EENE BIERBROUWERY, ET UNE FERME UNE GRANDE MAISON, 2° EENS PARTIJ BOSCH, CIIOCOLATS-DELACRE LA GOUTTE ET LES RHU1ATISMES EN ERVE, UNE MAISON SIX FERMES 1" EENE HOFSTEDE, Avis aux Ciiltivateurs. AD. VANDEPUTTE, FILS, AVIS AU COMMERCE. DRAINAGE BUIZEN BURGERSTAND VAN YpEREN, Openbare verkoepin; T E 11II Jl 18 E Bi E De Notaris VAN EECKE, le Ypcr, zal openbaerlyk te koop veilen, in twee Zitdagen, waervan de eerste voor den INSTEL op MAENDAG 20 APRIL 4874', en de tweede voor den OVERSLAG op MAENDAG 4 MEI daerna, telkens om 3 uren namiddag, ter herberg bewoond door sieur Lievens, op den Koekbuitboek, te Moorslede, de volgende goederen: GEMEENTE RUMBEKE. Een schoon in steen gebouwen Woonhuis met 27 aren 50 een ia- ren Erve daermedegaendc, onder grond van gebouwen, hoving en zaciland gestaen en gelegen te Rum- beke, bv den steenweg van Rous- selaere op Meenen, palende van oosten acn de Aepcstraete, van zui den acn de tie hofstede Loontjens van westen en noorden aen Josepli Corncillie te Rumbeke, tegenwoor- diglyk bewoond door sieur Pieteii Verlynde nuts 430 fr. per jaer boven de lasten met recht van pacht tot 4 October 4876. Boomprys 20 fr. Instelpenniningen te loinncn. Voor verdere inlichtingen zich te begeven ter studie van voornoem den Notaris VAN EECKE, te Yper. Om uit gemeen ~aernhcid te scheiden. De Notaris CHRISTIAEN-te Pas- schendaele zal te Passchendacie, in liet dcHip, by instel op den 45 APRIL 4874, ter herberg van Petrus Dejon- glie en overslag den 29 derzelfde maend, (er lierberg van de weduwe Brouckxou, fel kens ten 2 4/2 ure na middag, openbaer te koop veilen: 14 HERBERGEN, 13 WONING EN, alsmede Weiden, Zacüanden en Bosschen, gelegen op Passchendaele, Wcstroo- sebcke, Langemarck, Moorslede, Oost- nieuwkerke en Dickebuseh, by uitge geven plakschriften verdeeld in 28 koopen. De titels en voorwaerden, by dito Notaris CHRISTIAEN. Etude de Me LAMBIN, Notvihe d Comities. (France). IB O U T SI E Iff A la place et a proximitê de la place. avec 3 arcs 23 centiares de Fonds et Jardin et 4 hectare 85 ares 34 centiares de Fonds, Verger et Terre a Labour A VENDUE. L'an 4874, le LUNDI 43 AVRIL, a 4 heures de l'après midi, dans l'une des salles tie la mairie deComines, par le ministère de Mc LAMBIN, Nota ire." Etudes de Me LOTTHÈ NOTAIRE a Bailleul, ct de Mc LAMBIN, NOTAIRE a Comities. rue St-«Facqiies a Bailleul, ct 106 hectares 71 arcs do PATCHES) TERRESA LABOUR, PRAIRIES ET BGIS, a Bailleul, Meteren, Flêtre, Berthen, Merris, Caeslre, Strazeele, Nadelles, Bavinchove, Zuytpeene et Staple. DORIGINE PATRIMONIALE, a Vend re. Le MARDI28 AVRIL 1874, 9 heures du matin, et le lendemain s'il y a lieu, a Bailleul, en l'unedes salles de la Mairie, ,par Ie ministère de Me LOTTUE, en présence de AT L .4 M BIN aussi chargé de cette adj udication. Studie van den O T 1 B I v KTS, te Vlamertinghe. Gcnaamden Notaris zal overgaan op MAANDAG, 27 APRIL 4874, om 2 ure namiddag, Ier herberg de Kroon gelegen ter plaats van Elverdinghc en bewoond door S._ Depuvdt, tot den INSTEL van Gemeente Elverdinghe. groot 6 hectaren 52 aren gebruikt door S. Tahon met recht van pacht tot 4 October 4875. aan 804 fr. 50 c. bij de jarc boven de lasten. groot 64 aren 80 centiaren, in regie. Gemeente Brielen. 3° EENE PARTIJ ZAAILAND, groot 2 hectaren 18 aren 20 centia ren gebruikt door Ch. Deconinck met recht van pacht lot, 4 October 4874. PREMIE VAN INSTEL: Ut p. Wegens deze verknoping alle in lichtingen zijn ook le bekomen bij de lNotarGsen BUT A YE le Mcessen en LAMBIN le Upre, Diligenciedienst tusschen IJ peren en Dixmude met terugreis. IIENRl COPPYN, liuui houder, doet den dagelijksehcn diligenciedienst tusschen IJperen en Dixmude; hij vertrekt uit de afspanning St-Andries te IJperen, om 5 ure 's morgens den Maandag, en de andere dagen om 5 ure. Vertrek uit Dixmude, hotel de Bhetorica, om 3 ure na middag. llij beveelt zich voortdurend in de gunst van het publiek voor bet doen van allerhande kommissiën, het me debrengen van koopwaren enz.; zijne gekende stiptheid en spoedige bedie ning doen hem b j iedereen den voor keur verhopen. si jestm; ïïo.aBkne «Se S3* asss, désirerait une place de com mis aux écritures. S'adressèr au Bureau du Journal. La veuve DEGRYSE-QUAGHEBEUR, négociante en Houblons, rued'Ypres, a Poperingbe, met en vente Le véritable Guano du Pérou a 38 fr. par kilos. 2" Le Guano du Pérou dissous a 40 fr. par kilos. 3° Le Sel pour engrais, Nitrate de Sonde et le Set Ammoniacavec garantie du eontenu. Le Guano sort directe'ment des ma- gasins officiels du Pérou par l'eotremise des seuls fabricants pour la Belgique, l'Allemagne, etc. FASRIQUE EN NÉG0CE DE FUTAILLES pour ISrassciirs, I iah'iii's, Unillim, Toiiiirlit i's, etc., Rae d'Aubenton, 92, 15 (J 15 Ail. CÉLÉRITÉ ct MÖDICITÉ de PBIX. P. S. Pour renseignements, s'a- dresser tous les Lundis a Courtrai, au Café Belge, de 5 a 8 II. du soir. Occasion iiiagiiiliquc. Marehandises de fabrication a remettre a trés-bon compte. 6 mois, pour payer. Pour fabriquer Geniè- vrc, Eau de vie, Cognac, et les Liqueurs lines. On rccevra le secret de fabrication, qui rapportera 50 pour cenf de benefice et mis au courant do fabriquer. II ne faut pour ustensiles de fabrication que des tonneaux. On peut achcter, si pcu que ce soit, on sera égalcmcnt mis au courant de fabriquer. S'adresser a MARÉE, rue en Bois, 4 39, Liége, et au Bureau du Journal. WASCII-MACHÏENEN, te bekomen bij louss PHILIPPE, Rijssclstraat N° 92, Yper. A VENDRE dwz Vanderj/iinsle Tossé, libra tra, rui' au Beur re, 06, d Ypres, CHEMIN DE CROIX, irnilalion depcinture, d'aprèa Forlner. Gratideur des dessins 48/30, avec beaux cadres dorés, chapileaux, eroix el numéros. Prix: 375 francs, livré franco a domicile. ALDERSCHOONSTE een weinig zwaerder en langer als alom elders, te E4«&»peiï in de Groote Fabriek by Kruiseike, te UBIftXl'Yfvg/r. PIE IX, ses épreuves, ses gloires, Pocme Quelques détaillants vendent sou* mon nom des chocolats qui ne portent même pas l'adresse de l'usine d'oü tls sortent. Si ces chocolats étaient bons, leur auteur s'empresserait d'en reven- diquer le mérite; mais comme chacuti n'aime assumer que la responsabilitê de ses propres produits, je prie les con- sommateurs de ne pas oublier que les sonl renfermés dans une enveloppe sur laquelle est repre'senté un Cacaoyer color ié et que cette enveloppe porte (oujours la signature ci-dessous Les persónnes qui dósirent s'élablir cn Atnérique peuvent retenir leurs places a favance chez le représentant de l'Agence ma ritime, 5, rue Vifquin, a Schaerbeek-lez- Bruxelles. Les Elats de l'Amérique qui of- frenl les plus grands avantages aux cultiva- leurs el aux ouvriers sont: fa République Argentine (capitale Buenos-Ayres) et le Brésil (capitale Rio de-Janeiro.) Le sol est fertile et arrosé par de nombreuses rivières. Le salairc des ouvriers est de 8 a 15 francs par jour. Ces gouvernements offrent aux emigrants (rente a cinquanle hectares de lerre a raison de 30 a 35 francs I'hectare, payables a long lerme. On avance lout ce qui est nécessaire a l'exploiiation des lerresboeufs, vaches, chevaux, vivres, semences, etc., rembour- sabels a long terme. La propriété fonciére est exempted'impöts. II sera envoyé des bro chures explicatives a toute personnc qui en fera la demande par leltre affranchie. Ouate anti-rhumatismale du Dr. Pattison. Ml KliTPKYXEA. ko< >p Waren. MIKliTUV ïoo kil. Vlasiiiarktcn. (ourez l'intéricur de papier que vous beurrez égale- ment. vevsez-y voire mélange, auquel vous aurez ajouló préalablement les 5 blancs d'oeufs ballus en neige. Laissez cuire trois quarts d'beure au bain-marie ct un quart d'beure au four. Servez avec nne sauce a la crème, ou un roux clair mouillé de bouillon, ou une sauce madère. Pour rendre ce plal plus fin el plus elegant, pré- nez pour 30 cenlimes de langue de boeuf ou de jambon; découpcz en losanges, triangles, etc., donl vo is gamissez Ie fond el les parois de la forme, sur Ie papier, avanl de verser Ie mélange, auquel vous aurez ajoulé les debris de jambon ou de langue bo dies bien menus. Les faux billets de la Banque nationale. Ainsi que nous l'avioits annoncé, l'auleur des faux billels de la Banque nationale a été découvert. Voi- ci dans quolles circonsianceS: Un faux billet de 1,000 fiavail élé remis en paienient a la Banque nationa le. Le billet élait admirablement contrefail et tl faI- Int pour reconnoitre son origine frauduleuse l'ceil cxercé des manipnlateiirs de la Banque. Ou remonln la filière sutvie par le faux billet et on arriva ainsi a conslater que celui ci avait cté émis par un négociatu de Terncuzen. M. Bobbe, donl une fi Ie avail épousé le nommé Dufresnoy, graveur litbograpbe, demeuranl a Bruxelles. Découvtir le domicile de ce dernier ne fut pas cbose facile, car depuis deux ans qu'il habile la ca- pitale, il avait réussi a ne pas se faire inscrire. On apprit enfin, qu'il babitait rue Duquesnoi, oü il oc- cupail, avec sa femme, un appartement somplueiix. Le Satnedi l4 Mars, la justice fit irruption dans l'ap- parlemenl de Dufresnoy et, après un inlerrogaloiïe subi pat' lui, les magistrals ordonnèrent une visite dotniciliaire. Après des recherches minutieuses, on découvrit, soigneusement caches derrière une che- minée, trois pierres liihographiques, donl deux por- taient le dessin de billets de cinq cent francs. En présence de cette découverle, le procureur du roi n'hésita pas, comme orj le pense, a o.rdonner la mise en arreslation de Dufresnoy el de sa femme. Le lendetnain matin, les magistrals se mettaienl ne route pour Terneuzen oü babitait cotnme nous l'avons dit le beau père de Dufresnoy. Les autorités jadicaires ayant Terneuzen dans leurs at tributions avaient été preventies, et leur arrivée devait coïncider avec celle des autorités beiges; mais le brouillard était telleirtent intense que les magistrals bollandais, donl la résidence est a Goes, furent obligés pour faire la (raversée de pa tenter jusqu'au lendetnain, Lurtdi. Ce jour-la les autorités bollandaises et beiges fi rent une desccnte au domicile de Bobbe. Celui-ci protesla énergiquement de son innocence, et les pre mières recherches auxquelles en se livra n'amenè- renl aucun résultal; mais au domicile d'une autre fille de Bobbe, la femme Kun-iternaer, négociante, ou découvrit au fond d'un puits, enveloppés dans une crinoline, un grand nombre de faux billets de 1,000 fr. Cette trouvaille provoqua l'arrestation de Bobbe el de sa fille. De leur interrogatoire et de leur con frontation résulta bienlói la preuve qu'on avait mis la main sur les principaux auteurs de l'émission des faux billets de la Banque nationale beige, el associés de Dufresnoy. Dufresnoy ontra dans la voie des aveux; il recon- nm ètre l'auleur des laux Irillets de cent, do cinq cents et de mille francs. II a poussé l'audace jusqu'a émettre lui-méme plus de 150 faux billets de cent francs. II menait, a Bruxelles, une vie' assez tranquille et bien des persónnes seront éfonnés de recotitiailre en lui un des promeneurs élégants et les plus assidus du Pare, de la rue do la Madeleine et autres promenades fré- q ienléeS de la capitale. Dans sou appartement, on a retrouvé bon nombre d'objèls achelés au tnoyen des faux billels. Dufresnoy est un graveur d'une habileté rare, d'un talent veritable el qui, cerles, s'il l'avait vou- lu, au rail pu sectéer trés facilement une existence trés honnêle. Lu perfection que Dufresnoy apportait dans l'exé- cution do sa coupnble industrie, les précaulions qu'il pienait, le clioix qu'il avail fait d'associés ha- biles et apparentés; lout cela explique l'impunité donl tl a pu joutr pendant si longlemps. Une Momic myslérieuse. Un fait, qui ca che peut êlre un grand crime, et qui se pose comme un problème pour la science, nous est rap- porié par un téinoin dom nous ne saurions suspecter les lumières ni l'entière bonne loi. Le 7 de ce mois, des ouvriers, en détassant une meule de paille battue out découvert, dans la com mune de Lierville, département de l'Oise, le cada- vre d'un homme paraissant agé de 05 ans environ. Ce cadavre q>iijusqu'a cette heure, n'a pas été reconnu, offrail cette patlicularité inexplicable qu'il était enlièrement tnomifié La peau, jaunatre, en tout semblable a ceftè des momies d'Egyple, résonnait au louciiet;,o«ftitne du Irois, el cela, autant sur les par ties restées a découvert par les déchirures des vê- tements, que sur celles reeouvertes par la chemise, le pantalon de druip et la blouse de la victiine. Lr, médeein légiste, consulté immédiatemcnt, n'a rcconnu aucune liace de mort violente. Cependant il a couru le bruit dans la commune, que depuis la déclaration du médeein légiste on avail découvert deux grains de plomb dans la léte de la momie. Quoiqu'il en soit, un double mystère entoure la découverle de ce cadavre-parcheminée. D'oü est venu cel homilie? Est-ce un Francais ou un élrauger? Ses habits semblenl indiquer qu'il ap- parlenail a la classe des ouvriers de la campagne. Est il venu, éianl étranger a la localilé, chercher un gite dans cette meule par qnelquc nuil froide, et y sera t-il mort de misère el de faim? mais on ne peul comprendre qu'un séjour de quatre mois au plus dans In paille battue (la confection de la meule ne remonte pas plus haul) ait pu causer une momifica lion aussi compléte. La supposition d'un crime est done venue a l'es- pril. On s'est dit que le cadavre avail du ètre d'a- bord dé|iosé dans un endroit privé d'air, puis trans port mystérieusement dans la meule oü il a été découvert par hasard. Unseul point du corps, le talon du pied gauche en contact immédiat avec le sol argileux, était en putrefaction. Des vers blanc s'y trouvaient. Cette putrefaction a-t-eile pu se localiser ainsi dans un espace de sept a buit centimetres de diamètre? Ne ponrrait on pas induite de cette circonstance que le cadavre était dépósé la depuis quelques jours seulement? Tout est mystère dans la momie de Lier ville, qui a causé et cause encore dans toute la commune él les environs une proionde emotion. Incendie a Lille le 4- Avril Un violent incendie a éciaté au milieu de la nuil, rue de LiHé, a Lille. Ou dut enfoiicer la porte pour liter de leur premier sofnmeil les habitants de la muison. II était plus que temps; toules les issues élaienl déja bar- rées par les Hammes. Deux feilimes porlanl un petit enlaiil, sorlent du couloir qui semble de loin une l'uurnuise, et toinbent épuisèes sur le trottoir. A peine revenue die, l'une des femnies appelleavec des cris de désuspoir son mari et les deux enfanls. Cmq peisonnes en tout sonl restées derrière ce ri- deau de feu. On les croyait perdues. Ileureusement, M. Bailleux el sa femme avaient trouvó un passage ouverl sur le tuit. Quunl au locataire du rez-de- eliaussée, il parvint a faire passer successivenient ses deux eiilants sur le toil d'une maison voisine. Alois, il redescendit dans la cour et, un drap mouillé sur la téte, il se laissa lomber plulót qu'il ne s'accroupit entte deux murailles et se mainlint, sans blessures et suns tirülures graves, pendant trois ïnortelles heures duns cette position périlieuse. Quand, après trois heures du matin, les pompiers l'upercureni, tls crurenl n'avoir plus a relever qu un cadavre. ii n'en élait rien, el il n'a pas U'op soufferl, pliysiquement du moins. Un autre épisode non moins saisissant el qui s'est passé sous les yeux de la foule pelrifiée d'épou- vanle, c'esl celui d'une vieille femme de soixanle- trais ans qui, au milieu de la tlanime et des lour- billons de iuinée, appa rut tout coup sur le toil de la maison incendiée et eul la présence d'espi it de remonter, contre ie vent, le rebord du toil jusqu'a une fenëiru de l'habitation voisine oü elle pénétra en cassant un carreau de vitre. van den 3 tol den 10 April 1874. GEBOORTEN. Mannelyk geslacht 8. Vrouxvelyk geslacht 4. STERKUEVALLEN. Jonckers, Maria, 82 jaren, zonder beroep, wedu- xvo van Ludovicus l'eulevinck, St-Pielersplaels. Gravel, Cesar, 73 jaren, advokael, weduwenaer van Pauline Steeman, Thouroutstrael. Roeye, Maria, 4! jaren, kantenwerkster, ongehuwd, lange Thouroutstrael. Deschilder, Amelia, 58 jaren, dagloonster, echlgenooie van Joannes Vandooren, lange Thouroutstrael. Weyrinck, Henrious, 31 jaren, wever, ongehuwd, lange Thouroutstrael. Kinderen beneden de 7 jaren. Mannelyk geslacht 1. Vrouxvelyk geslacht 1. par M. Bovine curé a Bas Warnêton, auteur du l'oëine le JUSTE et L'IMPIE, beau volume avec deux vignettes. En vente au bureau du journal. Prix; 1,23 fr. Chaque córe -porte le nom Delacre imprimé en creux. Fondateur de la Pharmacie Anglaise Un Pr# Courant est retifermé darts chaque Paqutt. 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Iieclol. beelol. 30 33 22 20 7 100k. 0 1 90 per k. 3 30 EYNZAED. 28 97 1 38 40 30 - 28 28 50 22 07 29 30 13 79 28 30 7 -100 k. 0 30 7 30 VEUKNE, Woensdag 8 April 145 I 38 28 18 28 100k. 43 - 32 30 20 32 T1IIELT, Donderdag 2 April. per. h. 38 20 39 27 3 70 per kil 3 50 3 00 60 d. 27 29 7 7 SO 3 27 3 54 AUDENAERDE, Donderdag 9 April. per h. 29 23 20 50 22 30 12 23 7 3 18 31 22 24 14 50 3 03 POPERINGBE, Vrydag 10 April. per h. 100 kil. 1 kilog. 28 51 19 25 12 75 7 3 70 YPEREN, Zaterdag 11 April. 10Ok.37 27 27 28 0 50 3 20 38 50 28 28 - 30 29 3 40 heciol. 100 kil. 1 1|2 b. 100 k. beelol. heciol. .37— 35 25 27 KOOLZ. OLIE. 103 kil. 70 100 I. 100 I 78 100 kil. 09 50 70 beelol. 72 50 LYNZ. OLIE. 105 kil. 70 100 lit. 100 lil. 100 k. beelol KOOLZ. KOEKEN. 100 kil. 82 07 50 78 50 100 k. 125 k. I 100 k. I 100 k. 100 k. 21 50 22 30 - 13 LYNZ. KOEKEN. 31 100 kil. 100 k. 125 k. 100 k. 100 k. 100 k. 28 50 30 50 1 20 20 30 25 25 j MECHELEN, 3 k. 4.53 a 0,84. BRUGGE,1 kil. 1,75. ST-N1KOLAES, 3 kil. 0,00. AEEST,3 kil. 3, 0,09. TillEET, 3 kil. 4,50 a 5,75. BERGEN, 0 \fl kil. 2.00.

HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1874 | | pagina 3