grande liquidation
ABGHAlllSii
AU BON IARCHÉ.
B0UBR03 BI 6BY0T
ZES HUIZEN,
HATEZ VOUS!
ZAEILANDEN,
IIUE DE DIXMUDE,33, A YPliES.
MEUBELS,EK HERBERGGERIEF,
SCHOON EN GOED ZAAILAND,
AD. VANDEPUTTE, FILS,
CH0C0LATS-11ELACRE
LE CAP1TAL1STE.
LAND,
VENDiTIE
REPRÉSENTANTS
P"
BURGERSTAND VAN YPEREN,
Y JE SS 14 B" 0 5 Ci
in ééne Zitting
BINNEN YPRE.
Boterstraat.
1° Een HUIS, met grootc erve, aan
de noordzijde der Boterstraat, N° 76,
en koetspoort in de Beluikstraat;
Bewoond door Mn,c weduwe Gorissen-
Clinckemaillw en andere.
2' Een HUIS en erve, Nr 78, daar
nevens; bewoond door Jufv. Rosalie
Vermeulen.
3° Een HUIS en erve,|Nr 80, daar
aan Bewoond door sieur Delbaere.
Beluikstraat,
4° Een HUIS en erve, aan de oost
zijde der Beluikstraat, N°2; Thans
ledig.
5° Een ander HUIS en erve daarne
vens, N° 4; Bewoond door M' Jus-
ment.
Lombaardstraat.
6° Een HUIS en erve, aan de zuid
zijde der Lombaardstraat, Nn 27;
Bewoond door Catherine Platevoct.
Nota. De voorschreven huizen kun
nen gezien worden den Maandag en
Dinsdag van ieder week, van 2 tot 5
uren namiddag.
ZITTING.
Deze verkooping zal geschieden,
MAANDAG 23 FEBBUABl 1874, om 2
uren namiddag, ter estaminet Ant
werpen binnen Ypre, door het ambt
van den Notaris VANDERMEERSCH, te
Ypre residerende.
A COMMENCER d'aUJOURD'hüI
POUR CAUSE D ASSOCIATION
Kantoor van den
YOTAE8BS VAN EECSiE,
te Yperen.
Door verandering van bedrijf.
DONDERDAG 12 FEBRUARI 1874,
om 10 uren voormiddag, fix te be
ginnen.
Openbare vendilie
alsook Akker en Landsallaem, ver-
scheide Wagens van breed en smal
Harnassenringe, Peerden en
dingen, al by plakbrieven
beslag,
andere
breeder
woond
acngeduid, ter herberg be
door Jan Deleer snijder, te
Moorslede, in de Brculstraet,
"DONDERDAG. 12 FEBBUABl 1874,"
om 10 uren voormiddag,
in de Gavrc Bosscben, te Zariien'Örde
en lloutliern, bij de hofstede gebruikt
dooi' sieur Louis Dkyos, niet verre
van de plaats van Zandvoorde,
150 k'Popen
zeer schoone en zware Eiken,
Iepen en A heel en BOOM EN
waaronder veel van 2 tot 3 meters
omtrek,
en ecnige koopen
Plantsoenen én Ta ill ie.
Op gewoone voorwaarden en door
't ambt van de Notaris VANDER-
MEERSCH, te Ypre.
KANTOOR
NOTAIS B €'Y B»KlilxE,
TE WATOU.
A. Op VRIJDAG 13 FEBRUARI
1874, om 3 ure na middag, te Rous-
brugge-Ilaringhefër herberg be
woond door den co licitant Bené
Ruvssen.
Ten overstaan en bijwezen van den
bevoegden heer Vrederechter,
Openbare IJcitatie- Verkooping
EN DEEL BOSCH,
-gelegen te 'Rousbrugge-Haringhe,
aldaar bekend per kadaster sectie A,
nummers 316, 317 en 387, op eene
grootte van 2 hectaren 50 aren 30
centiaren.
Thans gebruikt door dc weduwe
Seraphin Dejonghe.
B. Op DINSDAG 24 FEBRUARI
1874, om 3 uren namiddag, ter her
berg den Engel bewoond door
de wed. Catternach, te Proven-plaats,
Openbare licitatië verkooping
van een behuisd, bebouwden beplant
HOFSTEDEKEN,
gelegen te Proven, langs de Benin-
ghedreve, in eenen blok, inhoudende
onder grond van gebouwen, hove
nierhof, boomgaard, gras en zaai
land, 2 hectaren 22 aren 58 centia
ren, bekend bij kadaster sectie C, N°"
218, 219, 220, 221, 222 en 223.
Thans gebruikt door
rechtigden sieur Carolus-Henricus
Davrou, met, recht,'Van pacht tot 1
Oktober 1877 mits 310 fr. 's jaars
boven de lasten.
Al door bet ambt van den Notaris
CAB-EEILE, te Watou.
den medege-
OPENBARE VERKOOPING
in eene Zitting,
MaeiitSas «3 Fclunari IWl,
om 1 ure fix namiddag, ter afspan
ning bet hotel la Ville de Dixmude,
Statie plaats te Dixmude, van 56 hec
taren 09 aren 17 centiaren
onder bebouwde Gronden, Hofsteden,
Zaai- en llovenierjanden, Garzing en
Boomgaarden, al gelegen binnen de
gemeente Vladsloo, in den kring der
Dorpplaats en dc Kprtewilde.
Door de ambtsverrichting van dc
Notarissen STEVERLYNCK, te Dixmude
en VAN ELSLANDE, te Brugge.
WrStScH,
MEERSCHEN EN B0SSCHEN,
OP PASSCHENDAELE,
De Notarissen CHRISTIAEN te Pas-
schendaelc en SABY, te Audenaerde,
zullen openbaer te koop veilen, te
Passchcndacle in bet Dorp, bv Instel
op 25 FEBRUARY 1874, ter herberg
van S' Pollefeyt en Overslag op 11
MAERT daerna, ter herberg van Sr
Dutiioy, t'elkens ten 2 ]/2 ure namid
dag,
H. 16-30-26 ZAEILANDEN, WEIDEN,
iMEERSCHEN en BOSSCHEN, verdeeld
in 25 koopen, gelegen op Passchen-
daele, weinig oost van het Dorp, ge
bruikt tot 1" October 1874 door ver-
scbeidc, mits te zamen IV. 1,570, by
de jare boven de lasten.
Dc voorwaerden by de gezeide
Notarissen.
Iiistelpenningen te winnen.
Schoone en cjroote
in 'J, EstiBscia wass IloiatiasalsJ^
mtiiiSrr
ten verzoekt1 van Mevrouw
de Drc' Cassieks,
door r DEPROOTE, Grcffiicr
te Dixmude.
Op 18 FEBRUARI 1874,
De vergadering ter herberg van
Désiré Abeele.
K Betaalbaar binnen de zes maanden.
's Morgens zal er zitting gehouden
worden tor herberg van P.Meersman,
bij liet kasteel, voor de betaling der
voorgaande verkoopingen.
Alles breeder gemeld bij plak
brieven.
Pour cause d'agrandissemenl.
A. YKSIMK
UNE MACHINE J WELLE
(ït,
UNE MACHINE
On pourra Ics voir en activitéjus-
qu'au mois d'Avril 1874.
S'adresserchez M",Lveuve IYJ Q E R EV! A FJ -
C0PPENS, Avelghem.
FABRIQUE EN NÉG0CE DE FÜÏA5LLES
BMrassr-urs. SSixtilSaJesars,
MisilSiers. etc..
Rue diAubenton, 92,
15 0: S3 A IX.
CÉLÉRITÉ et MODIGITÉ de PRIX.
P. S. Pour renseignements, s'a-
dresser tons les Lundis a Courtrai,
au Café Bfj.ge, de 5 a 8 11. du soir.
sédentaires demandós pour la Vente
des Vins de Propriétaires, a la Clien
tèle bourgeoise. Ecr. fcC a MM. A.
BICHON et Ce, 11, rue Ste-Eugénie,
Bordeaux.
LLEURIDON- VERBRUGGE
louacjcur des voitures,
Hotel du BrassenrYpres.
PIANOS NEUI-S ET DE RENCONTRE
PiE IX,
ses épreuvesses gloires,
Queiques dclaillants vendent sous-
mon nom des cliocolats qui ne portent
meme pas l'adresse de l'usine d'oü ils
sortent. Si ces cliocolats étaient bons,
leur auteur s'empresserait d'en reven-
diquer le mérite; mais comme chacun
n'aime assumer que la responsabilité
de ses propres produits, je prie les con-
sommateurs de ne pas oublier que les
soul renfermés dans une enveloppe sur
laquelle est repre'sente' un Cacaoyer
colorié et que cetle enveloppe porta
toujour* la signature ci-dessous
1 ÜMasiticiaciifMieii 5 fr.
EN INJECTIONS. -1 ine partie de liqueur el quatre d eau (efficacitd tont» appelate.j
Le Goudron de Guyot a été expérimenté avec un véritable succès dans
les principaux höpitaux de France, (le Belgique et il'Espugne. 11 a été reconnu
que, par les temps cliauds, il constilue la boisson la plus liygiénigue, et surtout
pendant les temps d' épidémie. Une instruction accompagne chaque flacon.
Prix du flacon 2 francs
Depót dans Ia plupart des pharmacies.
Quel élail ce train? Dans son trouble, Mallet ne
put se Ie rappoler. Venail-il de Paris ou de Keims?
Allait il passer sur la voie en travers de inquelle le
braconriier était couclié
Et le bruit allait se rapprocbant.... el le train
a rrivail!
Francois Mallet fit tin dernier effort pour se sou-
lever, il retomba épuisé. II ferma les yeux
Le train passa a loule vapeura cóté de lui.... il
élail sauvé
Alois il s'évanouit.
Et voila ce qu'il a raconté lorsque, deux Ireures
plus lard les employés l'onl trouvé sur la voie.
Terrible perspective. Voici un fail dont le
héros est aiguillcnr de la Compagnie du Nurd et se
nomme Joseph Huzanl.
Hier m il ina six lieures et dcniie, comme il se
préparaii a aiguiller le train do unit, il apercul sa
petite fille qui jouail sur les rails a cinquanie metres
en avant de I'aiguille.
On enU'ndait déja le grondement du train:
Reviens vile! cria I'aiguilletir d'uno yoix
étranglée.
Mais la petite fille se mil a sautcr joyeusomcnt
en ri lant a -on père
Tu lie m'allrapeias pas! tu ne m'atlraperas
Üu quart de minute el le train arrivail On voyait
déja ses.deux lanter nes returns piquant le brouilhird
S.'ntguilleur lerrna les yeux line setoinle Dans
cetle seconde terrible one idee iraversa son ceiveau
afiolé: lie pas aiguiller le train, et Ie laisser filer sur
la luénie voie. Uil accident épouvanlable s'en-
Suivrail, mais rimpriuleiile enfant serail sauvée...
]l rejela aiiss'itöt ceiie idéé avec liorteur.
Couclie toi! cria l-il ii sa fiiie d'tuie voix défail-
lante.
El il aiguilla juste a temps le. train, qui passa
avec un fracas de tonnerre Puis il tomba évanoui.
Quand il revicnt a lui, sa petite fille élail u cóté
dc lui Eile s'élail coucliée entre les rails, compre-
liant le danger! el le, train tout entier avail passé
sur elle sans la tilesser.
La Compagnie va recompense!- l'aigiiilleur.
Pcripéties d'un sauvetage..Dimanclie.vers
oii7.e lieures du soir, le cri sinislre: au feu! mil en
émoi fc voisinage de la Place du Hhin a Anvcrs.
L'esiaminet le Perroquet, tenu par le. sieur Merlons
étail en flamnies, et le feu se propageait avec une
telle rapidilé qu'a l'arrivée des pompiers les deux
étages du bailment étaient lotalement cmbrasés.
Les pompiers et la foule accourue l ra va i I laient a
qui inieux mieux pour niailiiser cel incendle si in
tense.
Tout a coup un cri strident dc désospoir relentit,
et I on vit un liomme a figure bouleversée, el en
pr'oie a la plus vice agitation, fendre la foule el
courir comme un insensé vers la niaison en feu.
C'était le uoiiimé Simal, localaire du second étage,
dont le petit enfant, agé de cinqanseldenii.se
t ouvait abandonné dans rappartemenl embrasé...
On empéclia ce pauvre père de se jeter dans les
fl immes et l'on songea a l'instant sauver la petite
créaiure.
MCornet, commandani des pompiers, fit immé-
diakunent '-dresser une écludle de sauvetage cantre
Cl la facade. A peine l'échefje fut eile posée d.'aplomb
et avant tnèms que les pompiers eussenl le temps
d'y monter, un garcon d'une quinzainc d'années
dunt rtous regrellons dc ne pas savoir le nom mais
qu'on nous dit demeurer dans l'impasse des Capu-
ciiis l'escalada avec l-'agilité d'un clial el fut en
deux bouds devant la fenèire de rappartemenl qu'il
essaya d'enfoncer a coups de pied et de poing.
Mais ses forces Ie traliissaieril et puis la flamme el
la fuihée finissaiit de f'aveugler el de l'étoufi'er, le
courageux garcon uül ropfior et redescendre saus
s u ccès
La foule était anxiéuse.
Mais un pompier, le nommé Keuslcrs, suivi de
prés de VI. Cornel, monta ii son tour l'éclielle, attei-
guit la fenéire, l'enfoitca d'un vigoureux coup d'é-
paule el disparui, au milieu des llanimes, sdan
rappartemenl.
Quelquos minutes se pas.-èrent. Un silence de
mort régnait dans la foule. Tout a coup un hurrah
de joie s'écliappa de toutes les poitrines: le brave
pompier réappurul au rebord de la fenétre avec le
petit enfant dans ses bras...
jl descendii avec son précieux fardeau au milieu
des acclamations de la foule el remit l'enfant enlre
les mains du docteur Stradling. Le petit garcon n'ó-
lait qu'évanoui et n'avait pas encore retpi de brülu-
res. Aprés queiques soins empressés il reprit con-
naissance el se pendit au cou de sou père qui
plè'urait de boiiheur.
Quant au brave et courageux pompier Keusters
qui souffrait légèrement des atleinles de la flamme,
on l'a reconduil a la caserne ou queiques jours de
repos le létabliront complément. Sa conduite, ainsi
que celle de son excellent chef, mérite les plus
grands é'loges.
Vers deux heures du matin oil était maitre du feu.
Un jour, un propriélaire monte chez un de ses
locataires, pauvre dia ble de graveur, qui 11 avail pas
payé son dernier terme.
Voyons, dit ie localaire, donnez-moi un peu de
temps... J'ai trouvé le moyen do vous payer bientót.
Rali! répond incrédulement le propriélaiie. El com
ment Qa!
Alors, le graveur, tirant myslérieusenient un bil
let de cent francs d'un liroir:
Tenez, dit-il, voila nion dernier travail.
C'esl vous qui avez luit cela?
Mais oui.
Vous même? pas la Banque de France?
Mais non, c'esl pnrfaitement moi.
V'ouJez-vous me le confier une demi heure?
Le propriélaire sort avec le billet et court a la
Banque. La, on lui aflirme qu'd est bon, on le lui
répèle a plusieurs reprises, et on finit par le lui
changer.
Ivresse de M. Vautour. qui entrevoit déja toulun
horizon de millions. II revie.nl tout courant clicz son
localaire
Ah! mon ami! crie-t-il, haletant... quel ta
lent!. Mais pourquoi ne failes-vous pas des billets
de mille francs.
Dame!... e'est que je n'en ai jamais vu...
Qu'a cela ne lienne... En voici un. Copiez-le
et je reviendrai dans buit jours... Nous parlagcions!
fluit jours après, en effet, le propriélaire repnrail.
El le billet! demande t-ii anxieiisement
Voire billet? je l'ai dépensé avec diverses per
sonnels, vieille canaille! répondit niajéstueuseinent
l'artiste.
Dépensé!... Mais...
I'as de bruit, ou je dis tont!
El le graveur expliqoa a son propriélaire qu'il
l'avait óutrageusemoip mis déilan-s el que le billet
de cent francs était parfaitement bon. II termine en
l'engageanl a lourner les talons d'one facon accé'é-
rce. Ainsi fii le propriélaire, qui ne s'est jamais
vamé d'avoir perdu ncuf cents francs en celle liisie
occasion.
Un singulier Mariaye. II vienl d'etre cé
léljré ii Constantinople un manage contiacté dans de
singulières condilions; le marié est veuf de six
femtnes, 'et il a dix-neuf enfanls. La niariée est
veuve aussi, elle, de cinq maris, et a douze enfanls.
Les époux soul agés, l'un et l'autre, de cinquanie-
liuil ans, el se trouvent a la téte de liente-et-uti
enfants.
van den 30 January lot den 0 February 1874.
UE1I0011TEN.
Munnelyk geslacht 2. Vrouwelyk geslacht 3.
IIUWEI.YKEN.
Henricus Vandowynckel, bakker en Euplirasie
Maniedienstmeid
STERFGEVALLEN.
Verhaeglip. Beriinus, 49 jaren, daglooner, echt
genoot van Blondina Qoinleyn, Meenenstrael
Dei uier, Maria. 74 jaren, zonder beroep, weduwe
van Ludovietis Verkouter, Meenenstrael. Eave-
relle l'hilomena. 34jaren, hovenierster,eebtgenoote
van Tlieodorus Saelens, St. Nicohius nevens Yper.
L ijeeuwe, Anna, 76 jaren, zonder beroep, we
duwe van Petrus Vercamer, St Jans liospitael-
straet Podevyn, Henricus, 49 jaren, koopman,
ongehuwd, Geyaugnisslraet. Boutens, Paulina,
62 jaren, zonder beroep weduwe van Ludovicus
Latuur, Kecolleliepoort. Koose, Carolus, 66 jaren,
kanlonicr, echtgenoot van Juliana Vanbecelaere.
St. Jacobs nevens Yper. Vieren, Stepliania, 27
jaren, kantwerkster, ongehuwd, Paradysstrael.
Kinderen beneden de 7 jaren.
Munnelyk geslacht 1. Vrouwelyk geslacht 1.
van
DE
van dun
van di ie percèelen
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ÓPENDAER TE KOOPEN.
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1000 Eiken SNOEKBUSSUI1EN.
4000 STOP en IIAGEPIIRSSEN.
100 koopen SPaBHESNOEI, op dc
rekken.
de la force de 16 clluvuux,
de la force de 8 clievaux.
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avantages de l'eau de goudron ordinaire,
sans en avoir les inconvénienls. II sut'fit d'en
verser une cuillerée a culé dans un verre
d'eau pour obtenir a ('instant un verre
d'excellente eau de goudron sans goüt
désagréable. Chacun peut ainsi preparer soi-
même son eau de goudron au moment du
besoin, ce qui offre économie de temps, fa-
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désagréable du goudron.
Le fcoutlron <lc <;uyot remplace avec
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ineytes, dans les cas de rbuines, bronchifes,
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