HOFSTEDE, DES HERBES, ONROERENDE GOEDEREN, VENDITIE MAISON, EEN HUIS, 2" Y1ER WOONSTEN a Comines. HOFSTEDEKEN MEUBILAIRE VOORWERPEN, HOOI- V-E N DITI N GOEDEREN, EENEN WINDMOLEN, MET WOONHUIS, VLAS EN MAEIGRAS, IN HET BOSCH VAN HOUTHULST, r EEN HOFSTEDEKEN :t EENEN MEERSCII, 4° EEN HUIS EN ERE OPENBARE VERPAGTING LANGEMARCK, STADEN EN PASSCHENDAELE, CH. HEYLBROECK-VANDERMEERSCH, Doreur ct Encadreur, de Dixmude N° 20, ques pas de Genève sur les bords de FArvé, le 22 Septembre 1824. Sa Grandeur appro- che done aujourd'hui de la cinqnantaine. Ses premières années s'écoulèrent au sein d'une familie signalée entre toutes pour la simplicité de sa vie et l'ardeur de sa foi. II fit ses premières études au collége de sa ville natale, et les continua au collége de Saint Louis-du-Mont en Savoie. Déja dans ses essais d'écolier on pressen- tail les qualités litléraires que nous admirons dans Poraleur et dans l'écrivain. II avait qualorze ans quand le professeur de Rhétori- que donna a ses éléves la composition d'une épitre adressée a Veyradtin noble et mélan- colique génie, qui rentré a Chambéry par la grace du roi, venait de publier Va Coupe de Cexit. L'épitre du jeune Gaspard fut choisie entre toutes et envoyée au grand poète, qui répondit en termes encourageants et flatteers. En quiltant Saint Louis-du-Mont, Gaspard Mermillod entra en philosophie chez les jesuites de Fribourg. Sous la palernelle di rection du P. Rotenflue, ilsemontra bieniöl en état de soutenir avec distinction des théses publiques de philosophie. II suivitau méme collége les lecons d'hisloirc du P. Freudenfeld, ancien ministre protestant, ancien professeur d'université allemande, qui exercail sur ses éléves la plus heureuse influence. Mgr Mermillod, dans l'élan de sa reconnaissance, aime a redire qu'il doit a eet homme supérieur, dont il a suivi les lecons pendant deux ans, l'intelligence et l'amour de l'Eglise. II passa ensuite au grand séminaire de Fribourg, recut le sous-diaconat a Annecy, sur le lombeau de S. Francois de Sales, des mains de Mgr Rendu, et le 24 juin 1847 il fut ordonné prêlre par Mgr Mariley, avec une dispense dage. Voulant s'unir au S. Siége par un lien in dissoluble, il atlendit pour célébrer sa pre mière messe la féte de S. Pierre. II pronoti- ca a cette occasion un discours qui eut un long retentissemenl. Le texte de cette élo quente allocution élait la répouse du prince des apölres a N. S. Tu es films Dei vivi. Nolre jeune prêlre fut immédiatement nommé vicaire de S. Germain a Genève. Bés ce moment, il prit mie place distinguée parmi les délenseurs de la cause catholique. II fut un des fondateurs de*' Annates, recueil périodique trés remarqué dans la presse re-' ligieuse, et composa un ouvrage de polémi- que intitnlé: la Viergè Mariedans lequei il expose la croyance et les traditions des Pè- res de l'Eglise sur la Mére de Dien. En 1851 Fabbé Mermillod apparait dans la chaire de Notre-Damedes Vicloiresa Paris. Voici dans quelles circonslances. II s'était rendu dans la capitale de la France avec M. Dunoyer, alors son curé, aujourd'hui son vicaire-général, pour implorer la générosité des fidéles en faveur de l'église de Nolre-Da- me de Genéve qui fut. plus tard la cathédra- le de Mgr Mermillod. Un soir il se trouve dans les salons de l'Archevèché, quand tout a coup la porte s'ouvre devant un vieillard a cheveux blancs, un de ces types incompa- rables du sacerdoce catholique. C'était le vé- nérable curé de Notre-Dame des Vicloires. Ou était prés du carème; le prédicateur char ge de la station de sa chére paroisse se Irou- vait snbitement empêché et M. Desgeneltes veriail soumeilre a Farchevèque son embar- ras el ses angoisses. Mgr Sibour se recueil- le nu instant; une inspiration soudaine il lumine son esprit, et montrant l'abbé Mer millod au pasteur dèsolé, Voila répondit-il, celui qui peut voussauverde votredetresse. Et comme le jeune prêlre se récrie sur I'im- possibilité de prècher tout un carème saus préparation, Ne craignez rien, répond a son tour M. Desgeneltes, la Sainte Vterge fe- ra un miracle. L'abbé Mermillod se laissa vaincre, et prècha'la Station avec un succés chaque jour croissant. Tel fut le point de dé- part des relenlissements de sa predication. Depuis lors bien des villes ont recherché sa parole; en France, en Italië, en Belgique, en Allemagrie, it a multiplié les retraites ecclé- siastiques, occupé les Stations de l'avenl et les Stations quadragésjmales. Turin, Rome, Lyon, Marseille, V'ienne, Gand. Bruxelles, Tont tour a tour entendu saus qu'il ait jamais négligé sa chére Genéve. En 1856 la populalion»tout enlière de Nice, électrisi e par cette parole qui lui apportait des accents inmnnus, le réclama comme évèqne. II fit alors cette réponse, qui le liait pour toujours et que Genève entend it répéter avec l'orgueil si légitime d'une mére pour son fils: Je venx que ma tombe soit creusée auprèsde mon berceau. Mgr Mermillod. comme Mgr Dulpenloup, a plaidé du haul de la chaire chrélieiine toutes les grandes causes de Phumanilé, l'ii- nité religieuse. I'lrlande, la Pologne; com me l'évèque d'Orléans, d a redit l'héroïsme de Jeanne d'Arc qui sauva la France de ('in vasion étrangère. C'était le 22 mai 1862; le jeune prètre de Genéve exposait a l'Eglise de Sl« Clotilde a Paris la misère de I lrlande, et solicilail des aumönes pour ce peuple al'famé par l'Angle- terre La sébile des quêteuses se rempht de pieces d'or, de bracelets, de colliers, de bijoux de tons genre. Un ouvrier jeta sa mant re dans la bourse d'une de ces dames et dit en se détournant: On na pas besom de savoir l'heure, quand un peuple meurt de faim. Un autre jour, a la suite d'un sermon, il est suivi paf un homme qui lui luit cette confession: M. l'Abbé, je suis Francais, j'écris dans telle feu il le que vovs connaissez; vous savez que son esprit est loin d'etre ca tholique. Je n'avais pas la foi. aujourd'hui je I'ai. J'ai 6ntendu nos grands orateurs a Paris, ils ne m'ont rien dit, et voire instruc tion familiére m'a bonleversé. Nous trou- vons a chaque pas, dans l'histoire de son merveilleux apostolat, des faits de cette nature Quand on a eu la jolie d'enlendre une fois Mgr Mermillod on ne s'étqnne plus de la seduction qu'exerce partout son éloquerice. Le cachet de cede parole vraiment évangélique est de s'adresser a la fois au cceur et a la raison, de se servir de demon strations lumineiises et de paihétiques senti ments co,mme d'un double levier pour retnuer les aines. Mgr Mermillod dans sa predication sail concilier l'iminulabilité de la doctrine catholique avec les formes et les exigences nou velles. C'esl le type le plus pur de ce genre, ou se confondenl dansd'harmonieuses proportions le sermon ancien et les conféren ces modernes. On rencontre chez lui tont en semble une connaissance approfondie de la doctrine catholique, l'intuition des nuances les plus délicales du coeur humain et une perception nette, precise des besoinsel des apiralions de notre époque.» Nous retrouvons dans ces lignes, tracées par une plume exercée la photographie oratoire de l'évèque d'Hébron. Eu 1864, il est appelé a Bome, el le lende- demain desfêtes de la Bénédietionde Margue- rite-Marie le Souverain Pontife préconise en ces termes son fils bien-aimé: pour le siége episcopal d'flebron, in par lil, us in fide hum, le Rév. Gaspard Mermillod. nomméauxihaire, en residence a Genéve, de Sa Grandeur Mgr Marilley, évèque de Lausanne et de Genéve II y a a peine uneannée. Pie IX ]e nommait titulaire du siége illustré par S. Francois de Sales. A cette occasion éclala Forage qui jeta Mgr Mermillod sur la route de l'exil. En 1857, a l'ouverture et a la prise de possession de l'Eglise de N. D. de Genève, Mgr Mermillod montra dans un discour» éloquent que cette oeuvre était une oeuvre de liberlé et de nationalité; il s'écria dans un mouvement qui communiqua de frisson a l'assemhlée Si jamais le vent de la persécution souf- flait u'n jour, si de nouvelles oppressions voulaient nous spolier encore, si d'iiijustes agresseurs voulaient nous exciure du droit cominun, si une nouvelle intolerance ten- tait d'enlever a ces murailles un infime fragment, de ravir a ces colonnes ne fut-ce qu'un grain de sable, songez que ce grain de sable ne lomberait pas a lerre sans rebondir jusqu'a vos fronts pour lessligrna- tiser, jusqu'au drapeau de la liberté pour le flétrirce n'est pas notre templeseul que vous ébranleriez, c'esl la gloire de Genéve que vous auriez souillée, c'esl. sa liberté qui tomberait sous vos coups,vaincue et désho- norée. Sensation Vous faites écho a mes paroles; je vous remercie de ce sympathique frémisse- mentL'élranger qui, de loin, verra resplendir le clocher de Nolre Dame, dira avec enthousiasme: je vaisdans un pays libre, dans une cité qui respecte les droits sacrésde la conscience catholique. Hélas! Genéve a repris les traditions haï- neuses de Calvin et s'est fuite de nouveau persécu trice KANTOOR NOTARIS CAPELLE, te Watou. middag, te Stavele, bij de kinderen Markey. Jaarlijksche verkooping van M. Bon Pycke de Peteghem, en de heer De Bie de Westvoorde, der MAAIGRA- ZEN op de 1G gemeten, op de 6 gemeten en de 4 gemeten op Beve- ren en de 28 gemeten, op Stavele. Om alle verdere-inlichtingen ra kende de verkoopingen der onroe rende goederen zich te begeven ten kantoore van den Notaris capelle, te Watou. TE STAVELE. Op MAANDAG 29 JUNI, 3 uren na- Kantoor van den NOTARIS FEYS, te Proven. 1° DONDERDAG 2 JULI 1374, 4 uren namiddag te Leysele, ter her berg den Eik, openbare vcrkooiing door het ambt van den Notaris CöRRMLLE, te WTilveringhem, met tussclienkomst van den Notaris FEY5, te Proven, van een allerbest in Leysele, langs den steenweg naar Be veren, groot 1 hectare 46 aren. Gebt nikt door Eduard Dehouck. Aan slag aan het land na den oogst en aan de gebouwen den 1 Mei 1875. ETUDE de M> Notalre d Comines. 2" MAANDAG 6 JULI 1874, 1 ure namiddag, te Proven, ter hofstede der kinderen Vandenbroucke, scSioonc koopdag Land bouwt uig, Wagenharnas, Beestialen. en circa 12 hectaren Vrachten op stam. BEVEREN. Op DONDERDAG 25 JUNI, 3 uren namiddag, te Beveren, Ier herberg de Zwaan, bewoond door Joseph Top; gewoone verkooping der MAA1- GRAZEN wassende te Beveren, op de eigendommen van M. Albéric- Marie Ghislain B°" des Cantons de Mont-Blanc van Ingelrnunster. 3° MAANDAG 13, JULI 1874, 4 uren namiddag, ten Stadhuize te Proven, o|>«->il»ai*e verpachting voor negen na eenvolgende jaren van 25 hectaren 37 aren 50 centiaren behoorende het bureel van weldaad en de kerkfabriek der gemeente Pro ven, gelegen in Proven, Crombeke, Watou, Poperinghe en Rousbrugge- Haringlie. 4° DONDERDAG 16 JULI 1874, 1 ure namiddag te Leysele, ter bolste de van Charles Claey, nabij de drij boompjes, KOOPDAG VAN Menagiegoederen, Landbouw-allaam, Wagenharnas, Reestialen en 7 hectaren Vruchten op stam. Uit der hand .te pachten of te koopen, zich te bevoegen by de weduwe CAESTECKER, TE PASSCI1ENDAELE. Vcnditie van 0? PASSCHEMDAELE. JEUDI 2 JU1LLET 1874, a 4 heures de relevée au cabaret le Corentje term par Lepolitre a Cofnines. Adjudication de: 1" 40 A. 45 C. de TERRAIN A BATIR et PRAIRIE a Bas-Warnêton, Section A Nos 81 d, 81c et 74o. Porté d 2,325 fr. 2" 1 il. 73 A. de tf.RRE A LABOUR, a Wylscbaete, Section I), N" 272, oc- cupés par Mispelaeke. Porté d 9.100 fr. Samvn, il sera procédé en une séance, pat' ie ministère de ue THERRY, No- taire a Neuve-Eglise, a Tadjudication de ladite maison. Le cahier des charges se trouve déposé en Tétude dudit Notavrc. Op DONDERDAG 25" JUNY 1874, ten 1 ure namiddag, zal. de Notaris C' ia BS I 'B' B A. E Ate Passchen- daele, by venditie verkoopen op Passchendaele, by het dorp, ter hof stede en behoeve van Sr Deroo4 hectaren schoon VLAS en 3 idem MAEIGRAS, te velde. Op gewoone voorwaerden. SCUOONE EN GROOTE op St-ï*ictcrsdag 't# «fitini 1874, ten '1 ure namiddag, onder Gereken, 8 heklaren Maaigras, verdeeld in koopen, op de grasperken rond het kasteel. 5 koopen Carme Boomen (haagbeu- ken of aardentrillen.) 75 Plantsoenen voor plafond en strooi latten en an dere werken. 50 Boomkroonen en Toppen van Plantsoenen. 30 VeldspaanderscnRodings- blokken. 1,000 Eiken Stioekbusscben. Alles in de nabijheid der kalsijde van Poelcappelle op Dixmude. Betaalbaar ten kantoore van R. DE- GROOTE, Greffier te Dixmude. De vergadering ter herberg P. Meer semanbij het kasteel. Door sterfgeval en om uit gemeenzaèmheid te scheiden. l it der Iiant! te knopen eenc schoone van omtrent 19 HECTAREN 50 AREN, gelegen bv de stad UONDSCHOTE, niet verre van de belgische grens, mits eenen pr-ys welkers inkomen grooter is dan 3 u/0 zuiver. Zich te begeven by Mtcr DELVAL, Notaris te Duinkerque. POUR CAUSE DE F AI LUTE. YENTE PUBLIQUE d'une spacieuse d usage de commerce et dlestaminet, sous l'enseigne LE POSTILLON, avec 5 ares 60 centiares CE FOftlDS BAT!, COUR ET JARDIN, sisc a Messincs, rue dite: KETELSTRAET. OPENBARE VERKOOPING Te Zillebeke, noordoost de kerk, groot 3 h. 02 a. 30 c. gebruikt door Honoré Duthoo aen 400 francs by jare. met hunne Gronden Hoving en Zaei- land, groot lb. 15 a. 03 c. te Moorslede, by de nieuwe molen, gehucht droogen Brood,hoek, gebruikt door Labaere-Vermeulen, Frank en Wyffels aen 260 fr. by jare. te Boesinghc, groot 67 aren 90 centiaren, langst de kalsiede tegen het Sint-Pietertje, gebruikt door Vandecasleele, aen 125 fr. by jare. TE YPRE, westzyde van de Kauwekinstraet, n° 17, alvvaer M. Swingedauw over leden is, thans ledig. En 5° n° 17 en Erf te Ypre, Zuidzyde van de Platteclstraet, met achter huis nu al ten dienste van weverie van Mme Reynaert daerby. Den INSTEL zal geschieden op het gewin van 4/2 den ZATER DAG 4 JULY en den O VERSLAG den ZATERDAG 18 JULY 1874 in de Café de F Union te Ypre, Groote Markt, telkens ten 2 uren nanoen. Den Notaris IMHIEU is belast met deze verkooping. Le VENDREDI 26 JUIN 1874, a 4 heures de relevée, a l'estaminet a vcndrc habité par la veuve de Martin Etude de Me Uleueillon, Nofaire, LUNDI 29 JUIN 1874, a 5 heures de relevée, en laMairicdc Comines- France, YENTE SBB'1SB.S«1K des deux coupes de 9 II. 05 A. 16 C. de prairies de Lys et de Becque, en 16 parties, sises a Comines Belgique et Bas- Warnèton Belgique. PHOTOGRAPHIE WAÏREMEZ, HOTEL DU SAINT SÉ RASTIEN, RUE DES BOUCHERS, N" 39, If 8» ces. M. Watremez opérera tons les Sa- ïfiietSis, ÈliïSBaiielies et lijintlis de ehaijitge seiiiaitie. L. LEURIJ)ON-VEllBRUGGE, louageur des voitures, Hotel du Rrasseur, 1 pres. BUREEL VAN WELDADIGHEID DER GEMEENTE LANGE MA RCK om 9 uren voormiddag, te Langemarck, in bet Gemeente-Huis, zijnde d herberg de Zwaan, zal den Notarisj£LLEBOUDT overgaan tot gezeide verpagting voor 9 jaren integaan 1 October 1874, verdeeld gezeide goederen in 108 loten. Op eewone voorwaarden berustende bij gezeiden Notaris en in het gemeente-secretariaat alwaar de gegadinghebbenden er van mogen lezing nemen. Ypres. me Dorure sur liois. Restauration de cadres et statues dorés ou argenlés. Ba guettes dorées ou imitation de bois pour Cadres. Tentures ct Galeries. 1 uteres et Glands pour rideaux. -— Glacés étamées et argentées. Article eiicadreinent. Cadres ovales ou a coins ronds. Cadres pour photographies, visite, carte-album et en tont genre, noirs, cuivre doré, bois sculpté, velours, etc. (.adres avec verres bombés pour Christ. Bouquets, cheveux ou photographies. Assortiment complet de passe-partout. Grand choix de gravures et lithographies anciennes et modernes. Estampes. Photographies et Chromolithographies. Venle, Echange, Réparation et Accordage de Pianos et Harmoniums. Location depuis 5 jusqu'a 20 frs. par mois. Pianos Berden, Vogelzangs, Van Hyfte et autres facteurs au juste prix de fnhrique. Occasions. 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HISTORISCHE KRANTEN

Journal d’Ypres (1874-1913) | 1874 | | pagina 3