat supprime aujourd'hui les intéréts des
créances rDs cultivateurs et fait des cadeaux
aux gros sinistrés. Non, cela n'est pas
La Rédaction.
Nous apprenons que mercredi dernier, une
délégation de l'Association libérale, accom-
pagnee par notre ancien député M. Max
Glorie, s'est rendue a Bruxelles, oü des
audiences lui éfaient réservées chez Mrs les
Ministres Vauthier, Janson er Lippens
Ces délégués leur ont parlé, entr'autres,
des revendications de nos populations au sujet
du retour de nos anciennes institutions d'avant
guerre qui dépendent des divers départements
dont ces ministres sont les chefs Musée
Merghelynck, Gare, Ecole de Bienfaisance
Institution Royale, etc. lis ont regu les ré'
ponses les plus encourageantes.
M. le Ministre Vauthier leur a fait part de
son intention de venir a Ypres un de ces
premiers jours se renseigner sur place.
Souhaitons que de pareilles dem j
multiplient, et nous ne pouvóns Cllesj
gerceux qui s'y dévouent. 11 n'en uqU e"c Uri
que du bien pour notre Région tro i résultf
néelieée. y on^^emn
Hier vendredi, au Conseil des Mini*!
est probable que de bonn. s décisions 'I
été prises en ce qui concerne nou» ;'U'°!
dissement. arrot
Met genoegen schreef het inrichtingsconó
den vijf en zestigsten deelmrm r m .'"tei
toonsteller in de openbare lokalen'
verstaan, want op weinige uitzondèrineJ
zijn de hindelaars o.k tentoonstellers 1
hunnen huize, en zij wedijvere re> 1S jn J
voorbereiden hunner uitstallingen.
Dat niem -nd nalate, de reklaam pjUkd
in zijne vr 'ien uit te hangen, tegen het Katt
feest van Zondag aanstaande
Het zal een blijk van solidariteit zijn onde
de Yperlingen immers het princiep de. ioc
is en blijft Voor Yp r. \lle politi.keei
taalkwestien zijn totaal uitgesloten ,)0
alle handelsconcurrentie van aard om ander
deelnemers te kwetsen in hun bedrijf
hunne faam.
De totale te verzekeren som stijgt r. edstc
nabij het millioen aan de tentoonstel^ si
de openbare lokalen wordt gevraagd ei
herinnerd, cuidelijk den prijs van mkooj
hunner voorwerpen aan te geven.
Men rekent, dat benevens de beroepschool
de ruim» lokalen der middelbare school 00
zullen gevuld zijn 't is zeggen welk beha
de deelnemers hechten in het vertoon n hun
ner koopwaren. Hoeveel bez >ekers er ver
wacht zijn is moeilijk om zeggen Twntij
duizend, als het weder gunstig is, misschiei
meer, misschien min In alle geval, zijn d
maatregels reeds genomen in 't vooruitzich
van zeer veel bezoekers.
Er wordt herinnerd Dat op Zondag
Maart, om 91/2 uur er vergadering is de
tentoonstellers in het Hotel De Sultan
om over te gaan tot het bezoek der lokalei
en de aanduiding der plaatsen.
Dat op Zaterdag 2 Maartom 7 1/2 uur
's avonds, in De Sultan de algemeene
maandelijksche vergadering plaats heeft, vat
al de leden der Handels en Nijverheids'
kamer, en dat d'heer Volksvertegenwoordigei
Doctor Brutsaert, aldaar een Conterentif
zal geven, over
HET ARBEIDERSVRAAGSTUK IN OE CONGO-KOLOME1
En eindelijk dat op Zondag LJ Maarton
5 1/2 uur in de feestzaal van «OudYper»
Statieplaats, M. Calembert, bestuurder vat
den propagandadienst van het vliegwezen,
een Conferentie zal geven over
De Vliegdiensten op Handelsgebied,
met als zeer boeiende film De luchtw
Brussel-Londen.
d<
Brief gezonden door de Handelskzmer van Yper
aan de Heeren Burgemeester en Schepenen der Md
Yper, den 25 Februari I929-
Mijnheeren,
Het bestuur der Handels- en Nijverheids
kamer heeft, bij het vernemen der maatrege
tot beperking der uren vau waterspijzinf>
besloten daartegen protest aan te teekenen-
Deze maatregel zal niet alleenlijk in c
huishoudens moeilijkheden veroorzaken, m*
ook en vooral aan de nijverheden die wa
bezigen. Dit besluit zal bovendien êeva.ar(jeJ
zijn voor de gevallen van brand, en ver e
zomer heeft de brand der fabriek_ Blom
bewezen hoe rampzalig een gemis aan p
sing kan wezen.
Deze beperking zal geene vermindering^
verbruik voor gevolg hebben, en het f
durft verhopen dat Ued. de gegrond ei
zijn protest zult willen in acht nemen e
noodlottige maatregels afschaffen.
Gelieft te aanveerden, Mijnheeren, e
zekering onzer goede gevoelens.
Ten gevolge van het streng w'?ggprekec
en bij gebrek aan dringend te dering
kwesties, wordt de maandelij^cne op
van de maand Maart verschot)
Zondag 14 April a. s.