(5* WOONSÏÏiS AD. VANDEPUTTE. FILS, EENE BIERBROUWERY, CHOCOLATS-DEL A CUE LA G0ÖTTE LES RHUJATISIES EB Avis aux Cnlfivaleurs. EN ERVE, AVIS AU COMMERCE. DRAINAGE BUIZEN JI Dés Ie lendemain, Ie lieutenant ét a i t mandé| devant Ie pére, qui sans lui laisser Ie temps d'ouvrir la bouclie, lui dit: Je saisce qui vous fail croire impossible de devenir mon gendre. Malgré la difference de position sociale, je ferai disparaitre ['obstacle. Je ne vous connaissais pas, mais l'amour de mon enfant est votre meilleure garantie a mes yeux. Au lieu de l'explosion de reconnais sance que Ie père altendait, il recut a peu prés la réponse suivante:Je vous remercie de voire excessive bonté; mais celte union est impossible. J'apparliens a tine ancienne familie caiholique. Jesie puis ameimr a son foyer la fille de celui qu'elle considère, que je suis forcé de considérer moi mème,.com- ine Pennend mortel de PEglise. L'oflicier pril tristemerit congé, laissant dans la consternation Ie père, qui s'attendait a toute autre chöse qu'a pareilie réponse. il fit appel er sa fille, lui annonca que I'dflicier avail formellement refuse sa main, et re.xfiorta a l'oublier. La jeune personae palil. il a irop cl Ironueur, dit-elle, pour reiner sa foi. Je u'exigerai pas cc sacrifice, el s'il Ie désirp, c'est moi, qui plus faiblé dans ma foi accept-ér ai sa croyance pour ri n 1 re le manage possible. Le pére vit sa fille devenir dé plus en plus inconsolablelui-mème tut saisi d une terrible excitation nerveuse, qui ne resta pas saus suites. Les choses cn sont la; comment clles fimront, personne ne le peut prévoir. au moyen-age. C'est la splendide demeure d'un avocal qui, il v a trente ans, besognait au tribunal d'Arlon. Cet avocnt. qui se nom ine M. Victor Tesch, a trouvé des écus sur tous les chemins qu'il a suivis et roule au- jourd'hui sur quinze on seize millions. Loin de nous de jalouser le bonheur de M. Victor Tesch et de lui adresscr des repro- ches a I'occasion de son chateau: nous trou- vons que1 la cage est digne de Toiseau. Seulemenl nötis demanderons au Progrès ou les paiivr.es et les afiligés s'adresscnl pour obtenir un morceau de pain et une consola tion. Est-ce nu convent d'Arlon ou au chateau de Messancy? Nous attendons la réponse. C Is a* na sa 1 2r. altt* Le Progrès emprunte au Journal de 'Liége ie bijou que voici: Histoire ancienne, ionjours nouvelle. II v a quelqvies annèes, trois jésnites s instal- ïaient a Arlon dans une miserable bicoque; pen de temps aprés .ils balissajenl la un superbe palais, qui doit, valoir avec les terres qm l'enioureiit. quclque chose cotn- me trois a quatre cent mille francs. lis étaient trois; ils sont aujmirdTmi de soixante-dix a qiiaire vingls. Et leur mai- son de ville ne leur suffit plus. lis viennent, en effet, d'acheter une partie de l'emplace- cement et des ruines de l'aneien convent de Clairfontaine, a une licue du chef-lieu de la province de Luxembourg. Bientöt on veria l'antique monastère, dévasté pat le souffle de la grande revolution, se relever de ses ruines, de meme que Ie chiendenl, r> arraché cliaque annè'e et brulé au priti- temps, repousse et étouife les planteS utiles qui se trouvent a sa portee. Un terrible accident vienl de plongerdans le detiil une honorable familie de Wervicq. M. Blieck-Vuylsleke, négociant marché du Vendredi, est tombé d'une fenêlre dn 3me étage dans la cour et s'esl brisé le crane. Un prêl.re appeléen toute bale a pu administrer 1 Eirême-Onction au malheureux qui, bien töt aprés, rendit le dernier soupir. Qu'on juge de la douleur de ses enfants! Et puis aprés? demande la Voix du Lux embourg. Pm-mi ces trois jésnites qui étaient venns s'installer a Arlon, répond olIe, se trouvait le B. P. de Gerlache. Au lieu de s'adomier aux plaisirs que sa crande fortune lui assurait. M. le baron de Gerlache, regardant plus bant, s'est retiré du monde ct endossanl la livrée des enfants de Si ten ace i a consacré sa vie a ses fréres en Jésus Christ. Si Ie B. P. de Gerlache, ayant l'esprit moins élevé et le cocur moins nolile, avait voulu briber dans la sociélé, les libéraux qu'il aurail daigné regarder du haul de sa fortune et de son nom, l'eussent salué bien bas. Mais M. E. de Gerlache n'esl plus mainte- nant qu'un jésmte. 11 a seiné ses millions dans le vaste champ de la charilé chrétien- ne, pour avoir le droit d'étre complé au nomine des membres de la glorieuse familie de St-tenace. C'est le R. P. de Gerlache qui a acheté la misérable bicoque, ou il a vécu en compagnie de deux autres Pères Jésuilesi c'est encore le B. P. de Gerlache qui a fait batir et qui a payé de ses écus le superbe palais qui doit valoir, avec les terres qui l'eri- tonrent, quclque cbose cornme trois a qua tre cent mijle francs, c'csl le B. P. de Ger lache, enfin, qui est encore intervenu dans l'achat de l'aneien convent de Clairefontnine. Avait-il, oui ou non, le droit d'user de sa fortune cornme il en a nsé? Si oui, que si- gnifie Partiele du Progrès? Mais ce sont des élablissements de Jésnites, dira l'organe des loges liégeoises! Eb bien, aprés? Est-ce qu'il est défendu d'élever des maisons de retraite el de, prière? Arlon pos- sède un convent de Jésnites, bientöt a cöté s'élèvera un collége qu'ap|)client de tous leurs xteux les pe.res de lamillc soucieux de l'avenir de leurs enfants. cc Ilisloiro ancienne el toujours nouvelle, cornme dit le Progrès a la suite du Journal de Liége. A l'entrée de Messancy, s'élè- vc un chateau, cntouréd'un immense jardin anglais, donl les vasles proportions procla- ment l'opulence du propriétaire. Cc cliiitcau donl le plan semble avoir élé concu par un palissier cn gogucttc, est ornó de cicneaux, de tours ct de macficcoulis, qui font penser reunions noire an- On nous écrit de Watou: «Couverture des charrnantes des tirs a Pare a déja préoccupé ciennesociété de St-Sébastien. Elle vient de fixer son premier lir annuel au Dimanclre 3 Mai prochain, jour de la kcrmesse, ce aux conditions suivantes: II y aura ciiiq prix d'honneur: Pour le N° i une cafetière en argent, va- leur 14-0 IV.; en espéces. fr, 2. Une louche a filets. 3. Une idem 4. Un couvert 5. Un idem Une médaid'e eri argent pour la Société la plus nomfircuse 120-00 70 00 70 00 3b 00 30 00 1b 00 Ensemble fr. 30b 00 Mise 10 francs, chaque petit oiseau aballu 8 francs. Une réception cordiale est réservée a tous los amateurs. Un arrété royal, en date du 29 Mars, autorise la restauration des deux travées de la chapelle uord du ebeeur, du transept ct de cini] travées au bas cöté nord de l'église de Saint-Bertin, a Poperinghe. A prestation des évadés de Turnhout. bes journaux de Liégè nous appbrlent 'rèït.e nouvelle. Ces deux échappés, les trommés Frédérickx el Van Audenaerde dont nous avons raconté Pexploit, ont élé arrêlés Jeudi a Arlon. Voici comment une correspotJ'dance, adressée de cetle ville relate ce fait: «Jeudi matin M. Ney, secrétaire du par quet, se promenant dans le bois du Benert, prés de la ville, rencontra deux individns qui lui parurent rappeler le signalement des célébres évadés de la prison de Turnhout. Bevenant de suite sur ses pas, il fit part de ses soupcons a M. Ie procureur du Boi Hu- bert, qui larica anssitöt pltisieurs gendarmes dans la direction indiquée. Quelques beures aprés, ces deux voya- getirs qui sont réellement les évadés de Turnhout, étaient pris au moment oii ils allaient franchir la fronticre Grand Ducale, prés de Martelange. Ils sont déposés a la prison cellulaire d'Arlon. F A ITS DIVERS. I,a VGUVC DE6RYSE-0U'AGKIZc?n?R, négociante cn Iloublons, rued'Ypres,' a Poperinghe, met en vente Levéritable Guano du Pórou a 38 fr. pat' kilos. 2" Le Guano du Pórou dissous a AO fr. par kilos. 3° Le Sel pour engrais, Nitrate de Sonde ct le Sel Ammoniacavec garantie du contenu. Le Guano sort, directement des ma- gasins ofticiels du Pórou pat' 1'ent remise des seuls fabricants pour la Belgique, l'Allemagne, etc, FABRIQÜE ESI NÉGQGE QE FUTAILLES POUR ESrassenrts. UistiSSatessa's, iSïstiaiieB's. 'fosDiss-aifi-FS, etc., Rue d'Aitbenton, 92, 15 €5 II B,1 IS. CÉLÉRITÉ et MODIGITÉ de PRIX. Opciilmre vcrk0<i;iiiig T E li 51 m SS li M E De Notaris VAU EECKE, te Ypcr, zal openbaerlyk te koop veilen, in twee Zitdagen, wacrvan de eerste voor den INSTEL op MAENDAG 20 APRIL 1874, en de tweede voor den OVERSLAG op MAENDAG 4 MEI dacrna, telkens om 3 uren namiddag, ter herberg bewoond door sienr Likvunp, op den Koekhnil boek, te Moorslede, (ie volgende goederen: GEMEENTE MJMBEKE. Een schoon in steen gebouwen Woonhuis met 27 aren 50-ccmia- ren Erve daermedegaende, onder grond van gebouwen, hoving cn zaeiland gestaen en'gelegen te Rum- beke, by den steenweg van Rous- selaere op Meen en, palende van oosten aen de Aepestraete, van zui den aen de de hofstede Loontjens van westen en noorden aen Joseph Corneillie te Rumbeke, tegenwoor- diglyk bewoond door sieur Pietur Verlyndb mits 430 fr. per jacr. boven de lasten met, recht van pacht tot 1 October 4876. Boomprys20 fr. Instelpennininigcn te winnen. Voor verdere inlichtingen zich te begeven ter studie van voornoem den Notaris VAN EECKE, te Ypcr. Om uit gemeenzaemheid ie scheiden. De Notaris CHRISTIAEN, te PaS- schcndacle zal te Passchendaele, in het dorp, by instel op» den 45 APRIL 4874, ter herberg van Petrus Dejon- ghe en overslag den 29 derzelfde maend, ter herberg van de weduwe Brouckxou, t'elkcns ten 2 4/2 ure na middag, openbaer te koop veilen: 14 HERBERGEN, 1 3 W €5 I li alsmede Weiden, Zaeilanden en Rosschen, gelegen op Passchendaele, Wcstroo- sebeke, Latigcmarek, Moorslede, Oost- nieuwkerke en Dièkebusch, by uitge geven plakschriften verdeeld in 28 koopen. De titels en voonvaerden, by dito Notaris CIIRIST1AEN. P. S. Pour renseignements, s'a- dresser tous les I.tindis a Gourtrai, au Café Bulge, de 5 a 8 IL du soit'. 3Icca.ü>i<»ii inagsaifiUpi©. Marehandises de fabrication a remettre a très-bon comptc. 6 mois, pour paver. Pour fabriquer Geniè- vre, Eau de vie, Cognac, ct les Liqueurs fines. On recevra le secret de fabrication, qui rapport,era 50 pour cent de benefice et mis ou courant de fabriquer. II ne faut pourlist,ensiles de fabrication que des tonneaux. On peut achctcr, si pen que ce soit, on sera également mis au courant de fabriquer. S'adrcsser a MAKÉE, rue en Bois, 139, a Liege, ct an Bureau du Journal. A VENDRE chez Vunderghinsle-Fossé, litjraire, rue au Bevrre66, d Ypres, CHEMIN DE CROIX, imitation depeinture, d'après Fortuer. Grandeur dés dessins 4-8/36, avec beaux cadres dorés, chapileaux, croix et nuffléros. Prix: 375 francs, livré franco a domicile. cn langer ALDERSCIIOONSTE een weinig zwaerder als alom elders, te in de Groote Fabriek bij Kruiseike, t« iBIl KILS'WKI/SN Pi E IX, ses épreuves, ses gloires, I®©ëEaac Quelques délaillants vendent sou mon nom des cliocolats qui ne portent même pas l'adresse de l'usine d'oü ils sortent. Si ces chocolats étaient bons, leur auteur s'empresserait d'en reven- diquer le mérite; mais cornme chacun n'aime assumer que la responsabilité de ses propres produits, je pri.e les con- sommateurs de ne pas oüblier que les sont renfermés dans une enveloppe sur laquelle est représenté un Cacaoyer colorie' et que cetle enveloppe porta toujour» la signature ci-dessous Les personnes qui désirent s'établir eu Amèrique peuvent retenir leurs places a l'avance chez Ie représentant de l'Agence ma ritime, 5, rue Vifquin, a Sehaerbeek-lez- Bruxelles. Les États de l'Amérique qui of- frent les plus grands avantages aux cultiva- leurs et aux ouvriers sont: la Républiqtre Argentine (capitale Buenos-Ayres) et Ic Brésil (capitate Rio-de-Janeiro.) Le sol est fertile et arrosé par de nombreuses rivières. Le salairo des ouvriers est de 8 a 15 francs par jour. Ces gouvernements offrent aux emigrants trente a cinquante hectares de terre a raisou de 30 a 35 francs l'hectare, payables a long terme. On avance lout ce qui est nécessaire a l'e.xploitation des terres: bceufs, vaches, chevaux, vivres, semences, etc., rembour- sables a long terme. La propriété foncïère est excmpted'impóts. II sera cnvoyé des bro chures explicalives a toute personne qui en fera la demande par lettre affranchie. WASCII-MACHIENEN, fc bekomen l)ij LOUIS PHILIPPE, Rijsselsfraat N° 92, Apcr. Oitalc anti-rliumatistoale du Dr. Pattison. MMSk- C'est surtout a ses propriétés éminemment absorbantcs, que le tistMrs.on Beiioc doit sa grande efficaciLé. 11 est spécialeineiit recoinmandé contre les affections suivantes Prix du flacon1 fr. Prix de la boite1 fr. 50 Depót dans la plupart des pharmacies. ont péri misérablemenl de faim et de soif, se linïs- sant et se maudissent Pun l'aulre. La caverne de Ilnhenfelds Les Archives d.es missions scienlifiques nous donnent sur la ca verne de Holienfelds, qui est une des plus spacieu- ses de Sou,-die, des renseignemenls intéressants. On V arrive par une allée de 4 metres de large et 2 mé- tres 33 de haul. Plus loin, on enire dans une vaste salie surmonlée d'une voute de 10 m 00 de hauteur. On a trouvé la des ossements en quuntilé lelie, qu'on a pu rempljrdes wagons entiers. Les plus importants sont les os et les griffes d'un grand chat, que M. Fraas, professeur a Stuttgart, considère epiimie un lion, mais qu'on pourrail aussi hien prendre pour un littre; une amilope, qui n'esl ni un chamois ni l'anlilope des Moiitagnes-Bocheu ses, mais rappelle l'espèce déente par Po mei et irnu- vee dans les terrains diluvins du Puy-de-1 'óme; des os d'oiseaux, de cy.gnes. el d'oies sauvages, 'de renard bleu, de loup el de renard vulgaire; trois espèces d'ours. deux grondes et uue petite; le clie- val a petit corps et grande têle, se rapprochanl de la race irlandaise, qui. figurnil ici cornme gibier, ainsi que M. l.artel l'avait déja avancé retalivemenl au cheval tiouyé dans les grottes du sud de la Fran ce. On n'a trouvé a Ilohenfelds ni perf, ni chevreuü ni un seul échanlillon de lïè.v're. On pourrail croire qu'on est dans une caverne habitée par des ours, en voyant Ja, grijudp quantit0 d'ossements; mais il faut .admetlre, en les examinan' que ces animaux sont tombés soüs Ie coups de l'hom- me. Cetle caverne devait être la demeure d'une race de troglodytes vivant de la chasse, et ne ernignant pas de se mesurer avec les plus l'orts quadrupèdes. On n'a pas trouvé de sqgeleltes humains, mais ia presence dé l'homme est attesiée'par des emprein- tes et des enlailles que portent las. Les rangées de trous creusés dans quelques-uns jivdiquent l'émploi d'un instrument grossier qui n'dtait autre qu'une machoire d'ouas, dans laquelle on avait laissée planlée la deul de devant. Enfin, on a trouvé égaie- menl quelques déhiisde poterie. MFraas attribuc celte grotte a la fin de la pé riode tertiaire, ce qui somhlernit indiquer que l'homme vivait déja l'époqtie oü l'Europe centrale n'avait pas sa foi me actuelle. Plus tnrd, cette race primitive s'est reiirée avec !e renite dans les regions arciiqiie.s en iriéme temps que dispnraissnient le le nnimmouih el le rhinucéros. Chalimenl naturel. Le Daily Telegraph rap- porte l'aventiire de cinq abominafiles scfiférata. Ces criminels de la pi re espèce se troiivaient a hord du navire Satsmma, c. Leslie, allant de Cardiff a Table- Bav. Tous avaient commis de graves méfaits et al- laienl élre punis. Ils résolurent d'échapper par la mutinerie Le 20 Janvier, cornme its étaient de quart, trois d'enlie eux pénélvèrent dans la cabine dn capitaine el tenteren! de l'ass'assiner. Les deux a ui res se jeièrenl sur le second du navire, iui tirè- rent un coup de feu, tui porlèrent des coups de ha- ehelle et lui mirent une. corde au cou; mais grace a sa force herculéenne, il parvinl a s'échapper. Les niutins le. gardèreul a vue, prirent des provisions dans une chalonpe qu'ils lancèreiilet se pourvu- rent de coulours el dö brösses pour pouvoir cffacer le nom de la chaloupe cl faire disparaitre sa couleur primitive. Ceci fait ils se confièrent a l'Océan, se trouvanl a une distance de 300 lieues de la plus proclfaine cóle de l'Amérique du Sud. Le capitaine se rétablit et put conduire le navire a Tab'e Bay. Mais on se demande ce qui a pu advenir des cinq scélérats. Dans les conditions les plus favorables, il leur aurait fajlu dix jours pour aborder au Brésil, a moins qu'ils n'aienl eu la chance d'étre recueïIlis par un navire; mais il est probable que la nature leur a impose le plus juste des chalimenls, ct qu'iis van een i inQjtte par M. Bovine cure a Bas-Warnètonauteur du Poeme le JUSTE et L'IMPIE, beau volume avec [deux vignettes. En vente au bureau du journal. Prix: 1,23 fr. Fondateur de la Pharmacie Anglaise Chaque cöte forte le nom Delacre» imprimé en creux. Un Prix- Courant est renfermc dans chaque Paquct Les etiquettes et marques sont dcposccs sout complètomcnl gncris par la File est employee avec le plus grand sucpès contre les accès de goutte et les affections rhumaiismales de tmite espèce, contre les ma tlx de dents, les lombagos, les irritations de ppilrine. les niatix de gorge etc. En rouleaux de Fr. 1.50 el de 0,80 chez M. BECUWE, pliarmacien. f APPROUVÉ PAR L'ACADÉfWIE IMPÉRIALE OE MÉDECINE le 27 déceuibre 1849 '3 GAST RA LGIES DYSPEPSIE PYROSIS AtGREURS DIGESTIONS Dl FFICI LES CRAMPES D'ESTOMAC CONSTIPATION COLtQUF-S DÏARRHÉE DYSSENTERtE CHOLÉRSNE MODE D'HlPLOI. Le Charlion (le Belloc se pretld avant ou api'ès chaque repas, sous forme de l'ouilrc ou sous forme de Pastilles. Le plus souvent le bien-être se tait sentir dès les premières doses, line instruction détaillée aocoinpagne cliaque tlaeon de poudre et cliaijue boite de pastilles.

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1874 | | pagina 3