B GOMEN
REVALEMÏA ARABICA
HOFSTEDEKE!!,
WOONHUIS,
EEN HUIS
SANTÉ A TOUS rendue sans médecine, sails purges et sans frais,
TROIS MAISONS D'ÖÜYRIERS,
IEPEN EN EIKEN BÜÜIBN.
PROPRIËTÉ D'AGRÉMENT
MAISON DECAMPAGNE
TROIS FERM ES
M BEAU CABARET,
NOTAltlS
EEN HOFSTEDEKEN,
GEZAAGD TJOUT,
SCHOONE VENTIE
comple de cette m'esure au mïnistre de la
guerre el lui adresse un rapport délaillé sul
les motifs qui l'ont provoquée.
Si Ie volontaire s'amende, lahaulepaye
lui est continuée sur Ia proposition du chef
de corps.
Art. 4. Les volontaires qui s'engageront
pour actiever Ie terme de volontaires avec
prune déchus de leurs droits en vertu de
Partiele 713ter de la loi du 18 Suptembre
1873 recevronl Ie reliqual de la prime de ces
deruiers.
lts recevront également une tiaute paye
de dix centimes |>ar jour.
lot) fr. leur .seront payéssoilen totalilé au
moment de l'adniission definitive, soit par
a-compte successif, selon que Ie minislrede
la guerre.
Un arrelë minislériel du 5 Octobrc
porie:
Le laux des gratifications allouécs aux
secrétaires cominunaux et autres employés
des administrations communales, aux em
ployes des cominissariais d'arrondissement,
des chemins de fer et des posies, aux gen
darmes et a tous autres agents subalternes,
ainsi qu'aux anciens mililaires qui auronl
facilité le recrulement des volontaires avec
prune est fixé, pour l'exercice 1874 187b, u
200 fr. pour chaque engagement.
La semaine passée, un Père missionnaire
se trouvait a Courtrai pour recueillir des
auHiöues destinées au ractiat desesclaves en
Asie. II avail avec lui un nègre, délivré de-
pnis a peine six mois. Ce négre est agé de
16 a 17 ans. Quoiqu'encore infidéle, il sait
apprécier ledévouement du missionnaire et
ne laisse pas échapper.les occasions de lui
témoigner sa reconnaissance. En voici une
preuve.
II y a quelques jours,'le missionnaire et le
jeune nègre soupaient a Phötel ofi ils étaient
descendus, lorsque le nommé V. V
de Wevelghem entredans la salie.
V. Vest d'esprit fort, il a un langa-
ge populaeier qui lui est propre et comme
tons les gens de sou espéce, il ainie a dever-
ser sa bave sur tout ce qu'un honnète liom-
ine respecte.
Flairant quelque scandale, V. V
accoste Ie négre et lui demandequel est eet
homme qui Paccompagné.
C'est mon Père, répond naïvement le
jeune noir.
Comment, voire père! s'écrie l'impu-
dent questionneiir; et, la dessus posanl en
moraliste mdigité. tl debite pour la galerie,
avec force blasphemes, une grossière diatri
be contre l'immoralilé des prètres etc.
Mais Pinsulleur avail comptésansle noir.
Celui-ci, quoique comprenant imparfaile-
meut le francais, entend a quel homme il a
affaire. D'un' bond, il s'élauce vers le lour-
deau, le terrasse, et, sans Pintervention du
missionnaire, il Peul immanquablement as-
sommé.
LES RE.MPLACANTS.
On lit dans la correspondence bruxelloise
de la Gazelle de Liéye
Je viens de me procurer sur le remplace
ment militaire des renseignemeijls qui inlé-
resserout beaucoup de vos lecleurs: Sur
1.600 remplacanls environ qui étaient de-
ma mies au gouvernement pour 1874 moyen-
nant le depót préalable de 200 francs, 1.145
seulement out pu ètre fournis jusqu'a cette
lieure et il n'est pas vraisemblable que ce
chiffre soit fortement dépassé, Quelque fa-
clteux que soil ce resultat pour les families
qui se trouvent relóguées a la queue des
solliciteurs, il excède les previsions émises a
la Chambre et dans la presse, el M. le minis-
tre de la guerre affirme que lorsque la lutte
qu'il soutient avaulageusemenl jusqu'aujour-
d hui contre les marchands d ames, sera
linie, il pourra procurer aux intéressés, non
pins 1,145 remplacanls, mais 1,600, 1,700
peul ètre, c'est-a-diie la totalilé demandée.
Les families qui se trouvent éconduites,
auraient tort de trop se haler de souscrire
aux exigences des spéculateurs privé's, car
el les out trois mois encore pour conclure avec
eux, et peut-étre qualre, si elles peuvent
élablir la bonue foi de leurs recherches.
Pour terminer ces lignes par avertissement
pratique, je dtrat, avec Passenliijienl des
autorités mililaires, que les remplacemenls
li bres opérés par les anciennes Compagnies,
peuvent se faire aux prix de 1,700 a 1,800
fr. et qu'en conséquence les jeunes geus me-
naeés de l'mcorporation, auraient tori de ce
pressor de conclure a un taux supérieur.
Cette lecon, nous l'espérons, aura profité
it V. Vcomme d'autres fails encore le
prouvent, il aime un peu trop a se mêler des
affaires des autres. Le négre lui a répondu
par des arguments qui l'en auronl convain-
cu. Désormais, il ne pourra plus dire que
les prètres ne sont bons a rien puisque
l'un d'eux l'a tiré d'un bien mauvais pas.
Au réappel de Dimanche dernier pour
Ie concours organisé entre Cologne cl Cour
trai, sept pigeons out été présentés au comi
té organisateur.
Fame de mieux I'expédition n'en a pas
moins été faite.
Ou avail relaché les pigeons Ie Dimanche
matin vers 6 heures et Lundi, dans Paprés-
m id ile premier voyageur ren tra i l au colom-
bier. A l'lieure qu'il est, trois des pigeons
sont parvenus a trouver la route.
MM. P. V. et A. D. colómbiphiles renom-
mésde Courtrai ont remporté/le premier et le
second prix, représentant la soumie de 4 fr.
pour le premier el 3 fr. pour le second dont
ils auroiit encore adéfalquer un franc defrais
de route, reste net 3 et 2 fr. de prime.
C'est beau mais c'est triste, le décourage-
meni est complet panni les 'coloinbqdiiles.
On assure que la voie Prussienue est abun-
donnée a tou: jamais.
Des résullals aussi brillants n'engagent
plus a faire de nouveaux efforts.
FAITS DIVERS.
Lc Notaire VAN EECKE, a Ypres est
chargé (ie vendre une belle
JET WE ST,
composée de belle
ÉGLRÏES ET REMISE,
i grand Parebitxn boisé. ornó de trois
j giandés jiièces tb eau et canaux les
reliant,
moyennes, quatres pelit.es,
AVEC TERRES,
AVEC TERRES etc.,
d'une conlenance de 86 hectares d'un
seul tenant, longée par une grande
route, situation pittoresque ei salu-
bre, a proximiléde deux petites vil
les, et par le nouveau ehemin de fer
en construction a line lieure de Lillc,
Toureoing-Roubaik.
KANTOOR VAN DEN
te W«4t«»sï.
brouwerij van baas Van Eecke, te
Watou plaats,
OVERSLAG
te Watou,
van 3 hectaren 90 aren 77 centia
ren. Gebruikt door fraudes Ver-
buuwe tot J 875.
1" Op MAANDAG T2 OCTOBER 4874,
om 2 uien namiddag, te Watou
plaats
VERKOOPING VAN
dienstig voor al lm werken.
2" Op DIJSSENDAG 43 OCTOBER, 3
uren namiddag te Proven, ter her
berg Het Ramtje,
VERKOOPING
te Proven,
inhoudende: 4 hectare 4 aren 30
centiaren, gebruikt geweest door
sieur Carolus Garrnyn. Aanslag met
de geldlclling.
3° Op DONDERDAG 45 OCTOBER, om
3 uren namiddag, ter herberg van
Deseure-Pareye,
OVERSLAG
t« Wat«m-Al»celc,
gebruikt door de-weduwe Lebbe.
4" Op MAANDAG 26 OCTOBER, ten 3
uren namiddag, ter herberg en
5" Op DIJSSENDAG 27 OCTOBER, 3
uren namiddag' op liet vooren te
koopen lTofsfedeken,
VENDITIE
der aldaar staande scboonc
EIKEK EK 1EPEK
6° En op MAANDAG 2 NOVEMBER te
Rousbrugge-IIari'Qghe Oosthoek
ter hofslede l ewoond cbor sieur
Butaye-Decreus,
VERKOOPING
der schoone langstammige
Om verdere inlichtingen zich te
begeven bij voornoemden Notarts
CAPELLE.
Men make hel ruchtbaar.
TE HOUTHL'LST,
in bet bosch van Mevr"de D:c Cassiers,
grondeigenares ie Clercken,
OP DONDERDAG 8 OCTOBER 1874,
ten 4 ure namiddag, van:
2000 Eiken Kroon-Ameldozen.
2000 Snoekbusschen.
45 Koopen Eiken Boomtjes.
20 rechte Sparren dien
stig voor timmerhout.
5000 drooge en groene S[)arrebus-
scben in vummen.
20 vummen Blokken.
6 Koopen Sparre Scholfen.
40 Plantsoenen.
De Eiken Snoekbussciien zullen
verkocht worden in d'herberg de
Rots van Gaëta.
De venditJe geschiedt door 't ambt
van K. Greffler te Dix-
mude, en is bij hem betaalbaar binnen
de 6 maanden.
De vergadering ter herberg van P.
Meerseman. bij liet Kasteel, alwaar er
's voormiddags zitting zal gehouden
worden voor de betaling van voor
gaande venditien.
urr DE 8 HAfJQ TE K30?EK:
met ÜMF, MOF en !s03M$rF,
gelegen te
HONDSCHOTE.
Zich te bevragen by den drukker
dezer.
La statue de Gendebien a élé liissée hier a Bruxel-
les sur sou pi.édesial eu pierre bleue; on l'a reeouverte
d'un vuile en loile blanchaire.
La slulue e-l en marbre blanc. M. Gendebien est
re présenté dans une altiiude qui s'efTorce de repro-
iluire M.Gendebien tel qu'il se montra a la Cbambre
dés Représentanls, en 1839, au moment solennel du
vote du traité de paix dit des vingt qualre articles
lequel devait céder a la llullande une portion des
provinees.de Limbourg ei de Luxembourg.
Dans la main gauche,il lient un écrii.C'est le vote
nógatil exprimé en ces tenues historiquesNon!
380,000 mille fois non! pour aulanl de Beiges que
nous sticrifiez a la pear! Cette statue est done uae
sorte de protestation assez ridicule contre un traité
qui a force de loi.
Sur la face principale du piëdestal, on lit cctte
inscription: A Alexandre Gendebien. Érigëpar
so ascription.
Rien de plus eloquent qu'un chiffre. En voici
un qui inontre combien a été grand Ie mouvement
des voyageurs ayant passé par Bruxelles dans ces
derniers temps. En Aoüi les recettes, a la seule gare
du Nord, se soul élevées a plus de 300,000 fret a
000,000 en Septembre.
Voici un autre cliiffre qui prouve que la valeur
des terrains n'esl pas pies de diminuer, dans la
capilale. On a pavé un terrain récemment vendu,
rue de Loxum, 71 Ir. le pied, soil 923 fr. Ie mèlre,
suil 9,230,000 fr l'beclarè!
On lit dans le Constitulionnel:
On sail que Ie gouvernement prussien a ordon-
né l'expuision de tous les prètres élrangers. Dans
cette mesure avail été compris aussi, d'après les
journaux allemands, un évëque calholique anglais,
qui séjournait a Uornbourg pour y prendre les eaux.
Les orgnnes minislérieis de Berlin ont voulu détrién
lir cello nouvelle; l'un de ces journaux déclaiait
qu'aucun évëque <i anglais n avail étéexpulsé de
Prusse.
ii Co journal avail rnison. En el'fet, le prélat ex-
pulsé est l'évëque de Cork, et comme Corck est
situé en Irlande, cel évéque n'est pus un évëque
anglais. Ce qui n'empêclie pas la presse anlicathóli-
que de Prusse de s'élever avec indignaiion contre
la raisonnemeni jësuilique, qu'elle ne dédaigne pas,
comme on vuil de s'approprier a 1'öccasion.
La prir.cesse Czailoriska, carmélile a Posen,
chassée de son convent pir M. de Bismark, vient
d'arriver it Paris, o 4 el le est entree au couvenl des
Carméliles. Cette priucesse est belle-sceur de la
princesse Marguerite, fille de M. le due de Ne
mours.
Les hbéraux d'Allemagne annonceni avec joie
qii'avaiu la fin de l'année tous les évcques seront en
piison. II v en aura peul-ëtrede mints, pour conible
de jubilation, ear Mgr Ledocbowski et deux de ses
collègues som malades l'aute d'espuce el de bon air.
A la dernière reception d'un diplomate éiran-
ger, M. de Bla conversation tombn sur le
chancelier de l'empire d'Allemagne, sur la campa
gne du France, les milliards, les requisition, etc.
En dehors de ses talents diplom,niqtios, dit le
mailrede la maison, M. de Bismarck est trés instruit
il parte parfailemeut la russe el l'anglais
Mais il écorche lerriblcment le francais!
Un trait qui mérite sa place d'lionneur dans
les Annates de la Sainle- Enfance. Dans le duché
de Bade, il est défen lu de recueillir les annuilés
dans les éroles. Par suite d'une déiioncialion, l'a ml'
mann de-Bruchsal fait réunir a l'hülel de ville un
grand nombre de peliles füles pour déposer contre
un ecclésiaslique qui aurail encoie recueilli de l'ar-
geni pour les peins Cliinois dans les classes, malgté
l'i nterd iet ionl.e maire ne pul rien apprendie des
enfants qui, en qualités de témoins, recurcnl a la
fin chacun un sechser. Ces petites finaudes n'eurent
rien de plus empressé que de pol ler eet argent au
curépour les petits Cliinois Exbreinfan-
tium.
Un jour (c'était au commencement de sa car
rière) qu'il [ilaidaii pour un incendiaire qu'il fallait
enleoer au jury, M. C. fit un tableau dos plus lou-
chants de la misère de son client: I.e voyez-
vous, disait-il, sans pain, sans abri! Ah Messieurs,
meitez vous a sa place, pensez qu'il avail faim, qu'il
avail froid, qu'il ne savait comment se rechauffer.
Pardon, fit le président, mais ce n'éiait pour-
tant pas une raison de brüler tout un village!
M° C. rougit; il avail embrouillé deux affaires.
Excusez-moi, Messieurs, dit il aux jurés, je me
suis Irompé de dossier; ayez la complaisance do re-
tenir ce que je vous ai du pour un voleur de bois
que j'aiirui l'bonneur de_ défendre devanl vous tous
a l'lieure.
Puis il «ontinua son plaidoyer.
C'est le mëmu avocai qui, voyant que le tribunal
s'étail endornii pendant sa plaiilóierie s'arréla tout
court.
Le silence ayant réveille lesjuges:
Je. vous dissais done bier... Coiitinua-t-il sé-
rieuseineni
Les ju ges se regardèrnt fort embarrassés; il élait
évident que quelques uns d'entre eux se cróyaiebt
endormis dupuis ia veille.
- Voici, d'apiès une correspondance du Figaro
qui a eu un enlrelien avec M'"" Bik»ine. comment
ceite vaillante lenime s'est procmé la corde qui ai
servi a l'évasion du maréchal. C'est M"" Bhzaine qui
parte:
J'iivais dit a ma fille Eugenie: Quand je me
promènerai avec M. Marchi, lu viendras me deinan-
der de l'cau de nier dans ton petit arrosuir Je
refuserai de l'en dunner, el alois la irisiSieias et fu te
me'ttras ii pleiner. Eugenie fii ainsi que je le lu
avais dit. Je lui nêpondis de me laisser tranquille,
que c'était impossible. L'enfiiiit irisista; je finis par
prendre une ficelle et je fis descernlre l'arrosuir,
aidé de M. Marchi qui vouisl remontcr l'eau lui-
möme. Et puis, je coupai lesiement la ficelle aussi-
tót que l'arrosoir fut rempli. J'avais la mesare.
Je remerciai le directeur de sa peine. Comment!
me rónliqua-t il, en protestant, je ine suis au con
iraire iieaucoup amusé, lout en amusant la petite
Eugenie.
Le présidiwit Grant des Elals-Unis recoil
dernièremenl un correspondent du New- York He
rald chargé de s'énquérir prés du président au
sujet de sa seconde rééiecdon.
Voici, d'après le rapport du Ilérald lui mëme,
le résiillat qu'a eu l'eiitrevue.
Correspondant. Piésident Grant, je désire
vous demander si vous vous portez candidal pour
un troisiénie terme
Président firoidement). Je n'ai rien a dire a ce
sujet.
C. Mais, président Grant, ne puis-je pas vous
demander si vos amis ont l'iniention de poser voire
nom devanl la prochaine convention républicaine?
P. (d'un ton glacial). Je n'ai rien a dire a ce-
sujel.
C. Du moins y a til quelque vérité, M. le prési
dent, dans l'nlliance dont il est bruit?
P. (tout a fait gelé). Je n'ai rien a dire a ce
sujet.
C. Puisqu'il en est ainsi, monsieur Ie président,
j'ai bien l'bonneur de vous souhaiter Ie bonjour.
P. Je n'ai rien a dire a ce sujet.
Et noire correspondant s'éloigna en emporium la
conviction quo Ie président Grant est un rude bom
me a entreviser.
Voici une curieuse photographie du Berli-
nois:
L'ouvricr berlinois qui a quelque argent songe
avant tout au superflu et au plaisir. Le Dimanclre,
il sera mis avec elegance et fera une paitie de
campagne qui lui enlèvera ses épargnes de la semai
ne. Le reste de la semaine, ii boil et il mange aussi
peu que possible. Plus grande encore est la sobrièlé
presque incroyable de l'ouvrière berlinoise, qui
sacrifie son dernier groschcn a sa toilette et dine
avec une croule de pain et trois rad iscar, disait
I'une d'entre files avec un sens profond, on voil ce
que j'ai sur les épaules et non ce que j'ai dans
l'estomac.
Cette réponse earactéristique et autlientiqoe cn dit
plus long qu'un volume sur le caraclèré berlinois.
Pa ra lire est la preoccupation, et ce qui est viai de
l'individu l'a élé et l'est encore n portie de la nation
et de i'Etat. Pendant cinquaiue ans, la Prusse met
tail ses fonctionnaires, les serviteurs de I'Etat, a la
portion congrue. Un juge exercait dix ans avant
d'oblenir de fuibles honoraires; mais la Prusse
laisait lionne figure devanl le monde el surlout el le
créait sou armee. C'est un Aulricliien spirituel qu'
a dit: La P russe s'est affamée pour louder sa
grandeur.
M. Prud'liomme mène son épouse a l'Exposi-
tion des insectes
Au seuil de eet antre, madame éprouve une vaguc
terreur.
N'aie pas peur,mon amie.dit le brave Joseph;
ils soul lous encliainés!
Eli bien? Et voire fils?
Ne tn'cn purlez pas. II est plus bas que jamais,
et poortaal je lui ai donné un bon conseil.
Uil seul?
Sails doute, an eonseil judiciaire.
M Guizot avait une béte noire.
M Guizot ne pouvait voir l'auteur ultra-radical
des Paroles d'un croyant. II disait de lui:
C'est le iiialfaiteur de ('intelligence.
Nous a imons aussi Ie mot de Méry:
Cel ex-ahbé? II a mis sur sa lëte le bonnet rou
ge, paree que le pape n'a voulu lui dunner le
cliapeau rouge.
Un recueil anglais nous initio a une improvi
sation de M. ictor Hugo, faile sur la ilemitnilé
d'une dame de Guernesey. C'esf un quatrain abso-
lument inédit en France.
Pourriez-vous faire, sur cet album, des vers
anglais lui demanda la dame. Immédialement Olym-
pio traca les lignes suivatites:
Pour chasser le spleen
J'entrai dans un inn\
La, je bus du gin;
Et God save the queen!
Pour un républicain, c'est rattlecomme on dit.
Savez-vous ce que disent les Représentants de
Versailles quand ils apprennent la mort de l'un
d'entre eux!
C'est !e renouvellement par del!
allerbniide
van een
van een
Londres, tlile:
par la délieieuse farine de Santé de Du Barry de
Vingt-,six ans d'invaGable snceès.
Elie combat avec snceès les dyspepsies, manvaises digestions, gastrites gastralgies, glaires,
venu. aigi-eiirs, aeidités. pituites, nausées, renvois, votnissements, inéme en gr'ossesse, consti
pation, diari'liee dyssenterie coliqnes, phthisie, toux, asllime, éloulfements, étourdissements,
oppression, congestion, névrese, insonmies, mélancolie, diabete, faiblesse, épnisement, anétnie,
chlorose, tons desordres de la poitrine, gorge, haleine, voies des bronches, vessie, foic,
reins, intestins, miiqneuse cerveau et sang. 75,000 cures, y compris celles de Madame
la Dtichesse de Casliesiiiart. le due de Pluskow, Madame la marquise de Bréhan, Lord
Stuarl de Urcies, pair d Angleterre, etc., etc.
jV"" la marquise de /Irclian, de 7 ans de Maladie du foie, d'estomac, amaigrissement,
baltement nerveux sur le corpsagitation nerveuse et tristesse mortelle.
Monsieur Dieti soit béni! La Revalenta du Barry a mis fin d mes dix-huit années
de souffrance de Luslumac el des nerf, de faiblcsses et de sueurs nocturnes.
J. Comparet, curé.
Cure ,'V 62,986.
Ai1,1 Martin, de Suppression des régies et Danse de Sainl-Guy, déclarée incurable, parfai-
tement guérie par la Kevalenla.
Cure N° 63,112.
E. I'ayard, de Gaslralgie et Vomissements. II ne pouvait plas se tenir sur ses jambes
ni dor.-air, ayant toujours le creux de l'eslomae gon/lc.
Cure iV° 62,845.
M. Pollet, cure, de 36 ans d'Astlime avec étoujfements dans la nuit.
Cure N° 70,421.
Af. A. Spadaro, dune Constipation opiniatre de 9 ans. C'était terrible, et des médécins
hors tiyne uvaient declare (pi d n'y avait pas moyen de le quérir. 3
Plus nourrissante que la
Bnilrs: 1/4 kil., 2 fr. 23;
Iteculeiita, en boites de 4,
23 c.; de 376 lasses, 60 fr
Dépot chez C. Becuwe,
Bruges, Yve De Grave,
viande, elle economise encore 50 fois son prix en médecine. En
1/2 kil.. 4 fr.; 1 kil., 7 fr.; 12 kil., 60 fr. Les Biscuits de
7 et 16 francs. La Revalenta chocolatéeen bolles de 2 fr.
Envoi contre bon de posle, les bolles de 32 et 60 fr. franco.
pharm. rue du Verger. II. I'rysou, rue de Dixmude, Ypres.
droguiste, rue Eeckhout, 2. V. Veys-Frisou, Prés St Jacques, 21,
phürmacien. L. Algoel-Dispersyn, négociant, rue Notre-Dame, 33. De Hondl-Gazel, denrees
coloniales, rue des Pierres, 10. A. YVillaert-De Smet, denrées coloniales. Grand Place. 3.
Courtrai, II. Bossaert, pharmacien. E. Uiers, pbarmacien. Furnes, E. Dnclos, pli.nmacien.
Moorslede, Ch. Bostyn, boulanger. Oslende, F. Kockenpoo, pharmatfieti, rue Louise. Kouiers,
11. Boiitens-Degeest. pharmacien. Tieghem, G. et V. Moreels, 'l'bielt, J. Bmssens-Byl, pharm,
chez les pharmaciens el épiciers, Du Barry et C"., 12, rue de VEmpertur, Bruxelles.