SES HUIZEN,
MEUBELS, EN HERBERGGERIEF,
BÖOMVENDITIEN.
SCHOON EN GOED ZAAILAND,
qu'un langage prudent et modeste, mais il
ne saurait nous ètre défendu de pénétrer les
desseins de nos ennemis. Que veulent-ils?
Kous parions de ceux de Berlin, les seuls
qui comptent. Us veulen! que Ie monde
catholique fasse silence. Ilsontbesoin de ce
silence pour qu'aucune reprobation extérieu
re ne les gêne dans leur enireprtèe contre
l'Eglise. lis espércnt vemra bout desévèques
d'Allemagne el des resistances catboliques
que viennent d'accroitre les derniéres élec-
tions; ils l'espèrenl, et leurs illusions nous
paraissent grandes; inais l'apprébension du
gouvernement de Berlin, eest Ie reteniisse-
ment de ces lultes, c'est Pcncouragemcnt
donné aux fidéles qui se plaignentou sc dé-
fendent, c'est la protestation universelle de
la conscience catholique.
Les canons Krupp ne sont pas au servicedu
saint vieijlard du Vatican, mais i'Encyelique
du 21 Novembre a élécomme un bouletau
cceur de la politique prussienne. La parole
du Papeafail Ie tour du monde, portant
condamnation des mesures de violence el
d'oppression. Voilé une parole qu'il importe-
rail d'étouffer, paree que l'ame humaine lui
fait écho. A I'epoqne du voyage de Victor-
Emmanuel a Berlin,, on lui disail: Trouvez
done un moyen de fermer la bouche au
Pape, dont les discours importunent vous
et nous. Ce moyen n'a pas encore été
trouvé, puisque ie Pape parle encore; mais
si Ie Quirinal, méme pressé par la Prusse,
ne parvient pas a faire taire le Vatican, il ne
reste plus qu'une ressource: laisser s'éteindre
la parole du Pape sans que personne ne la
recueilleetque rien nelui réponde. Etcomme
la ppesse catholique est la plus relentissanle
sur la terre, si Ie gouvernement de Berlin
pouvait la rendre muelte, il avancerait beau-
coup Ie succes de son plan. Le jour oü le
silence se ferait au milieu de nous, I'oppres-
sion se Ironverait a I'aise. Ce silence, on ne
robtiendra pas. Lé lafigage cxcessif ne nous
plait pas; il n'esl pas it nos yeux une parure
de la vérité, mais la vérité a des droits qu'au-
cune puissance humaine ne lui arracbera
jamais: les plans contre elle ne réussirout
pas.
II y a uue odieuse injustice a l'heure oü
nous sommes, c'est de rendre des catholi-
liques responsables de nos périls. D'oü vien
nent ces périls? De l'unité italienne el de
Lunité allemande. Qui done les a faites? Est-ce
le Pape qui a fait ce que nous voyons en
Italië? Sont ce les catboliques? Neuf cents
évêques et des millions d'adresses catboli
ques onl condamné l'ceuvre révolutionnaire
des subalpins el ce sont les libéraux qui ont
pousséaces fatales entreprises, qui les onl
soutenues et les soutiennent encore. La poli
tique bonapartisle, qui a favorisé l'unité alle
mande, a-t-elle rencontré desauxiliaires dans
nos rangs? Jamais. Elle a eu pour amis, pour
champions persistants, tous les publicistes
a vec lesquels nous sommes en lutte chaque
jour.
Leur concours a servi a édifier lout ce qu>
nous menace, et parceque nous signalons le
mal, ils nous accusent de Pavoir fail. Nous
sommes coupables et mauvais patrioles si
nous parlons de nos dangers, mais nos ad-
versaires n'ont que des louanges a se dormer
a eux-mcmes après avoir prèté la main aux
desseins les plus funestes qui aienl été enfan-
tés contre la France. L'ignorance publique
leur vienl en aide: elle demeure leur princi
pal point d'appui.
Les catho iques aimcnt leur pays et n'au-
ront garde de rien compromettre; mais ils
ne descendront pas aux lacbclés du silence,
et les devoirs de la conscience et ceux du
patriotisme ne s'excluent point. Les catboli
ques portent un flambeau dont on a besoin
plus que jamais dans la unit profondeoü
nous sommes: iIs représenlent la seule force
qui aitsurvecu a d'aussi vasles écroulements:
celte force-la résislera a touies les bassesses
cl a loutes les tyrannies. poujoulat.
NOMINATIONS ECCLÉSIASTIQUES.
©li roil i f| ii c local o
SI LE PHOGRÈS OUBLIE,
LES POPULATIONS SE SOUVIENNENT.
Prodigieusemenl élonnant ce milicien du
Progrès'. Commenl, nous lui prouvons, a
coups répétés de lextes irréfutables, qu'en
malière de milice, il ignore la loi et les pro
phéte.;; que ce qu'il a osé écrirc pour les
clients de sa boutique, sur le prix du rem
placement adminislralif en 1874, sur Ie cau-
lionneiiient libéraloire, stir la composition
de la Comtriission provinciale d'examen des
remplacants, que lout, absoliiment tout esl
manifeslement erroné! II n'a garde, et pour
cause, de toucher a une seule de nos affir
mations; puis, après nous avoir qualifies,
uvec eclle exquise uibanile qui le curat; -
térise, de Gros-Jean, de Dazile (par un
Z?) on de Tarluffe (avec deux Finalgré
Molière), il monte superbeinent sur son
fumier, et de sa voix de coq enroué, se pro-
clame le grand-mailre de loutes les miliees
du royanme! II nous de/ic de Irouver duns
tout ce qui est sorti de sa plume, un seal
point depolémique sérieuse. (Textuel.)
Parbleu, nous ne Ie lui faisons pas dire au
moins, cl pour celte fois, Progrès, nous
voici d'accotd; oui, nous le recoimaissons
volontiers, rien de séricux en effel n'esl sor-
ti de voire plume, au sujet des modifications
introduites le 18 Septembre 1873. dans la
loi de milice. Causu dicta est: nous ponr-
rions briser la, si, coimaissant l'apölre, nous
ne le savions capable de triompher de noire
silence et de chanter vicloire.... dans le
royanme des aveugles.
Nous ne lui laisserons pas cette satisfac
tion: sans doule, et nous n'avonsja-
mais dit autre chose, les modifications
apporlées a la loi de 1870. par celle du 18
Septembre 1873. sont l'ceuvre du ministère
actuel et de la majorilé conservatrice. Et,
avec tons les adversaires des exagérations
militaires, rendons graces au Ciel et aux
électeurs, de ce qu'au lendemain des événe-
ments les plus formidables el les plus cala-
miteux peut-ètre de la période historique,
au lendemain de la crise la plus périlleuse
qu'ail traversée la patrie, lorsque l'insuffisan-
ce de la loi de 1870 eul été officiellement
constatée, après le tnémoiredu général Guil-
laume, en présenced'un entrainement mili
tarism, provoqné et encourage par tous vos
amis, il y ait eu a la Chambre el att'Sé-
nal une majorilé catholique, au pouvoir un
ministère catholique, qui ait su conserver
dans ses bases essentielles, la législalion an-
lérieure sur Ia milice. Ah! si vos amis, si M.
Frére Orban, si M. Pirmez, si M. le général
Benard eussenl été au pouvoir! Nos popula
lions se souviennent: elles savent que si les
modifications néccssitées par les événenionls,
au lieu d'élre contresignées par Messieurs
Thiebauld et Delcour, l'eussenl dü ètre par
Monsieur Pirmez et par le général Renard,
elles y eussent probablemenl trouvé le servi
ce personnel obligatoire, le principe a tout
le moins de la réserve de 30,000 hommes,
en germe déja dans la loi de 1870, farnie-
ment de tous les ciloyens! Et le Progrès
qui s'inquiéle anjourd'hui pour lespèresde
familie, d'un versement préalable au rem
placement de 200, fr. le Progrès eüt admiré
et eüt applaudi!
Le général Benard, Ie promoleur de la loi
du 3 Juin 1870, ineu'ibre, en 1807, de la
Commission inslituée par le Cabinet liberal,
a l'elïet de recbercher si l'organisation de
l'armée répondait aux nécessilésde la defen
se nationale et de proposer éventuellemenl
les réforrnes a opérer, fit dés la première
séance la déclaration su i van le: Quant a la
garde civique, il a ton jours été admis
qu'elle fournirait a l'armce, un concours
de 20 a 30,000 hommes, organises mili-
tanemenl.
Vous I'entondcz, organises militairemenl.
Le méme général, ministre de la guerre
en 1870, ajoutait: En demandant l'organi-
salion d'une force supplémentaire de
30,000 hommes pour la defense des for-
teresses, nous n'avons pas voulu préjuger
la grande question de l'inslitution de
l'ar mement national, ni limiter a 30,000
hommes la force civique du Pays.
Monsieur Pirmez, le ministre de l'intérieur
qui a contresigné la loi de 1870, et M. Orts,
vos amis sans doule, el non les nötres,
Messieurs Oris et Pirmez ont proposé, de
créer indépendamment de l'armée active et
de la garde civique, une réserve formée au
moyen de contingents annue/s; et la Com
mission de 1867, composée presqu'entiére-
rnent de libéraux, adopte le principe de la
réserve nationale pri.se dans le 1' ban de la
garde civique, el organisêe de manière a
consliluer une force militaire efficace.
Voila oü nous allions avec certitude, si
vos amis fussent reslés au pouvoir aprés la
guerre, au service personnel el obligatoire,-
a la réserve organisêe militairemenl, a l'ar-
menient général! Nous sommes loin de
vos 200 francs!
La majorilé actuelle, au contraire, qu'a-t-
elle fait de concert avec le Gouvernement?
D'abord ejle a fait table rase du service per
sonnel el obligatoire, et de la réserve de
30,000 hommes, préconisée par les doctri
naires: il n'en est plus question. Bien mal-
gré elle et pour obtenir ce contingent de
100.000 hommes jugé indispensable, et que
la loi de 1870 était impuissanle a donrier,
sous la pression des circonstances, elle a
consenli a l'unification du contingent, mais
cn revanche elle a exigé cl obtcnu, la sup
pression de presque tous les rappels, el sur-
lout de ces rappels de la 6C el de la 8° année,
si vexatoires, si désastreux pour les soldats
de l'infanterie; elle a exigé pour les miliciens
de toutes les années, un congé de 6 semai-
nes par année de service; elle a réduit le
service dans le train de 4 ans a 29 ntois; en
somme, d'après le calcul de la section cen
trale de 1873, si le contingent total sert 92o
mois de plus, soit moins de 2 1/2 jours de
plus par homme, il n*y aura plus désormais
que 7674 mois de rappel au lieu de 30,036;
et nolammenl les rappels de la 6" et de la
81' aunées sont supprimés.
Et nous ne serions pas admis a dire que la
loi de 1873 a en somme atlénué l'opttvre de
vos amis en 1870, que la majorilé catholi
que a mérité la reconnaissance de nos popti-
O' ms*y is*, ifit. t *fj|i H 11
lalions, pour avoir écarté ces rnimstres, te
service personnel, le réserve de 30.000
hommes, l'arniement général, qui ètaient a
l'horizon de la loi élaborée par le cabinet
doctrinaire! A voire tour, Progrèspoitr
quels hiais croyez-vous écrire?
Si vous servez des carottes a vos lecleurs,
c'est done pour varier leur menu; ces geus-ja
sont faliguésde manger du foin.
Nons recoinmandons au Conseil commu
nal d'Ypres le réglemenl suivant édicté par
le Conseil communal de Gaud:
Le Conseil communal,
Vu l'ari. 3. n° 1du litre XI de la loi dn
16-24 Aoüt 1790, l'article 46 du litre 11 do
la loi du 16 22 Juillet 1791 el l'article 78
de la loi coiniiidnalc du 30 Mars 1836;
Ar. héte)
Article lr. II est défendu d'uriner sur la
voie publique ail leurs que dans les pissoirs
qui s'y Irouvent élablis.
Art. 2. lï'est égalemenl défendu .de,
déposer toutes aulres ordures dans les rues
ou sur les trottoirs.
Ars. 3. Les cafeliers, cabaretiers et
dèbitantsde boissons sont lenns d'avoir cbez
cux el d'enlretenir dans un élal de propreté
des pissoirs a l'usage des personnes qui fré-
quentent leurs-■établisseinenis.
Art. 4. Toule contravention an présent
arrèlé, sera pume des peiues de simple po
lice.
Nous accueillons volontiers la communica
tion suivante:
Monsieur l'Editeur,
Je vous remercie d'avoir signalé 3 fatten
tion des amis' de l'arl religieus, la statue du
Sacré Cceur de Jésus due au cisean de M.
Gustave Loosbergh. C'est une oeuvre de mé
rite lanl sous le rapport eslhéiiqut' qu'au
point de vue du sentiment rehgieux. La
figure du Christ pleinc de noblesse et de dou
ceur respire la divine ntiséricorde. L'altitude
du Christ est en parfaite harmonie avec le
sujet. I/lie (lit aussi bien que la physiomomie:
Apprenez de moi que je suis dou.x et hum
ble de cceur. Voici le cceur qui a tanl
aimé les hommes.
Rarement pent-on féliciter un artiste d'a
voir eu a ce point l'inlelligence et le senti
ment de son sujet. C'est la certes uneslalue
que l'on peul recommander a toutes les per
sonnes ipii désireni propager le ciille du
Sacré Cceur. II serail desirable que ce type
fut plus répandu el se substituut a desrepré-
sentatious depouillées de toule grace el de
toute expression mystique.
Le piédestal de la statue est aussi une com
position trés-beu reuse et d'uue belle el gra-
cieuse originalité.
On nous écrit de Crombeke, 23 Janvier:
Hier, a eu lieu, en cetle commune, le
hapième du sepliéme fils du.S'' Liévin Deroo,
bonnóte ouvrier, qui jouil de restiuiegénè-
rale dans la commune.
Sa Mnjesté Léopold II, ayant consenti a
ètre le parrain de cel enfant, s'esl fait repré
senler. a la cérémonie du baplème par M.
Floor, Bourgmeslre de cctte coinuimne. Sa
Majesté, voulant, a cette occasion, donnor
une marque de sa bienveillance a la familie
Deroo, lui a accordé une gratification de
cent cinquante francs.
M",c Floor a été marraine de eet mfant,
qui a recu les prénoms de Léopold-Awgusle-
Jubeo Marie.
A 4 heures de relevée, les autorité de la
commune se Sont renduesde la Maison com
munale a la 'modeste demeure du S' Deroo.
pour conduire eet hcureox pére a Icgbse,
accompagüè de ses 7 enfants.
A I'occasii-vn ^cer-événement extraordi
naire, lout Ie village èiait en fète; a diaque
maison flottait un drapeau tricolore^ les;
cloches n-pnt .ftcssé de sonngr jusqu a Buit
beures du soir. el. pour que rien.or man-
quat a la fète. oh nvait brillainment ilhminé
la Maison communale.
C'est Ie 22 qu'expirait le délai accordé
aux miliciens de la levéede 1874 pour opé
rer, dans la caissedu receveur de l'oiregis-
trement de leur ressort, le versemeni pres-
cril de la somme de 200 francs, a fdfel de
conserver la faculté de pouvoir se faire rem-
placer.
Toulefois, le milicien designé pour le ser
vice cl qui, bien que n'ayanl pas cffeclué ce
versement, vondrait se faire remplacer,
pourra encore Ie faire, mais seulement aprés
son incorporation et en vertil d'une autori-
sation a réclamer du département de la
guerre.
Quant aux miliciens ajournés des trois
précédentes levées, ils ont, sous le benefice
de l'arrèté royal du 20 courant, a opter,
s'ils ont acramdre d'élre désignés pour {'in
corporation, entre le sys téme de remplacer
ment imposé aux milici ens de 1874 ou le
mode qu'avail établi la lo i du 30 Juin 1870,
c'esl-a-dire que ces ajournés peuvent a loisi-
opcrer le versement de 200 fr., comme il
est dit ci-dessus, ou, s'ils ne se font pas rem
placer directcment. verser dans la eaissc du
receveur de ll enregistrenaenl, et il n'y a pas
de délai fixé pour ce dernier versement, la
somme de 806 francs, afin d'obienir un reui-
placani paries soins du département de la
guerre, et si ce département ne peul pour-
voir a leur nemplacemeiat, ils aurqni, après
l'mformation qui leur en sera donnée, a
chercher eux ii.èines des hommes pour
prendre leur place sous les drapeaux.
Les 800 francs ainsi versés viennent en
déduction du prix du remplacement, fixé a
1,600 francs.
La nouvelle loi sur la milice du 18 Sep
tembre 1873a supprirné le contingent de
réserve. Ce contingent, qui était de 1,000
hommes, sera ajoulé au contingent de I'ac-
livité; par suite, Ie cont ingent général a
fournir pour I» levée de 1S74 sera de 12,000
hommes pour la Belgiqtie.
Cetle augmentation de miliciens appelés
sous les armos pour le serviceaetif a néces-
silé la creation de deux regiments d'infante-
rie de plus. 'Ces nouveaux regiments seront
désignés sousle iioin de 1 3e el de 14c régi
ment de ligne.
L'école de cavalerie élablie a Ypres, et
qui est eompjsée dedeux escadrons, sera
fondue avec les 3U el 6° esscadions des gui
des. Les Jeu-x regiments des guides seront
formés chacuo de 4 escadrons. Le premier
régiment tiendra garnisori a Bruxelles; deux
escadrons, soil une division du 2° régiment
des guides, liendronl garnison a Malines, et
les deux aulres escadrotas, on la division
restante, seront en garnisou) a Ypres.
FA ITS DIVERS.
V E 13 M €1 Cl I
in ëéne ZitBing
BK NES' YJ>ltE.
1° Een HUIS, met grootc erve, aan
de noordzijde der Boterstraat, N° 76,
en koetspoort in de Btel nikst raat;
Bewoond ti r Mn,c wed uwe Gorisscn-
CtönclcëmtiÊii' en andere.
2" Een IRIS en erve, Nr 78, daar
nevens; bewoond door- Jufv. Rosalie
Vermeulen.
3° Een HUIS en ervr;, Nr 80, daar-
rian Ikov ond door sicur Dclbacre.
IBeluikstraaxt.
4° Een HUIS cn erve?, aan de oost
zijde dcrBelaikstraat, i\°2; Thans
ledig.
5" Een aittier IlüIS era erve daarne
vens, N" 4; - Bewoond door M' Jus-
ment.
6° Een HUIS cn erve; aan do zuid
zijde der Loinbaardstr»at, N°27;
Bewoond deer Catherime Plalcvoct.
Nota. De voorschreven huizen kun
nen gezien worden den Maandag en
Dinsdag van ieder week, van 2 tot 5
uren namiddag.
ZITTING.
Deze verkooping zal geschieden
MAANDAG 23 FEBRUARI 1874, oni 2
uren namiddag, ter estaminet Ant
werpen binnen Ypre, door het ambt
van den Notaris VA.1DEnfifl£EnscH, te
Ypre residerende.
Kantoor van den
XOTAKIfc VA V KECKE,
te Yperen.
Op DYNSDAG"3" FEBRUARY 1874,
om 11 uren voormiddag.
Extra groutc venditie
boven de 200 konpen langstammme
en zware
POPULIEREN BOOMEN,
langs den westbarm der vaert van
Yperen op Boesinghe, dit ten ver
zoeke der Bestendige Deputatie der
provintie Westvlaenderen.
Op DYNSDAG 10"' DITO, om twee
uren namiddag, ter herberg den
Desmyttere, te Zillebeke,
vvtieüisie van
circa 4 hectaren extra schoone
TA.ILLIE,
wassende in het bosch by den ver
branden molen genaemd de 4 lvnen
te IJollebeke.
Verdeeld in 13 loten.
Door verandering van bedryf.
Op DONDERDAG 12 DITO, om 10
uren voormiddag, fix te beginnen.
Openbare Venditie
alsook Akker en Landsallaem, ver-
selieide Wagens van breed en smal
beslag, Harnasseuringe, Beerden en
andere dingen, al by plakbrieven
breeder aengednid, ter herberg be
woond door Jan Delcersnyder, te
Moorslede, in de Breulstraet.
DONDERDAG, 5 FEBRUARI 1874,
om 1 ure namiddag, op d'hofstede
gebruikt door sieur Désiké Segers, te
Wytschaete bij den Diepcndaal, langs
den steenweg naer Meessen,
50 koopen
B O OMEN,
waaronder zeer schoone cn zware
Iepen van 1 M. 70 tot 2 M. 20 C. dik
en 2 schoone Popelieren.
VRIJDAG, 6 FEBRUArT1874, om
1 ure namiddag, in den bosch, ge
naamd Roggestukken, te Zonnebeke,
bij de Polijgone, cn weinig oost van
de Wipzaal,
50 koopen
heukenboomen.
MAANDAG. FEBRUARI 1874, om
12 uren middag, in eenen bosch te
Zonnebeke, weinigziiid van de Broods
einde en west bij den steenweg naar
Becelare,
78 koopen
schoone Eiken, Beuken en andere
BOOMEN.
En den DONDERDAG, 12 FEBRUA
RI 1874, om 10 uren voormiddag,
in de Gavre Bosschen, te Zantvoorde
en llouthem, bij de hofstede gebruikt
door sieur Louis Devos, niet verre
van de plaats van Zandvoorde,
150 koopen
zeer schoone en zware Eiken,
Iepen en [heelen BOOMEN,
waaronder veel van 2 tot 3 meters
omtrek,
en eenige koopen
Plantsoenen en Taillie.
Al op gewoone voorwaarden en
door t ambt van de Notaris VANDER"
rnEERSGH, t,e Ypre.
KANTOOR
vdtaisn cipelle,
TE WATOU.
A- Op VRIJDAG 13 FEBRUARI
18/4, om 3 ure na middag, te Rous-
brugge-IIaringheter herberg be;
woond door den co-licitant Bené
Ruyssen.
ien overstaan en bijwezen van den
bevoegden beer Vrederechter,
Openbare IJ.citatie - Verkooping
EN DEEL BOSCH,
gelegen te Rousbrugge-IIaringhe,
aldaar bekend per kadaster sectie A»
Mgr l'Evéqtie de Bruges a nomine:
Curé a Uusleamp, Al. Bossuert, curé a Gysel-
breclileglieni;
Curé ii Gysellirecliteghem, M. Verliaeghe, vicai-
re a Mer'clicin;
Directeur des Sceurs de Cliarilé a St-Genois, M.
De Greudele, vieaire a iclile, en remplacement de
M. Van Nesle, qui a dunne sa déinission;
Vieaire de Sle Amie, a Bruges, M. Buedls, vi
eaire j Beernliein,
Vieaire a Beeruliem, M. Van Neste, coadjuteur
a Ooslcamp;
Vieaire a Viclite, M. De Poorter, prêlre au
Séniinaire;
V'icaiie a Merckem, M. Simoens, vieaire a Dra-
noutre, oil il esl renqilucé pur M. J. Vermeulen,
prêlre au Séniinaire.
On a vu kier qu'un des imtuveuux curés asser-
menlés de Genève va snivrn I'iexeniple do son chef,
MLoyson; il |nend femme, Les prètres aposiats
réformateurs rit peuvent s'eniipêcher d'eu venir la,
el ce dernier acic de la miserable comédic de leur
révolle conlre l'Eglise en dit Koujours plus long que
tous les raisoDiwineiils sur Ie vrai sens de celte
révolle
Empoisomement des pickles. L'usage des
conserves aiiglnwt-s qu'on rdésigne généralement
sous le nom dv/pickles s'es-t très-vulgarisé pen
dant ces deinières années. Aussi leur consummation
pour la seule viille de Bruxelles a pris des propor
tions énormes üiparlanl leur preparation et leur
vente ont fan nailre des concurrences nomlueuses.
Mais certains tit ces fabricamls, afin tie pouvoir
v end re niéilllew tnarulié que leurs concurrents,
avaient recours artes moyens dwni les conséquerices
out dü ètre fatales pour bien des personnes. Eri effel,
a la suite de ptaimes parvenues a ('administration
communale, au sujet des conserves fabriquées a
Bruxelles, lune mjiertise a été curdoni.ée, a la suite
de laquelle cn a saisi, il y a pet» de jours, 1,000 kil.
de conserves au domicile d'un fabricant. I'expertise
ayaril démoiitré que ces conserves coritenaient des
substances Hesiplus nuisibles a ia santé des con-
sommateurs.
D'après ce qu'on mande d e Dinanl, la popula
tion de cette villccraint rteffond rement de la flèche
de l'église principale, qui a une grande élévation.
S'il faut en croire le bruit putilic, une déviation
de plus d'un mèlie aurait été constatée dans l'axe
de l'aiguille Legouvernement se serail ému a son
tour d'one situation qui pourrait ramener une ter
rible catastrophe
Un bien joli mot prèté a Mgr Mermillod
n Genève, aurait dit i'illustra exilé, est le lieu de
refuge de tons les princes en dis-§ronibilité et de tous
les gueux en aütvvité.
van
BoTEItSTRAAiT.
liflMBA A It DSTRfN AT.
van
VERBRANDEN MOLEN, bCWOOIld dOOt' SiCUI'
1111111 'IÜL.Hjijmiiii iiiiimi.il—
van den
van dl ie perceelen