m t S I ij il J J^C ;j ^fmm Samedi 17 Octob. 1874. 9"e année. N's 918. e w ïn O umutéMsj s >- Le Journal parait !e Mercredi el le Samedi. Les insertions coütent 15 centimes la ligne.— Les réclames, dans le corps du journal, se 30 centimes la ligne.lTn numéro du journal, pris au Bureau, 15 centimes. Les numéros supplémentaires commandés pour articles, Réclames ou Annonces, coütent 20 Ir. les 100 e.\emplaires. CH£MIiY§ WE FE 11. CONSIDERATIONS RELATIVEMENT AUX ERREURS POPULAIRES TOUCHANT LE POUVOIR TEMPOREL. (Extrait du Crusader.) Le Saint Përe doit élablir la hiërarchie ecclésiastique et régler la discipline dans le monde entier; deux choses extrèmement dé- licates a cause de l'influence extérieure que doit posséder l'Episcopat. Souvent pour plaire a Dieu, le Pape doit déplaire aux hom mes. Comme personne privée, aurait-il pu rétablir la hiërarchie en Anglelerre et en Hollande, ainsi qu'il le fit il y a quelques années. Si le Pape avait été sujet de la Fran ce, par exemple, ce fut devenu une cause de querelle entre l'Anglelerre et ce pays, et les Francais eussent pu ernpécher la promulga tion du décret. Le Pape doit souvent con- damner un roi a la séparation avec le corps de l'Eglise; s'il était le sujet d'un roi, potir- rait-il excommunier un autre roi, pourrait-il excommunier son propre souverain? Cepen- dant vous devez reconnaitre que c'est sou vent. une nécessilé, a moins de nier l'un et 1 autre, savoir: que le Saint-Pére a juridic- tion spiriluelle sur les rois, ou que les prin ces nc péchent jamais; en d'autres lermes: a moins que vous soyez disposé a soulenir que tous les princes ou gouverneurs possè- dent l'infaillibililé de la foi el Pinpeccabilité des acles. Comment alors le Pape pourrait-il exercer ses droits et ses devoirs inaliénables envers de si grands personnages s'il n'était pas indépendant d'eux tous? Comment pour rait-il remplir ces fonctions, si a tout mo ment les accusés pouvaient metlre la main sur lui et lejeler en prison? En prison on peut souITrir pour la justi- ce, mais ce n'est pas d'une prison qu'on la fait régner. Par« liberté et indépendnnce du Pape dans son gouvernement spirituel, on comprend non-sculement la liberté et l'indépendance de sa propre personne, maisaussi celles de tous les grands dignitaires de l'Eglise qui l'assislent, et des ministres et employés, qu'il exige et qui sont exigés par le grand nom- bre destitutions ecclésiasliques qui l'enioir rent et dont les ceuvres sont répandues dans Ie monde enlier. Si chaque gouvernement, exceplé celui du Pape, avait sur eti.x pleine juridiclion, ou bien si chaque gouvernement était capable d'empécher leur action, alors le Pape aurait moins d'immunilé et de-liber- té d action que la plus faible puissance du monde. Qnand l'Eglise élan moins étendue qu'aujourd'hui,qiiand elle avait des relations moins importanles que celles qu'ellea main- tenant, Conslanlin vit que le Sainl-Péreet lui ne pouvaient gouverner dans la mème cité, el il a I la a Byzance. Néanmoins l'auto- rilé temporelle était alors moins jalouse du Pape qu'elle ne l'est mainlenant. De plus l'Eglise enliére doit se sentir assu- réeque le gouvernement de l'Eglise proeéde purement et simplement du Vicaire de Jésus- Clirisl, son Pontife et son Pére. C'est pour- quoi la liberie d election d'un nouveau Pape doit être indiscutable. Le conclave ne peut ét re dans les mains d'aucun gouvernement ni ètre sujet a aucune influence extérieure. D'ailleurs, si une puissance acquérail de l'in fluence sur le Pape pour le gouvernement de la Chrétienté, quelle jalousie éprouveraient les autres puissances, qui par la méme vou- draient obtenir une égale influence? Le cen tre du gouvernement de l'Eglise du Christ devjendrait ainsi le foyer des passions et des intrigues du monde entier. Chaque pouvoir de la teire chercherait, par chicanes, frau des, faussetés et menaces, par diplomatie, en un mot, a rendre le Pape l'instrument de sa propre ambition. De méme les Etats hérétiques entreraienl dans la querelle, non- seulement paree qu'ils ont des Catlioliques romains comme sujets, mais aussi avec le but d'influencer, par le moyen du Pape, les Calhoiiques romains des autres Etats, et de cette maniére paralyser Faction de ces Etats. Le pouvoir qui réussirail a se faire un instru ment du Pape, acquerrail ainsi deux cents millions de sujets. LA MAIN DE L'ETAT. Une des choses les plus désaslreuses sor ties de I organisation nouvelle qui étreint nos sociélès modernes, c'est l'ingérence absor- bante de ce qu on appelle l'Elal dans une foule d intéréts qu'il ne parvient falalement qu a compromettre, et souvent a ruiner de fond en comble. Nulle part cependant la funeste ubiquité de ce dieu interlope n'est plus deplorable que dans l'organisation de l'enseignement, a quelque degré et sous quelque forme qu'on le distribue. Nous aurions long a écrire sur ce triste sujet. Laissons un instant la parole a nn coura- gcux correspondanl du Courtier de Bruxel les. qui écrit a nol re confrère de désolantes vérités au sujet d'une école spéciale créée et engraissée par lEial sous p réi ex te den - seignement agricole. II s'agit de l'Instilul de Geinbloux, dont depuis longlemps nous avions entendu dire bien du mal, et qui est bcaucowp plus mnuvais que bien des gens ne le supposent. Voici comment parle le cor respondanl en question: Gembloux a le bonheur de posséder un Institut agricole de l'Elal, oü l'on enseignea la fois l'agricultnre el la libre-pensée, la science des engrais el celle de la libre jouis- sance, les Ihéories de la generation des èires organiques el celles du darwinisme ou aulres analogues. Je n'entends pas dire par la que les pro- fesseurs ou répéiitcurs, presque lous notoirc- ment libres-penseurs, aiiaqiicnl ilireclement la foi des éléves et dogmalisenl coritre le catholieisine. lis se bornenl sans douie a exposer leurs doelrines, a seiner indirecle- menl ie doute dans l'espril de leurs éléves et a prècher par l'exeinpie le mépris du cnlle. Mais ce que je puis allesler, c'est que j'y ai vu enlrer beaucoup d'enfants pieux et croyants, lesquels sont sort is parfaitement débarrassés de leur foi el de leur innocence. II me suffirail de cette lamentable expe rience pour me croire le devoir de jeter le cri d'alarme aux families catholiques. Néanmoins j'en appelle volonliers, non-seu- lement a la noloriélé publique dans nion canton, mais encore aux impressions de toutes les personnes qui, habituées a parcou- rir la ligne du Luxembourg,ont pu apprécier par la conversation des jeunesélé/esleniveau de leur moralité et de leur science d'obscéni- tés. Je n'oserais rapporter certains détails qui m'ont été fournis par des éléves eux-mè- mes; tout ce que je puis dire, c'est que dans l'internat la surveillance des récréations est nulle et que la libre parole y a ses coudées franches A la vérité, on conduit les internes tous les Dimanches a une messe basse; seulement leur altitude y est telle, que beaucoup des assistants les dispenseraient volonliers de cette formalité. a De mème l'abstinence est observée le Vendredi. Mais on fait gras aux Quatre- Temps el aux Vigiles. En revanche, la cuisine du caréme est tellemenl maigre que la plupart des éléves réclarnent et obtiennenl de la viande. II y a un cabinet de lecture accessible a tous les éléves. On y trouve loutes les revues et les feuilles agricoles que l'on peut désirer el ne pas désirer. Beaucoup de ces reeueils professent le matérialisme le plus abject et le communiquent nalurellement a leurs lec- leurs. On m'a assure que les études techniques soul fortes. Je le veux bien croire. Muissi la somme de science agricole fournie par les professeurs est considérable, il faul croire que la somme de travail dépensée par les eleves n'est pas a la mème hauleur, car j'ai eu la curiosité de in'inl'orrner, cette année, du résuliat des examens el j'ai appris saus élonneinentque sur 20 candidats 7 avaient échoué. Les plaintes n'ont pas manqué. Elles ont élé d'autant plus vives que certaincs families qui, sur le vu des noms honorables places a la lète de la commission d'inspec- lion etamadouées par les superbes rapports de cette commission, avaient envoyé leurs enfants a Gembloux, ont eté désespérées de voir revenir ces enfants aussi savants sinon plus en incrédiililé et en libre- jouissance <|u'en theories agricoles. Mais les plaintes sont demeurées sans résuliat. La commission parait convaincue qu'elle a pour unique mission de s'assurer que les cours sont exaclemenl donnés el que la letire du régleinent est observée. Ce point vérifié, elle se lave les mains du reste. Tont cela crève de vérilé, el l'on pourrait écrire des. volumes de reflexions sur ebaeu- ne des pénibles assertions lormulées dans celte révélalion si assommante. Et ce nVst pas seulement le triste Inslilut de Gcmh|oux qui mérite ces sévères appre ciations. Nous en connaissons, et plus d'un dont on pouriait dire pis encore. Telle est enlre autres l'école vétérinaire de Cureghem- lez-Bruxelles, oü l'Elal se donne le privilége exclusif de l'enseignement spécial qu'il y vend a de pauvres jeunes gens, obliges d'a 1- ler respirer l'almosphére létide oü leurs amis contractent d'incurables maladies. Deniandcz a la population du faubourg oü cette école est élablie, ce qu'elle pense de cel cnseignc- ment et des éléves qui l'avalent et le prali- quenl, et elle vous dira son appréeiation dans une seulc parole, dans le nom sous Icquel est connue celle institution el dont personne la bas n'enlend conlester l'exaclc et universelle justesse. On l'appelle de Beesle- Sc/tool. Et c'est par cette école, sligniatisée d'un tel nom, que doivent passer forcément tous les jeunes gens qui aspirent au diplome de médecin vétérinaire. Mais il y a plus triste encore. Nous osons demander quel eiiseignement se donne dans cerlaines écoles normales frappées du cachet officie! et ou l'on s'oetroic Fetfrayanie mis sion de former des instiluteurs. Cerles rien n'esl plus important que cette formation, rien n'esl plus grave que la responsabililé qu'elle impose. Le sait-ou, la surlout oü on devrait le savoir? La formation religieuse et morale des éléves a-l-elle quelque place dans la preoccupation des maitres? La vie chrétienne cst-elle pour quelque chose dans la direction de ceux qui anront un jour une mission a remplir a laquelle le salul social est si intimement lié? La piété éclairée, so lide, pratique, a-t-elle sa part dans l'éduca- lion des fulurs instiluteurs, pour lesquels cclte piélé esl si nécessaire? La société trou- vera-l-clle, dans ceux qui sorlent de pareilles oflicines, les garanties sur lesquelles elle doit pouvoir compler, pour leur confier les géné- rations naissantes et avec elles les chances de l'avenir? Tcrribles questions dont, hélas! dans le monde olficiel on se préoccupe infini- menl peu. La main de l'Elal gale tout ce qu'elle tou che et il devient leinps qu'on le sache. Mais nulle part eetie griffe malfaisante ne produit de plus grands, de plus nombreux ravages, que lorsqu'elle accroche des écoles et les attire dans le milieu nefaste oü l'on ne con- nait qu'administralion, bureaux adminis- tralifs,commissions permanentes,conseils de perfeclionnement, registres de presence, lout le bataclan bureaucratique imaginable, mais oü les ames ne complent point et oü Dieu n'a point de place. C'est pourquoi nous nous associons de tout cceur aux conclusions que tire le corres pondanl du Courrier de Bruxelles. Elles tombenl directement sur l'Instilul de Gem bloux. mais dans notre pensée leur porlée est plus générale et c'esl a louies les écoles ofliciellies quelconques que nous eniendons les appliquer. Elles sont parfaitement ju»tes: o Le libéralisme soulienl que l'Elal n'a pas charge d ames. Libéralemenl, Fame n'existe pas pour FEtat; il n'a que faire de s'en m- quicter. Ce n'esl pas sa mission. Fouivu qu'il produise des corps humains biendressés par la gymnastique et qu'il ailbourréles cervcaux de ces .corps d'une cerlainedose destruction technique, il a rempli son rölc el accompli son devoir. Ne sulor ultra crée- pidam. Chréliennemcnt, i'Elat qui se mèle d'er:- seigner et qui s'arroge la pretention de se subslituer aux përes de familie, est lenu d'enseigner et de remplir les obligations de ces péres de familie, conformément ii leurs vceux etaleurs intentions. Le minimum de ses obligations esl d'éloigner de-la jeuriesse qui lui est confiée lout ce qui lend a la cor- rompre et a Fairophier religi,eusemcnl. Bes- ponsable des enfants vis a-vis des parenls, il a pour impérieux devoir de les leurrendie, aiHant qu'il est en lui, inoralemenl leis qu'ils lui ont élé coufies. II ne lui est pas permis de négliger les ames plus que les intelligences el les corps. De mème qu'il nc pourrait lolérer que les professeurs fissent seulement mine de dormer les lecons techniques, de mème il lui est interdit de tolércr que Ia culture morale et religieuse des enfants se reduisea d'hypo- criles ou pharisaïques formalités. S'il ne vent, ne peut ou n'ose coiuprendre cela, il f n'est pas digne d'enseigner. Celte conclusion a l'incompélence abso^-,.. cf luede l'Elal dans Fenseignemenl, deviendra dans peu de temps celle de lous les catholG- ques soucieux des inlérêls spiriluels èt scienlifiques de lajeunesse. En attendanl, ipiel est Ic rcmède au mal particulier que je signale dans l'lnslitut agri cole de Gemloux? II ne faul pas en allendre de la part de l'Elal. Marchand de science agricole, qu'il distribue aux frais des conlribuables a quel ques privilégiés, l'Elal n'aime pas plus que tout autre marchand de voir contesier la qualilé de sa marebandise. Dés que son in dustrie lui produii lanl pour cent d'mgé- nieurs agricoles, il se declare satisfait et s'inquièle peu si ces ingénieurs soni plus ou moins déchrislianisés. C'esl absurde; mais c'est ainsi. 11 ne reste done que deux moyens: le premier est d'altirer I'atlention des patrons chrétiens de l'inslilut sur ce qui s'y passé. Leur responsabililé morale est engagée et lanl que leurs noms servironl d'enseigne a l'industrie de déchristianisalion qui prospère a Gembloux, ils en auront comple a rendre a Dieu et aux families catholiques. Le second esl le refus des deputes calhoiiques de conti- nuer a solder do nos deniers i'enseignemenl libre-penseur de l'lnslitut. :j I ii Vl 4-i il1 UN DES CRIMES DE LA REVOLUTION. Depuis soixante ans la politique, l'histoire, Ie pamphlet et le roman se soul appliquésa répandre dans nos cués el nos campagnes la haine et le mépris des choses du passé; on a attaqué, conspué Fceuvre des ancèiresjon n'a apercu dans le loiulain des ages que des tyrans, des esciaves, des ignorants et des imbeciles. Qui dit patrio dit patres, les péres, les aïeux, la longue suite des generations; U2 O ca *5 co O co tq •3 D T3 O O LJ W Lj -x v w -»<m uoüjsüi inr—,-<-- va zr c- *TJ ZS ^5 cc C*3 Poperinghe-YpresS-1K,'7-23,9-30,10-58,2-15,3-03,9-20. Ypres-Poperinghe, 6-30,9-07,12-05,3-57,6-50,8-45,9-#0. Po- pennghe-Hazebrouck, 7 13, 12-25, 4-17, 7-13. Hazebrouck-Poperinghe-Ypres, 8-35, 10 00, 4-10, 8-25. 1 pves-Haulers, 7-50, 12-25, 6-45. Kou Iers- Ypres, 9-25, 1-50, 7-50. haulers-Bruges, 8-46,11-34,1-13, (L. 5 86), 7-30, (9-85. Licliierv.) Lichterv.-Thourout, 4-28 m. Bruges-Roulers, 8-25, 12-50, 5-13, 6-42. Lichtervelde-Courtrai, 5-28 m. 9 01, 1,30, 5,45 7,21 Zedelgliem Thourout, 8-40. 1,05, 5,26, 6,88. 1 pres-Courtrai, 5-34,9-49,11-18,2-35,8-25. Courtraj-Ypres8-08,11-02,2-56,5-40,8-49. 1 pies- Ihourout, 7-13, 12 06, 6 20, (le Samedi a 8-50 du malin jusqu'a Langhemarck). Thourout- Ypres, 9-00, 1-18, 7-48, (Ie Samedi a 6-20 du matin de Langhemarck a Ypres). Comines-Warnêton Le Touquet-llouplines-Ümêarteres, 6-00, 10,15,12-00, 6-40,— Armentières-Houplines Le Touquet-War- netoii-Coimnes 7 -25, 10,50, 4-10, 8 -40. Comines- Warnêton 8-40, in. 9-30 s. Warnêlon-Comiwes 5-30, 9-50, ,oui rai Bi uges,8-05, 11-00, 12-35, (L. 5-15), 6-55. (9-00 s. (Lichterv.)Bruges-Courlrat, 8-25, 12-50, 5-13, 6-42. n?MS'(-?nn.er-P ^ySt' -.l) 7"3°,9-45,11 04,1,20,2-25,2-50,5 20(exp.) (S. 5-30)7-35 (exp.)8-45. (bassin) 7-00,7-36, \y VL0-2"®1.2^-'S6,S-26(exp.)(S.ö-56)7-4|(exp.)8 SJHeyst, Blankenberghe, Bruges, 5-45,(L. 7-20) 8,30,11-25,1-25,2-48, i 15)7-28. - Blankenberg, Bruges, 6-10,(L. 7-42)8-35,11-55,1-48,3-05(exp.)4-30,6 00(D. 6-35) 7,007 48. IngelmunsterTteynM-Grmd, 5-15, 9-41, 2-15. - Ingelmunsier-Z%?ïze, 4-50 2" cl., 7-15. Gand-Dey[ue-7w0e//»ttns<«r, 6-58, 11-20, 4-46. IJeynze-Ingel,munster, 7,31 9-10 2C cl, 11,54 5,19, 8-20 s. Inge munster-Anseghern, 6-05, 12-10, 6-15. Anseghem-Ingelniunster7-42, 2-20, 7-45. Lichtervelde-Uixroade-Furlies et Dunkerke, 6-30, 9-08, 1-33, 7-58. - D««A:erAe-Furnes-Dixmude et LiclUervelde, 6-45, 11-15, 3-45, 5-05. I)ixmude-A teirport,9-58,10,33,2-20,5,10 8-40. Nieup-Dt'.m,(vilIe)7-40,12-00,4-24,5,36,9,30,(bains)7,30,11,50,4,13,5,80. lourout-Otrtent/e, 4-50, 9-15, 12,03,1-50, 8-05. 10,15— Osiende-Thouroul, 7-55, 10-10, 12 25,4,45.6-15.9,15. Selzaete-^eetoo, 9-05, 1-25, 8-25. - Eec\oo-Selzaete, 5-33, 10-15,4-22. Gand-Terneuzen, (siaiion) 8-17, 12 15. 7,23 (porie d'Anvers) 8-30,- 12 40. 7 43. lemeuzen Gand, 0 00, 10-30,4 40. Selzaeta-Lukeren, 9 1)4, 1-30, 8 30. (le Merer. 5-10 in.) Lokeren-S'e/ruete, 6 00, 10-25, 4 48. (Ie Mardi, 9,30.) c: O 11 11 1-1 tri J O rf D A JV C W H C0URTRAI, BRUXELLES. Courtrai dép. 6,37 10,53 12.33 3,47 6,33. Bruxelles arr. 9,20 1,35 2,25 6,14 8,38. CUURTHAI, TOURNA!, LILLE. Courlrai dép. 6.37 10,56 2,54 5,34 8,47. Tournai arr. 7,28 11,47 3,48 6,29 9,41. Lille 7,37 12,05 4,00 6,32 9,53. COURTRAI, GAND. Courtrai dép. 6,42 12,31 '3,44 6,40. Gand arr. 8,01 1,51 5,04 7,36. BRUXELLES, COURTRAI. Bruxelles dep. 5,22 8,28 12,21 3,33 6,47. Courlrai arr. 8,00 10,46 2,44 7,86 8,44. LILLE, TOURNAI, COURTRAI. Lille dép. 5,20 8,25 11,05 2,18 5,20. Tournai arr. 8,42 8,86 11,34 2,40 3,39. Courlrai 6,34 9.47 12,26 3,38 6,33. GAND., COURTRAI. Gand dép. 5,15 9,38 1,28 4,24 7,21. Courlrai urr. 6,34 10,51 2,49 3,31 8,42. BRUGES, GAND, BRUXELLES. BRUXELLES, GAND, BRUGES. Bruges dép. Gand arr. Bruxelles 6.49 exp. 12.34 7,34 1,49 8.50 4,00 3,32 exp. 4.42 5,30 6,43 8,19 exp. 7,38 9,31 10,26. Bruxelles dép. Gand arr. Bruges 6,00 7,20 8,14 9,41 10,34 11,33 1 23 2,38 3,12 4,26 exp. 5,11 5.33. 6.37 7,22. 7,22 8,38. t ii

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